Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 21 août 2008.
Il y a un an jour pour jour [hier], Andrée P. Boucher prenait Québec par surprise en décédant subitement dans son sommeil. Elle-même semble s’être prise de court, elle qui annonçait deux jours plus tôt vouloir briguer un deuxième mandat à la tête de la Ville. (…)
Même si son passage à la tête de Québec aura duré moins de deux ans, ses traces sont encore bien visibles. À commencer par celles laissées par son caractère bouillant. Celle qui s’était donné le mandat «de faire le ménage» à l’hôtel de ville décidait quelques jours avant de mourir que la négociation avec les employés se ferait sur la place publique, ligne que suit toujours l’administration Labeaume. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Québec après la mairesse Boucher: faire fonctionner la Ville.