Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’avenir de l’agriculture urbaine dans les gratte-ciel

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 6 septembre 2008 11 commentaires

http://www.verticalfarm.com

Tant qu’à « tripper gratte-ciel » à Québec, pourquoi pas un projet inspiré par exemple de celui illustré ci-contre (proposition « The Living Towers »), particulièrement dans le secteur D’Estimauville en rappel de l’ancienne Ferme SMA? Ça pourrait nous mettre sur la « map »! ;-)

Source: Radio-Canada (Ça me dit de prendre le temps), 30 août 2008.

Depuis une vingtaine d’années, l’agriculture est revenue en ville. Les projets de jardins communautaires et d’agriculture sur les toits sont de plus en plus nombreux dans les villes européennes et nord-américaines. La crise alimentaire et la crise énergétique ont amené des chercheurs et des architectes à proposer et dessiner des projets futuristes d’édifices en milieu urbain avec une vocation agricole. Le professeur en santé publique Dickson Despommiers (!) de l’université Columbia va jusqu’à proposer un gratte-ciel de trente étages qui servirait à nourrir une population urbaine de 50,000 personnes.

Écoutons Réjean Lemoine.

Le reportage radio (env. 6 min.). À consulter aussi: Vertical Farm.

Voir aussi : Architecture urbaine, Environnement, Qualité et milieu de vie, S'inspirer d'ailleurs.


11 commentaires

  1. arr4ws

    6 septembre 2008 à 13 h 24

    un seul mot : Wow!

    jadore cette architecture!

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  2. Fernand Trudel

    6 septembre 2008 à 15 h 17

    L’agriculture sur la cote-de-Beaupré etr sur l’Ile D’orléans se porte très bien pour éviter de penser des projets de fous de même à D’estimauville. C’est vreai que la ferme SMA engageait des fous mais de là à en faire le rapprochement, il y a du cannabis dans l’air, ca trippe pas à peu près…

    Vous savez ces fruits de la terre qui se ramassent au marché du vieux port et qui font vos délices. Ce sont tous des fernmiers de notre région.

    Quand à D’Estimauville je crois que la Neuro-cité a déjà des clients…

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  3. Marie

    6 septembre 2008 à 18 h 23

    Quel est le mal d’être fou? Les gens raisonnables sont si plattes parfois, il faut savoir rêver dans la vie. Moi je veux bien des immeubles comme ça au centre-ville et mes arguments sont censés, je crois.

    Les plantes transforment le C02 en oxygène, en plus si on peut les manger c’est encore mieux. Les plantes vont aussi servir à diminuer l’effet de chaleur en ville. Je ne vois que des bons côtés. Ah oui, c’est très joli!

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  4. Carol

    6 septembre 2008 à 19 h 16

    Vraiment des fois je me demande Fernand, avez-vous une difficulté face à la nouveauté et à l’innovation ???
    Ou êtes-vous trop attaché à une pensée unique, comme bon nombre de gens. « Le changement fait peur ! »

    Ce qui parfois a fait avancer la civilisation humaine, on l’oublie trop souvent ce fut aussi des visionnaires, des « fous » et aussi quelques fois des marginaux.

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  5. Fernand Trudel

    6 septembre 2008 à 19 h 47

    Non, pas du tout mais ca prend quelqu’un de déconnecté de la réalité pour penser ainsi.

    C’est vrai que la neuro-cité c’est pour les maladies du cerveau. Alors déjà les clients se bousculent à la porte…

    En tout cas je vais le prendre comme une farce, pas comme d’un projet réaliste…

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  6. Carol

    6 septembre 2008 à 21 h 48

    « Non, pas du tout mais ca prend quelqu’un de déconnecté de la réalité pour penser ainsi. »

    Hum vous vous contredisez dans la même phrase ???
    Et un bel exemple de pensé unique comme vous dites, en disant que c’est déconnecté de la réalité.

    Qui a dit que la réalité est cela ??? de ne point faire de l’innovation d’audace, d’originalité ?

    C’est l’ancienne manière de voir les choses, qui fait que l’humain vit dans la médiocrité et la petitesse… Voulez-vous la perpétuer ???

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  7. Stéphane Groleau Utilisateur de Québec Urbain

    7 septembre 2008 à 09 h 40

    Wow, belle trouvaille encore une fois Jean! J’adore le design de cet immeuble, j’en veux un pour Québec!

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  8. Fernand Trudel

    7 septembre 2008 à 11 h 31

    Non mais rêver que l’on en a besoin est utopique quand nos fermiers sont tout à coté…

    Maintenant espérer transformer D’Estimauville en édifice surréalistes est de la foutaine et une insulte à d<ceux qui travaillent pour que la Neuro-Cirté prenne vie.

    Il faut avoir les rêves que l’on peurt se payer…

    Seuls les chinois qui vivent concentrés dans des villes en hauteur peuvent voir se réaliser un tel projet. Pékin a 25 millions d’ashabitants. C’est loin de Québec qui est aéré par des parcs de verdure à profusion.

    S’il y en a qui rêvent à l’agriculture, y a des fermes à vendre. Ils pourront vivoter de la culture biologique…

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  9. Marie

    7 septembre 2008 à 15 h 32

    On dirait que vous êtes le seul dans votre gang de gens raisonnables et qui ont toujours raison, Monsieur Trudel.

    Ça prend toujours des utopistes pour changer une société, s’il n’y avait pas eu d’utopistes, Champlain ne serait jamais venu fonder Québec, il n’y aurait pas eu de Révolution industrielle, ni de révolution tranquille et les femmes n’auraient pas le droit de vote.

    Vous trouvez qu’il n’y a rien à changer, mais moi je pense qu’il est possible d’améliorer les choses.

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  10. Fernand Trudel

    8 septembre 2008 à 09 h 01

    Pensez l’implanter ailleurs à Québec. Pourquoi pas à la place des halels du Vieux Port. Je vous renvoie le bucket…

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  11. Marc-Olivier Labrecque

    8 septembre 2008 à 15 h 36

    Je savais que M.Trudel allait faire une sortie. Vous êtes fidèl à mes attentes M.Trudel.

    Votre point de vue est des plus justifié. Québec n’est pas en crise alimentaire et n’a pas besoin de d’apport en nourriture en ville pour survivre. Il y a suffisament de terre et même trop comme vous le dîtes( bcp de terre arables sont transformés en sylviculture). Comme vous le dites, seul les mégalopoles aux millions d’habitant peuvent y voir leur veine.

    Mais quand même M.Trudel, ce sont des projets sérieux au désign intéligent. Aucun rapport avec le fumage de pot. Copier: non. S’inspirer: oui.

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