Source: Alain Bergeron, MédiaMatin, 31 janvier 2008.
Le pont de Québec immaculé auquel rêvaient ses défenseurs s’est plutôt transformé en différend devant les tribunaux. Résultat: une porte défraîchie accueillera la visite durant l’année du 400e.
«C’est gênant! Notre objectif était d’arriver en 2008 pour qu’on soit fiers de notre pont. C’est plutôt devenu une honte», se désole Michel L’Hébreux, de Saint-Romuald, une référence dans l’histoire de ce fascinant monstre d’acier. (…)
La suite. À consulter, ce billet: Se souvenir: L’histoire du pont de Québec.
31 janvier 2008 à 23 h 21
Cette histoire est vraiment lamentable. A-t-on idée de laisser une merveille pareille se couvrir de rouille année après année!!! Tant que la cause sera devant les tribunaux pas un litre de peinture ne sera dépensé pour redonner à ce pont le lustre qu’il mérite et la partie repeinte aura le temps de rouiller à son tour. Un vrai monument à l’immobilisme de nos institutions et à l’incurie de la bureaucratie.
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31 janvier 2008 à 23 h 35
« Un vrai monument à l’immobilisme de nos institutions et à l’incurie de la bureaucratie. »
Trop vrai…
se donner 10ans (97-07) pour peinturer un pont, et pour atteindre seulement 30%
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1er février 2008 à 08 h 53
Ca aura pris plus de temps pour le repeinturer que pour le construire!!
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