Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Chantauteuil: Disparition ?

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 19 mars 2008 7 commentaires

Vieux-Québec – Faute de pouvoir transformer le local en salle de spectacle, le 1001 rue Saint-Jean est en vente. La Ville de Québec a refusé d’attribuer un permis de boîte à chanson à Richard Delavaux, propriétaire de l’immeuble qui abrite aussi le Chantauteuil. (…)

La suite et ce billet

Source: Le Carrefour de Québec

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Vieux-Québec, Commercial, Qualité et milieu de vie.


7 commentaires

  1. SPB

    19 mars 2008 à 18 h 26

    L’urbanicide se poursuit.

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  2. Claude

    19 mars 2008 à 19 h 12

    (….incidences comme le bruit…)
    Quelle bonne décision, une ville sans bruit, sans odeur, sans mouvement, sans bruit….. Excitant n’est-ce-pas? C’est vrai, on peut toujours aller en périphérie voir des films…. en voiture!
    Et tout se meurt un peu plus à chaque année…. Great City!

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  3. Pierre-E. Paradis

    19 mars 2008 à 22 h 27

    Bah, ça ne veut pas dire que le Chantauteuil va disparaître… mais c’est juste moins intéressant de l’opérer au creux du mois de janvier dans les conditions actuelles.

    D’où le ras-le-bol et la décision de vendre des proprios, je suppose.

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  4. AlainQc

    20 mars 2008 à 19 h 41

    Encore les puristes à l’oeuvre pour faire de Québec une ville encore plus morte qu’avant. Il ne restera bientôt que les boutiques de souvenirs dans le Vieux-Québec. Les nouveaux gourous (qui ont remplacé les curés) nous dictent maintenant LA bonne conduite à suivre en voulant tout éliminer: le bruit, la circulation, la fumée de cigarettes (même dehors), les vapeurs d’essence, les restaurants qui servent des gras trans et du foie gras, les discothèques, les bars, et pourquoi pas les résidents, tiens, car eux aussi font du bruit en claquant du talon sur les trottoirs. Un centre-ville dépouillé de ses attraits de centre-ville est une ville qui se meurt à petit feu. Et dire qu’il y a des gens qui déplorent l’étalement urbain… Québec n’est pas à la veille de se débarrasser de sa réputation de gros village, croyez-moi.
    Le Vieux-Québec devient peu à peu une carte postale où rien ne bouge, rien ne sent, un beau décor quoi ! Mais platte à mourir de honte.

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  5. Max

    21 mars 2008 à 09 h 58

    C’est tellement con. J’habite juste à côté et je peux vous dire que c’est pas mal mort le soir après que les touristes sont entrés au Portofino dégusté un bon repas à 75$ chaque.

    « Trop de bruit », crisse on parle pas d’une rue résidentielle paisible de Cap-Rouge, on parle du centre-ville!!!

    Labeaume veut garder ses jeunes? Ben qui garde ses bars!

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  6. Greg Sadetsky » Blog Archive » Urbanicide

    24 mars 2008 à 16 h 33

    […] lire cet article sur Québec Urbain et la version complète de l’histoire: Vieux-Québec – Faute de pouvoir transformer le […]

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  7. Martin Paré

    24 mars 2008 à 18 h 45

    En effet, le Vieux-Québec meurt à petits feux… Il croule sous la mono-fonction touristique. Si je visitais le Vieux et que j’étais touriste, je me dirais : «Wow! C’est vraiment beau ce quartier. Mais il manque une âme. Tout est trop beau, trop propre. Il manque de  »locals ».»

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