Le maire Labeaume veut créer de la richesse pour la ville de Québec. Nouvelle phrase qu’on entend sortir de la bouche de’un politicien : habituellement c’est réduire les dépenses, augmenter les taxes et autre phrase toute faite. Labeaume s’y prend différement et avant de se lancer dans des investissements pour Québec, Labeaume veut aller chercher de l’argent, « du cash » pour parler franc. Mais Québec est-elle une ville riche ? On a le pôle technologique, le tourisme, le quartier des nouvelles technologies…Que faire de plus ? Vendre son âme au diable ? Hum..difficile. Y aller de voyages économiques pour attirer des investisseurs étrangers ? Pourtant ses prédécesseurs l’ont déjà fait ? Est-ce que Régis Labeaume a le secret de la « potion magique » ? Donc notre maire au franc-parler reviendra-t-il avec une mallette plein de contrats et de beaux billets vert de la Nouvelle-Angleterre et de la France ? La neuro-cité va t’elle sortir de terre sous sa gouverne ? Devra-t-on démolir les « vendeux » de Chateau Frontenac en céramique parce que Québec cherchera de la place pour installer les nouvelles entreprises ….?
Non, sérieusement, vous, savez-vous créer de la richesse ?
11 mars 2008 Ã 20 h 15
Ça crée de la richesse jusqu’au moment ou…
TPS, TVQ, impôt sur le revenu, taxe foncière, impôt sur les entreprises, taxe sur la masse salariale, etc…
Regarde la, la richesse. Le peux qu’il te reste, tu ne peux même pas en faire ce que tu veux.
Mieux vaut faire un DES BS…
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11 mars 2008 Ã 20 h 41
La notion de richesse est bien relative: même sans voiture et en logement au centre-ville, avec tout le réseau de parcs, de bibliothèques et de ressourceries qu’on a en ville, on passerait pour des millionnaires aux yeux des trois quarts de l’Humanité…
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11 mars 2008 Ã 22 h 11
« La notion de richesse est bien relative: même sans voiture et en logement au centre-ville, avec tout le réseau de parcs, de bibliothèques et de ressourceries qu’on a en ville, on passerait pour des millionnaires aux yeux des trois quarts de l’Humanité… »
Je serais d’accord, si on avait tout ça sans être dans le rouge de plusieurs milliards de $$. Mais compte tenu que notre condition est au dépend de notre crédit… je pense que c’est une bonne idée de miser sur la création de richesse. Tâche difficile cependant…
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12 mars 2008 Ã 07 h 35
J’appréciais le site QU pour sa couverture sur le développement de la ville de Québec.
Depuis quelques temps, je commence cependant à trouver très irritant l’opinion très peu objectives et parfois même sarcastique des collaborateurs du site, surtout sur ceux qui dirigent la ville et qui, d’après moi, tentent d’accélérer son développement.
Lorsque je voudrai des opinions, j’irai lire le courrier du lecteur!
My 2 cents.
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12 mars 2008 Ã 07 h 59
Les dépenses publiques sont un facteur majeur dans le calcul du PIB, au même titre que les dépenses des consommateurs ou les investissements découlant du privé. Lorsque l’État dépense pour des infrastructures, (par exemple un tramway!) les sommes sont injectées dans l’économie et sont un facteur d’enrichissement collectif.
Alors lorsqu’on dit qu’on est dans le rouge, c’est comme dire qu’une hypothèque pour l’achat d’une propriété nous met dans le rouge. De plus, il faut voir le poucentage de la dette sur le PIB. Au Québec, 55%, au Japon 177%.
Le maire Labeaume me semble allergique au secteur public. Que voulez vous, c’est dans le discours ambiant; le public c’est mes taxes, c’est pas efficace et ça engraisse des fonctionnaires grassement payés.
Le privé est beau, est bon et efficace. Il parle généralement anglais et ne s’embarasse pas de fonctionnaires. Idéologies!!!
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12 mars 2008 Ã 08 h 12
Dans la suite du commentaire de Lucas, je ne vois pas moi non plus quel est le problème avec « créer de la richesse ».
« Créer de la richesse » est l’expression appropriée. Ce n’est pas un concept nouveau. C’est tout simplement ce qu’il faut faire pour ne pas devenir un petit patelin régional à le remorque des villes.
Nul besoin de magie pour ce faire. On n’a qu’à penser par exemple aux missions économiques dans différentes villes pour tisser des liens avec des entrepreneurs de l’extérieur. Certains politiciens savent s’entourer de bonnes personnes pour ces missions, d’autres se drapent de rideaux fleuris…
On n’a pas besoin non plus de faire des choses qui n’ont jamais été faites. Parfois, simplement continuer ce qu’on fait déjà peut nous mener à notre but. Mais il faut le faire.
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12 mars 2008 Ã 08 h 21
@Charles : quand on parle de « créer de la richesse », on ne parle pas d’être pour un contre un projet spécifique comme le tramway, ni le débat « public versus privé », ni avec les fonctionnaires… et le rapport avec l’anglais? aucun. À te lire, quelqu’un qui ne réfléchit pas trop pourrait croire que tout cela est lié.
Et quand on sait que bien des gens de Québec sont des vicitimes-judéo-chrétienes-peureuses-et-bornées pour qui l’anglais est une « mauvaise langue », pour qui le « privé » brasse de l’argent « sale », etc. on devine rapidement qu’un commentaire comme le tiens vise à donner une mauvaise image de politiciens à ceux qui n’osent pas réfléchir de leur propre chef.
C’est beau la démagogie…
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12 mars 2008 Ã 08 h 34
Créer de la richesse pour un maire ça veut dire plus de taxes. Pour y arriver ça implique une hausse des valeurs foncières, des condos luxueux et, espérons le, plus de densité (question de rentabiliser les services). Je pense que le maire semble avoir une vision pour Québec, car créer de la richesse ça se fait à long terme. Pour ma part, je préfère quelqu’un qui regarde en avant qu’en arrière (tramway ou pas).
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12 mars 2008 Ã 08 h 51
@ Manu
Je parle du discours ambiant. Je n’ai personnellement rien contre les Anglais, les Espagnols ou les Chinois, tout le contraire. Mais dans une certaine presse, un voyage à Bordeaux=petits fours, discours pompeux, perte de temps, voyages de fonctionnaires. Boston=Économie, efficacité, vraies affaires, investissements. Et c’est dommage, car on a beaucoup à apprendre des Européens. Sans négliger nos voisins et amis américains. Je n’ai jamais parlé de l’anglais comme la langue du méchant. Où as-tu lu ça?
La richesse se crée par le privé, le public, par la confiance des consommateurs dans l’économie, des investissements privés ET publics.
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12 mars 2008 Ã 08 h 58
@ Manu,
Sans rancune, le discours de création de la richesse est très idéologisé, il faut comprendre que c’est un véritable slogan pour les instituts privés à tendance néo-libérale depuis environ 15 ans (IEDeM, Fraser, …). En tant que tel, il n’y a rien de bien vilain à créer de la richesse, mais ce discours soutend une seule manière d’y arriver: diminuer la taille du secteur publique, diminuer certaines mesures de répartition de la richesse (taxes, impôts). Bref, ce discours continue même alors qu’on sort d’une période de 16 ans de croissance de la richesse et d’appauvrissement collectif.
Tout le discours sur la mentalité judéo-chrétienne est souvent une rhétorique pour ridiculiser les gens qui se posent des questions sur les avantages de ces politiques de création de richesse et sur le bien que cela entraîne pour la société. En effet, des études historiques récentes tendent à prouver que les Canadien-Français, même au XIXe siècle au plus fort de la domination cléricale, possédaient un esprit d’entreprise et une bourgeoisie d’affaire. Son échelle étant toutefois bien moindre que celle de la bourgeoisie Anglaise en raison des bouleversements politiques et économiques suivant la conquête et de la position limitative occupée par les ancêtres des Québécois dans l’Empire Britannique (langue, statut de colonial, différence religieuse, accès aux charges publiques). Je vous suggère le livre Banking en Français de Ronald Rudin qui montre comment les Canadiens-Français ont même été impliqués dans le lucratif secteur bancaire au XIX.
Alors prudence! Ceux qui proposent l’investissement privé pour créer de la richesse ont généralement un biais idéologique clair. La démagogie n’est pas toujours du côté où on le croit.
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12 mars 2008 Ã 09 h 23
@Charles : c’est bon… désolé, je me suis un peu emporté.
@xavier : bonnes remarques… mais à propos de la « mentalité judéo-chrétienne », il ne s’agissait pas de l’opposer à la création de la richesse, mais simplement de l’amener comme partie intégrante de notre population pour dire qu’on associe à tort une connotation négatif au « privé » (alors qu’on oublie que le dépanneur du coin, le boucher, etc. constituent tous des compagnies privées) ou à l’anglais (qui s’impose comme langue internationnale des affaires et de la politique, sans égard à nos petites chicances locales anglais-français des derniers siècles). Ainsi, je disais qu’il est facile d’apporter une image négative à n’importe quoi lorsqu’on fait intervenir ces termes qui ont encore, à ce jour, une connotation négative.
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12 mars 2008 Ã 09 h 50
Manu, si je comprends bien, il faut enlever la connotation négative du privé et de l’anglais parce que soit-disant les Québécois sont «judéo-chrétiens». Et si l’expression «judéo-chrétien» avait un sens négatif? Je pense que l’expression est mal choisie.
«Judéo» pour Juif, or, nos amis Juifs n’ont pas de complexes par rapport à l’argent. «Chrétien», qu’en est-il des chrétiens protestants? Les Anglais, en bons protestants, ont été les instigateurs de la révolution industrielle, et de redoutables commerçants. Ont suivi les Allemands, d’autres chrétiens, les Français et les Américains, des bouddhistes notoires…
Peut-être veux-tu parler des catholiques. À la fin, qu’on les laisse tranquilles, ça fait 50 ans que leur influence a considérablement diminué. La plupart des jeunes Québécois n’a jamais mis les pieds à l’église et ont une ignorance crasse des préceptes de la religion.
Alors laissons la religion en dehors de nos complexes collectifs.
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12 mars 2008 Ã 10 h 23
J’aborde dans le même sens que Lucas …. QU était à l’époque un site ou le développement urbain était la source première de ce site. Entre autre les projets en cours et à venir. La section ‘Les projets par catégorie’ n’est même plus à jour et ce depuis longtemps. Le boulevard Laurier fourmille de construction … même pas de suivi. Je suis d’accord sur le manque d’objectivité des collaborateurs. Tant qu’à ca, le forum du site vous serait utile pour émettre vos idées et vos opinions éditorialistes, ajouter au front page un lien contenant le titre de l’article. Le reste du monde irait à leur guise débattre avec vous. Mais n’imposer pas vos idées à tous ceux qui utilisent http://www.quebecurbain.qc.ca pour connaitre l’évolution concret de la région. Une mise à jour SVP de l’activité urbaine ne ferait pas de tord. Sans rancune vous faites quand même du bon boulot.
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12 mars 2008 Ã 11 h 13
Le problème de Labaume est des autres membres de la classe politique est qu’il ne comprennent pas comment la richesse se crée dans un environnement industriel mature comme celui du Québec. En effet, c’est derniers ne font que pousser les même recettes qui fonctionnaient bien dans les années soixante.
Ce qu’il faut aujourd’hui c’est de l’innovation pour faire marcher l’économie. Cela n’est pas possible dans un environnement économique gérer par des peureux qui ne connaissent que l’industrie des matières premières et du tourisme et qui n’arrivent à faire des profits que grà ce aux généreuses subventions fédérales et provinciales! Tout cà en utilisant des méthodes de gestion du XIXième siècle!
À Boston, les firnanciers s’entourent d’ingénieurs, de physiciens et de matématiciens pour repérer les inoovations pourteuses. De plus, les entreprises utilisent des ingénieurs industriel et système pour concevoir et mettre en marché leur produit. C’est deux programmes ne sont même pas offerts à Québec et quasiment pas au Québec. Tant que l’on se ocntentera du dévellopement par binerie ont aura le dévellopement économique que l’on mérite.
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12 mars 2008 Ã 11 h 18
@Charles : je ne parlais pas de religion, mais simplement d’un héritage de mentalités. Je n’ai pas été clair.
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12 mars 2008 Ã 11 h 26
@Yvan : il me semble qu’on parle plus souvent de recherche, d’économie « du savoir » ou de haute-technologie, que d’industries des secteurs primaires et secondaires. Alors on verra bien…
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12 mars 2008 Ã 11 h 29
De l’eau au moulin :
http://quebechebdo.com/article-i190644-Miser-sur-les-forces-de-Quebec.html
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12 mars 2008 Ã 12 h 04
@Manu: il me semble qu’on parle plus souvent de recherche, d’économie “du savoir� ou de haute-technologie, que d’industries des secteurs primaires et secondaires. Alors on verra bien…
Il y a une différence entre le discours et la réalité. La réalité est que si tu veux avoir de l’argent pour dévelloper une idée, il ne faut pas que ton idée soit très innovante. Il faut que ton idée soit dans le patron établi. Si tu proposes quelques chose dans un des deux ou trois crénaux de l’optique à Québec (fibre optique, vision), dans le domaine du jeux video et certaines biotechnologie cà va passer. Si tu sort de ce groupe oublies cà .
Il y a quelques années, il y avait un groupe de physiciens qui dévellopait une sorte de pace-maker pour le cerveau des épileptiques. Cela fonctionnait pas si mal mais cela demandait plus d’étude. Or, leur projet n’entrait pas dans les cases prévues à cet effet. Faute d’argent, le projet a été abandonné et maintenant c’est une compagnie américaine qui va vendre le truc.
Ce genre d’histoire, il y en a des dizaines. Qu’on le veuille ou non, on a pas de culture de l’innovation. D’une compagnie à l’autre, ce sont des diplomés du même domaine et bien souvent du même lab qui se retrouvent ensemble. Il n’y a que très peu de mélange d’idées et de transfert d’expertise. Le fait que quasiment tout les diplomés viennent de Laval n’aide en rien. Le même mode de pensée n’est pas étranger à la difficulté qu’ont les immigrants à s’intégrer.
Tant que l’on sortira pas d’un modèle d’entreprise fordien, il ne faut pas espérer de miracles.
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12 mars 2008 Ã 16 h 36
« QU était à l’époque un site ou le développement urbain était la source première de ce site. Entre autre les projets en cours et à venir. La section ‘Les projets par catégorie’ n’est même plus à jour et ce depuis longtemps. Le boulevard Laurier fourmille de construction … même pas de suivi. Je suis d’accord sur le manque d’objectivité des collaborateurs. Tant qu’à ca, le forum du site vous serait utile pour émettre vos idées et vos opinions éditorialistes, ajouter au front page un lien contenant le titre de l’article. »
Pierre: on le dit et le répête encore une fois, ON CHERCHE DES COLLABORATEURS! Pour ma part, j’ai mes jobs, et je cherche a me limiter aux quartiers centraux. Et oui, il m’arrive d’exprimer mon côté « engagé »…
La morale de cette histoire? Engagez-vous, ou à tout le moins, prenez des photos des chantiers en cours, commentez-les, et il nous fera plaisir de vous citer! ;-)
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12 mars 2008 Ã 16 h 58
En attendant qu’un commenditaire veuille payer 30000$ par année pour profiter de la visibilité de 100000 visiteurs par mois, dont 35000 unique, il nous sera impossible de d’avoir un employé qui fera une couverture complète et à temps plein. D’ici là , il faut effectivement profité du travail bénévole de ceux qui veule bien le faire.
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12 mars 2008 Ã 22 h 29
@Yvan : pour la recherche à Québec, je sais pas mal bien de quoi tu parles. Mais je me demande bien ce que la ville peut vraiment faire. Un grand nombre de projets de recherche « vont bien », et 99% de ceux-ci « demandent plus d’études ». C’est toujours comme ça et ça n’indique pas qu’un projet est plus prometteur qu’un autre selon moi.
D’une part, entre de nombreux projets qui vont bien, il est difficile de choisir les quelques-uns qui méritent plus d’investissements. Que ce soit un processus de révision par des pairs, ayant chacun malgré eux un biais vers leurs spécialités respectives, ou par une évaluation bureaucratique, ça reste presque toujour un coup de dé. D’autre part, même dans le cas un prototype fonctionnel et commercialisable (donc déjà loin de la recherche fondamentale qui peut rapporter gros quand on brasse les bons dés), rien ne guarantit le succès du projet s’il s’agit de quelque chose de tellement nouveau que toute étude de marché est purement hypothétique (ou qu’elle implique trop de facteurs externes).
Bref, c’est du « capital de risque » dont on parle ici. Du côté de la ville, je doute que ce soit dans son « mandat ». Les gouvernements provinciaux et fédéraux brassent tout juste assez d’argent pour se permettre de s’y mouiller (et je serais curieux de comparer le budget la seule ville de Boston avec celui du Gouvernement du Québec). Et encore là , on connaît des échecs lamentables comme Innovatech, avec les nombreuses compagnies qui ont dû fermer par manque soudain de coopération de la part d’Innovatech ou par divers changements de direction ou d’orientation de l’organisme.
Et à ce sujet, je vais peut-être mettre de côté mon optimisme, puisque Francine Laurent est l’adjointe au développement économique au cabinet du maire. Francine Laurent était (ou est encore?) PDG d’Innovatech… Ne reste plus qu’à espérer qu’Innovatech a changé depuis les 10 dernières années (au moins elle ne semble plus avoir dans les pattes un ancien directeur à l’investissement, M. Marc Boisjoli, car son nom n’apparaît plus nulle part…).
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13 mars 2008 Ã 20 h 45
@Manu: Ta vision est correct: le maine ne peut pas y faire grand chose!
Il y a quelques entreprise qui ont vraiment compris comment cà marche la R&D. Un des meilleurs exemples c’est Tecknion, Roy et Breton, une entreprise de membre TRÈS innovante. C’est quoi leur truc: il sont tout le temps entrain d’essayer d’innover.
C’est un approche pro-active, par réactive. Si tu réagit en R&D, tu meures rapidement. Exfo est de cette culture en partie. Pour ce qui est des autres entreprises de haute technologie de la région c’est moins évident. Les entreprises de jeux vidéo peut-être, c’est pas un milieu que je connais bien. Si tu veux innover avec succès, il faut que tu le fasse sur une base régulière pas une fois au dix ans quand ton produit ne se vend plus et pas juste des « customs » pour des clients individuels.
Ceci dit, il y a quelques entreprises qui commencent à penser comme cà , mais malheureusement pas encore assez pour changer l’esprit du coin.
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10 mai 2008 Ã 17 h 06
fzuhlmp
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14 mai 2008 Ã 00 h 46
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30 mai 2008 Ã 08 h 36
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11 juin 2008 Ã 22 h 35
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12 juin 2008 Ã 01 h 04
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12 juin 2008 Ã 02 h 36
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12 juin 2008 Ã 06 h 08
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12 juin 2008 Ã 06 h 54
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13 juin 2008 Ã 04 h 42
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13 juin 2008 Ã 04 h 46
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