Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Une bonne raison pour ne pas vivre à Limoilou

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 30 mars 2008 45 commentaires

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Usine Daishowa

Voici deux photos prises la semaine dernière de l’usine Daishowa. Limoilou est très souvent envahi par des odeurs plutôt douteuses lorsque les vents sont favorables. Selon nos amis de Garda, une loi fédérale interdit la photographie des installations portuaires au Canada.

Voir aussi : Arrondissement Limoilou.


45 commentaires

  1. Francis Vachon Utilisateur de Québec Urbain

    30 mars 2008 à 14 h 44

    Nos amis de Garda sont des menteurs.

    Nous ne sommes pas au USA, le patriot act ne s’applique pas ici.

    Si tu le vois de la rue, tu as le droit de le photographier.

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  2. Gérald Gobeil

    30 mars 2008 à 14 h 56

    La première photo me donne l’impression d’un décor d’un film de science-fiction. Superbe en passant ! Bravo.

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  3. Max

    30 mars 2008 à 16 h 39

    J’ai hâte que ça fasse faillite ce truc là. Désolé pour les travailleurs, mais avec un taux de chômage à 4,5% on pourrait quasiment se permettre de foutre une des pires horreures de toute la région par terre. C’est visible du centre-ville, du Vieux, et ça rend le Parc de l’Amérique latine à proximité un peu stupide.

    (D’ailleurs, pourquoi la Ville a décidé de mettre autant de beaux monuments, dont plusieurs nouveaux l’été dernier, dans un parc aussi mal placé?)

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  4. Gabriel

    30 mars 2008 à 18 h 04

    Qu’est-ce qui est fait à cette usine?

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  5. Gabriel

    30 mars 2008 à 18 h 05

    J’ai trouvé, du papier…

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  6. jaco

    30 mars 2008 à 18 h 05

    Je soupconne que « la bonne raison » de montrer ces images n,est pas la pollution a Limoilou….
    Mais plutôt pcq ces images sont superbes!

    Quoiqu’il en soit de « la bonne raison », elles sont jolies ces images et on devrait en faire des cartes postales pour apprécier mieux la vie à Limoilou!

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  7. Antoine

    30 mars 2008 à 18 h 12

    Une des pires horreur de toute la région … ???? Si ca ferme, j’espère que les bâtiments de tôles récents seront démolit, et que les éléments en brique et en acier seront conservés et mis en valeur, ca ferait un parc magnifique avec la vue sur la ville. Pas besoin de tout démolir encore ce qui est industriel à Québec, sinon les touristes vont encore penser que la ville à toute été réalisée en 1700… comme ce qu’ils pensent en voyant Place Royale. Il n’y a aucune trace du Québec de 1900 dans tout le vieux port, on a tout mis de côté, raser pour se faire un vieux port basé sur une nostalgie inexistante.

    Il y a de tres bons exemples de mise en valeur de vestiges industriels en Allemagne… Mais bon ici… on va encore tout massacrer…

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  8. Jau

    30 mars 2008 à 18 h 43

    Des emplois a 20 $ de l’heure…j’espère que vous êtes sérieux quand vous espérez que l’usine ferme…l’usine donne aussi de l’emploi au niveau des trains et des bateaux pour le transport et de l’emploi aussi pour les gens qui coupent le bois….

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  9. Fernand Trudel

    30 mars 2008 à 19 h 17

    Puis l’incinérateur municipal qui lui vend sa vapeur, vous l’oubliez ??? Ca parait pas c’est un tuyau au ras du sol… La Ville vient d’investir 50 millions à l’incinérateur pour qu’il pollue encore moins. C’est vrai j’ai oublié, les pélerins d’un monde meilleur :VERT DEMAIN voudrait qu’il disparaisse aussi……

    Économie 101: quand tu ferme une usine, il s’en ouvre deux en Chine sans norme de GES à respecter, fin de la citation.

    60% de la population mondiale est en Chine et aux Indes. Ca pollue ce monde là et ils n’ont pas signé Kyoto et ils coupent les prix …

    Connaissez vous Howard Hughes? Un inventeur mordu d’aviation. Il a fini sa vie dans une bulle aseptisée car il avait la phobie des microbes et des bactéries. Y a certains écolos qui souhaiteraient qu’on vive dans une bulle aseptisée. Pourtant on m’a enseigné. qu’on engraisse pas un cochon à l’eau claire. Autrement dit, quand on aseptise trop, on est plus capable de combattre les virus quand ils se présentent car le corps n’a plus d’anticorps…

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  10. ric

    30 mars 2008 à 19 h 39

    Je croyais que c’etait de la vapeur d’eau (en grande partie) qui sort des cheminees.???

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  11. Carol

    30 mars 2008 à 20 h 50

    « C’est vrai j’ai oublié, les pélerins d’un monde meilleur :VERT DEMAIN voudrait qu’il disparaisse aussi…… »

    Vraiment vous en faite une maladie ! c’Est à croire que vous faites une croisades contres tous ce qui touche l’environnement… et probablement défendre le droit de polluer Est ce que je me trompe ???

    «  »Je croyais que c’etait de la vapeur d’eau (en grande partie) qui sort des cheminees.??? »

    Grosse erreur que bon nombre de gens font avec ce cas…
    d’ailleurs voir ce billet:
    https://www.quebecurbain.qc.ca/2006/08/31/un-des-plus-gros-pollueurs-en-plein-coeur-de-quebec/

    « ….Selon nos amis de Garda, une loi fédérale interdit la photographie des installations portuaires au Canada »

    C’est drôle j’avais eu le même avertissement de la part de gardien d’ultramar me disant que c’est interdit de prendre en photo leurs installation en me demandant une autorisation de la maison mère à MTL. Finalement pour me faire dire… que cela n’était pas nécessaire…

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  12. Carol

    30 mars 2008 à 20 h 53

    En passant belle photo, c’est drôle comment avec la balance des blancs on peut faire deux photo différentes de la même scène…

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  13. Carol

    30 mars 2008 à 21 h 10

    Ah oui j’oubliais M. Fernand toutes les informations et médiatisations côté environnemental et bien entendu « le discours de ces verts » que vous semblez décrier tant, qui sont de plus en plus présent.

    Avez-vous pensé que c’Est peut-être pour réveiller les gens à se responsabiliser face à leur choix ! et leurs impacts dans leurs gestes quotidiens… et a se sortir la tête du sable ?!

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  14. Pierre Bédard

    30 mars 2008 à 21 h 14

    Bravo Stéphane, elles sont superbes tes deux photos, beau travail.

    Pour ce qui est de la pollution de l’usine Daishowa hé bien j’ai un ami qui demeure tout près depuis plusieurs années, je l’ai vu dernièrement, il avait beaucoup changé! :-

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  15. Manu

    31 mars 2008 à 00 h 33

    Semble-t-il que l’usine pollue de diverses manières (principalement dans les eaux de surfaces, c’est d’ailleurs ce que mentionne le rapport en lien dans le commentaire de Carol), mais semble-t-il aussi que ce qui s’échappe des cheminées se résume à de la vapeur d’eau, comme disait ric. C’est d’ailleurs un peu ironique que très souvent, quand on parle de pollution pendant quelques secondes à la télé (dans une annonce d’un reportage à ce sujet par exemple), on nous montre des images de cheminées qui crachent de la vapeur d’eau pour « résumer l’idée de pollution ».

    Reste que les photos sont superbes!

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  16. Stéphane Groleau Utilisateur de Québec Urbain

    31 mars 2008 à 09 h 10

    Oups, j’ai été surpris de voir mon billet publié ce matin, probablement une erreur de manipulation de ma part, j’avais quelques ajustements à faire avant de le mettre en ligne…

    Je ne sais pas ce qui sort réellement de ces cheminées, mais vapeur ou pas, mon propos était plus au sujet des odeurs trop souvent présentent à Limoilou, même si mes photos ont une allure plutôt diabolique.

    Et non je ne crois pas que nous devrions fermer cette usine seulement sur une question d’apparence (pollution ou architecture), sinon nous devrions aussi démolir plusieurs autres horreurs architecturales de Québec.

    @ jaco // je dirais 50 / 50

    @ Carol // le format raw permet ce type d’ajustement. Aussi, tu fais référence à «L’usine Papiers Stadacona» dans le billet mentionné plus haut, je voulais vérifier quel était le bon nom avant de publier ce billet. Je crois que Daishowa est l’ancien nom, je me trompe?

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  17. Carol

    31 mars 2008 à 13 h 08

    « L’usine Papiers Stadacona» dans le billet mentionné plus haut, je voulais vérifier quel était le bon nom avant de publier ce billet. Je crois que Daishowa est l’ancien nom, je me trompe? »

    Daishowa et Reed paper étaient les anciens noms

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  18. Carol

    31 mars 2008 à 13 h 09

    « Pour ce qui est de la pollution de l’usine Daishowa hé bien j’ai un ami qui demeure tout près depuis plusieurs années, je l’ai vu dernièrement, il avait beaucoup changé! :- »

    Je suppose que vous faites référence a l’influence de la pollution sur le corp humain ?!

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  19. André

    31 mars 2008 à 13 h 14

    Le nom de la compagnie est Papiers White Birch connu auparavant comme Brant-Allen Industries, Inc. Ce sont ces derniers qui ont racheté l’usine de ENRON et qui avait donné donné le nom de Papier Stadacona.à l’usine.Enron avait acheté de Daishowa laquelle avait acquis l’Anglo Pulp.

    L’usine est identifié comme étant l’usine Stadacona dans les documents corporatif de Papier White Birch.

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  20. Fernand Trudel

    31 mars 2008 à 17 h 05

    @ Carol je n’ai pas besoin des écolos et leur écoterrorisme pour me conduire en citoyen responsable, je récupère et même que je le fait depuis longtemps, bien avant que les gouvernements s’en mêle car je suis économe, j,aime la nature et je la respecte. Je concois que c’est pas le lot de tous et je ne me gêne pas pour les remettre à leur place..

    Le réchauffement se constate sur les autres planètes du système solaire et ce n’est psûrement pas l’homme qui en est responsable. La nature s’autorégularise elle-même et l’homme serait bien prétentieux d’affirmer le contraire sans qu’elle le remette à sa place. On disait autrefois que la nature reprends ses droits et c’est encore vrai aujourd’hui. Alors acclimatons-nous.

    La seule influence que l’homme peut avoir, c’est d’arrêter la croissance économique et génétique mais Kyoto ne fait que déplacer le problème vers le continent asiatiques où 60% d’humains y habitent au point où c’est cette partir di globe qui est devenue la plus polluée.

    Je note qu’il y a un phénomène climatique. Ce n’est pas le premier sauf que la technologie informatique et les progrès de la science a permis à l’homme de les découvrir et de s’y intéresser. Je cite en exemple le naufrage du Titanic en 1909 qui avait frappé un immense glacier détaché du Groenland. Personne n’a sonné une alarme de réchauffemnt climatique à ce moment. Il en serait autrement aujourd’hui où tout y est accolé, les vérités comme les mensonges..

    Dans les années 70 on attribuait le refroidissement`à la pollution industrielle. Il est intéressant de voir trente ans plus tard que les arguments militent complètement vers le contraire. Voici deux exemples d’articles qu’on lisait dans les journeaux de l’époque.

    « Le refroidissement continuel et rapide de la terre depuis la seconde guerre mondiale est en rapport avec l’augmentation de la pollution de l’air associée à l’industrialisation, à la mécanisation, à l’urbanisation et à l’explosion de la population » (Reid Bryson, « Global Ecology ; Readings towards a Rational Strategy for Man » – 1971).

    « Si la tendance actuelle se poursuit, le monde sera confronté en 1990 à un refroidissement moyen des températures d’environ quatre degrés, et même de onze degrés d’ici l’an 2000… C’est environ le double de ce qui serait nécessaire pour nous plonger dans un nouvel âge glaciaire » (Kenneth E.F. « Watt on Air Pollution and Global Cooling, Earth Day », 1970).

    La difficulté est que tout cela est devenu une croisade plutôt qu’un exercice logique. On accole trop facilement des étiquettes, nous somems à l’époqiue de l’instantanné. Trop de gens ont bien trop peur du « risque » ou tout simplement trop paresseux pour se tourner vers un examen sobre des faits. Les scientifiques découvrent de plus en plus que de nombreux facteurs, dont les variations dans les quantités de chaleur émise par le soleil, peuvent provoquer réchauffement ou refroidissement. Les géologues peuvent identifier plus exactement les différentes époques glaciaires et commencer à comprendre le passé. La science est elle assez évoluée pour sauter aux conclusions aussi vite?

    Moi je penses que non, tout comme les délégués de l’ONU à Nairobi, qui trouvaient que les données n’étaient pas suffisantes pour modifier le protocole de Kyoto et fixer de nouvelles cibles. En tout cas, parler de réchauffement avec l’hiver record que nous avons présentement relève du folklore écologique.

    Je suis conscient que ma position n’est pas la plus à la mode mais elle est rationelle et basée sur des faits et des études scientifiques de plus en plus contradictoires à la vérité qu’on veurt noius inculquer par des films chocs de politicien. Le superficiel et les discours émotifs m’horripilent. Je suis cartésien, froid et calculateur.

    Regardez dans le Soleil d’aujourd’hui l’éditorial de Monsieur Moreau «Faillir à ses responsabilités» et celui de’Érick Morneault «le mauvaise cheval de bataille» pour comprendre que des arguments émotifs ne passent pas la rampe et que tôt ou tard, la vérité nous rattrapera.

    Déjà on prépare l’après Kyoto sans nous dire qu’il fut un fiasco et que nous aurons la facture. Au fait elle sera de combien la facture ? Le coût de Kyoto est évalué à 200 milliards de dollars pour le Canada par plusieurs instituts économiques et nos écolos réclament que l’on suive le protocole religieusement d’ici les 4 ans qui restent. Ca veux dire 50 milliards par année, on sacrifie quoi pour ca ???

    Certains diront que les économistes se trompent souvent et je leur répond que les météorologues aussi. Personne ne peut prédire l’avenir même pas les ordinateurs les plus puissants faisant des scénarios les plus divers. Qui peut prétendre connaître la vérité ? Sûrement pas moi, mais y en a certains qui essayent de nous imposer la leur sur des bases pas toujours fondées…

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  21. Max

    31 mars 2008 à 20 h 31

    « le naufrage du Titanic en 1909  »

    Nuit du 14 au 15 avril 1912, pour être exacte.

    La Presse révélait hier qu’un sondage Léger-Marketing démontre que seulement 9% des Québécois ne croient pas aux changements climatiques. Les changements climiatiques c’est un fait scientifique…. comme l’air que l’on respire ou la gravité. C’est indéniable. À remarquer que je parle de « changements » climatiques et non pas de « réchauffements ».

    La côte indienne a déjà perdu quelques villages sous les eaux. J’invite tout ceux que ça intéresse à consulter http://en.wikipedia.org/wiki/Image:2007_Arctic_Sea_Ice.jpg

    C’est une carte qui démontre le niveau exponentiel et alarmant de la calote glacière en Arctique. La différence entre 2005 et 2007 est choquante.

    Mais bon, retournons à nos moutons: l’urbanisme!

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  22. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    31 mars 2008 à 21 h 16

    « La seule influence que l’homme peut avoir, c’est d’arrêter la croissance économique et génétique mais Kyoto ne fait que déplacer le problème vers le continent asiatiques où 60% d’humains y habitent au point où c’est cette partir di globe qui est devenue la plus polluée. »

    Alors, pendant ce temps, ici, on ne fait rien, « Après moi le déluge » et vive la fuite en avant! L’écoterrorisme: serait-ce le radottage de tout ceux, qui à en croire certains médias (je cherche un lien intéressant) , « pactent » les lignes ouvertes sous la directive du gouvernement canadien?

    Jean Cazes
    Bacc, géographie, cert. sc. environnement, ex-guide naturaliste-interprète et ex-journaliste à la pige pour les magazines Franc Vert et Forêt&Conservation

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  23. Fernand Trudel

    31 mars 2008 à 22 h 10

    Jean Cazes vous êtes dans le champ de patates. Je suis un libertaire et je ne recois aucune rétribution q<de qui que ce soit pour exprimer librement mon point de vue.

    Il y a un débat scientifique sur la question et tout n’est pas aussi clair que le laisse présumer les alarmistes du climat qui vous entraine dans une hystériue collective orchestrée..

    Connaisez-vous le manifeste de heiligenroth. Ils sont 238 scientifiques de toutes disciplines qui ont sigé ce document. Voici le lien et vous pouvez quel en est la teneur et la liste des signataires.

    http://www.klimamanifest-von-heiligenroth.de/klimaman-f.html

    C’est facile d’accuser sans preuve on faisait ca au temps de l’inquisition mais c’est plus difficile de faire l’effort de s’informer auprès de vrais acteurs, les scientifiques.

    Et que penser de la lettre ouverte de centaines de scientifiques au secrétaire général de l’ONU écrite en marge du sommet de Bali.

    Lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies

    Le 13 décembre 2007

    Re : La conférence des Nations Unies sur le climat conduit le monde dans une très mauvaise direction

    Cher Monsieur le Secrétaire général,

    Il n’est pas possible d’arrêter le changement climatique, phénomène naturel qui a affecté l’humanité au fil des ans depuis très longtemps. L’histoire géologique, archéologique, orale et écrite, atteste des défis profonds qu’ont du relever les sociétés du passé lorsqu’elles ont été confrontées à des changements non anticipés de température, de précipitations, de vents, et d’autres paramètres climatiques. Il faut que les pays du monde se donnent les moyens de mieux résister à tout l’éventail des phénomènes naturels en favorisant la croissance économique et la création de richesses.

    Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a divulgué des conclusions toujours plus alarmantes concernant l’influence sur le climat de dioxyde de carbone (CO2) produit par les hommes, un gaz non polluant qui est essentiel pour la photosynthèse végétale. Nous avons observé les données qui ont conduit les experts à considérer les émissions de CO2 comme nocives, et nous disons que les conclusions du GIEC ne peuvent justifier la mise en œuvre de politiques qui réduiront nettement la prospérité future. En particulier, il n’est pas établi qu’il soit possible de changer significativement le climat global en réduisant les émissions humaines de gaz à effet de serre. De surcroît, parce que les tentatives de réduire les émissions ralentiront le développement, l’approche des Nations Unies en matière de réduction du CO2 est à même d’accroître, et non de diminuer la souffrance humaine qui résultera des futurs changements climatiques.

    Les résumés à l’intention des décideurs sont, parmi les textes du GIEC, ceux qui sont les plus lus par les politiciens et les non scientifiques, et ils sont la base de la formulation de la plupart des propositions politiques en matière de changement climatique. Ces résumés, néanmoins, sont rédigés par une équipe relativement restreinte, et leur texte final est approuvé au mot près par les représentants des gouvernements. La majorité des contributeurs du GIEC, et les dizaines de milliers d’autres scientifiques qui ont qualité pour commenter ces sujets, ne sont pas impliqués dans leur rédaction. Et les résumés ne peuvent être considérés, en ces conditions, comme le reflet d’un consensus parmi les experts.

    Contrairement aux impressions données par les derniers résumés :

    -Les observations récentes de phénomènes tels que le retrait des glaciers, la montée du niveau des mers et les migrations d’espèces sensibles aux températures ne signalent pas de changements climatiques anormaux, car aucune des fluctuations constatées ne se situe à l’extérieur des limites de la variabilité naturelle connue.
    -Le taux de réchauffement moyen (0,1 à 0,2 degrés Celsius par décennie) enregistré par les satellites au cours de la dernière partie du vingtième siècle se situe dans les limites du réchauffement et du refroidissement naturels tels que constatés au cours des 10 000 dernières années.
    -Les principales autorités scientifiques, y compris des membres éminents du GIEC, reconnaissent que les modèles informatiques utilisés aujourd’hui ne peuvent permettre de prédire le climat. En dépit des prédictions informatiques de hausses de température, et en conformité avec ce que nous venons d’écrire, il n’y a pas eu de réchauffement global depuis 1998. Que les températures actuelles se stabilisent après une période de réchauffement à la fin du vingtième siècle correspond à la continuation aujourd’hui de cycles climatiques multi décennaux et millénaires.

    En contraste brut avec l’affirmation souvent répétée selon laquelle la science du climat a établi les faits de façon irréfutable, des recherches récentes et très sérieuses ont mis en doute davantage encore que ce n’était le cas l’hypothèse d’un réchauffement climatique global dangereux causé par les hommes (voir http://ipcc-wg1.ucar.edu/wg1/docs/ wg1_timetable_2006-08-14.pdf). Mais parce que les groupes de travail du GIEC ont reçu la consigne de ne prendre en compte que les travaux publiés avant mai 2005, les découvertes importantes issues de ces recherches n’ont pas été prises en compte : le dernier rapport du GIEC est, en ces conditions, d’ores et déjà concrètement périmé.

    La conférence des Nations Unies sur le climat à Bali a été conçue aux fins de conduire le monde vers des restrictions drastiques d’émissions de CO2, sans que soient tirées les leçons de l’échec du protocole de Kyoto, de la nature chaotique du marché européen du CO2, et de l’inefficacité d’autres initiatives coûteuses destinées à diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Les analyses basées sur un calcul avantage/coûts ne viennent pas justifier l’introduction de mesures globales destinées à limiter et à réduire la consommation d’énergie aux fins de réduire les émissions de CO2 . Il est, qui plus est, irrationnel de recourir au « principe de précaution » dès lors que la plupart des scientifiques reconnaissent que le réchauffement, aussi bien que refroidissement, sont des possibilités réalistes dans le moyen terme
    La focalisation actuelle de l’ONU sur le « combat contre le changement climatique », illustrée par le communiqué de lancement du Rapport sur le développement humain par l’ONU le 27 novembre dernier distrait les gouvernements et les conduit à ne pas envisager une adaptation aux menaces des changements climatiques naturels inévitables et divers. Une anticipation nationale et internationale de ces changements est nécessaire, et doit être centrée sur les moyens à même de permettre aux êtres humains les plus vulnérables de s’adapter aux conditions futures. Les tentatives de prévenir le changement climatique global sont essentiellement futiles et constituent un gaspillage de ressources qui seraient mieux dépensées si elles étaient utilisées pour répondre aux problèmes réels et pressants auxquels l’humanité est confrontée.

    Bien sincèrement.

    Don Aitkin, PhD, Professeur, chercheur, ancien Président, Université de Canberra, Australie

    William J.R. Alexander, PhD, Professeur émérite, Département.d’Ingéniérie des biosystèmes, Université de Pretoria, Afrique du Sud; membre du comité scientifique et technique des Nations Unies sur les désastres naturels, 1994-2000.

    Bjarne Andresen, PhD, physicien, Professeur, Niels Bohr Institute, Université de Copenhague, Danemark.

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  24. Fernand Trudel

    31 mars 2008 à 22 h 13

    suite des signataires de la lettre ouverte du 13 dcembre 2007

    Geoff L. Austin, PhD, Professeur, Département de physique, Université d’Auckland, Nouvelle Zélande

    Timothy F. Ball, PhD, consultant en environnement, ancien Professeur de climatologie, Université de Winnipeg, Canada.

    Ernst-Georg Beck, Biologiste, Merian-Schule, Fribourg, Allemagne.

    Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Enseignante au Département de Géographie, Hull University, Rédactrice en chef, Energy & Environment journal, Royaume Uni.

    Chris C. Borel, PhD, scientifique, Etats-Unis.

    Reid A. Bryson, PhD, DSc, DEngr, ancien chercheur au Center for Climatic Research, Professeur émérite de météorologie, de géographie, et d’études environnementales, Université du Wisconsin, Etats-Unis.

    Dan Carruthers, M.Sc., biologiste, consultant, spécialiste de l’écologie animale dans les régions Arctiques et Subarctiques, Alberta, Canada.

    R.M. Carter, PhD, Professeur, Laboratoire de géophysique marine, James Cook University, Townsville, Australie.

    Ian D. Clark, PhD, Professeur d’hydrogéologie et de paléoclimatologie, Département. de sciences de la terre, Université d’Ottawa, Canada.

    Richard S. Courtney, PhD, consultant en sciences du climat et de l’atmosphère, expert au GIEC, Royaume-Uni.

    Willem de Lange, PhD, Département des sciences de la terre et de l’océan, School of Science and Engineering, Université Waikato, Nouvelle Zélande.

    David Deming, PhD (Géophysique), Professeur, College of Arts and Sciences, Université d’Oklahoma, Etats-Unis.

    Freeman J. Dyson, PhD, Professeur émérite de physique, Institute for Advanced Studies, Princeton, New Jersey, Etats-Unis.

    Don J. Easterbrook, PhD, Professeur émérite de géologie, Western Washington University, Etats-Unis.

    Lance Endersbee, Professeur émérite, ancien doyen du Département d’ingéniérie, Monasy University, Australie.

    Hans Erren, géophysicien et spécialiste du climat, Sittard, Pays-Bas.

    Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Département d’ingéniérie mécanique, Ohio State University, Etats-Unis.

    Christopher Essex, PhD, Professeur de mathématiques appliquées, Directeur adjoint du programme de physique théorique, University of Western Ontario, Canada.

    David Evans, PhD, mathématicien, ingénieur en informatique, Directeur de « Science Speak », Australie.

    William Evans, PhD, éditeur, Naturaliste, Département de sciences biologiques, University of Notre Dame, Etats-Unis.

    Stewart Franks, PhD, Professeur, Hydroclimatologue, Université de Newcastle, Australie.

    R. W. Gauldie, PhD, Professeur, Hawai’i Institut de géophysique et de planétologie, Ecole des sciences et technologies de l’océan, Université de Hawai’i à Manoa

    Lee C. Gerhard, PhD, Scientifique émérite, Université du Kansas; ancien Directeur, Kansas Geological Survey, Etats-Unis.

    Gerhard Gerlich, Professeur de physique mathématique et théorique, Institut fur Mathematische Physik der TU Braunschweig, Allemagne.

    Albrecht Glatzle, PhD, Agro-Biologiste et Gerente ejecutivo, INTTAS, Paraguay

    Fred Goldberg, PhD, Professeur, Institut Royal de Technologie et d’Ingéniérie mécanique, Stockholm, Suède.

    Vincent Gray, PhD, expert au GIEC, auteur de The Greenhouse Delusion: A Critique of « Climate Change 2001 »,Wellington, Nouvelle Zélande.

    William M. Gray, Professeur émérite, Département. de sciences de l’atmosphère, Colorado State University, directeur du Tropical Meteorology Project, Etats-Unis.

    Howard Hayden, PhD, Professeur émérite de Physique, University of Connecticut, Etats-Unis.

    Louis Hissink MSc, M.A.I.G., éditeur, AIG News, consultant en géologie, Perth, Australie.

    Craig D. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.

    Sherwood B. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.

    Andrei Illarionov, PhD, Chercheur, Center for Global Liberty and Prosperity; fondateur et Directeur de l’Institute of Economic Analysis, Etats-Unis.

    Zbigniew Jaworowski, PhD, physicien, Président du Conseil scientifique du Laboratoire central de protection radiologique, Varsovie, Pologne.

    Jon Jenkins, PhD, MD, computer modelling -virology, Australie.

    Wibjorn Karlen, PhD, Professeur émérite, Département. de géographie physique et de géologie, Université de Stockholm, Suède.

    Olavi Karner, Ph.D., Chercheur associé, Département de physique atmosphérique, Institut d’astrophysique et de physique de l’atmosphère, Toravere, Estonie

    Joel M. Kauffman, PhD, Professeur émérite de chimie, University of the Sciences, Philadelphie, Etats-Unis.

    David Kear, PhD, géologue, ancien Directeur Général, Department. of Scientific & Industrial Research, Nouvelle Zélande.

    Madhav Khandekar, PhD, ancien chercheur à Environment Canada; Rédacteur en chef, Climate Research (2003-05); membre du bureau de Natural Hazards; expert au GIEC, 2007, Canada.

    William Kininmonth M.Sc., ancien chef de l’Australia National Climate Centre, consultant pour la Commission de climatologie de l’Organisation météorologique mondiale, Australie.

    Jan J.H. Kop, MSc, Professeur émérite d’ingéniérie en santé publique, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    R.W.J. Kouffeld, Professeur émérite, Conversion de l’énergie, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    Salomon Kroonenberg, PhD, Professeur, Département de géotechnologie, Université technique de Delft, Pays-Bas.

    Hans H.J. Labohm, PhD, économiste, ancien conseiller au Clingendael Institute, Pays-Bas.

    Lord Lawson of Blaby, économiste; Président du Central Europe Trust; ancien Chancellor of the Exchequer, Royaume-Uni.

    Douglas Leahey, PhD, météorologue et consultant en qualité de l’air, Calgary, Canada.

    David R. Legates, PhD, Directeur, Center for Climatic Research, University of Delaware, Etats-Unis.

    Marcel Leroux, PhD, Professeur émérite de climatologie, Université de Lyon, ancien directeur du Laboratoire de climatologie et de risques environnementaux au CNRS, France.

    Bryan Leyland, International Climate Science Coalition, consultant et ingénieur en énergie, Auckland, Nouvelle Zélande.

    William Lindqvist, PhD, consultant en géologie, Californie, Etats-Unis.

    Richard S. Lindzen, PhD, Alfred P. Sloan Professor of Meteorology, Département des Sciences de la terre et de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology, Etats-Unis.

    A.J. Tom van Loon, PhD, Professeur de géologie, Université Adam Mickiewicz, Poznan, ancien président de l’European Association of Science Editors, Pologne.

    Anthony R. Lupo, PhD, Professeur de sciences de l’atmosphère, Department. of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, Université du Missouri, Etats-Unis.

    Richard Mackey, PhD, Statisticien, Australie.

    Horst Malberg, PhD, Professeur de météorologie et de climatologie, Institut fur Meteorologie, Berlin, Allemagne.

    John Maunder, PhD, Climatologue, ancien Président de la Commission for Climatology de la World Meteorological Organization (89-97), Nouvelle-Zélande.

    Alister McFarquhar, PhD, économie internationale, Downing College, Cambridge, Royaume-Uni.

    Ross McKitrick, PhD, Professeur, Département d’économie, University of Guelph, Ontario, Canada.

    John McLean, PhD, analyste de données climatologiques, chercheur en informatique, Australie.

    Owen McShane, PhD, économiste, directeur de l’International Climate Science Coalition, Directeur, Centre for Resource Management Studies, Nouvelle Zélande.

    Fred Michel, PhD, Directeur, Institute of Environmental Sciences, Professeur de sciences de la terre, Carleton University, Canada.

    Frank Milne, PhD, Professeur, Département d’économie, Queen’s University, Canada.

    Asmunn Moene, PhD, ancien Directeur du Centre de prévision, Institut de Météorologie, Norvège.

    Alan Moran, PhD, Economiste en énergie, Directeur de la IPA’s Deregulation Unit, Australie.

    Nils-Axel Morner, PhD, Professeur émérite Paléogéophysique et Géodynamique, Université de Stockholm, Suède.

    Lubos Motl, PhD, Physicien, Université Charles, Prague, République tchèque.

    John Nicol, PhD, Professeur émérite de physique, James Cook University, Australie.

    David Nowell, M.Sc., Chercheur à la Royal Meteorological Society, ancien président du Groupe météorologique de l’OTAN, Ottawa, Canada.

    James J. O’Brien, PhD, Professeur émérite, météorologie et océanographie, Florida State University, Etats-Unis.

    Cliff Ollier, PhD, Professeur émérite (Géologie), Research Fellow, University of Western Australia, Australie.

    Garth W. Paltridge, PhD, physique de l’atmosphère, Professeur émérite, ancien Directeur de l’Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Australie.

    R. Timothy Patterson, PhD, Professeur, Département. de Sciences de la terre (paléoclimatologie), Carleton University, Canada.

    Al Pekarek, PhD, Professeur de géologie, Département de sciences de la terre et de l’atmosphère, St. Cloud State University, Minnesota, Etats-Unis.

    Ian Plimer, PhD, Professeur de géologie, School of Earth and Environmental Sciences, Université d’Adelaide, Professeur émérite de Sciences de la terre, Université de Melbourne, Australie.

    Brian Pratt, PhD, Professeur de géologie et de sédimentologie, Université du Saskatchewan, Canada.

    Harry N.A. Priem, PhD, Professeur émérite de géologie planétaire et de géophysique, Université d’Utrecht, ancien Directeur de l’Institut de Géosciences, Pays-Bas.

    Alex Robson, PhD, Economiste, Australian National University, Australie.

    Colonel F.P.M. Rombouts, Responsable de la sûreté et de la qualité de l’environnement, Royal Netherland Air Force, Pays-Bas.

    R.G. Roper, PhD, Professeur émérite de sciences de l’atmosphère, Georgia Institute of Technology, Etats-Unis.

    Arthur Rorsch, PhD, Professeur émérite, Génétique moléculaire, Leiden University, Pays-Bas.

    Rob Scagel, M.Sc., spécialiste des microclimats, consultant, Pacific Phytometric Consultants, Canada.

    Tom V. Segalstad, PhD, (Géologie/Géochimie), directeur du Musée de géologie, Professeur de géologie environnementale, Université d’Oslo, Norvège.

    Gary D. Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, Californie, Etats-Unis.

    S. Fred Singer, PhD, Professeur émérite de sciences de l’environnement, University of Virginia ; ancien directeur du Weather Satellite Service, Etats-Unis.

    L. Graham Smith, PhD, Professeur, Département. of géographie, University of Western Ontario, Canada.

    Roy W. Spencer, PhD, climatologiste, chercheur, Earth System Science Center, University of Alabama, Huntsville, Etats-Unis.

    Peter Stilbs, TeknD, Professeur de chimie physique, Ecole de sciences chimiques, KTH (Institut royal de Technologie), Stockholm, Suède.

    Hendrik Tennekes, PhD, ancien Directeur de recherche, Royal Netherlands Meteorological Institute, Pays-Bas.

    Dick Thoenes, PhD, Professeur émérite d’ingéniérie physique, Eindhoven University of Technology, Pays-Bas

    Brian G Valentine, PhD, PE (Chem.), Technology Manager -Industrial Energy Efficiency, Department of Energy, Washington, DC, Professeur de sciences, University of Maryland at College Park, Etats-Unis.

    Gerrit J. van der Lingen, PhD, géologue et paléoclimatologue, consultant en changement climatique, Geoscience Research and Investigations, Nouvelle-Zélande.

    Len Walker, PhD, Ingénieur en énergie, Australie.

    Edward J. Wegman, PhD, Department of Computational and Data Sciences, George Mason University, Virginie, Etats-Unis.

    Stephan Wilksch, PhD, Professeur de gestion et de technologies de l’innovation, Université de technologie et d’économie, Berlin, Allemagne.

    Boris Winterhalter, PhD, ancien chercheur, Geological Survey of Finland, ancien professeur de géologie marine, Université d’Helsinki, Finlande.

    David E. Wojick, PhD, P.Eng., consultant en énergie, Etats-Unis.

    Virginia Raphael Wust, PhD, chercheuse, Sédimentologie et géologie marine, James Cook University, Australie

    A. Zichichi, PhD, Président de la Fédération mondiale des Scientifiques, Genève, Suisse, Professeur émérite de Physique, Université de Bologne, Italie.

    (Copie transmise aux chefs d’Etat des pays dont les signataires sont citoyens).

    Ca doit être tous des parias et des vendus au gouvernement canadien. Monsieur Cazes votre jupon dépasse…

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  25. Fernand Trudel

    31 mars 2008 à 22 h 17

    En Juin 2005, Yury Izrael, Directeur de l’Institut de l’Ecologie et du Climat du Globe de l’Académie des Sciences Russe et Vice -Président de l’IPCC (GIEC), contredit la position officielle du GIEC (IPCC) qui affirme que la tendance du climat du globe peut être attribuée à des causes résultant de l’activité humaine. A la veille du sommet du G8 de 2005, Yury Izrael a déclaré ceci :
    “One issue on the table at the G8 summit at Gleneagles in early July is global climate change. As I see it, this problem is overshadowed by many fallacies and misconceptions that often form the basis for important political decisions. G8 leaders should pay attention to them. There is no proven link between human activity and global warming.

    Global temperatures increased throughout the 1940s, declined in the 1970s and subsequently began to rise again. Present-day global warming resembles the 1940s, when ships could easily navigate Arctic passages. However, man’s impact was much smaller at that time. A Russian expedition that recently returned from the central Antarctic says that temperatures are now starting to decrease. These sensational findings are one of Mother Nature’s surprises.  »
    En français, voici ce qu’a déclaré le Vice Président du GIEC !
    « Un des objectifs du prochain sommet du G8 à Gleneagles au début du mois de Juillet, est relatif au changement climatique. Tel que je la vois, cette question est obscurcie par des affirmations et des interprétations erronées qui souvent conduisent à des décisions politiques importantes. Les dirigeants du monde, présents au G8 doivent être circonspects. Le lien entre l’activité humaine et le réchauffement global n’est pas prouvé.
    La température du globe a augmenté pendant les années 1940 puis a décliné dans les années 1970 avant de se remettre à augmenter depuis lors. Le réchauffement global actuel ressemble à celui qui s’est produit pendant les années 40 quand les navires pouvaient facilement naviguer à travers l’arctique, alors qu’à cette époque, l’impact de l’activité humaine était bien moins important qu’il ne l’est à présent. Une expédition Russe qui revient d’une étude dans la partie centrale de l’antarctique déclare que les températures ont commencé à s’abaisser. Ces découvertes sensationnelles ne sont rien d’autre qu’une des surprises que nous réserve la « Mère Nature » ».

    Qui parle de consensus alors que le Président et le Vice Président du GIEC ne sont même pas d’accord entre eux ?

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  26. Fernand Trudel

    31 mars 2008 à 22 h 45

    Et puis que penser du consensus de Copenhagen présidé par Bjørn Lomborg, ex activiste de greenpeace.

    Il a écrit des livres dont « The Sceptical Environmentalist »

    http://www.copenhagenconsensus.com/Default.aspx?ID=860

    La science n’a pas une pensée unique comme tente de nous faire croire nos activistes tous regroupés dans la même bâtisse à Québec.

    On ne peut pas fermer la trappe des scientifiques qui ne partagent pas nos idées. Qu’est-ce que c’est ca. Quant on a des convictions ont les confronte bravement. On ne pas toujours se réfugier dans des clichés colportés à tout vent…

    Je ne défend aucune cause mais j’ai horreur de me faire monter un bateau peut importe qui en est le capitaine.

    le site suivant n’h.ésite pas à confronter les idées et à inciter les scientifiques à commenter tous les sujets et études qui y sont publiées. BVous pouvez commenter et contredire car du choc des idées on trouve la vérité.

    C’est pas un film fait par un politicien qui fait des dizaienes d’affirmations non fondées comme vient de le confirmer un jugement de la cour britannique où le film d’Al Gore a été jugé.

    Les scientifiques ont défié Al Gore qui vient d’être ridiculisé à New York lors d »un rassemblement organisé par l’Institut Heartland, une organisation libertaire à but non lucratif qui étudie les questions environnementales et autres et pense que les «droits de la propriété et les marchés font un meilleur travail que les bureaucraties du gouvernement».

    Ainsi, lors de cette réunion, les participants ont été invités à regarder un film intitulé «Un climat de peur» réalisé par un commentateur de la télévision, le conservateur Glenn Beck. «La version d’Al Gore du changement climatique n’est plus une science. C’est un dogme. Et si vous le remettez en question, alors vous êtes un hérétique», estime M. Beck dans le film.

    À la suite du visionnement de ce film, le groupe de scientifiques a mis au défi ceux qui croient au changement climatique. Parmi eux, l’on retrouve l’Académie nationale des sciences des États-Unis, la Société météorologique américaine, l’Union de géophysique américaine, l’Association américaine pour l’avancement des sciences et enfin, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat des Nations Unies (GIEC).

    «Notre compréhension imparfaite des causes et des conséquences du changement climatique signifie que la science est loin d’être établie. Les efforts proposés pour limiter le changement climatique en réduisant les émissions de gaz à effet de serre sont prématurés et erronés. Toute tentative visant à influencer les températures mondiales en réduisant de telles émissions serait futile et chère», a conclu à Actualités News Environnement Fred Singer, du Projet de science et de politique environnementale.

    «Que nous l’apprécions ou pas, c’était une propagande extrêmement efficace. Il était approprié qu’il reçoive un Oscar de la part du pays des crédules», a lancé Timothy Ball, doctorat en climatologie et ancien professeur de climatologie à l’Université de Winnipeg.

    En voulez vous d’autres, j’en ai en masse des arguments et ils sont scientifiquement fondés…

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  27. Matrix

    1er avril 2008 à 07 h 48

    Tant qu’à être dans ce sujet, je fais parti des gens qui restent septique. Mais nous somme rendu à une période qui va a l’encontre même de la science : on ne donne plus le droit au doute. Il faut croire au réchauffement, il n’y a plus de doute possible sinon on est dénoncé. Moi je n’embarque pas la dedans et c’est le cas pour beaucoup de gens, le hic c’est que les médias ne font que la propagande.

    Il y a plusieurs nouvelles qui sortent occasionnellement qui vont à l’encontre des théories du réchauffement. Mais elles ne sont jamais repris par les médias.

    Je vous invite à consulter cet article :
    « La vérité qui dérange Al Gore et le GIEC :
    le registre historique du CO2 expose la fraude du réchauffement global »

    http://www.solidariteetprogres.org/sp_article.php3?id_article=2647

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  28. Max

    1er avril 2008 à 10 h 20

    Ouais mais il ne faut pas oublier les lobbys américains et canadiens de l’industrie pétrolière pour qui Kyoto et toute mesure visant à réduire la dépendance à l’automobile signifie une grande perte économique. Eux aussi en font de la propagande!

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  29. Fernand Trudel

    1er avril 2008 à 17 h 28

    À 3,65$ par tonne de carbone à Chicago c’est une aubaine d’avoir une bourse du carbone car la ^pénalité du plan Baird est fixée à 15$ par tonne.

    Y avexz vous pensé ce qui va arriver? Une ruée vers la bourse qui va faire chuter les prix encore plus, Qui va empocher cet argent ??? Pas le gouvernement et pas les citoyens canadiens. Mais les amis de Gore eux vo<nt s’enplir les poches aux dépends des crédules qui l’ont suivi. Each second, a su<cker is born…

    Et puis, nos usines pourront nous montrer un beau certificat sur le mur comme quoi ils se sont conformés au protocole de Kyoto sans dépolluer et en payant les Gore et compagnie. Voilà l’arnaque de l’an 2100…

    Encore une fois Le Soleil pourra titrer que les écoles ont le mauvais cheval de bataille…

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  30. Carol

    1er avril 2008 à 18 h 44

    « Je suis cartésien, froid et calculateur. »

    Humm !! que dire de plus…

    ???

    « Je suis conscient que ma position n’est pas la plus à la mode mais elle est rationelle et basée sur des faits et des études scientifiques de plus en plus contradictoires à la vérité qu’on veurt noius inculquer par des films chocs de politicien. »

    Hum ! les études scientifiques ne sont pas la panaché et la vérité absolu tel que bon nombres d’humains veuillent bien le croire. Celle-ci peuvent être biaisé quand il y a un intérêt mercantile ou de pouvoir en arrière. Donc pas plus fiable ni crédible ! Et seulement un côté de la médaille…

    Je suis en accord sur une chose avec vous c’Est le montage médiatique concernant le dossier du réchauffement en catastrophe apocalyptique, mais de là à dire que tous va bien et qu’il n’y a point d’impact sur le climat…

    En passant M. Trudel on a un siècle minimum, d’industrialisation en arrière de nous. Cela a sûrement un impact autant sur l’environnement et le climat.

    C’est à savoir dans quelle mesure et surtout le plus important de poser des gestes qui n’amplifieront pas plus le phénomène de pollution quel quel soi la
    forme que cela prendre et de ne point attendre d’être acculer au pied du mur avant d’Agir !

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  31. Fernand Trudel

    1er avril 2008 à 19 h 56

    Noël Mamère est un politicien français membre du Parti Vert. C’est aussi un menteur et un hypocrite:

    http://www.youtube.com/watch?v=dSZtZGjHSms

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  32. Fernand Trudel

    1er avril 2008 à 20 h 00

    Quelle est la dernière victime de l’intégrisme écologique ? Nul autre que Jean Lemire !

    La production de viande étant une source de gaz à effet de serre, Anne-Marie Roy accuse le biologiste d’avoir consommé trop de steak lors de son périple en Antarctique. Je cite la grande prêtresse de l’environnement:

    « Je crois que lorsqu’on est un modèle comme vous, un écologiste, on se doit de donner l’exemple. Dans votre film Le Dernier Continent, j’aurais beaucoup apprécié vous voir manger, sur votre voilier, des grains, des noix ou des légumineuses plutôt que du jambon et des grillades au barbecue ».

    Quand on sera tous devenus végétariens, les écologistes vont probablement nous demander d’arrêter de manger des plantes puisqu’elles sont des puits de carbone…

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  33. Fernand Trudel

    1er avril 2008 à 20 h 20

    @ carol et ses semblables voici un article d’une ancien ministre péquiste de venu journaliste chroniqueur au Le Quotidien au Saguenay, voici ce qu’il dit des kyotistes et leur dérapade incontrôlé.

    Harper a raison à cent pour cent
    Jacques Brassard (Le Quoptidien, Actualités, mercredi, 19 décembre 2007, p. 11)

    Par les temps qui courent, Stephen Harper fait figure du baudet dans la nouvelle fable contemporaine de la « Terre malade d’un coup de chaleur ». C’est lui, le « pelé, le galeux, d’où vient tout le mal ». Imaginez! Le Premier ministre du Canada a eu l’outrecuidance et la légèreté de dire publiquement que le Protocole de Kyoto était une erreur qu’il ne fallait pas répéter. Comme dans la fable de La Fontaine, « sa peccadille fut jugée un cas pendable » par toutes les espèces de la ménagerie politique et par toute la prêtraille verdoyante d’un océan à l’autre. Et M. Harper ne devait surtout pas se pointer à la grand-messe de Bali, car il aurait été, comme le baudet de la fable, écorché vif par les Kyotiens en furie.

    Quel est donc le crime abominable perpétré par le chef du gouvernement canadien? C’est tout simplement d’avoir osé dire la vérité, comme l’âne dans « Les Animaux malades de la Peste ».

    Les cibles de réduction de gaz à effet de serre, imposées par Kyoto à certains pays signataires, n’ont pas été atteintes, a naïvement déclaré M. Harper, parce qu’aucun de ces États n’a osé stopper la croissance économique. Et si, poursuit le Premier ministre, il doit y avoir de nouvelles contraintes dans un éventuel Kyoto II, elles doivent s’appliquer à tous les pays de la planète, pas uniquement aux pays occidentaux.

    Cadre rationnel

    M. Harper ne fait pourtant que placer dans un cadre rationnel et logique les objectifs, les voies et les moyens de Kyoto.

    Établissons l’hypothèse que les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine provoquent une hausse de température. Notez bien qu’il s’agit d’une hypothèse, d’une théorie dont la preuve est pour le moment scientifiquement inexistante. Au contraire, de plus en plus de travaux et de recherches scientifiques démontrent qu’un gaz (en l’occurrence le CO2), qui ne constitue que 0,035 % de la composition de l’atmosphère, ne détermine pas le climat et n’en est pas le principal moteur.

    Quand on sait que la contribution humaine en CO2 n’est que de 5 % de ce 0,035 %, on reste médusé devant le dérapage carbocentriste d’une partie notable – seulement une partie – de la communauté scientifique.

    Poursuivons dans notre hypothèse voulant que les humains, par leurs activités, causent un réchauffement planétaire. Il convient alors d’affirmer, en toute logique, que tous les pays sans exception doivent être soumis à des contraintes de réduction de gaz à effet de serre. Kyoto I, qui n’obligeait que les pays développés – sauf les États-Unis, qui ont eu la sagesse de ne pas le ratifier – n’a rien donné. Ce fut un échec. Mais, comme dans le célèbre conte ou personne n’ose dire que le roi est sans vêtements, à l’exception d’un petit page qui s’écrie en toute simplicité: « Le roi est nu! », M. Harper scandalise tout le monde en disant: « Kyoto est une erreur ! »

    Pensée magique

    Kyoto est un songe-creux; Kyoto, c’est de la pensée magique!

    Kyoto II n’aura pas plus d’effets si tous les pays émetteurs – et non pas pollueurs comme nous le rabâchent ad nauseam les médias domestiqués – ne sont pas assujettis à des contraintes chiffrés. Tous les croyants du réchauffement anthropique devraient adhérer à cette logique. Au lieu de cela, on lapide le messager.

    M. Harper est même traité par le bloquiste Bernard Bigras (un écolo intégriste) de « criminel environnemental ». Démentiel! Et l’Assemblée nationale, de son côté, fustige avec ferveur le Premier ministre fédéral.

    La palme de la déclaration la plus idiote revient à Stéphane Dion. « Il faut donner l’exemple! » proclame bêtement le chef libéral. Les trois plus grands émetteurs de gaz à effet de serre – pas pollueurs, je le répète, la pollution étant autre chose – que sont les États-Unis, l’Inde et la Chine, refusent, avec raison d’ailleurs, des cibles précises de réduction. Mais, c’est pas grave, le Canada se doit d’être exemplaire, selon le chef libéral, même s’il sait très bien que tous les efforts, tous les sacrifices, tous le milliards dépensés, n’auront qu’un impact indétectable sur le climat.

    La classe politique occidentale est carrément masochiste et tellement endoctrinée par les prêcheurs du réchauffisme, qu’elle en a perdu tout sens critique et toute vision claire des intérêts vitaux des nations qu’elle dirige.

    M. Harper a bien raison: le Protocole de Kyoto est non seulement une erreur politique mais une aberration scientifique. Plus tard, quand l’imposture du réchauffisme aura volé en éclats – et ça viendra! – Stephen Harper sera alors et sans nul doute l’objet de notre gratitude.

    Ah, j’oubliais! Saviez-vous que la planète Mars se réchauffe, elle aussi? Sans aucun effet de serre et sans émission de gaz de la part des Martiens. Les Kyotiens devraient se pencher sur ce mystère!

    ALORS CE QUI EST EN CAUSE C’EST LES $$$ VERSUS LES IDÉOLOGIES GAUCHISTES VERDOYANTES QUI NOUS MÈNENT VERS UN CUL-DE-SAC

    C’est comme Duceppe qui dit que le pétrole appauvrit le Québec. Alors d’où provient la péréquation etr le déséquilibre fiscal??? Vous savez les milliards qui sont tombés du ciel …

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  34. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    1er avril 2008 à 20 h 21

    M. Trudel:

    C’est quoi cette HAINE envers tous ceux et celles qui veulent simplement un peu plus de bonté, de poésie et surtout, d’équité dans notre petit monde?

    Ceci dit vous avez le droit à vos idées, mais de grâce, mettez au moins des liens plutôt que de copier vos immenses citations qui font l’affaire de notre cher premier ministre canadien et des grandes pétrolières!!

    Jean Cazes
    Membre de Québec solidaire et fier de l’être, social-démocrate dans le coeur, résidant de Limoilou, ex-militant dans divers groupes environnementaux et un peu tanné des réactionnaires extrémistes et libertains! ;-)

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  35. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    1er avril 2008 à 20 h 25

    Comme je n’ai pas de temps à perdre, cette citation en dit long:

    « ALORS CE QUI EST EN CAUSE C’EST LES $$$ VERSUS LES IDÉOLOGIES GAUCHISTES VERDOYANTES QUI NOUS MÈNENT VERS UN CUL-DE-SAC »

    Maintenant, revenons au sujet principal…

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  36. Max

    1er avril 2008 à 23 h 47

    Plus j’y pense, plus Trudel à raison. On s’en fou que la calote glacière diminu à vu d’oeil. Juste trois Allemanges en six mois de fondu…. ouin pis?

    Pourquoi ne pas continuer à polluer? J’aime ça moi faire 6 km de char pour acheter une ampoule au Wall Mart qui vient de la Chine.

    J’AI LE DROIT À MON MODE DE VIE!!!

    Venez pas me faire suer avec vos opinion communistes gauchistes de Limoilou ou, pire, Saint-Jean-Bapteux!!! Pour qui vous vous prenez gagne de vauriens! Aille quessé ça peut ben vous faire qu’on aille du smog 1 ou 2 fois par semaine?! Hein! Quoi? Té asthmatique? Ben crève! Darwin l’a déjà dit: ne survit que les plus forts!!

    Vous avez réussi à me convaincre M. Trudel. Maintenant vous pouvez donc vous calmer et me sacrer patience.

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  37. Olivier Amiot

    2 avril 2008 à 06 h 56

    Est-ce que ce sont des avions qui ont crashé sur les tours à NY? Il y a peut-être une conspiration (socialiste) derrière ça!

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  38. Carol

    2 avril 2008 à 15 h 16

    @ Max je ne sais si ton commentaire était ironique ou sincère en tout cas je répondrais comme si cela n’était pas le cas (au risque de me tromper)
    Si le cas échéant, bien ce sera pour juste répondre a cette affirmation sans la relier à un individu quelconques.

    « J’AI LE DROIT À MON MODE DE VIE!!! »

    Oui ! mais comme bon nombre de gens qui veulent perpétuer un mode de vie qui entraine des conséquences à soi ou aux autres. je me demande est
    ce qu’on appelle la « folie des hommes »

    Je me souviens d’un reportage ou on faisait l’état d’une situation d’un village en Chine (ah bien tien quel hasard !) ou les rejets de ces usines qui construisaient des ordinateurs pour nous occidentaux (entre autres) et les impacts autant au niveau environnemental ou de la santé.

    Bien entendu (ironie) cela ne nous regarde pas, car pas dans ma cour et je ne vois pas d’effets sur ma vie…

    Après des gens continus à dire «  »J’AI LE DROIT À MON MODE DE VIE!!! » »

    (soupir)

    Où l’inconscience des gens nous mènera t’-elle. ?

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  39. Erick

    3 avril 2008 à 14 h 06

    Vous voulez que la Daishowa ferme! Vous êtes tombés sur la tête ou quoi? On a beau être écolo il y a quand même des limites. C’est un des gros employeurs de la région de Québec.

    Pour ceux qui se plaignent tout le temps que Québec est une petite ville qui n’arrive pas à se développer, un des gros obstacles à la croissance de Québec est le manque de diversité de son économie. Actuellement presque tout le monde à Québec vie directement ou indirectement du gouvernement provincial, c’est pas ce que j’appelle une économie diversifiée. Les industries lourdes comme celle-ci manquent à Québec, et on a tendance à cracher dessus, au grand bonheur de Trois-Rivières qui les accueillent à bras ouverts. Quel intérêt a t’on à ce que de telles industries aillent s’installer ailleurs, polluer le même air mais faisant travailler les autres…

    Pour ce qui est des citoyens de Limoilou… Cette papeterie était là bien avant eux et sa boucane était très évidente, alors si ca les gênaient, pourquoi sont ils allés se bâtir là. Beaucoup de ceux qui se sont batît à Limoilou et St-Pascal au début du siècle l’ont fait pour être proche de leur emploi… la papeterie.

    Ca me fait penser à ceux qui vont se bâtir à coté d’une cour de triage ou sous les pistes de l’aéroport et qui se plaignent après….

    De plus, je crois plutôt que la qualité de l’air de Limoilou s’est grandement améliorée depuis les dernières décennies. Ca sent peut-être pas toujours les roses mais comparé à ce que c’était il y a 20 ans….

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  40. Carol

    5 avril 2008 à 09 h 36

    « …un des gros obstacles à la croissance de Québec est le manque de diversité de son économie. Actuellement presque tout le monde à Québec vie directement ou indirectement du gouvernement provincial, c’est pas ce que j’appelle une économie diversifiée »

    Je dirais aussi juste avoir quelques gros employeur comme la Stadaconna paper n’Est pas non plus une économie diversifié.

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  41. jeff

    5 avril 2008 à 16 h 29

    en réponse a mr. Fernand Trudel

    voici un bon article qui explique le désastre de Kyoto ainsi que ces couts faramineux!!
    The seemingly interminable Kyoto countdown is over – now we begin to count UP (the cost).

    Since coming into effect February 16, 2005, the Kyoto Protocol has cost the world about ****** while the potential temperature saving by the year 2050 so far achieved by Kyoto is
    (to get activity on the clock we had to go to billionths part of one degree, which obviously cannot be measured as a global mean) and yes, that really does represent about $100K per billionth of one degree allegedly « saved. » Guess that means for the bargain price of just $100 trillion we could theoretically lower global mean temperature by about 1 °C.

    http://www.junkscience.com/MSU_Temps/Kyoto_Count_Up.html

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  42. jeff

    5 avril 2008 à 16 h 31

    Henrik Svensmark est probablement le meilleur sur la paranoïa du réchauffement planétaire..

    voici un excelente entrevue avec Svensmark, director of the Center for Sun-Climate Research at the Danish National Space Center in Copenhagen

    Sun’s Shifts May Cause Global Warming
    http://discovermagazine.com/2007/jul/the-discover-interview-henrik-svensmark/?searchterm=sun%20interview

    So it’s difficult to do climate research without being suspected of having a hidden agenda?

    Yes, it is frustrating. People can use this however they want, and I can’t stop them. Some are accusing me of doing it for political reasons; some are saying I’m doing it for the oil companies. This is just ridiculous. I think there’s a huge interest in discrediting what I’m doing, but I’ve sort of gotten used to this. I’ve convinced myself the only thing I can do is just to continue doing good science. And I think time will show that we are on the right track.

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  43. jeff

    5 avril 2008 à 17 h 08

    c’est amusant de voir comment vous sonné creux et sans profondeur les carol, max et québec so-solidairieux et autre bebitte socialiste de ce monde quand vous être confronté dans vos idées et que nous vous démontrons hors de tout doute que vos idées sont faussé par des gourou Éco-terroristes.

    un des problème de région comme la province de québec c’est l’étalement urbain et le fait que le Québec c’est plein de vide nous nous devons de fermer une grande quantité de petit village inutile pour redonner la place à la nature et concentré les villes. c’est effrayant de voir comment comment c’est vide entre Québec et montréal c’est vide il y a rien autant sur la 40 que sur la 20 et surtout ca limiterait les déplacement automobile, c’est bien beau les histoires de bonhomme sept heure sur l’utilisation des véhicule au québec (quand en fait l’impacte est tout a fait minime par rapport a des pays comme l’inde ou la chine..) mais le québec c’est grand et l’urbanisme est tellement défficiant que seulement aller dans un grand centre comme montréal c’est entre 2 et 3 heures de route – avec le nouvelle règlementation débile ça va prendre 3 heure facile donc plus de pollution- et ce sur des route vide en plein milieu de nul part.. ci vous voulez moins de voiture il faut fermer des tonne de village et remmener tout ce beau monde vers les villes et concentré la population humaine. ce qui en résultera a d’autre problème mais ca c’est une autre histoire.

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  44. Carol

    6 avril 2008 à 17 h 41

    « c’est amusant de voir comment vous sonné creux et sans profondeur les carol, max et québec so-solidairieux et autre bebitte socialiste de ce monde quand vous être confronté dans vos idées et que nous vous démontrons hors de tout doute que vos idées sont faussé par des gourou Éco-terroristes »

    ÇA mon cher ami c’Est ton opinion ! et je ne la partage point pour ma part… en ce qui me concerne.

    Je pourrais te dire que tes idées sont peut-être aussi fausses que les miennes, mais pas pour les mêmes raisons. Donc à la place des gourous éco-terroristes, peut-être que ta pensée est faussée par les prêtres de la science et de l’économie sans conscience ???

    En tout cas, c’Est l’impression que j’en ai en te lisant. Si je fais fausse route, ce sera la même erreur de jugement que celle faite par tes propos… (faire une opinion sans poser de question au personnes visés dans ces propos et là je le fais exprès pour attendre tes questions…)

    Bref sur ce bonne journée !

    Ah oui des fois aussi ( je suis direct) je trouve cela désolant de lire certains commentaires, mais bon chacun à son point de vue…

    Pour ce qui est du l’écoterrorisme, hum ! peut-être c’Est le genre de chose que cela prend que pour réveiller les gens ??? et les faire réagir !?

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  45. MissHD

    29 septembre 2008 à 16 h 27

    En lisant tous ces commentaires….un extrême comme l’autre…on s’aperçoit effectivement du grand problème de notre société à savoir le manque de gros bon sens…ce qui malheureusement n’a rien à voir avec les sciences ou les courants verts de l’heure actuelle.

    Ce qui est le plus rigolo dans tout ça…c’est que tout le monde a raison dans cette histoire…
    Changement climatique il y a. Qu’il soit causé par nous ou pas ça reste effectivement à démontrer…voici donc pour le rationalisme exacerbé!

    Il a ça de bon qu’il nous pousse à nous poser de sérieuses questions sur notre conscience collective…à savoir une société qui encourage le gaspillage pour profiter à un nombre de personnes de moins en moins important et souvent bien en dehors de nos frontières!

    Pourquoi avons nous besoin de démontrer/chiffrer les impacts de notre société alors que le gros bon sens nous le dit dès le début? Pourquoi devons-nous démontrer qu’il faudrait mieux gérer les ressources pétrolières alors qu’on sait pertinemment qu’il y a grande place à l’amélioration?

    Pourquoi devons-nous toujours recourir au sensationnalisme (éco-terrorisme diront certains) ou attendre des chiffres qui ne viendront jamais (l’autre côté) pour proposer de nouvelles avenues? Serait-ce un crime de chercher à déterminer les meilleurs ressources en fonction de notre réalité et de chercher à optimiser notre consommation?

    Émissions ou pas, il est évident que de trouver des moyens de diminuer notre dépendance face au pétrole, du moins au Québec, serait intelligent à tous les points de vue (économique, sociale ou écologique)…pour la simple et bonne raison que nous n’en avons pas ! et que cette ressource nous met dans l’embarras à tous les niveaux (guerres, pollutions et autres aberrations de ce genre)!

    Voici donc selon moi le gros bon sens: Mieux vaut miser sur d’autres ressources qui nous donneront du boulot ici! et tant qu’à y être…qu’elles soient renouvelables comme ça on repoussera pas le problème plus tard!

    Curieusement, on s’aperçoit qu’on a pas besoin d’avoir comme objectif de diminuer les émissions de CO2 pour usiner des automobiles électriques…et que, ma foi, si on diminue un peu les émissions (sans changer grand chose il est vrai par rapport à tout ce qui est produit) ça ne ferait probablement pas de tort…

    Ah oui aussi…svp…ne nous réjouissons pas sur les millions de dollars (providentiels diront certains) provenant de la péréquation…quelle horreur! Dois-je rappeler que c’est justement le meilleur indicateur canadien de la faiblesse de notre province…beurk.

    Cherchons plutôt à déterminer avec justesse quelle est la ressource à privilégier et comment l’exploiter intelligemment!

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