« Montcalm – Les commerçants de l’avenue Cartier souhaitent que la Ville modifie le trajet de la piste cyclable qui devrait passer sur le boulevard René-Lévesque. Pour certains, c’est une question de survie.
Une vingtaine de commerçants se sont présentés au dernier conseil de quartier de Montcalm pour obtenir des membres du conseil d’administration et de la conseillère ANNE GUÉRETTE un appui. La plupart sont d’accord avec la piste cyclable, mais désapprouvent le trajet sur le boulevard René-Lévesque. Si le projet était adopté tel quel, le stationnement sur cette artère serait interdit de mai au 30 octobre. Ainsi, on estime entre 300 et 350 places de stationnements qui disparaîtraient dans le secteur compris entre les rues des Érables et Salaberry. » (…)
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Source: Le Carrefour de Québec 28 octobre 2008
P.S. Ce matin, j’ai vu un autobus du RTC changer de voie sur René-Lévesque pour doubler un cycliste circulant dans le couloir actuellement réservé aux autobus. Est-ce que le cohabitation vélo/bus serait plus facile sur Grande-Allée ?
30 octobre 2008 Ã 21 h 46
Le propriétaire de Ho Pino affirme que ses clients viennent de l’extérieur. Ce n’est pas un argument. (l’argument a peut-être été coupé par le journaliste.)
Ce qu’il faut se demander, c’est :
1. de savoir si ses clients viennent en voiture,
2. s’il ne viendraient plus à son resto s’ils ne pouvaient pas venir en voiture et
3. si de nouveaux clients viendraient s’il y avait moins de voiture.
Je ne suis pas certain que les commerçants sont conscients de la nuisance que causes les automobiles à leur commerce. La plus part des fonctionnaires qui vont faire leurs courses dans ce secteurs s’y rendent à pied. C’est une bonne part de leur chiffre d’affaire. L’énergie qu’ils mettent pour la protection de ces places de stationnements n’en vaut peut-être pas la peine.
Le commentaire de Jean tombe dans le mille. Pour une poignée de places de stationnements, les commerçants de Quartier sont près à laisser les cyclistes risquer leur vie dans le trafic. La proposition de déplacer le tracé sur Grande Allée n’est pas complètement mauvaise, malheureusement, la majorité des cyclistes continueront à (vouloir) passer par René-Lévesque parce que c’est plus direct et ceci, au péril de leur vie.
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30 octobre 2008 Ã 23 h 13
Ça me fait penser à une autre histoire…
Il y a 10 ans, on voyait des bars fermer de temps en temps, et d’autres qui ouvraient. Vint ensuite l’abolition du droit de fumer dans ces bars, à laquelles les tenanciers se sont férocement opposés prétextant la fin potentielle de leurs établissements. Aujourd’hui? il y a des bars qui ouvrent et qui ferment… comme avant.
Je ne sais pas si on peut comparer cela avec le cas actuel, mais j’ai l’impression que ce dernier aura même moins de répercussions que celui de la cigarette. Autrement dit, ça ne changera rien. Il y aura toujours des boutiques et des restos qui vont fermer, pour être remplacés par d’autres…
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31 octobre 2008 Ã 06 h 31
Parlant de boutiques et de la rue Cartier. Avez-vous remarqué un haut taux de fermeture dans la partie entre Fraser et René-Lévesque ? Je ne sais pas ce qui explique cela. Ca me semble beaucoup plus stable pour le reste de la rue.
Il y a le restaurant Le Shack qui est fermé (il y a eu une multitude de bannières à cet endroit depuis 10 ans). Les boutiques se succèdent aussi dans le local à côté du Shack. Même chose l’autre côté de la rue. Boutique John Deer ( Quelle mauvaise idée!), ensuite une boutique de linge, bientôt un boutique de sous-vêtements. Sans compter Nourcy 1.0 et 2.0 qui sera remplacé bientôt par une autre pâtisserie.
Quelqu’un a une théorie ?
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31 octobre 2008 Ã 08 h 21
Simple…Cout locatif trop élevé qui est comparable à celui de Place laurier. Mais avec un achalandage réduit en dehors de la saison estivale.
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31 octobre 2008 Ã 11 h 47
@Manu
Méchant bon argument ton histoire de cigarettes, les commerces qui ont perdu des clients fumeurs en ont probablement autant gagné de nouveaux non-fumeurs. On peut supposer la même logique avec la piste cyclable, ça dépend du type de commerce. Evidemment que ceux qui attirent des clients en BMW n’attireront pas des clients en CCM.
Le problème que j’ai avec ce projet de piste cyclable est plutôt son partage avec les bus. A certains endroits, il y a carrément pas de place. Ca cause problème dans des secteurs près de Turnbull/Cartier de même que le cimetière à Sillery.
@nietnietniet
Le Shack c’étaient des VOLEURS!! On y allait occasionnellement avec un de mes chums jusq’à ce qu’on se rende compte que les serveuses se « trompaient » toujours en rendant le change, évidemment toujours en leur faveur, et ce n’était pas juste une histoire de 5c mais plutôt qu’elles « s’auto-typaient » elles-mêmes. Et ce n’était pas juste une seule serveuse, on a vérifié, et c’était généralisé…. et pour le reste du service, on peut pas dire que c’était un gros char… alors ne cherchons pas pourquoi c’est fermé! Le nouvel exploitant doit en faire les frais aujourd’hui, en espérant pour lui qu’il n’a pas engagé les mêmes serveuses….
« Boutique John Deer ( Quelle mauvaise idée!) »
Mauvaise idée ou mauvais endroit? Peut-être aurait-elle fait fureur à Place Laurier ou aux Galeries de la Capitale…. quelle drôle de place la rue Cartier pour vendre du stuff de tracteurs…
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31 octobre 2008 Ã 11 h 54
Il serait important que la rue Cartier soit dotée de nombreux rack à vélos car les adeptes de ce moyen de transport sont plus nombreux à fréquenter la rue Cartier que les automobilistes. Trève de plaisanterie…
Le vélo n’apporte aucun revenu à la Ville alors qu’une partie de la taxe sur l’essence est versée à la Ville et c’est des millions par année. Quand on partage la chaussée, on paratge la facture…
J’ai hâte que les projections urbanistiques soient coordonnés et non à la pièce surtout qu’on veut apporter dans ce secteur. plus de touristes avec l’agrandissement du Musée. Faudrait peut-être prévoir des parc-o-bus à Ste-Foy et des navettes électriques pour que le vélo soit roi…
Je rappelle que lorsque que je surveillais la résidence du président de l’aéroport sur René-Lévesque, je voyais des gens se stationner sur cette artère et prendre l’autobus. On va faire quoi avec ces gens ??? Leur interdire de stationner pour installer des pistes cyclables ???
C’est ca quand on pense à la pièce et que le lobby du vélo ne pense que comme s’ils étaient seuls au monde…
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31 octobre 2008 Ã 12 h 04
« C’est ca quand on pense à la pièce et que le lobby du vélo ne pense que comme s’ils étaient seuls au monde… »
Et si l’on parlait, Fernand, du « lobby » de l’automobile et du pétrole? Je pourrais vous en citer, des études et des constats!!
Vos commentaires sont parfois constructifs – je l’ai même déjà signalés -, mais votre frustration à l’égard des « écolos » auxquels je m’identifie devient lassant et semble tourner à l’obsession…
D’où mon interrogation récurrente: pourquoi cette haine envers ceux et celles qui en toute bonne foi, veulent apporter tout simplement un peu plus de beauté et d’équité dans ce monde?
Jean cazes
Écolo, gauchiste et fier de l’être! ;-)
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31 octobre 2008 Ã 13 h 16
Les arguments du type « eux ne paient pas » et les autres du genre sont totalement farfelus.
La grande majorité des cyclistes sont aussi automobilistes et paient aussi leur gaz, leurs assurances et immatriculations. Cette taxe sur le gaz est un bon moyen de faire payer « à l’usage » pour les frais encourus pour le réseau. Les cyclistes comme tout le monde paient des impôts, des taxes à différents niveaux.
L’impact des cyclistes en général étant positif (peu ou pas de détérioration de la chaussée, espace minimal, baisse des frais en santé, etc) on peut facilement dire que l’investissement dans leur infrastructure n’est pas sur-représenté.
Les cyclistes sont loin d’être tous pauvres et ils RAPPORTENT AUSSI. Arrêtez de croire que ce sont tous des chiâleux sans argent qui réclament la lune. L’argent qu’ils n’ont pas à mettre dans leur « tinque » à gaz ils le dépensent ailleurs et font tourner l’économie.
Un de mes amis est passé récemment au vélo. À première vue il n’en aurait pas besoin. Il fait plus de 50 000$ et a une automobile avec une faible consommation d’essence. Or l’investissement dans un vélo à bas prix a plus que rapporté. Le plein qu’il a fait à la mi-juillet a duré jusqu’à la mi-octobre. Pour faire des interurbains, il prend intercar. En termes absolu c’est un peu plus cher, mais quand on compte la dépréciation et autres facteurs, il croit que ça revient à peu près le même prix (pour une seule personne). Il me dit en plus qu’il n’a jamais été aussi en forme.
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31 octobre 2008 Ã 14 h 11
Il est paradoxal que vous accrochiez sur des pointes d’ironies et que vous n’accrochiez pas sur l’essentiel: Un planification plus articulée.
Je déplore les interventions à la pièce au gré des humeurs des intervenants ou des lobbys.
J’ai dit et répète qu’il y a plus d’autos qui circulent que de vélos et que la saine convivialité et le partage doitêtre harmonieux. On ne tasse pas les autos pour mettre des vélos.
On commence à bâtir l’agrandissement du Musée pour amener plus de touristes dans le secteur. Qui dit touristes dit autobus et voitures supplémentaires. Qui a pensé à inclure cette donnée dans le portrait. Personne sauf moi, un ex administrateur public et privé qui n’a pas encore perdu le nord même si ca choque.
C’est pas vrai qu’en donnant plus de place aux vélos ca va décourager les automobilistes de prendre leur auto. Au contraire ca crée un antagonisme et des prises de positions extrêmes de part et d’autre au détriment de l’harmonie et du respect mutuel. Il ne faut pas se venger sur les maudits automobilistes. ils ont droit de cioté tou comme les piétons et tout moyen de transport.
Faites attention Monsieur Cazes quand vous pestez contre les pétrolières, vous pestez contre nos fonds de pension, la Régie de Rentes, la CSST, la SSAQ, la Caisse de Dépôt, etc… C’est pas surprenant que la caisie de dépôt ait 30% de diminution de ses rendements. Elle place dans les pétrolières et les banques. Et qui dit ces deux domaines parle de difficultés passagères.
Au fait les 3/4 des actions des pétrolières sont détenues par nos fonds de pension, la Caisse de Dépôt. les fonds mutuels ou sont nos REER et des individus qui placent leur argent eux-même dans des REER. Je me rappelle que Pétro Canada a été créé par le gouvernement de Trudeau avec l’argent de nos taxes et quand ils ont voulu développer Hibernia, ils ont fait appel au capital-action. Le jour de l’émission les mêmes fonds de pension ci-haut et la caisse de dépôt se sont rués pour en acheter laissant peu de place aux autres. Quans les écolos qui ne comnnaissent rien en économie, démonisent les pétrolières, ils s’attaquent à notre porte-feuille et à la và base économique qui les fait vivre…
Mais quand la génération Y refuse la société dans laquelle on vit et qui est l’héritage de notre génération des boomers et que l’on veut nous faire accroire qu’il faut laisser un héritage à la génération qui sera là dans 100 ans, argument massue des environnementeurs, je saute en l’air…
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31 octobre 2008 Ã 14 h 14
« C’est pas vrai qu’en donnant plus de place aux vélos ca va décourager les automobilistes de prendre leur auto.  »
C’est drôle car ce paragraphe me fait penser à la Promenade de Champlain. Je penses qu’il n’y a jamais eu autant d’autos… dont plusieurs avec des racks à bicycle!
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31 octobre 2008 Ã 15 h 47
@ Jean
Vos commentaires sont parfois constructifs – je l’ai même déjà signalés -, mais votre frustration à l’égard des “AUTOMOBILISTESâ€? auxquels je m’identifie devient lassant et semble tourner à l’obsession…
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31 octobre 2008 Ã 21 h 16
On ne parle pas d’enlever les autos, on parle d’une piste cyclable… ce ne sont quand même pas quelques cases de stationnement en moins qui vont faire la différence!
On a rasé la moitié du quartier St-Louis pour faire des bureaux et pour passer le boulevard René-Levesque (St-Cyrille jadis). On va pas perdre les pédales pour une simple piste cycblable?
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31 octobre 2008 Ã 21 h 39
Erick réfléchi avec ta tête. Le boulevard Champlain avait l’espace voulu npour le faire. Il en est autrement du boulevard René-Lévesque.
Les vélos ont maintenant deux choix quand ils viennet de l’ouest : Boulevard Champlain ou le boulebvard Laurier ou des pistes sont aménagées. Le problèeme est que rendu à Holland La grande _Allée qui fait suite a une plate-bande au milieu avec des arbeà res matures dessus et de chaque coté des chaussées des arbres et peu d’espace pour aménager quelque chose. Alors on bifurque sur René-LÉvesque et encorte là les problèmes d,aménagem,ent sont nombreux. On enlève à pierre pour donner à Jean. Faut éliminer des places de stationnement our faire passer la piste cyclable et c’est là a ou le bât blesse. On les mets ou les autos ??? Au risque de me répéter, le Musée dà s’agrandi dans le coin et celà amèenera encore plus de trafic routier. On fait quoi ?
J’ai parlé de navettes électriques comme dans les vieux murs avec des parc-o-bus à Ste-Foy. C’est une partie de la solution. C’est pas pour rien que le maità re Labeaume s’est emballé avec l’idée d’une piste cyclable et qu’ensuite il s’est refroidi en disant que ce n’est pas si simple que celà …
C’est le même problèeme pour le tramway sur Laurier et Grande-Allée. Déjà en face de la RANÀÇMQ le matin ca bonà uchonneà deux voies, qu’est-ce que ca sera quand le tramway en coupera une voie de chaque sens. Imaginez vous pas que parce qu’il y a un tramway ca enlèeve des autos dans le chemin. Regardez à Bordeaux, ils ont été obligés de construit=re plià us de 2,000 places de stationnement souterrain pour compebà nserpour l’espace enlevée aux autos. Ceux qui vont à Toronto ou Calgary, deux villes avec des tramways, remarqueront que les autos sont aussi nombreuses…
C’esy vbeau de faire de l’urbanisme mais des fois le gros bon sens n’est pas nécessairement au rendez-vous. Surtout quand certains partent sur des schirres dogmatiques ou esthétiques. Il ne suffit pas que vca soitr beau, il faut que ca soit aussi pratique et convivial…
C’est pas de ma faurte si on a concentré la fonction publique sur la colline parlementaire et que de fois en fois on en diminue l’accès…
Je l’ai dit, j’ai observé pendant plusieurs jours des gens stationner leur autos sur René-Lévesque entre 7 et 8 heures le matin et prendre l’autobus pour atteindre la colline parlementaire et revenir se déstationner à la fin de l’après-midi en ressortant d’un autobus. Il y en a plusieurs qui font ca et qui résident soit sur la rive-sud, dans Portneuf, Cap-Rouge ou St-Augustin. O dirait que nos fonctionnaires n’ont pas de vision. VCa me fait penser au manque de coordination des feux de circulation sur certaines artèeres importantes, ca aussi ca fait marcher des autos au ralenti comme la congestion des ponts le matin…
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31 octobre 2008 Ã 22 h 21
« @ Jean
Vos commentaires sont parfois constructifs – je l’ai même déjà signalés -, mais votre frustration à l’égard des “AUTOMOBILISTESâ€? auxquels je m’identifie devient lassant et semble tourner à l’obsession… »
Vraiment? Bof! ;-)
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1er novembre 2008 Ã 09 h 02
La même chose s’est passé lorsqu’ils ont aménagé la piste cyclable sur DeMaisonneuve à Montréal – plein de commercants paranos qui s’attendaient à l’apocalypse.
Je demeure convaincu que l’axe a privilegier est la rue Saint-Jean/chemin Sainte-Foy. Il y a beaucoup plus de gens qui vont du centre ville a l’université de Saint-Jean-Baptiste/Saint-Sacrement que dans les hauteurs de Montcalm. Voila pourquoi l’idée de Grande Allée est encore plus nul.
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3 novembre 2008 Ã 10 h 07
@Patrick
Sa seule raison valable d’utiliser la Grande Allée serait la facilité déconcertante d’y implanter une piste cyclable vu c’est pas la place qui manque. Mais comme tu dis, c’est plutôt l’axe du Ch. Ste-Foy l’idéal, même si c’est le plus difficile techniquement. Ca me parait pourtant faisable, vu que cette artère est à 4 voies sur presque toute sa longueur. S’agit de réduire à 3 voies en gardant la voie du centre pour les virages à gauche dans les 2 sens, ce qui à mon avis demeure viable pour les automobilistes, et on vient d’y récupérer une voie pour une piste cyclable à double sens, protégée par une chaine de trottoir comme on en voit à Montréal.
L’idée d’utiliser René-Lévesque me semble plutôt une façon de faire ça à la cheap en se contentant de peinturer des lignes de chaque coté de la rue comme sur le boul. Père-Lelièvre.
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