Parlant de culture, et surtout d’inculture, c’est avec grand plaisir que j’ai lu entre autres la réplique de Robert Lepage sur des préjugés maladroitement exploités ces derniers temps envers les « artistes gâtés », un milieu que je connais bien en passant.
Rapport avec l' »urbain »? La Capitale est une merveilleuse ville de culture, justement, base de son industrie touristique florissante et d’une qualité de vie pour ses citoyens qui fait des jaloux partout dans la province… même à Montréal! On rapporte dans Le Soleil que « les dépenses des activités culturelles totalisent près de 2,2 miliards $ dans la grande région de Québec et 31 000 emplois directs et indirects y sont créés » et que près de 50% des artistes – des passionnés avant tout -, gagnent moins de 20 000$ annuellement…
Source: Anne Drolet, Le Soleil, 18 septembre 2008.
Malgré le succès connu par le Moulin à images dans sa forme actuelle, son créateur Robert Lepage n’a pas l’intention de s’asseoir sur ses lauriers si son œuvre devait revivre. Non seulement il tient à remodeler environ 25 % du spectacle, mais il pourrait même revoir en partie le concept pour y intégrer des artistes en chair et en os et ne pas seulement projeter des images.
Le créateur du Moulin, qui avait souhaité au départ que son Å“uvre ne soit diffusée que pour l’été du 400e, avait annoncé il y a deux semaines qu’il était prêt à lui donner un second souffle. «On m’a convaincu, mais il y avait des conditions par exemple», a affirmé Robert Lepage, en marge d’une conférence sur l’art et les nouvelles technologies. Il exige donc de remodeler au moins 25 % du spectacle, notamment pour en extraire les éléments qui réfèrent au 400e et qui paraîtraient incongrus. (…)
Robert Lepage a aussi fait savoir que d’autres villes avaient demandé à projeter le Moulin chez elles, dont Montréal. Mais on leur a fait comprendre que l’aventure n’aurait lieu qu’à Québec et qu’il faudrait donc se déplacer pour le voir.
Par ailleurs, le maire Régis Labeaume a mentionné que Robert Lepage n’avait pas empoché un sou pour ce projet et que tout l’argent avait été investi dans le Moulin. «Il dit tout le temps ça, mais il n’est pas supposé le dire. Le vrai mécénat est supposé être anonyme», a simplement répondu le créateur.
La suite. À consulter, entre autres billets: Le Moulin à Images: Deuxième vie ?
18 septembre 2008 Ã 09 h 01
Bon pour commencer,
Les coupures de 40-45 millions sur un budget entre 1 et 2 milliards environ ne sont pas aussi catastrophique que le puissant lobby des artistes essaie de nous faire croire. C’est de la démagogie tout simplement.
Deuxièmement, personne ne parle que le budget total pour la culture a été augmenté de façon significative sous le gouvernement conservateur.
et troisièmement, je trouve ça ironique qu’un groupe d’artistes de Montréal (principalement) qui dénonce les coupures, utilise souvent leur art ou leur audience pour dénoncer le canada et promouvoir la séparation. Plusieurs de ses artistes crache de façon permanente sur la main qui les nourrit, alors de les voir brailler pour des les coupures ensuite … ca me fait pas verser une larme.
Dernièrement, personne ne veut faire de mal aux artistes qui gagne 20 000 ou moins, mais il faut dire qu’il y a beaucoup d’artistes très riche aussi et qu’ils continuent de se faire subventionner. Les subventions ne devraient qu’être que pour les artistes qui essaient de se « partir »…
Les artistes en général ont développé un rapport malsain de dépendance avec l’argent des contribuables. Il est tout a fait normal que parfois on coupe et parfois on augmente des budgets, c’est le prix de la dépendance.
Pour terminer, félicitation au moulin à images qui a été un grand succès.
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18 septembre 2008 Ã 09 h 14
« Dernièrement, personne ne veut faire de mal aux artistes qui gagne 20 000 ou moins, mais il faut dire qu’il y a beaucoup d’artistes très riche aussi et qu’ils continuent de se faire subventionner. Les subventions ne devraient qu’être que pour les artistes qui essaient de se “partir�… »
Je vais être bon joueur, Matrix: ce point mérite réflexion. Merci pour ton commentaire, comme toujours bien formulé… même si on est loin d’être d’accord en général! ;-)
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18 septembre 2008 Ã 11 h 16
Pour une fois qu’un gouvernement fédéral veutr laisser toute la place à la souveraineté cuilturelle du Québec, les artistes chialent.
J’aime la première partie de la chronuique de francois Bourque et de Nathalie Elgrably.
Moi payer pour une babane volante au Texas 150,000$ et que la banane ne vole pas est un vol direct. Moi subvenmtion le festioval Juste pour rire un million est une vrai farce surtout après 25 ans de salles combles.
Lepage a coordonné un projet audacieux et les i<mages ont été d’un scyncronisme désarmant. De belles images chronologiques dans le temps sans aucune explication pour les spectateurs. mais de là , à chier sur la main qui le nourrit…
Chaerest beut la souveraineté culturelle, il a eu la réponse de Josée Verner, on t’envoie de l’argent fait ce que tu veux avec. Dans le 2,3 milliards de déséquilibre fiscal, 700 millions a servi à baisser les impôts, ce qui lui a été reproché… Maintenant Mme Forget dit qu’elle n’a pas l’argent pour assumer sa responsabilité culturelle. Faut arrêter de parler de deux bords de la bouche…
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18 septembre 2008 Ã 11 h 20
Fernand, apprenez à écrire… et à réfléchir un peu, svp!
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18 septembre 2008 Ã 11 h 58
@ Fernand…J,aimerais bien vous répondre…Mais je ne sais trop en quelle langue vous répondre.
En ce qui concerne la question des subventions aux artistes la question est fort épineuse. D,un côté l’état doit etre présent pour aider une industrie…Mais on est en droit de s’interroger sur ce que l’état doit faire.
Par exemple….L’industrie du disque est en chute libre…avec des baisses de 8 % des vente depuis le début de l’année. ( Et les chiffres des anéées précédentes sont aussi faible). Est-ce que l’état doit subventionne une industrie en crise???
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18 septembre 2008 Ã 12 h 14
Quand je lis Fernand qui cite Nathalie Elgrably, la prêtresse des extrêmistes de droite, ça me laisse songeur. C’est drôle, ces jours-ci, on n’entend pas les fachos se plaindre de l’intervention de l’État dans le sauvetage des compagnies privées (banques et compagnies d’assurances). Quand c’est rentable, l’argent va aux actionnaires; quand c’est en faillite, ce sont les contribuables qui renflouent leurs coffres.
Pour ce qui est de l’aide à la culture, les artistes rapportent 10 fois ce qu’ils coûtent à l’État. Couper 45 millions sur un budget de 250 milliards, ça ressemble à des coupures pour des raisons idéologiques.
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18 septembre 2008 Ã 12 h 32
Bon….Je vais faire l’avocat du diable car ce dernier me paye de bons honoraires.
On est en droit de se demander si subventionner des artistes tel que Luck Melville est un si bon investissement!!
En ce qui concerne le présent désordre financier votre analyse, M. Charles est quelque peu anémique. En ce moment c’est tout le système monétaire qui est en crise… Le laissez faire peut amener un marasme économique aussi sérieux que la crise de 1929. L’état intervient pour sauver des millions d’emplois
La raison première de cette crise est l’endettement personnel qui est trop élevé. Le crédit était trop facile…
Il y a une certaine similitude entre le krach de 1929 et le présente crise. En 1929 l,effeondrement des burses fut causée parune spéculation effrénée. Les compagnies engrangeaient des profits…mais le prix des produits manufacturés ne diminuaient pas et le salaire des employés n,augmentaient pas….Conséquence, les consommateurs ne pouvaient acheter les « bébelles » qui produisaient en usine. Donc baisse des ventes et mises à pieds massive…Et 10 ans de crise économique.
Aujourd’hui, le problême vient du crédit. Les gens sont très endettés…On n,a qu’a voir les prix exhorbitants des maisons.
Ces dettes devront un jour etre remboursées…Mais si tous les gens décident d,épargner afi de payer leur dettes il arrivera unesituation similaire à celle de 1929….Bais de consommation et augmentation faramineuse du taux de chômage.
La présente crise vient du fait que les banques et société d’investissement ont pris des risques trop élevés en prêtant à trop de gens des sommes trop importantes.
Ce que nous vivons présentement est une crise fort sérieuse…
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18 septembre 2008 Ã 12 h 45
On a tous 2 têtes (je parle pour moi) :
Au niveau théorique , je suis parfaitement d’accord que les artistes rapportent beaucoup et j’ai toujours apppuyé le maire Lallier qui a développé les foyers artistiques et culturels
Et ,en 2008 , on le voit que ca rapporte!
Au niveau pratique, Pierre Curzi qui représente le milieu artistique dit: « Vous n’écouterez pas Paul Mc Cartney bande de caves… … il n’est pas membre de notre syndicat!
Et bien moi je considere que ca n’a rien d’une bataille artistique ou pro-artistique , c’est avant tout une bataille syndicale.
Dans l’affaire des subventions, il faut être naif pour ne pas voir ce petit jeu là qui se joue aussi!
On ne défend pas uniquement des intérêts culturels et artistiques mais aussi beaucoup des intérêts corporatistes!
——————————————–
Rendez a César ce qui revient a César (le syndicat)
Et Rendez a Dieu ce qui revient a Dieu (les Arts)
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18 septembre 2008 Ã 12 h 45
Je trouve normal qu’on subventionne des projets qui font rayonner une ville, une province ou un pays à l’extérieur de ceux-ci. Il s’agit selon moi d’une forme de publicité et en ce sens, cette utilisation de la culture à des fins promotionnelles (pour attirer des touristes, faire connaître le Québec à l’étranger, etc.) doit faire partie du bugdet publicitaire des différents paliers de gouvernement.
Je trouve aussi normal qu’on subventionne le développement des arts et de la culture en général, par des écoles, des salles, installations diverses, équipements couteux à partager entre artistes, ou encore qu’on subventionne une certaine recherche en art de la même manière qu’on donne des bourses d’études par exemple. On donne ainsi les moyens à des gens de créer quelque chose de nouveau et de le présenter (c’est souvent à ce dernier stade que ça coûte cher) et ainsi faire évoluer la culture.
Ce n’est pas exhaustif, mais c’est en gros ce que je trouve normal qu’un gouvernement fasse.
Je ne trouve pas normal toutefois que des organisations commerciales considèrent les subventions comme une source récurrente de fonds, ou encore pire, comme un droit acquis. Autrement dit, quand les acteurs du monde culturel, dont les artistes, deviennent à toute fin pratique des salariés de l’état, on a un problème car ce n’est pas le rôle de l’état selon moi. À la limite, prétextant que ça rapporte, de telles organisations pourraient recevoir de l’aide sous forme de prêts « avantageux » (endossés par l’état, intérêts faibles ou nuls, etc.) plutôt qu’en subventions.
Promouvoir et assurer le développement de la culture est une chose, financer sa réalisation en est une autre.
Maintenant, que l’argent vienne d’un gouvernement ou d’un autre ne change pas grand chose pour la Ville de Québec selon moi, à part peut-être pour des communautés linguistiques ou culturelles minoritaires (par exemple, les artistes anglophones à Québec dont le médium d’expression est relié à leur langue, qui sont noyés dans une mer d’artistes francophones). J’imagine que le problème serait plus évident ailleurs au Canada (imaginez les francophones à Edmonton qui veulent faire vivre le théâtre en fraçais).
Reste que c’est normal de se plaindre quand on est habitué de recevoir quelque chose, que ce soti mérité ou non. Mais même si je ne suis pas d’accord avec les mesures plutôt draconiennes et arbitraires du Parti Conservateur, j’admets quand même qu’une réflexion s’impose à ce sujet.
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18 septembre 2008 Ã 13 h 31
je suis un peu content de cette baisse minimale des subventions , ça ramène un peu sur terre la communauté artistique.
Par contre j’ai réfléchi à ce sujet et essayant de comparé les artistes de notre génération à ceux de la renaissance… oui oui…
Dans ce temps c’était de grand mécèce qui donnait de l’argent au artiste pour faire rayonner leur ville ou leur famille tout simplement . (par exemple la très grande famille des Médicis). À notre époque devons nous(la population) être les mécènes des artistes par le biais de nos impôts?
ca donne a réflexion comme sujet , surtout que les mécènes de nos jours… ça ne court pas les rues.
Mais les artistes qui ont un bon revenu … svp go away des subventions.
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18 septembre 2008 Ã 14 h 01
@ Jp-Duval
Votre analyse est très judicieuse. Je répondais à M. Fernand qui citait Nathalie Elgrably. Cette chroniqueuse ne rate jamais l’occasion de dire que l’État est de trop, et que les forces du marché règlent tout.
Ce que vous relatez la fera mentir. Il a fallu une guerre mondiale pour régler la crise des années ’30, et un Plan Marshall pour relever l’Europe de la destruction causée par la guerre. Donc une intervention musclée de l’État. L’histoire se répète cette semaine.
Quant aux artistes, l’analyse de manu me paraît très nuancée.
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18 septembre 2008 Ã 15 h 00
« être les mécènes des artistes par le biais de nos impôts? »
Faux !
aucun impôt ne sert pour les différents programme, seul les taxes le font.
Les impôt de sert qu’a rembourser les banques (dettes et autres)
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18 septembre 2008 Ã 15 h 43
Carol: franchement accroché a un détail de formulation …
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18 septembre 2008 Ã 15 h 54
Le fameux moulin à image doit son succès à Robert Lepage, car si le créateur avait été un Luc Grenier ou un Martin Laurent, les gens en auraient ras-le-bol depuis longtemps. Le film est merdique … il y a juste la complexité technique que l’on amplifie car c’est du Lepage …
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18 septembre 2008 Ã 19 h 08
« Carol: franchement accroché a un détail de formulation … »
Bof !
je met en lumière une légende urbaine !
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18 septembre 2008 Ã 21 h 01
Bonsoir,
Je m’attendais à recevoir des tas de tomates de retour de travail, et pourtant, j’aime bien la diversité des opinions et la nuance (un cas d’exception, notre ami Fernand) dans les propos sur ce sujet épineux. Merci!
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18 septembre 2008 Ã 21 h 17
Je suis tellement d’accord avec Bob Thepage…
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18 septembre 2008 Ã 21 h 48
Que vous vous appeliez Luc Grenier, Martin Laurent ou Pierre Jean Jacques, l’important c’est de se faire un nom comme Robert Lepage avec une carte de route exemplaire. Il faut se compter chanceux qu’il reste à Québec. C’est un créateur que plusieurs villes dans le monde accueilleraient les bras ouverts. Il faut qu’il aime sa ville pour demeurer ici, car plusieurs auraient levé les feutres à sa place.
« C’est un film merdique » que vomit Bob. C’est sûrement la raison pour laquelle des milliers de personnes sont allés le voir… Bob, ce n’est pas the Page qui devrait suivre… Plutôt Bob l’Éponge : à force d’absorber les conneries dites ici et là et les répéter.
Le maire demandait ce que les citoyens de sa ville souhaitent pour 2009 et les années suivantes. Bien moi, pour plusieurs, je leur souhaite plus d’intelligence et de maturité. Ce serait déjà beaucoup.
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18 septembre 2008 Ã 22 h 33
« Le maire demandait ce que les citoyens de sa ville souhaitent pour 2009 et les années suivantes. Bien moi, pour plusieurs, je leur souhaite plus d’intelligence et de maturité. Ce serait déjà beaucoup. »
Tu sais quoi, François? C’est mon voeux le plus cher, mais je doute qu’il se réalise…
Jean Cazes
Fier résidant de Québec aux idées pas mal à gauche et qui a aussi déjà habité au coeur du magnifique Plateau Mont-Royal! ;-)
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19 septembre 2008 Ã 07 h 13
À consulter: « GILBERT LAVOIE – Les artistes «gâtés» de Mme Taschereau »
http://www.cyberpresse.ca/article/20080918/CPSOLEIL/80917246/6553/CPSOLEIL
Par ailleurs, je joins ma voix à celle de Linda Maziade, présidente du Pôle régional d’économie sociale de la Capitale-Nationale (et que j’ai côtoyé à une certaine époque au CRÉECQ) dans sa longue missive publié aujourd’hui dans Le Soleil: « Des choix idéologiques nourris de préjugés ».
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19 septembre 2008 Ã 08 h 15
Il y a beaucoup de programmes en culture. Ce débat est plutôt idéologique car personne n’a précisé quels fonds avaient été coupés et les conséquences.
Je sais qu’il y en a un qui aidait aux tournées à l’étranger. Certaines troupes artistiques doivent passer l’essentiel de leur temps à l’étranger pour être rentables. L’aide financière qu’ils reçoivent est un coup de main qui fait la différence. Ce n’est pas du tout cuit dans la bouche. Il faut que les compagnies sachent avant tout se vendre à l’étranger.
Ce que je trouve triste plus fondamentalement c’est que ce débat met surtout en relief le manque de fierté des gens d’ici pour leur identité. Et je dis cela sans partisanerie. On peut être fier de l’identité québécoise tant fédéraliste que souverainiste. Par contre, être heureux que le gouvernement fédéral tape sur les artistes pour des montants ridicules qui ne feront aucune différence dans la poche de qui que ce soit (45 millions / 30 millions de population…), c’est refuser d’exprimer son identité.
Hier soir, à Bazzo.tv, M. Dubois, homme de théâtre fédéraliste (il y en a!), a décrit de façon trés belle sa vision du lien culture-identité. Pour paraphraser, il disait que de favoriser diverses expressions de la culture était de favoriser différents regards sur son identité. En étant heureux des coupures, c’est comme accepter de moins en moins de regards sur soit. Et c’est même accepter d’être définis par d’autres. En particulier l’omniprésente et inévitable culture des États-Unis. Tout ça pour environ 1,50 $ par personne… très triste!
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19 septembre 2008 Ã 09 h 25
Merci M. Alvarez pour cette opinion qui apporte un éclairage différent sur la question. C’est une réflexion très intéressante et très pertinente que vous nous proposez là !
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19 septembre 2008 Ã 10 h 16
@François
S.v.p. slaque tes shorts, ton sang monte trop et il noie ton cerveau … Je sais que Robert Lepage a du talent, par contre, il faut être capable de reconnaître les bons coups tout comme les mauvaises coups de chaque grand artiste! Et personnellement, je vois rien de si grandiose dans le moulin à image pour le répéter en 2009. Et je sais que plusieurs pensent comme moi, mais ils sont génés de le dire tout haut! De plus, je suis pour plus de subventions dans la culture, mais que cette argent soit mieux distribuer, et non distribuer à des Huard, Morissette, Quy A. et Robert Lepage de ce monde.
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19 septembre 2008 Ã 11 h 47
@Bob ThePage
Oui, je suis d’accord avec toi sur le fait que peut-être, certaines subventions sont accordées aux rares « riches » du milieu des arts qui pourraient dorénavant s’en passer, mais je n’ai pas l’information et surtout la compétence pour le prouver.
Cependant, pour ma part, j’ai des problèmes avec une introduction comme « Slaque tes shorts… »! Comme je ne fais pas partie du « vrai monde », je considère que ça manque de classe, dans un site comme Québec Urbain! Donc, nuance, dans les propos…
Cela dit, j’admire bien sûr le travail de Robert Lepage.
Par ailleurs, quelque chose me dit que la plupart de ceux qui sont scandalisés d’apprendre qu’on subventionne certains artistes de chez nous sont les premiers à réclamer que JE paye en partie de mes impôts un nouveau Colisée à 300 MM $ à construire dans un champ de patates pour héberger quelques multimillionnaires du sport qui ne proviendront même pas de Québec!!!
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19 septembre 2008 Ã 12 h 53
@Jean Cazes
L’admiration rend aveugle et altère le jugement … « Cela dit, j’admire bien sûr le travail de Robert Lepage » – Jean Cazes … CQFD
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19 septembre 2008 Ã 16 h 15
Le fameux vidéo qui fait tant jaser, aujourd’hui:
http://www.youtube.com/watch?v=UrATQeLLKX0&eurl=http://www.radio-canada.ca/nouvelles/surLeWeb/index.shtml
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19 septembre 2008 Ã 16 h 30
Drôle, mais démagogique.
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19 septembre 2008 Ã 22 h 20
« (…) La prochaine fois qu’un politicien tentera de se faire un peu de capital en vantant les succès internationaux de la compagnie de Robert Lepage ou du Cirque du Soleil, il faudra une fois de plus lui rappeler que ces deux institutions ont justement bénéficié, à leurs débuts, des programmes auxquels le gouvernement s’attaque. » – Pierre Cayouette, L’actualité
http://blogues.lactualite.com/cayouette/?p=377
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20 septembre 2008 Ã 12 h 12
Pour ce qui est des subventions, c’est un dossier trop tecnique et administratif pour moi…
Alors je préfere m’en remettre a Régis Labeaume , responsable des citoyens de la ville de québec
et a Jean Charest , élue pour défendre les intéretes de la nation québécoise.
C’est a dire que dans l’affrontement Labeaume-Blackburn , ma préférence va a Labeaume
Idem pour Charest-Harper
Par contre je n’accorde aucune confiance au Bloc ni au Parti Québécois dans ce dossier!
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