Source: Isabelle Mathieu, Le Soleil, 18 mars 2008.
(…) Les longs couloirs plutôt tristes qui sillonnent le sous-sol du campus n’ont pas la cote, surtout parmi la gent féminine, et ce, depuis plusieurs années.
Un sondage Internet mené à la fin février par le service de sécurité et prévention de l’Université Laval auprès de 2700 personnes montre qu’après 18h, 30 % des sondés ne se sentent pas en sécurité dans les couloirs pour piétons. La proportion grimpe à 42 % chez les femmes. À cette heure, les corridors sont évidemment moins fréquentés, ce qui peut expliquer une part de l’insécurité, convient Serge Demers, directeur adjoint au service de la sécurité. (…)
La suite. À consulter, ce billet: Les fresques et graffitis des tunnels de l’Université Laval (1).
18 mars 2008 à 11 h 23
Pas grand’solution…J’imagine qu’il y a déjà des caméras et des agents de sécurité. Même si on met des agents de sécurité à tous les vingt pieds, il se trouvera toujours au agresseur pour se cacher derrière un poteau, un arbre ou dans une toilette une fois sorti du tunnel sombre.
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18 mars 2008 à 13 h 23
Le tazer gun! Le tazer gun.
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18 mars 2008 à 13 h 36
Peut-être les gens ne savent-ils pas qu’il y déjà autant de caméra dans les tunnels et que chaque bout de tunnel est ainsi couvert?
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20 mars 2008 à 07 h 39
Quel agresseur? Il y a juste des graffiti qui ont plus de 20 ans, un froid rhumatique et une odeur stagnante d’urine.
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20 mars 2008 à 08 h 37
Je pense effectivement que les tunels sont les endroit les plus sécuritaire sur le campus!
Si j’étais un aggresseur ou un voleur, c’est bien le dernier endroit que j’utiliserais comme « terrain de jeu »!
Y-a-t-il d’ailleur un seul crime de répertorié dans les dernières années???
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20 mars 2008 à 12 h 19
La peur, est une maladie de l’être humain…
Personnellement pour avoir travailler déjà sur le campus, les seul agressions ont eu lieux plutôt dans les boisés autours des pavillons…
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20 mars 2008 à 18 h 28
Ça a peut-être changé depuis le temps, mais moi aussi, tout ce dont je me rappelle comme zone « à risque », c’est les zones boisées. D’ailleurs, lorsque j’étais bénévole pour un service de raccompagnement à pied sur le campus (c’était les soirs de semaine, de 19h à 1h), les quelques agressions dont on a entendu parler étaient dans ces endroits.
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