Note: la photo ci-haut est de mon cru.
Source: Radio-Canada, 18 juin 2008.
Statistique Canada publie un nouveau portrait de Québec. Selon le recensement de 2006, Québec possède le taux de natalité le plus bas de la province. La Vieille Capitale est l’endroit où le nombre de couples sans enfants (plus d’un couple sur deux) est le plus grand.
Aussi, le vieillissement de la population de Québec se confirme. Québec est la ville où la proportion de la population âgée de plus de 55 ans est la plus forte parmi les grandes villes canadiennes.
Par ailleurs, de toutes les villes importantes, Québec est celle qui attire le moins d’immigrants. (…)
Les fusions municipales ont aussi fait prendre du galon à la ville de Québec en terme de population. La capitale nationale est maintenant la deuxième ville en importance dans la province, après Montréal et devant Laval. Le recensement de 2006 indique que la population de Québec était de plus de 491 000 habitants, ce qui place Québec au 10e rang des villes canadiennes, un bond de 12 places par rapport au recensement de 2001.
La suite. À consulter, aussi, ce dossier du Soleil: La Ville de Québec et l’immigration : 400 ans d’arrivées… et de départs. Également, entre autres billets: Recensement: L’immigration fait un bond.
18 juin 2008 Ã 08 h 28
D’autres bonnes nouvelles comme ça?
:-(
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18 juin 2008 Ã 09 h 40
Pourtant on parle depuis quelques années d’un boom de natalité dans la région… faut croire que toute proportion gardé, ce boom n’est pas encore suffisant surtout compte tenu de l’immigration
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18 juin 2008 Ã 10 h 05
Le boom de natalité, ce n’est pas chez les «de souche». Allez à Montréal, ce sont les dites «communautés culturelles» qui font des enfants. Les Québécois ne s’engagent pas, ou si peu. Ils sont en couple quelques mois ou quelques années, et ils ont plus souvent des chats ou des chiens que des enfants.
Pour bien des immigrants, Québec est un lieu rébarbatif. J’en sais quelque chose pour ma conjointe; bien que parlant et écrivant le français parfaitement, et ayant une éducation universitaire, on lui reproche parfois son accent et on la traite d’«importée». Elle compte les jours pour partir d’ici.
Québec aurait pu être une capitale avec des ambassades et un transport en commun attrayant. Elle a choisi de rester une petite ville provinciale. Malheur aux vaincus!
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18 juin 2008 Ã 10 h 36
De toute beauté ce que tu écris Charles! :-(
Il existe pourtant plusieurs personnes sur ce forum pour dire que tout va bien à Québec, que l’avenir est prometteur et que le « développement » de la ville doit demeurer tel qu’il est : plus de place à l’automobile et une immigration limitée.
Je comprends votre conjointe de vouloir quitter Québec! Même ses propres jeunes la quittent…
Les intolérents resteront entre eux et feront mourir Québec à petits feux.
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18 juin 2008 Ã 11 h 11
Tout à fait d’accord avec Benoît,
J’ai moi-même quitté Québec, non pas par lâcheté ou par manque de travail mais bien parce que pour ma part, je crois que les babybommers en général se croit au-dessus de tout et que tout leur est dû et qu’en tant que jeune, on ne se sent pas vraiment désiré.
Vous devriez voir le nombre de jeunes couples provenant de Québec maintenant établis à Montréal, c’est assez révélateur!!
Par exemple, sur le plateau Mont-Royal, les têtes blanches sont définitivement en minorité et là je ne vous parle pas uniquement des étudiants de passage.
On ne sent pas cette morosité ou je ne sais quoi mais plutôt du dynamisme qui manque tellement à Québec.
Le majorité des gens de Québec ont fait leur vie et maintenant désire de la tranquilité et la sainte paix, alors comment voulez-vous dynamiser une ville après cela.
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18 juin 2008 Ã 11 h 33
@ Benoit et Charles.
Tout a fait d’accord avec vos commentaires. A Charles, je suis desole pour ta conjointe. C’est malheureusement un comportement typique du gros campagnard epais et inculte de Quebec qui n’est jamais sorti de son gros village. Je l’ai souvent dit, entre Herouxville et Quebec, la ligne est tres mince.
Pour ce qui est du taux de natalite dans 15 ans, la population aura decliner et 10% et le taux de chomage sera rendu a 1.5%. Les pauvres tatas de Quebec se petteront alors les bretelles avec le plus faible taux de chomage au pays!!!
Oui vraiment, tout va tres bien Madame la Marquise.
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18 juin 2008 Ã 14 h 25
C’est drole pareil, j’ai connu un couple homosexuels de Quebec qui se plaigaient du manque d’ouverture d’esprit des villageois et qui ont mis le cap sur Montreal pour cette raison. Non seulement, apparamment Quebec serait refractaire aux homos mais la population hetero de la vieille capitale n’a meme plus le coeur de baiser afin d’assurer un renouvellemet naturel de la population. Faut croire qu’on aime pas vraiment les enfants et la famille non plus a Quebec qui se targue pourtant d’etre un bon endroit ou elever une famille…
Y’a decidemment quelque chose de terriblement malsain (pour ne pas dire fucker) dans cette ville.
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18 juin 2008 Ã 15 h 10
la photo date de quand? ca ressemble drolement a mon voilier
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18 juin 2008 Ã 15 h 13
oufff… vous êtes d’un négativisme lourd…
à vous entendre c’est terrible de vivre à Québec.
Oui il y a des problèmes mais les gens sont loin d’être majoritairement comme vous le décrivez.
Montréal a de toute évidence moins de gens fermé d’esprit que Québec, mais on parle quand même d’une minorité ! A voir toute la violence à Montreal (qui est rendu bien pire que beaucoup de grosse ville américaine), c’est pas très beau a voir. Je préfère la qualité de vie qu’offre Québec.
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18 juin 2008 Ã 15 h 28
A voir toute la violence à Montreal (qui est rendu bien pire que beaucoup de grosse ville américaine), c’est pas très beau a voir.
Matrix, est-ce que tu as un chiffre pour appuyer ça? J’ai juste besoin d’être convaincu!
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18 juin 2008 Ã 17 h 00
C’est drôle…
La moitié de mes amis à Québec viennent de l’étranger dont certains sont de minorités visibles. Pourtant ils se plaisent beaucoup à Québec, même si tout n’est pas rose tous les jours pour eux.
Faut regarder les deux côtés de la médaille, choisir Montréal c’est bien sûr plus facile à cause des communautés d’accueil déjà sur place, mais un immigrants qui veut réellement s’intégrer à la majorité Québécoise le fera plus facilement à Québec.
C’est comique de lire certains… Vous criez au racisme et à l’intolérance des Québécois mais vous êtes les premiers à généraliser les comportements des gens…
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18 juin 2008 Ã 18 h 32
Oralien, non désolé j’ai pas de chiffre mais regarde dans les nouvelles depuis quelques mois, des histoires de gang de rue, les coup de fusil et les attaque dans le metro,etc…
La violence a Montreal ne va pas en diminuant.
Pour en revenir sur les chiffres de la démographie, si vous prenez la natalité, il y a une hausse constante depuis quelques années… donc ca s’amiliore (la preuve les hopitaux du CHUQ débordent de naissance). L’immigration on a beaucoup de travail a faire c’est vrai…
MAIS, pour le recensement des régions métropolitaines au canada, de 2001 a 2006, Quebec a augmenté sa population de 4.2% (686 a 715 000)et Montreal de 5.3%
Alors c’est pas la fin du monde pour Québec, oui la population vieillit et il y a des problèmes, mais pour l’instant ça va quand même relativement bien. Québec est l’endroit que l’économie a la plus forte progression depuis plusieurs années…
OUI bien sur il y a toujours des rabats-joie pour nous dire : c’est pas les emplois les plus payants, il manque surtout de la mains d’oeuvre pour les job moins bien payé…. oui c’est vrai mais au moins tout le monde peut se trouver une job avec un peu de volonté, c’est déjà ca ! Et c’est pour ça qu’il faut toujours stimuler et aider l’économie a se développer (je pense à St-Rock et le parc industriel).
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18 juin 2008 Ã 21 h 25
Ce ne sont pas les baby-boomers ou l’esprit de villageois qui mine le plus notre ville, ce sont plutôt les négatifs qui blâment tout le monde sauf eux mêmes de tous les maux, et qui ne voient rien d’autre que la projection de leur mal de vivre, peu importe où ils habitent. Ils prennent beaucoup de leur énergie à nous chiquer leur attitude à coup de commentaires négatifs dans les forums comme ici parce qu’ils sont trop losers pour être constructifs et apprécier ce qui les entourent. Ben crissez donc votre camp, on ne pourra rien pour vous de toute façon (y’en a qui se sentent visés?).
EUX peuvent être nuisible pour notre ville. Des mauvais ambassadeurs, il y en a en masse à Montréal aussi pour dire que leur ville est laide, sale et dangereuse. Ces personnes veulent seulement un peu d’attention; ne leur prêtons pas trop d’importance et essayons seulement d’améliorer les choses. Je vis dans la même ville qu’eux mais je ne partage certainement pas leur vision des choses.
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18 juin 2008 Ã 21 h 59
ouin…. après plusieurs semaines d’absences, les  » kids » sont encore en panique… à croire que Québec c’est l’enfer…
Ben voyons donc… je savais avant même de revenir sur le site qu’il devait y avoir ce genre de sujet; taux de natalité etc… et les «  » FLOS » qui paniquent…
Incroyable, toujours la même ranguène…
Que voulez-vous, vous êtes fait comme ça les Québecois…
Mais encore incapable de reconnaître que ça peut se passer en dehors de Mortréal… je n’ai jamais vu ça…
Pauvre petit peuple qui crache sur sa capitale…
avec le cerveaux lavé avec la vieille métropole…
quel manque de fierté régionale…
p.s. j’essais présentement de convaincre un ami qui a travaillé longtemps pour organisme de développement économique de Montréal, de venir échanger sur ce site. il n’est pas facile à convaincre… il me dit que les gens seront surpris de ce qu’il pourrait dire… (pas mal de surprises pas rapport aux chiffres réels sur le développement économique)
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19 juin 2008 Ã 00 h 31
Moi je vais aller dans le même sens qu’ArtByte.
Sébastien Gauthier ne fait que chialler sur QU depuis des années, et ça commence vraiment à me purger. Désolé pour le commentaire très visé, mais bon… il y en a déja en masse sur Fernand de toute façon.
Ca sert à rien ton chialage. Déménage si tu veux pas participer de manière constructive à l’évolution de Québec.
Pas dynamique? Ennuyante? Je suis désolé mais cette semaine j’ai dansé en pleine rue St-Jean au son d’un DJ, je suis aller voir un groupe hyper aimé de la scène progressive qui s’appel We Are Wolves, j’ai vu l’Edifice Price s’illuminer avec la meilleure technologie actuelle, j’ai été invité à voir les Violons des Roy, j’ai vu la scène du Grand Rire se monter a Place Youville, j’ai mangé un esti de bon repas au Hobbit et je suis aller dans un Tam Tam Jam à la Ninkasi.
Décidément, je m’emmerde vraiment à Québec….!!!
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19 juin 2008 Ã 00 h 42
Ah tiens, moi qui suis allé au Galeries de la Capitale et capotais sur le nombre de poussettes au mètre carré! Cette nouvelle me surprend.
À mon avis, il doit y avoir une distortion statistique… On exclut la Rive-Sud et les banlieues éloignées, où la population est plus jeune.
Moi je vis sur le PlatÔ depuis 10 ans et je peux vous affirmer que les gens sont bien trop occupés pour copuler: carrière, 5 à 7, vernissages, faire semblant d’avoir 25 ans jusqu’à 40… Tout sauf faire des enfants. La moyenne d’âge est peut-être inférieure à celle du 418, ce qui ne veut pas dire que la population se renouvelle davantage.
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19 juin 2008 Ã 06 h 57
« Par exemple, sur le plateau Mont-Royal, les têtes blanches sont définitivement en minorité et là je ne vous parle pas uniquement des étudiants de passage. »
Tiens, le très « gogauche » Plateau semble maintenant une attraction pour bien des jeunes qui la dénigraient: éh! ben…
Pour le reste, bravo pour ceux qui militent en faveur de la qualité de vie à Québec, et en passant, ce n’est pas tout, le gros salaire dans la vie, quand on a autant de culture sous la main à peu près gratis et ce, à moins d’une heure de marche de chez soi!
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19 juin 2008 Ã 09 h 21
@ Max et ArtByte
Votre attitude est navrante. Invitez le monde a crisser leur camp s’ils sont pas fiers, c’est pas tres fort comme mentalite. L’ennui c’est que voyez vous, une quantite importante de gens talentueux de Quebec ont justement crisses leur camp pour parler comme vous. Regle generale, quand on crisse notre camp dans une autre ville, c’est pas pour aller occuper un emploi du genre plongeur chez Ashton ou de vendeur de tracas aux touristes americains dans le Petit-Champlain. En d’autres mots, ceux que vous ecouerer suffisamment, sont dans bien des cas les gens les plus productifs qui vont utilises leur talents dans d’autres villes et payeront des taxes ailleurs qu’a Quebec. Le dernier en lisse est le promoteur Jacques Robitaille qui a decider de crisser le camp a Montreal.
Ca me fait bien rire que vous pensez que tout va pour le mieux a Quebec. Si Quebec c’etait le klondike, la population augmenterait. Calgary est une ville en veritable expansion est la population augmente tres rapidement car il y’a des opportunites. A Quebec desole mais on repassera.
Allez plutot signer le petition contre les tours Cominar sur le Boul. Laurier car elles seront un peu trop haute. Ca va faire avancer Quebec en maudit ca.
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19 juin 2008 Ã 09 h 48
Max illustre très bien c’est quoi, la qualité de vie à Québec, et croyez-moi, on ne saura pas trop où se « garrocher », cet été:
« Pas dynamique? Ennuyante? Je suis désolé mais cette semaine j’ai dansé en pleine rue St-Jean au son d’un DJ, je suis aller voir un groupe hyper aimé de la scène progressive qui s’appel We Are Wolves, j’ai vu l’Edifice Price s’illuminer avec la meilleure technologie actuelle, j’ai été invité à voir les Violons des Roy, j’ai vu la scène du Grand Rire se monter a Place Youville, j’ai mangé un esti de bon repas au Hobbit et je suis aller dans un Tam Tam Jam à la Ninkasi. »
Sébastien: pour tout le respect que j’ai envers toi, personne ne me convaincra que la qualité de la vie est meilleure à Calgary. D’autant plus que j’ai beaucoup de misère avec la mentalité « red neck », « gros VUS » « tape-à -l’oeil » et individualiste qui semble toujours collée à cette région!
En tout cas, on connaît mes valeurs, dans QU!
Je le répète, il y a bien d’autres choses que le foutu salaire dans la vie, et un individu n’est pas une « sous-personne » s’il fait de la « plonge » chez Ashton!
Au fait, c’est quoi, une personne « productive »?
Vraisemblablement, si je me fie à la réponse appréhendée, je ne me situe aucunement dans cette catégorie, et je n’ai AUCUNE ambition de le devenir, ni même d’être un grand consommateur sous prétexte que ça fait rouler l’économie (avec les conséquences à long terme, dont la crise écologique qui s’en suivra). Bref, raison de plus pour ne pas viser en priorité le gros salaire, même si pourtant, j’ai beaucoup de talents à revendre. Taxez-moi de « paresseux » et de « contre-productif » si ça vous tente! ;-)
Pour une réflexion plus poussée, ce site: http://www.simplicitevolontaire.org
Ceci dit, bonne journée!
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19 juin 2008 Ã 11 h 19
Jean, le terme « productif » en est un a geometrie variable. Dans une societe, c’est plate a dire mais si on est tous egaux aux yeux de la loi (en principe), nous ne sommes pas tous egaux en terme de potentiel. Un individu comme Bill Gates est donc exponentiellement plus productif que l’humble auteur de ces lignes!!!
Ce genre d’individus, il faut les encourager et les supportes. Or a Quebec, on tue l’entrepreneurship et c’est ca que je deplore. A chaque fois qu’il y’a des projets interessants, ils s’en trouvent toujours pour s’objecter. Depuis 30 ans, il y’a eu plus de projets abandonnes que de projets realises a Quebec. J’ai rien contre les etudiants qui travaillent chez Ashton mais ils ne faut pas en faire une carriere non plus. Comme tu dis, le salaire n’est pas tout et c’est vrai. Cependant, la realite est que pour faire fonctionner nos hopitaux, ecoles, reseaux de transport en commun etc, ca prend des payeurs de taxes pour financer le tout.
Combien pensez vous que la ville de Quebec a perdu en revenus depuis 30 ans en faisant fuir tous les promoteurs et en assistant les bras croises au depart de ses jeunes pour MTL ou ailleurs? Je n’ai pas la reponse a cette question mais on peut presumer qu’on parle d’une somme astronomique. Il serait nteressant qu’un organisme comme la chambre de commerce se penche sur la question.
Pour ce qui est de la qualite de vie a Quebec, je vous le concede, c’est dur a battre. Cependant, il faut faire attention de ne pas faire en sorte que l’arbre nous cache la foret. Le probleme a Quebec en est un de mentalites. Cette ville refuse de s’assumer comme une vraie capitale et comme une ville de 700K. Cette ville se complait dans une mentalite de gros village de province ou une poignee de gens bien organises prennent en otage l’ensemble de la population en empechant tout developpement sous l’oeil complice de politiciens sans colonnes vertebrales.
Vous voulez nier l’exode des jeunes les plus prometteurs, libre a vous. Mais j’aimerais que l’on m’explique une chose : si ca va si bien que ca a Quebec au plan economique, pourquoi la population n’augmente pas plus rapidement que la moyenne de tout le Quebec? Parce que quand il y’a un boom economique, les gens se deplacent ou il y’a des opportunites, c’est juste normal. Or, a-t-on vu des gens de Montreal, de Gatineau, Sherbrooke, Saguenay etc demenager massivement a Quebec ? NON evidemment. Alors expliquer moi c’est quoi ce pretendu klondike qu’est Quebec car moi je n’y comprends absolument rien.
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19 juin 2008 Ã 15 h 23
Il n’y a qu’à Montréal où vous pouvez survivre si vous ne parlez que l’anglais et pas le francais. La langue parlée dans les reste du Québec est le francais, donc Québec est la plus grosse ville « francophone » au Québec, ou plutôt en amérique.
Faut pas se surprendre que les seuls immigrants qui se pointent à Québec sont des immigrants qui parlent le français comme seconde langue dans leur pays d’origine.
Aussi, quand on observe tous les problèmes que Montreal traverse avec les « accomodements raisonnables », peut-on reprocher au reste du Québec incluant les résidents de notre ville d’être plutôt méfiant envers les immigrants?
Etre méfiant et être raciste, c’est pas la même chose. Si les québécois son si racistes, alors pourquoi sont-ils aussi attirés par les restos
exotiques?
———–
Aussi: dans l’article, je n’ai pas compris pourquoi ils disent qu’on a perdu des galons avec les fusions. Avant les fusions, c’était Laval la 2e plus grosse ville du Québec, maintenant c’est Québec. Y a un bout que j’ai pas compris.
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19 juin 2008 Ã 15 h 33
« Le dernier en lisse est le promoteur Jacques Robitaille qui a decider de crisser le camp a Montreal. »
Remarquez que le cas du patro st-vincent de paul, c’est pas la ville de québec le coupable, mais bien le ministère provincial de la culture et le promoteur lui-même qui a essayé de crosser le ministère de la culture. La ville n’y est pas pour grand chose, c’est même plutôt elle qui est pognée avec le problème. La même chose lui serait arrivé ailleurs s’il avait essayé une telle magouille à Montréal. S’il n’est pas content, qu’il crisse son camp!
Et que dire de Rozon qui s’attaque à Québec parce que sa femme a perdu un contrat à Québec? Pas mieux.
Désolé mais moi j’aime ma ville et je n’ai pas envie de la quitter, et si jamais c’était le cas, jamais ce ne serait pour Montréal, même si je devais me ramasser sur le B.S. Je préfère contribuer à améliorer ma ville que la dénigrer.
S’il y en a qui trouve Québec plate, moi au contraire, j’ai plus de choses à faire que de fins de semaines pour les réaliser cet été.
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19 juin 2008 Ã 18 h 27
Sérieux Erick, désolé mais je trouve ça xénophobe votre commentaire sur les immigrants:
«  »Aussi, quand on observe tous les problèmes que Montreal traverse avec les “accomodements raisonnables�, peut-on reprocher au reste du Québec incluant les résidents de notre ville d’être plutôt méfiant envers les immigrants?
Etre méfiant et être raciste, c’est pas la même chose. Si les québécois son si racistes, alors pourquoi sont-ils aussi attirés par les restos
exotiques? » »
Manger un kebab ça ne veut pas dire que l’on accepte les Arabes. Pas très fort comme argument.
Et, oui, on peut reprocher au reste du Québec et aux gens de Québec d’être méfiant envers les immigrants. En fait, je crois que l’on ne peut avoir peur que ce dont on ne connaît pas vraiment!
La ligne entre le racisme et la méfiance est très mince. Pourquoi avoir peur d’un gars d’Alger plutôt qu’un gars de Sherbrooke?
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19 juin 2008 Ã 20 h 24
@ Sebastien Gauthier
Je vois que mon commentaire t’a fait réagir!
En fait, ce que je veux souligner, c’est qu’il s’en trouve qui ne font que voir le malheur et le côté noir des choses. Moi aussi je me décourage quelquefois que les choses ne bougent pas assez dans notre ville, et des fois y’a des coups de pied au cul qui se perdent de voir que la communauté d’affaires s’implique si peu dans notre ville, si ce n’est que pour quelques événements épars. Notre potentiel est sous-exploité et il y a des mentalités à changer. Je crois que le confort d’une ville à forte concentration de fonctionnaires y est pour quelque chose.
Le jour où notre ville sera décrépie, morose, chômeuse, sale, etc. j’aurai des propos plus extrêmes et alarmistes comme certains en ont ici. Mais pour ne pas se rendre à ça, il faut être critique, nuancé et surtout plus constructif. C’est tout.
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19 juin 2008 Ã 20 h 26
…et je n’irai pas signer une pétition contre le développement de tours. Ooh non! ;)
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20 juin 2008 Ã 08 h 40
@ ArtByte
J’aime mieux ton deuxieme commentaire que ton premier definitivement. Je ne vois pas que le negatif bien sur mais je ne suis pas du genre a me mettre la tete dans le sable non plus. J’essaie juste de faire comprendre a certain que quand on nous dit que le taux de chomage est a 4.5%, il faut se mefier de telles statistiques. Quand on gratte un peu pour voir comment Quebec est arriver a un taux de chomage de 4.5%, c’est la que la realite deviens immensement moins drole. Mais ca les politiciens ne le diront jamais bien evidemment.
As-tu remarquer que personne n’a repondu a mon invitation de m’expliquer c’est quoi au juste ce pretendu boom economique de Quebec? La realite c’est que cette ville fait du surplace depuis 30 ans. Je pense que le probleme est plus profond que le simple fait d’avoir une forte concentration de fonctionnaires. Regardez Ottawa, c’est aussi une ville de fonctionnaires et cette ville est beaucoup plus dynamique que Quebec sur le plan economique.
Que voulez vous, il ne s’est rien construit de majeur en 30 ans a Quebec. Regardez aussi tout les projets majeurs de developpement immobilier qui ont etes abandonnes (fouillez dans QU vous allez en trouver pas mal)depuis tout ce temps. La seule chose qui s’est passe, c’est de l’etalement urbain a un niveau scandaleux.
Pas surprenant que cette ville perd ses jeunes a une vitesse alarmante. On etouffe l’ambition, la creativite et l’entrepreneurship dans cette ville, a moins que ce soit pour ouvrir une petite auberge dans le Vieux-Quebec. C’est plate a dire mais plusieurs ont une vision tiers-mondiste de Quebec, c’est ce que j’appelle la vision carte postale. On se complait a montrer le Vieux-Quebec aux Americains un peu comme les gens de Niagara attirent les touristes avec leurs chutes et on neglige tout le reste.
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20 juin 2008 Ã 09 h 48
Sebastien :
« Quand on gratte un peu pour voir comment Quebec est arriver a un taux de chomage de 4.5%, c’est la que la realite deviens immensement moins drole. Mais ca les politiciens ne le diront jamais bien evidemment. »
Peux-tu élaborer svp, merci !
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20 juin 2008 Ã 12 h 09
Malheureusement, la langue française n’est plus, depuis 1995, date du dernier «non», une langue de promotion sociale.
Pour qu’elle devienne une langue de promotion sociale, il faudrait qu’elle domine sur les plans politique et économique. L’un ne va pas sans l’autre. La ville d’Ottawa se porte bien car les décisions politiques sont prises pour la favoriser économiquement; ambassades, ministères, organismes, lobbys, grande presse, centres de recherches, etc.
Les immigrants arrivant au Canada voient bien sur quel côté de la rôtie il y a du beurre.
Le français, en tant que langue provinciale, est condamné à mourir. Pourquoi les immigrants viendraient ils mourir avec nous? Pour la même raison que les Québécois de souche ne parlent pas le huron ou l’algonquin. Ils ne veulent pas voir leurs enfants devenir commis de dépanneur; à Montréal, le moindre emploi exige le bilinguisme, comme en tout bon pays conquis.
Les immigrants choisissent Montréal. Leurs enfants fréquentent McGill et Concordia. Ils apprennent les français à l’école, mais le parler leur fait honte. Pour eux, c’est la langue du bûcheron. Avant d’aller vivre à Québec, ils préfèrent Sherbrooke où ils peuvent vivre «bilingue» à Lennoxville et fréquenter l’université Bishop’s.
Dans le contexte actuel, et même avec les plus beaux parcs du monde, il sera difficile d’attirer chez nous du sang neuf.
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20 juin 2008 Ã 15 h 04
@AirByte
« …et je n’irai pas signer une pétition contre le développement de tours. Ooh non! ;) »
En quoi la construction d’une tour changerait quelque chose?
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20 juin 2008 Ã 20 h 01
@ Matrix,
Le taux de chômage de 4.5% à Québec est artificiel. Pourquoi? Essentiellement parce que la population de la ville vieillit. C’est à dire que le nombre de nouvesux retraités augmente plus rapidement que le nombre de jeunes en mesure d’intégrer le marché du travail. Ça c’est une raison. Deuxièmement, il y’a qu’on le veuille ou non un exode important des jeunes de Québec qui se dirige essentiellement vers Montréal. Cela fait moins de chômeur potentiels. Finalement, il y’a les fêtes de 400e qui ont créer beaucoup d’emplois qui prendront fin après les fêtes. Mais pour l’instant, cela contribue également à faire baissé le taux de chômage.
Voilà pourquoi ce taux de chômage est artificiel et qu’il ne faut pas se laissé endormir par de belles statistiques. C’est un peu comme ceux qui s’énervent de voir l’inflation monter un peu. Quand on fait une analyse plus en profondeur, on se rend compte qu’il n’y a pas vraiment d’inflation car l’inflation est pratiquement tout expliqué par les coûts de l’énergie. Des statistiques économiques, ça veut absolument rien dire sans une analyse sérieuse.
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20 juin 2008 Ã 20 h 51
@ Charles
Tu vois la situation de façon très négative. Jamis les immigrants n’ont étés autant en mesure de parler français (il reste encore beaucoup de travail). Les communautés maghrébines, libanaises, latinos, haitiennes, vietnamienne, laostienne, italiennes, grecs etc parlent tous les français a un niveau satisfaisant. Du fait de notre position minoritaire en Amérique du Nord, la connaissance de l’anglais est essentielles mêmes pour les francophones de souche (c’est Gérard Bouchard qui ne m’aimerait pas ici!!!) Je n’en démord pas, le prochain référendum, c’est des membres des communautés culturelles qui nous le feront gagner.
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20 juin 2008 Ã 23 h 59
Le référendum n’a rien à voir avec l’actuel rapport de force entre le français et l’anglais. Il s’agit d’une question internationnale, où l’anglais est aujourd’hui la « langue seconde la plus commune », ou si vous préférez, la « langue commune de facto entre la plupart des peuples de langues différentes ».
Les peties gué-guères français-anglais du Québec ont un poids négligable dans cette dynamique linguistique internationnale (bien que nombre de politiciens qui de notre petit Québec tenteront de vous convaincre à quel point cet enjeux est important sur la planète…). C’est juste qu’ici, au Québec, ça adonne que l’anglais est un des deux joueurs dans la rivalité linguistique et cela nous apparaît alors comme un problème local au Québec et au Canada.
De plus, tous les immigrants qui maîtrise suffisamment la « langue commune internationnale » vont généralement s’installer là où ils seront en mesure de vivre dans cette langue. Là encore, ce ne que par adon de la présence de l’anglais. Autrement dit, s’ils s’installent à Montréal ce n’est pas tant parce qu’à Montréal il y a des anglophones que parce que presque partout sur la planète il y a des gens qui parlent anglais.
Pour revenir au sujet, je crois que Pierre-E. Paradis a bien fait de mentionner la possible distortion des statistiques, quand on sait à quel point la population Lévisienne croît année après année.
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25 juin 2008 Ã 10 h 28
@Sebastien Gauthier
« As-tu remarquer que personne n’a repondu a mon invitation de m’expliquer c’est quoi au juste ce pretendu boom economique de Quebec? »
Parce qu’il n’y a tout simplement pas de boom économique à Québec, du moins pas plus qu’ailleurs. C’est plutôt le fait de « vivre à crédit » qui donne cette impression de fausse richesse et de bien être.
Il y a bien une augmentation de la population à Québec, qui est en partie responsable de la crise du logement qui y sévit, mais ce n’est pas parce que Québec « performe » particulièrement, mais plutôt parce que les campagnes se vident au profit des villes.
Ok, à Québec c’est le « plein emploi », mais encore ce n’est que temporaire. Jusqu’à maintenant Québec a été plutôt épargnée par les fermetures à répétition d’industries victimes de la crise du bois d’oeuvre, du transfert de procédés vers la chine, de la hausse du dollars canadien et l’augmentation du prix du pétrole, car Québec a peu de ces types d’entreprises vulnérables. Par contre, on peut s’attendre à ce que la « réalité » rejoingne Québec aussi tôt ou tard…
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25 juin 2008 Ã 10 h 45
@Charles, Manu et Sebastien Gauthier
Les immigrants qui connaissent déjà l’anglais ou le francais sont naturellement portés à s’installer là où ils peuvent se servir de cette langue.
Les immigrants qui parlent ou baragouine le français peuvent pratiquement s’installer partout au Québec, et idéalement pas à Montréal car il y est déjà difficile d’y survivre seulement en français. C’est pourquoi les immigrants qu’on trouve à Québec sont souvent des francophones d’origine (francais, belges, etc) ou des allophones vietnamiens, marocains, libanais ou d’autres pays ou le français est la langue seconde de leur pays d’origine.
Les immigrants qui parlent ou baragouine l’anglais n’ont pas d’autre choix que de vivre à Montréal car c’est la seule place au Québec où ils peuvent survivre en anglais, ailleurs au Québec c’est le français qui domine. Evidemment ils peuvent aussi aller n’importe où dans les autres provinces.
Et ceux qui ne parlent ni l’un ni l’autre, tant qu’à apprendre une nouvelle langue, on les comprends de choisir à la fois une langue facile et qui leur ouvre le plus de portes possible: l’anglais.
Mais attention, l’anglais qui est présentement reconnue comme langue dominante, devra peut-être laisser sa place dans le futur à l’espagnol ou au chinois. Il parait qu’à Miami, les « américains de souche » qui ne parlent pas l’espagnol ont tendance à s’en aller ailleurs car ils ont de la misère à s’y trouver de l’emploi, les employeurs demandant de plus en plus le « bilinguisme ».
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25 juin 2008 Ã 19 h 34
Après avoir gradué de l’université, je suis allez travaillé à Montréal avec ma copine et nous y sommes resté pendant près de 7 ans. On a toujours habité sur l’Ile près d’un métro et on a adoré ça.
Nous sommes ensuite revenu à Québec pour élever notre famille. On a deux jeunes garçons de 3 et 1 an, et on en veut 2 autres. Je connais plein de couple (dont plusieurs amis proches) qui ont fait la même chose que nous. Ça grouille d’enfants dans notre quartier (Lebourgneuf), c’est incroyable.
Je pense que Québec a beaucoup de potentiel car la qualité de vie pour les familles ici est excellente. Je suis un peu tanné des comparaison avec Montréal ; est-ce qu’on pourrait pas faire nos choses, y aller avec nos projets sans toujours se comparer à Mtl et chercher son attention ?
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26 septembre 2008 Ã 17 h 59
Par chance les gens de Quouebec city (adepte de Jeff Filion et André Arthur)se reproduisent pas si rapidement. Voila une bonne nouvelle.
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19 octobre 2008 Ã 12 h 43
Vidéo veut promouvoir une plus grande acceptation sociale des enfants dans l’Allemagne.
http://es.youtube.com/watch?v=4vQEVqUTPUc
Après cette campagne, le taux de natalité a augmenté. En Québec, trop, quelque chose de semblable pourrait se produire.
Santiago Chiva (Granada, Espagne)
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