Scène urbaine : Hôtel Dalhia

10 commentaires

nietnietniet

18 septembre 2008 à 22 h 52

Charmant.

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Joe Bernier

18 septembre 2008 à 22 h 57

Ca rappelle le St-Roch « des vieux jours ». Ou se trouve cet hotel? C’est horrible.

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Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

18 septembre 2008 à 22 h 58

j’avais entendu parler d’un projet de terminus autobus dans ce secteur, je sais pas si c’est toujours « vivant » ?

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Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

18 septembre 2008 à 22 h 59

Ca rappelle le St-Roch “des vieux jours�?. Ou se trouve cet hotel? C’est horrible.

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du Roi, en face de la bibliothèque Gabrielle-Roy

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Jeff M

18 septembre 2008 à 23 h 08

D’après mon propriétaire, dont la propriété est très proche de cet hôtel, le tenancier de l’endroit reçoit n’importe qui comme clientèle… mais vraiment n’importe qui… C’est discret, personne ne remarque, mais il s’y passerait tout ce que vous pouvez imaginer.
Vivement que le terminus se réalise!

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Martin Otis Utilisateur de Québec Urbain

18 septembre 2008 à 23 h 22

extrait du Solei, le jeudi 20 décembre 2007 par Simon Boivin

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Le Réseau de transport de la Capitale (RTC) a obtenu l’autorisation d’exproprier un petit hôtel de la rue du Roi, qui longe la bibliothèque Gabrielle-Roy, pour y bâtir un terminus d’autobus de quatre millions de dollars. Un projet qui s’inscrit dans une entreprise plus large de requalification de ce secteur du quartier Saint- Roch.

Le gouvernement du Québec vient de permettre au RTC d’acquérir de force l’hôtel Dahlia, contre la volonté de son propriétaire. Au cours des dernières années, l’endroit a surtout retenu l’attention pour le traffic de stupéfiants qui s’y serait déroulé, les visites de prostituées, ainsi qu’un incendie d’origine suspecte qui y a éclaté en 2005.

«Les pouvoirs publics peuvent exproprier des terrains ou des bâtiments qui sont requis pour des fins publiques, explique Marc Desrivières, directeur de la division Transport à la Ville de Québec. Dans ce cas-là, il y a eu des discussions avec le propriétaire pour une acquisition de gré à gré. Malheureusement, ça n’a pas abouti et ç’a forcé le RTC à passer par le voie légale.»

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Lisette

19 septembre 2008 à 07 h 25

Je ne sais pas pourquoi… mais le papier de Simon Boivin ne me surprends pas le moins du monde concernant la qualité de la « distinguée clientèle » de cet hôtel, pardon, de ce trou, devrais-je dire :-)))

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