Source: Jean-Pascal Lavoie, Le Soleil, 11 octobre 2008.
(…) À sa septième présentation à Québec, la Nuit des sans-abri est toujours aussi pertinente. Nathalie Brisseau, du Regroupement pour les itinérants et itinérantes de Québec, souligne que le phénomène est d’ailleurs en hausse. «Bien que le dénombrement précis des itinérants soit très difficile, la progression est notable, d’où l’importance d’un événement comme la Nuit des sans-abri, pour sensibiliser le public autant que les gouvernements.»
Une étude réalisée en 2003 chiffrait à 16 000 personnes la clientèle ayant recours aux différentes ressources de la région. «Sans être toutes sans-abri, ces personnes sont à très haut risque de le devenir», signale Mme Brisseau, qui organise l’événement cette année. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Vendredi 19 octobre [2007]: la Nuit des sans-abris.
14 octobre 2008 à 15 h 29
Traiter moi de vilain homme de la droite si vous le voulez, mais j’ai un peu de difficultés avec ce genre de mouvement.
Surtout dans une ville avec un taux de chômage aussi faible que Québec, où les offres d’emplois dans les vitrines des magasins pullulent, même pour les emplois qui ne demandent aucune qualification, avec l’assistance sociale…
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14 octobre 2008 à 16 h 08
1% de la population totale souffre de schizophrénie.
Juste un petit exemple pour te dire que même si il ya des jobs offertes, tu n’es malheureusement pas nécessairement disposé à travailler.
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14 octobre 2008 à 16 h 18
je compatis énormément avec les gens qui on des maladie mental on des incapacités physique à travailler je serais pour augmenter l’aide d’un façon significative a ces gens!
mais pour les tit punk et sqeegee sur la rue st-jean ou au centre ville je n’ai aucune compassion
car c’est bizarre je vois souvent des pancarte : on embauche, personnel demandé un peut partout à Québec
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14 octobre 2008 à 16 h 24
Sois pro-actif Simon…
Et participe à cette activité à la prochaine occasion.
À ce moment prends le temps de t’asseoir et de jaser, ne serait-ce que quelques minutes, avec deux ou trois individus de ton choix. Tu te rendra peut-être compte alors qu’il n’y a pas que l’offre faramineuse de McJob qui donnerait un accès direct à l’emploi mais que bien de ces pauvres gens ne sont tout simplement pas équipé pour travailler. (Ou alors ç’est limité)
Comme par exemple :la vie dans la rue est exigente au niveau physique et certains «font peur» côté look, on engage rarement ces gens dans le domaine du service (dans le Twik chez Simons par exemple).
D’autres n’ont pas tous la chance d’avoir eu des parents efficaces, une éducation qui se tient, etc, etc.
Difficile de rédiger un CV (par soi-même s’entend) ou de se présenter (à l’heure) à une entrevue.
Simon selon moi il ne faudrait pas généraliser.
Le monde de l’Indigence c’est tellement large que personne ici ne pourrait se permettre de décréter que tous doivent «s’engager». Faut pas rêver !
Si les gens se sont réunis ce soir-là en vue de faire l’état de possibilités pour améliorer leur quotidien alors : Bravo !
C’est en groupe qu »ils peuvent s’aider, se supporter.
Rigueur, rigueur, rigueur…
(Comme ne diraient certainement pas ex-Monsieur X ou André de Portneuf)
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14 octobre 2008 à 19 h 10
Simon (et autres) : Pour préciser, je m’appelle François.
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14 octobre 2008 à 19 h 47
Oui je cotoie des malheureux régulièrement et je comprends que peut importe les systèmes sociaux gouvernementaux, il y aura toujours de marginaux qui ne répondent pas aux normes.
Il y a aussi ces dépressifs qui ne se sont pas remis d’un coup dur ou d’une infortune. J’ai même aidé un gars qui en sortant de prison a retrouvé ses affaires dans le banc de neige parce que le locateur n’était pas payé. Tu l’aides à ramasser ses affaires et à se trouver un endroit chaud pour passer la nuit. C’est ce que tu penses en de telles circonstances. Ces gens n’ont demandés à ^petre jugés mais aidés et supportés.
Il y aura toujours des gens en marge de la société peut importe la générosité des groupes organisés ou gouvernemtaux. Il n’y a pas de systèmes parfaits ni de modèle de société idéale même pas à Cuba. Ils n’y a que des gens qui réussissent et d’autres qui échouent dans la vie.
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14 octobre 2008 à 20 h 00
« Il y aura toujours des gens en marge de la société peut importe la générosité des groupes organisés ou gouvernemtaux. »
Exactement, ces evenements (Nuit des sans-abris) existent pour sensibiliser la population et les medias et non pour regler le probleme.
En acceptant ces differences, nous pourrons ensuite mieux vivre avec et trouver graduellement des solutions concretes.
Certains sont riches, certains sont laids, certains sont pauvres, certains sont grands, certains aiment la creme glacee aux fraises…….
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15 octobre 2008 à 17 h 55
Je suis un brin fâché de la confusion autour de la date de et événement, auquel j’assiste depuis plusieurs années, mais que j’ai manqué cette année, puisqu’il s’est produit une semaine avant la date annoncée sur le site web de la Nuit des Sans-Abris. On parle de l’événement dans les médias, mais le lendemain… Une façon de ne plus nous y inviter?
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