Source : Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, le 4 février 2008

Les Galeries de la Canardière se refont une beauté. Misant sur la revitalisation anticipée du secteur D’Estimauville, les nouveaux propriétaires investiront jusqu’à 3,5 millions $ pour moderniser le plus vieux centre commercial de Québec, construit au début des années 60.

La compagnie SkyLine, basée à Toronto, a acheté les Galeries de la Canardière en juillet 2006. Depuis, 2 millions $ ont été investis pour refaire une partie de la toiture, moderniser les installations électriques, l’éclairage et l’aménagement intérieur. Pour l’année en cours, 1,5 millions $ sont prévus pour compléter les travaux.

«On veut continuer de miser sur des petits commerces locaux spécialisés, tout en attirant une clientèle plus haut de gamme», explique la directrice générale des Galeries, Nicole Stuart.

Pour attirer de nouveaux clients, les propriétaires misent notamment sur l’ouverture prochaine des résidences du Faubourg, qui accueilleront environ 700 semi-retraités dans des condos luxueux situés à cinq minutes à pied.(…)

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Je me rappelle pas la dernière fois où j’ai mis les pieds dans ce centre commercial, mais je suis persuadé qu’une cure de jeunesse devait être nécessaire. La salle de cinéma devait être fermé depuis un bout et la transformation en centre d’escalade pourra attirer une clientèle plus jeune. Ce mariage me fait penser à la même stratégie qu’aux Galeries de la Capitale avec son centre de divertissement. Les pas dans ce secteur sont très menus et on attend avec impatience que la course commence…

Rue St-Jean, 2 février 2008 par Stéphane Groleau.

Téméraire? naaa…

Source: Éric Boucher, Québec Hebdo, 1er février 2008.

(…) Après avoir exploité, avec un succès mitigé, l’impact environnemental du projet, la nouvelle coalition nationale semble vouloir seller de nouveaux chevaux de bataille afin de mobiliser la population contre Rabaska. On s’appuie sur les revirements dans les dossiers du Suroît et du Mont-Orford. Les préoccupations touchant la sécurité, la préservation d’un paysage patrimonial significatif et l’approvisionnement énergétique sont au cœur de la nouvelle démarche visant à secouer l’opinion publique. (…)

Selon André Belisle de l’AQLPA, tout l’argumentaire du projet est basé sur une série de demi-vérités et sur le travail de centaines de lobbyistes à la solde des promoteurs. Il affirme que le travail du commissaire du BAPE a été escamoté parce que la prémisse était biaisée. «Au lieu de se demander si nous avons besoin de ce projet, on devrait voir s’il respecte les normes en vigueur. On a besoin de plus de logique et moins de politique», ajoute-t-il. (…)

Si la coalition reste déterminée, rien n’assure que la population embarquera dans cette énième cavale? Selon Marie-Christine Patry, une ex-résidente de Beaumont, dont les résidents étaient des plus rébarbatifs au projet, beaucoup de citoyens de l’endroit ont avalé la pilule depuis et souhaitent passer à autre chose. Selon elle, «plusieurs d’entre eux, commenceraient même à être fatigués des sparages des groupes environnementaux». (…)

La suite. Aussi, Le Soleil vient de publier un important dossier sur le sujet: ces trois articles (Gilbert Lavoie, Martin Pelchat et Isabelle Roy). À consulter aussi, ce billet: Plus grosse manif anti-Rabaska.

Une bonne nouvelle en somme, et merci, Réjean, de nous éclairer un peu sur ce « mystère »! ;-)

Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 2 février 2008.

Parcs Canada devrait annoncer au cours des prochains jours des travaux majeurs dans le parc Cartier-Brébeuf. Le parc a été fermé et clôturé au cours des derniers jours. Le projet consistera à «recréer un habitat écologiquement optimal afin de reproduire le plus fidèlement possible le processus naturel propre à l’embouchure de la rivière Lairet ». Cette rivière a été enterrée et canalisée à la fin des années 1950. Pour la première fois à Québec, les autorités fédérales désirent déterrer une partie de la rivière et renaturaliser l’embouchure de la rivière Lairet qui se jette dans la rivière Saint-Charles. Réjean Lemoine explique.

Le reportage radio (env. 5 min.). À consulter, ce billet: Scène urbaine: qu’est-ce qui se passe, au parc Cartier-Brébeuf?

Cette réaction était absolument prévisible!!

Pour toutes sortes de raisons, plusieurs s’interrogent vraiment sur le choix du site « loin de tout » que certains (moi le premier) qualifieront de « champ de patates » [billet]! Pourtant, un musée des sciences régional est depuis longtemps souhaité. Alors…

Finalement, mon choix bien égoïste? Le secteur D’Estimauville, près de la future Neurocité, du domaine de Maizerets et de la baie de Beauport. Et puis pourquoi pas, en relation directe avec ce musée, je transformerais l’ancienne ferme SMA [billet] en « écomusée agricole », considérant entre autres que beaucoup de jeunes de la ville, surtout ceux des milieux défavorisés, n’ont jamais vu une vache de leur vie!

Source: Marc Saint-Pierre, Le Soleil, 2 février 2008.

C’est un beau projet que celui de la Boîte à science, mais le parc lévisien des Chutes-de-la-Chaudière n’est pas le bon endroit pour l’installer, estime le président du groupe des Amis du parc des Chutes-de-la-Chaudière, Jacques Demers.

«Le parc des Chutes-de-la-Chaudière est un endroit naturel unique. C’est entre autres le seul site en Amérique du Nord qui témoigne d’une occupation continuelle depuis 9000 ans. C’est aussi un espace public qui appartient au public», a indiqué M. Demers à grands traits à l’occasion d’un entretien. (…)

«Trois sites ont d’abord été identifiés pour réaliser le projet, soit ceux de l’Aquarium, du Vieux-Port et du parc des Chutes-de-la-Chaudière. C’est la Ville de Lévis qui a fait les premiers pas», a noté Agathe Fradette, porte-parole de la Boîte. (…)

Il y a une huitaine, à l’occasion de sa visite à la mairesse de Lévis, Danielle Roy-Marinelli, le nouveau maire de Québec, Régis Labeaume, a jugé «intelligent» le choix de la tête des ponts et du parc. Du même souffle, il s’est engagé à verser 150 000 $ dans la cagnotte du projet. (…)

De l’avis des Amis du parc, il y aurait lieu également de regarder dans Desjardins, où le centre pourrait prendre place, selon Jacques Demers, aux côtés du Centre de congrès et du Campus Lévis, voire du côté de l’aquarium, à Québec.

À l’hôtel de ville, le chef de cabinet de la mairesse Danielle Roy-Marinelli, Alain Blanchette, a noté que l’administration municipale est au fait «des préoccupations» qui se font jour. Et que la Boîte à science est consciente des enjeux. (…)

À consulter, ce billet: Centre de sciences à Lévis: Labeaume promet 150 000 $.

Quelque 25 cm au total, hier et cette nuit, incluant un peu de grésil autour de minuit. Toutefois, des bandes de neige résiduelles, ce matin (comme celle illustrée sur la photo ci-bas), pourraient augmenter un peu ce chiffre. À noter aussi que les vents ont frôlé les 80 km/h en rafale, cette nuit.

Bref, une autre bonne tempête comme on les aime! ;-)

À lire, ce bilan (Canoë). À voir aussi, ce billet: Beautés et p’tites… (6).

Source : Anne-Marie Savoie, Média Matin Québec, le 1er février 2008

Dès ce soir et pour les 17 prochains jours, le Carnaval s’empare du Vieux-Québec pour divertir les petits monstres et permettre aux plus grands de retrouver leur cœur d’enfant.

Si les météorologues ont raison, les flocons seront de la fête, ce soir, pour le spectacle d’ouverture de la 54e édition du Carnaval de Québec, à la place D’Youville, avec le groupe Rock Story et ses invités, à 19 h.

Pour découvrir des hommes et des femmes qui manient la scie et domptent la neige avec une étonnante facilité, il faut se rendre sur les Plaines d’Abraham et à la Place de l’Assemblée nationale (Place Loto-Québec), où se tiennent les volets québécois et canadiens de la relève du Concours international de sculpture sur neige. Peut-être y dénicherez-vous quelques trucs pour épater la belle-famille au prochain party de Noël?

Les noms des gagnants seront dévoilés dimanche, à 15 h. (…)

la suite, aussi à consulter cet article qui affirme que Bonhomme a été créé à l’image du héros japonais Goldorak…étant un fan du grand robot, je cherche encore toutefois les points communs…

On apprend en dernière minute que le Carnaval a annulé sa soirée d’ouverture qui sera remise à samedi soir en raison d’une autre tempête qui s’abat sur la région. J’ose croire que ces trois semaines de festivités seront l’occasion pour plusieurs des collaborateurs de faire fonctionner leur appareil photographique surtout que cette année la neige sera au rendez-vous pour les différentes activités. De plus (enfin !! dirons certains dont moi ) tous les autos et camions qui gâchaient les défilés en tractant les chars allégoriques seront invisibles lors de deux défilés traditionnels. Selon les échos recueillis auprès des ateliers du Carnaval, les deux défilés seront d’un tout autre niveau de ce que à quoi on avait été habitué par le passé.

« 10 % de la population qui manifesterait le souhait de le recevoir… ». Vraiment? Permettez-moi d’en douter, même si je suis d’accord avec cette initiative!

Source: Radio-Canada, 1er février 2008.

Le Groupe de simplicité volontaire de la région de Québec (GSVQ) sollicite une subvention pour effectuer un sondage sur le véritable taux d’utilisation des publisacs. Selon ses membres, les résidents de la capitale nationale sont peu nombreux à consulter cet assortiment de feuillets publicitaires, qu’ils reçoivent pourtant toutes les semaines.

« On demande aux gens d’utiliser des sacs de tissu pour faire du magasinage. On les incite à faire du recyclage, du compostage, alors que ça, c’est un gaspillage flagrant », souligne le président du GSVQ, Pascal Grenier. (…)

La suite.

Source: Radio-Canada, 31 janvier 2008.

Québec accorde 15 millions de dollars au monastère des Augustines situé derrière l’Hôtel-Dieu, dans le Vieux-Québec, pour le restaurer et le mettre en valeur. Le projet baptisé « Lieu de mémoire habité » vise à transmettre 370 ans d’histoire. Il prévoit l’aménagement d’un musée, d’un centre d’archives et de 57 unités d’hébergement. Des touristes aussi bien que des aidants naturels qui accompagnent des proches soignés à l’Hôtel-Dieu pourraient séjourner dans ce lieu.

Les Augustines possèdent une collection patrimoniale impressionnante. Elle est composée de 24 000 pièces de grande valeur et de près de 1 km linéaire d’archives et de documents anciens « recelant une mine d’information sur l’évolution de notre société et sur l’oeuvre des Augustines de Québec », a souligné jeudi la ministre de la Culture, Christine St-Pierre.

Les contributions financières d’Ottawa et de la Ville de Québec à ce projet ne sont toutefois pas encore confirmées. Le musée pourrait voir le jour dans trois ans.

Aujourd’hui, Québec compte 28 augustines dont la moyenne d’âge est de 82 ans.

À consulter, ce billet: La sauvegarde de l’héritage des Augustines de Québec est assurée.

Un bon moment de radio, hier matin, incluant un rappel des principales expositions présentées dans la capitale ces dernières années, de même qu’un retour sur la polémique que soulève l’agrandissement futur du Musée des beaux-arts!

Source: Radio-Canada (Christiane Charette), 31 janvier 2008.

Il souligne son 15e anniversaire à la tête du Musée national des beaux-arts du Québec. John Porter se tourne vers le passé pour mieux expliquer le futur de l’institution muséale.

Le reportage radio (env. 18 min.). À consulter aussi, ce billet: Couvent des Dominicains: Une voix s’élève contre la démolition