Source: François Simard, Québec Hebdo (Commentaire), 2 août 2008.
(…) Déjà au début de l’été, la programmation plutôt tiède dévoilée par les nouveaux gestionnaires n’avait rien pour soulever les passions des amateurs de musique de Québec. On est bien loin des belles années qui ont vu défiler près du fleuve les Roger Waters, Bob Dylan, Stevie Ray Vaughan, Yes, Iron Maiden et cie.(…)
Comment expliquer qu’un équipement extérieur permanent ayant nécessité des investissements totalisant 8 M$ ne soit pas plus résistant aux intempéries alors que les scènes temporaires du Festival d’été sont, depuis longtemps, «à l’épreuve de l’eau», comme se plaisent à le dire ses artisans. (…)
Il y a quelques années à peine, les artistes qui passaient par l’agora n’avaient que de bons mots à dire sur cet endroit unique ce qui se propageait inévitablement dans le milieu et facilitait par le fait même la tâche des producteurs quand venait le temps d’y attirer des gros noms. Pas certain que les commentaires soient aussi dithyrambiques de la bouche de ceux qui s’y sont produits cet été. Parlez-en à Mme Ringer qui ne s’est pas gênée pour critiquer les gestionnaires de l’endroit. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: L’Agora sera mieux protégée.
4 août 2008 à 08 h 22
On est loin des belles années….c’est quoi ces sottises. Imaginez-vous donc que c’est normal un peu qu’il n’y ait pas de gros nom à l’Agora cet année, les fêtes du 400e font compétition dans le piton!
Avec des show extérieur sur toutes les scènes, un festival d’été plus gros qu’à l’ordinaire. La demande est plus grande, et aussi les cachets. Attendez un peu, laisser la chance aux courreurs, pis y va en avoir des bons shows. Pis à ce moment là on va voir les journaux écrire des louanges. Grandiose! Fantastique!
J’imagine pas non plus s’il y avait eu le gros soleil les soirées de spectacle. Jubilation instantanée!
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