Source: Jacques Bélanger, Le Journal de l’Habitation, 29 mars 2008.
Lors de l’événement Construction Contact, organisé par Pôle Québec Chaudière-Appalaches, deux représentants de la Ville de Québec sont venus tracer les grandes lignes des mesures qui seront prises en matière d’orientation du développement, de même que de la gestion des infrastructures.
Pour Fernand Martin, directeur du Service de l’aménagement, les principaux défis sont de renforcer la structure urbaine et aussi donner une cohésion à l’ensemble des villes qui ont été fusionnées. «Il faut planifier le développement du territoire de façon rationnelle, en tenant compte d’éléments comme la localisation, la desserte, tant en matière de transport qu’en sécurité, de même que la présence de milieux naturels de qualité. Il faut également se rappeler, dit-il, que Québec s’avère une ville patrimoniale et comporte également trois arrondissements historiques, soit: Charlesbourg, Beauport et Sillery.» (…)
La suite. Cet article réfère à plusieurs sujets déjà élaborés dans QU. À titre d’exemples, en lien avec les deux images ci-jointes, ces billets: Projet important de développement dans Lebourgneuf et Projet d’agrandissement du complexe de la bibliothèque Gabrielle-Roy: une esquisse!.
1er avril 2008 à 21 h 32
Depuis que le tandem Lallier-Larose n’est plus la… on ne sait plus vraiment si la volonté politique de poursuivre ces projets perdure.
on se croise les doigts en espérant que les musiciens vont jouer la partition sans le chef d’orchestre.
Les qualités de Labeaume sont au niveau organisationnelles et entreprenariales semble-t’il , mais au niveau de « vision urbaine » on n’a rien vu encore ….
On aura une meilleure appréciation d’ici la fin de l’été , j’imagine!
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1er avril 2008 à 22 h 34
De toute façon, ce n’est pas le maire qui élabore les projets de développement. Au mieux, il suggère les grandes lignes…
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1er avril 2008 à 23 h 48
Il suggère ben des affaires.
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2 avril 2008 à 10 h 08
Ça occupe les urbanistes et architectes de faire des dessins. Après avoir trouvé l’argent, puis le promoteur, passé à travers l’obtention des permis, des études de faisabilité, des comités tripartites, des comités de citoyens, des engagements électoraux, et obtenu l’accord du directoire de l’arrondissement et puis du maire, puis contesté devant les tribunaux et la Cour Suprême, on pourra aller de l’avant avec le projet. Ne restent que les délais de construction.
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