Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Banc de neige record chez les Gaulois

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 12 mars 2008 27 commentaires

Pour un complément aux impressionnantes photos de Jean Cazes présentant les bancs de neige historiques de Québec, voici quelques photos captées lundi soir lors de mon passage à L’Ancienne-Lorette où les bancs de neige sont plutôt impressionnants.

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Ça me rappelle un souvenir de jeunesse, certains de mes voisins avaient l’étrange manie de pelleter leur banc de neige au printemps, pour être les premiers de la rue à retrouver leur « précieux » (gazon). Ouf, le printemps 2008 s’annonce difficile pour certains ;)

Voir aussi : Scènes urbaines.


27 commentaires

  1. Martin Paré

    12 mars 2008 à 10 h 50

    C’est complètement fou.

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  2. Francois

    12 mars 2008 à 11 h 28

    Faire disparaître son banc de neige à la petite pelle, voilà qu’il y a des personnes qui n’ont rien à faire dans la vie. Mais j’ai vu pire : il y a plusieurs années, un gros bonhomme, boyau d’arrosage à la main, arrosait allègrement son banc de neige pour qu’il fonde. C’est lorsque je lui fais remarquer la stupidité de son son geste… Vous auriez dû voir la grosse bête s’agiter, parce que moi, je ne mêlais pas de mes affaires qu’il gueulait. Justement, que je lui ai fait remarquer : le gaspillage, ça fait partie de mes affaires.

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  3. Charles

    12 mars 2008 à 11 h 51

    @ François

    Tu aurais pu lui offrir de venir l’aider avec un séchoir à cheveux, il aurait compris que tu étais sincère pour régler son problème de banc de neige.

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  4. Sebastien Gauthier

    12 mars 2008 à 13 h 04

    Wow arroser son banc de neige pour qu’il fonde….ca se passe de commentaires.

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  5. Gwido

    12 mars 2008 à 14 h 30

    Pelleter son banc de neige au printemps c’est un excellent excercice cardio, musculaire, et en plus ça permet de profiter des doux rayons printaniers tout en prenant le bon air, en jasant avec ses voisins de banlieue… Et ça fait du bien au moral de voir disparaître les bancs de neige :-)

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  6. Carol

    12 mars 2008 à 16 h 20

    voir aussi sur Lévis urbain pour des photos de la rive-sud
    http://www.levisurbain.ca/

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  7. Carol

    12 mars 2008 à 16 h 21

    « Ça me rappelle un souvenir de jeunesse, certains de mes voisins avaient l’étrange manie de pelleter leur banc de neige au printemps »

    C’est drôle comment ce qui est différent de notre perception, on le considère comme étrange !

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  8. Pierre Bédard

    12 mars 2008 à 21 h 04

    Très bonnes photos claires et nettes, avec la bonne balance des blancs.
    Merci.

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  9. Paul Bienvenue

    13 mars 2008 à 08 h 17

    Heu… à ce que je sache, le pelletage de bancs de neige au printemps est plus populaire que jamais Avant je ne le faisait pas, et mon gazon était en retard de plusieurs semaines sur les autres de la rue…

    Pour ce qui est du « gaspillage » de l’eau: si votre ville a une prise d’eau au fleuve, comme le secteur de Sainte-Foy par exemple, la quantité d’eau prélevée par ladite prise d’eau est infinitésimale comparée aux milliards de litres d’eau douce qui passent devant Québec chaque jour pour aller ensuite se jeter dans de l’eau salée. Il n’y a pas de gaspillage d’eau possible dans un tel cas. C’est un mythe entretenu par les éco-terrorisateurs (pour ne pas dire terroristes).

    Si l’eau vient d’un puit, c’est différent par contre et là, oui il faut être économe. Dans plusieurs autres régions du monde aussi. Mais à Québec, gaspiller de l’eau? Laissez moi rire.

    Pour ce qui est des lacs comme le lac St-Charles, il faut être prudent en cas de sécheresse. Mais pour le reste du temps, il ne faut pas exagérer. Le cycle de l’eau (tel qu’appris en première année du primaire) renouvelle sans cesse l’eau du lac.

    Trouvez-vous vraiment qu’il ne tombe pas assez d’eau du ciel, surtout cette année?

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  10. Francois

    13 mars 2008 à 11 h 22

    C’est vous qui me faites rire mon cher Bienvenue ! Justifier le gaspillage — oui, parlons de gaspillage — du fait que les canalisations fuient et qu’on y perde des millions de litres d’eau est en soi risible ; ça s’appelle être malhonnête. On pourrait parler aussi de sophisme : une fausse justification.

    Ensuite, vous semblez oublier qu’arrose son banc de neige avec de l’eau, de l’eau potable, et qu’on dépense autant de millions en dollars en filtration et autre procédés qu’on gaspille des millions de litres d’eau. Mais jusqu’à ce jour, c’est la collectivité qui paie pour ce service, même si vous disposez d’un compteur d’eau qu’on facture à un prix risible, la personne qui arrose son banc de neige est une idiote, un abruti. Puit ou pas, c’est aussi stupide.

    Pour ce qui est du pelletage, comme bon vous semble si vous n’avez rien d’autre de plus intéressant à faire, surtout si le fait que le gazon des voisins soit plus vert que le vôtre vous stress…

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  11. Paul Bienvenue

    13 mars 2008 à 12 h 39

    Mais où ai-je donc parlé des canalisations? (C’est en effet ça aussi un problème. On dit même qu’à Montréal c’est 50% de l’eau potable (traitée) qui est ainsi perdue en raison du réseau d’aqueduc désuet.)

    Ce que je dis, c’est qu’il ne manque pas d’eau à Québec, surtout si la source de l’eau est le fleuve. L’eau que l’on prélève est littéralement une goutte d’eau dans l’océan. Avoir peur de manquer d’eau à Québec, c’est comme avoir peur de manquer d’air à force de respirer.

    Quant à votre autre argument, relativement au coût du traitement de l’eau: bien sur, si tout le monde gaspille, ça va finir par couter plus cher, mais c’est un argument économique uniquement. Pas écologique. Et en fait, je serait curieux de voir les variations de coût des usines de traitement d’eau en fonction du débit.

    Je ne fais pas l’apologie de l’arrosage de banc de neige là. C’est en effet plutôt idiot. Tout ce que je dis c’est que le soit disant gaspillage de l’eau est loin d’être un problème important à Québec.

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  12. Lyon-Urbain.com

    14 mars 2008 à 03 h 25

    Impréssionnant

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  13. Stéphane Groleau Utilisateur de Québec Urbain

    16 mars 2008 à 12 h 27

    Je ne croyais pas révéler un débat avec mon commentaire sur les voisins «pelleteux» de banc de neige. Après les séparatistes et les fédéralistes, les partisans du publique ou du privé, nous avons maintenant ceux qui sont pour le pelletage de banc de neige et ceux qui sont contre : P Dommage que ce blogue n’offre pas l’option de sondage, ça aurait été amusant de voir les résultats.

    C’est certain que de pelleter sont banc de neige un dimanche après midi au soleil permet de prendre l’air et de faire un peu d’exercice. Mais ce principe ne tient plus lorsqu’on parle de déneigement à grands coups de souffleuse ou pire, de boyau d’arrosage. Je continue de trouver cette situation amusante… hummm, ça ferait de belles photos :)

    Finalement, c’était peut-être nous qui étions étranges.

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  14. Lisette

    16 mars 2008 à 13 h 51

    Bien moi, l’économie d’eau qu’elle provienne d’un puits, du fleuve, d’une rivière ou de l’eau embouteillée, cela me tient à coeur et ce depuis ma tendre enfance. Enfant, dans les années 60, j’étais déjà conscientisée à cette problématique et lorsque je voyais ma mère « gaspiller » un litre d’eau pour rincer la vaisselle, le coeur me faisait 3 tours.

    J’ai avisé mon homme de journée qui m’aide chez moi à l’entretient ménager lorsque je l’ai vu laisser l’eau (chaude en plus) couler à plein régime pour rincer des assiettes afin de les placer dans le lave-vaisselle que d’en utiliser autant était inutile et me déplaisait. Je ne laisse même pas l’eau couler lorsque je me lave les dents, c’est tout dire. Je vois d’ici, déjà, certains dire « Oui, mais ton lave-vaisselle, ça gaspille de l’eau cela » Mon lave-vaisselle est neuf, muni d’un économiseur d’eau et d’énergie, très économique contrairement à la croyance populaire.

    Les gens croient à tort que nos richesses naturelles sont inépuisables ; soit de notre vivant, mais en agissant sans ménagement comme bon nombre le font, un jour, s’installera une problématique sérieuse pour les générations à venir.

    Pour de ce qui est du pelletage du banc de neige sur notre terrain, en 1984, lorsque j’avais ma maison de ville à Neufchâtel, j’ai fais enlever un grosse couche de neige noire projetée de la rue par la gratte croyant que cela me débarrasserait plus vite au printemps. Ça donné comme résultat que le gazon était le plus laid de la rue, étant moins protégé du froid par la neige. Mon voisin qui avait un banc de neige supérieur au mien et qui a laissé la nature faire, avait perdu sa neige avant moi… Ça n’avait pas donné grand chose finalement.

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  15. Paul Bienvenue

    17 mars 2008 à 07 h 14

    @Lisette

    C’est fascinant de constater comment au Québec les gens peuvent faire et répéter quelque chose comme un catéchisme, sans vraiment réfléchir pourquoi ils le font et sans jamais vérifier si c’est nécessaire. Probablement un héritage du catholicisme.

    « Bien moi, l’économie d’eau (…), cela me tient à coeur et ce depuis ma tendre enfance. »

    Mais pourquoi?

    « Enfant, dans les années 60, j’étais déjà conscientisée à cette problématique (…) »

    Quelle problématique? Il ne manque pas du tout d’eau à Québec.

    « Les gens croient à tort que nos richesses naturelles sont inépuisables. »

    Et bien dans le cas de l’eau du fleuve, figurez-vous donc que c’est le cas! Même si tous les habitants de Sainte-Foy faisaient tous couler leur robinets en même temps, ça ne changerait absolument rien à la quantité d’eau qui coule dans le fleuve, et ça ne changerait rien à la quantité d’eau disponible pour les générations futures.

    Pour comprendre, imaginez que vous allez cueillir un verre d’eau au pied de la chute Montmorency. Est-ce que ceci affecte la quantité d’eau qui coule de la chute, et aussi sur la quantité d’eau qui coulera de la chute dans 10 ou 100 ans? Non.

    Imaginez tous nos immenses banc de neige qui vont fondre, sans que cette eau soit récupérée! Regardez le dépot à neige le long d’Henri 4, et Imaginez la quantité de brossages de dents que nous pourrions faire avec toute cette eau. Mais pourquoi la ville ne fait-elle rien pour récupérer toute cette eau? Quel scandale! Quel gaspillage!!! Et bien non. C’est inutile, tout simplement, parce que de l’eau, il y en a trop de toute façon. (En plus, selon les écolos extrèmes, avec le réchauffement de la planète, l’eau va monter encore plus. La Floride, Londres et New-York vont disparaître sous l’eau, vous verrez.)

    Pour ce qui est de faire attention à l’eau chaude, c’est une question d’économie d’électricité. Au Québec, lorsque nous dépensons de l’électricité, nous générons des revenus pour l’État, qui le redistribue, notamment en programmes sociaux. C’est un mécanisme de redistribution de la richesse. Les écolos, en martelant le clou de l’économie d’électricité, frappent en réalité sur les plus pauvres de notre société. Fascinant, n’est-ce pas?

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  16. Lisette

    18 mars 2008 à 13 h 01

    « C’est fascinant de constater comment au Québec les gens peuvent faire et répéter quelque chose comme un catéchisme, sans vraiment réfléchir pourquoi ils le font et sans jamais vérifier si c’est nécessaire. Probablement un héritage du catholicisme ».

    C’est ce que j’appelle disjoncter ; c’est totalement déroutant considérant que l’on parlait de ménager l’eau potable !!! Je ne puis croire que je lis, en 2008, de telles inerties. C’est à ni plus rien comprendre mais enfin.

    Allez-y gaiement, arrosez votre entrée de voiture asphaltée à outrance, vous manquerez jamais d’eau d’abord !!! Non mais…

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  17. Paul Bienvenue

    18 mars 2008 à 15 h 34

    « C’est à ni plus rien comprendre mais enfin. »

    Puisque vous ne comprenez toujours pas, pensez à ce qui arrive lorsque l’on « gaspille » de l’eau, comme vous dites:

    Supposons que vous vous brossez les dents. L’eau qui arrive dans votre robinet viens du fleuve. Elle coule dans le fonds de l’évier et retourne dans l’égout, et éventuellement, elle retourne dans le fleuve.

    Si elle n’avait pas été pompée, elle serait restée dans le fleuve.

    ÇA NE CHANGE ABSOLUMENT RIEN.

    Comprenez-vous?

    Il n’y a aucune ineptie la dedans.

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  18. André

    19 mars 2008 à 19 h 59

    Bel exemple de gaspillage, pourquoi puiser dans le fleuve 250 millions de litres d’eau à chaque année. Ne pourrait-on pas rediriger l’eau des bassins dans le réservoir à la fin de la saison?

    http://www.cyberpresse.ca/article/20080319/CPSOLEIL/80319180/5019/CPSOLEIL

    Ian Bussières

    Le Soleil

    Québec

    La fondeuse à neige géothermique de Cap-Rouge, un équipement unique au monde qui célébrait son 10e anniversaire cet automne, recommence à susciter de l’intérêt ailleurs au Québec à cause de l’hiver particulièrement neigeux qui s’apprête à prendre fin.

    Un porte-parole de la Ville de Montréal confiait cette semaine au quotidien Le Devoir que la métropole examinait la possibilité de se doter d’un tel équipement.

    Depuis la mise en place de la fondeuse en 1997, des représentants de plusieurs villes du Québec, des États-Unis et même du Japon ont visité ses installations, mais aucune n’a jusqu’à maintenant adopté la technologie élaborée par des chercheurs de l’Université Laval, la firme Consultants Laforte de Saint-Augustin-de-Desmaures et l’ex-directeur des travaux publics de Cap-Rouge, Michel Beaupré.

    Rentabilité

    «Il faut que plusieurs éléments soient réunis pour que ce soit rentable. Ça prend une source d’eau brute à proximité, car il est impensable d’utiliser l’eau du réseau d’aqueduc, et une formation géologique de bancs de gravier pour emmagasiner l’eau», explique Jacques Perron, porte-parole de la Ville de Québec.

    L’équipement doit aussi être situé près de dépôts à neige pour éviter des coûts de transport trop élevés et dans un parc industriel en raison du bruit produit par les opérations.

    Les 900 000$ nécessaires pour construire la fondeuse à neige de Cap-Rouge auraient été amortis en moins de huit ans, selon Jacques Perron. «On peut dire qu’elle fait économiser environ 100 000$ par année à la Ville de Québec et le secteur de Cap-Rouge n’a pas besoin d’entreposer sa neige.»

    Fonctionnement simple

    Le fonctionnement de la fondeuse est relativement simple. Environ 250 000 mètres cubes d’eau sont pompés du fleuve Saint-Laurent durant l’été, chauffés à 30°C à l’aide de panneaux solaires et emmagasinés dans le sol.

    Durant l’hiver, l’eau, dont la température n’a diminué que de moitié, est versée dans un immense bassin de béton où la neige est ensuite versée. Avec l’aide de l’eau chaude et d’agitateurs, il faut une heure pour faire fondre 170 mètres cubes de neige, l’équivalent d’une dizaine de camions 10 roues.

    La fondeuse fonctionne durant tout l’hiver et traite normalement environ 60 000 mètres cubes de neige, mais Jacques Perron prévoit que ce total grimpera à plus de 80 000 mètres cubes cette
    Fonctionnement simple

    Le fonctionnement de la fondeuse est relativement simple. Environ 250 000 mètres cubes d’eau sont pompés du fleuve Saint-Laurent durant l’été, chauffés à 30°C à l’aide de panneaux solaires et emmagasinés dans le sol.

    Durant l’hiver, l’eau, dont la température n’a diminué que de moitié, est versée dans un immense bassin de béton où la neige est ensuite versée. Avec l’aide de l’eau chaude et d’agitateurs, il faut une heure pour faire fondre 170 mètres cubes de neige, l’équivalent d’une dizaine de camions 10 roues.

    La fondeuse fonctionne durant tout l’hiver et traite normalement environ 60 000 mètres cubes de neige, mais Jacques Perron prévoit que ce total grimpera à plus de 80 000 mètres cubes cette année.

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  19. Paul Bienvenue

    19 mars 2008 à 21 h 13

    « Bel exemple de gaspillage, pourquoi puiser dans le fleuve 250 millions de litres d’eau à chaque année. Ne pourrait-on pas rediriger l’eau des bassins dans le réservoir à la fin de la saison? »

    Vous m’épuisez.

    On prend de l’eau dans le fleuve et on la remet dans le fleuve (par la rivière). Il est où le gaspillage la-dedans?

    Essayez vous même. Allez sur le bord du fleuve. Prenez un verre vide. Remplissez-le d’eau. Regardez-le bien. Versez -le dans le fleuve. Avez-vous gaspillé cette eau?

    Cibole. Il me semble que c’est pas compliqué.

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  20. André

    20 mars 2008 à 05 h 34

    Je parlais du gaspillage d’énergie. Pourquoi pomper annuellement 250 millions de litres d’eau alors que le volume d’eau de la neige suffirait.

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  21. Marc

    26 mars 2008 à 10 h 54

    Une personne réputé en environnement m’a fait comprendre un jour que quand un veux posser un geste pour l’environnement il faut penser à son affaire avant. C’est ce que M. Paul Bienvenue essaye de vous faire comprendre. La seule et unique raison pour laquelle on nous demande d’économiser l’eau au québec est la suivante. Pour économisé l’argent. C’est très simple. L’eau est puissé du fleuve ensuite traiter (Dépense d’argent). Consommer d’une manière ou d’une autre. Ensuite elle retourne dans les égouts. (Bu->toilet) (Arroser son gazon ou banc de neige dans ce cas ci -> nappe fréatique suivi de riviere et fleuve ou directement l’égout) Bref tout les moyen de consomation finisse un jour ou l’autre dans l’égout. Ensuite l’égout est traiter pour enlever le plus de polluant possible (Dépense d’argent). Retour dans le fleuve. En plus il faut entretenir les réseau d’égout et aqueduc. Dans le passé les égout étais pas traiter dans ce cas le problème qui pouvais ce possé étais plus l’eau était pollué plus elle étais impropre à la consommation. Mais aujourd’hui ce n’est plus le cas.

    Autre exemple les compagnie forestière qui coupe des arbres. Il coupe des arbres mature. Un arbre mature consomme plus de CO2 que d’oxygen. Dans certain cas il replante des arbres. Comme c’est arbre son en pleine croissance il consomme plus d’oxygen que de CO2. Donc au lieux d’aider l’environnement il lui nuise d’une certaine façon et font augmenter les gaz à effet de serre.

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  22. Mike

    27 mars 2008 à 02 h 45

    lol c’est la plus belle dérape que jai jamais vu de toute ma vie :)
    pourquoi ce casser la tete a essayer de se justifier dans un cas pareille
    tout le monde est daccord pour dire que d’arroser son banc de neige c’est plutot idiot :)
    que ce soit écologique ou non!

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  23. Vincent

    15 avril 2008 à 16 h 46

    Pas moyen de faire une recherche sur google en introduisant les termes banc de neige et gazon sans tomber sur des discussions qui n’en finisse pas, j’avoue être en retard de.. quoi 15-20 jours sur le dernier commentaire mais.. tout de même, j’ai lu la quasi-totalité(94.5%) de la discussion et je peux dire, comme Mike, que veux, veux pas, arroser son banc de neige, ca prend pas la tête a papineau pour deviner que c’est pas très très intelligent.

    Ah et, oui, du fait même, je suis l’énergumène qui risque d’avoir reparti le débat en « ouvrant ma trappe »

    Merci bonsoir il est parti!

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  24. Gérald Gobeil

    15 avril 2008 à 17 h 01

    @ Vincent

    Et pour ajouter….d’où viens l’expresssion « La tête à Papineau » et est-ce que ce dernier aurait une statue à Québec ???

    :-)

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  25. Paul Bienvenue

    15 avril 2008 à 21 h 28

    En fait, à force d’y penser, ce n’est pas d’arroser son banc de neige qui est stupide. Ni laver son auto. Ni laver son entrée. Ce qui est stupide, c’est de rendre potable TOUTE l’eau qui sort du robinet.

    Quel pourcentage de l’eau qui sort du robinet doit être effectivement propre à la consommation humaine? Une infime partie. Un peu pour cuisiner et un peu pour se brosser les dents.

    Purifier l’eau au complet. C’est ÇA le vrai gaspillage.

    Si l’eau n’était pas si purifiée à grands couts, nous pourrions l’utiliser en paix et sans se soucier de quoi que ce soit.

    Et pour ceux qui ne font pas la différence au gout entre l’eau du robinet et de l’eau Evian, allez vous achetez du « notre vin maison », car vous n’avez aucun goût…

    (p.s.: aux tartes qui passent devant chez nous et qui font des gros yeux en voyant de l’eau sortir d’une hose et arroser de la neige: l’eau sort de ma piscine, sacrament. Elle déborderait et serait endommagée sinon.)

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  26. Etienne Collignon

    11 septembre 2008 à 22 h 45

    M. Bienvenue vous êtes un ignare. Non seulement contrairement a ce qu’on pourait croire le cycle de l’eau n’est pas parfait (une partit de l’eau sort de l’atmosphere couramment)mais de plus la quantité d’eau potable est infime! Donc aller la contaminer avec les saleté contenue dans la neige (et oui! la neige contient des polluants) et pour finir si on purifit point l’eau on complet on devient MALADE , donc avec vos idée bizzarre et votre manque d’information, aller donc au fleuve boire une bonne gorgée.

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  27. Etienne Collignon

    11 septembre 2008 à 22 h 51

    M. Bienvenue vous êtes un ignare. Non seulement contrairement a ce qu’on pourait croire le cycle de l’eau n’est pas parfait (une partit de l’eau sort de l’atmosphere couramment)mais de plus la quantité d’eau potable est infime! Donc aller la contaminer avec les saleté contenue dans la neige (et oui! la neige contient des polluants)…. et pour finir si on purifit point l’eau au complet on devient MALADE , donc avec vos idée bizzarre et votre manque d’information, aller donc au fleuve boire une bonne gorgée. (voila un version un peu plus logique …. désolée pour les fautes ^^ »)

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