« M. de Frontenac disait dans son règlement que tous les articles en avaient été faits pour la ville de Québec, «qui est la première du pays et qu’on doit essayer de rendre digne de la qualité qu’un jour elle portera sans doute de capitale d’un très grand empire»! »
L’article du journal Le Devoir 14 juillet 2008
14 juillet 2008 à 09 h 36
Si tous les gouverneurs de la Nouvelle-France avaient été aussi acharnés que Frontenac, il est possible de croire que le Québec serait toujours français aujourd’hui. En tout cas, tout le nord-est de l’Amérique serait probablement différent.
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