Source: Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, 5 novembre 2008.
Le recteur Denis Brière est «extrêmement inquiet». Deux mois après l’annonce officielle faite par Ottawa, l’argent pour la construction du Super PEPS de l’Université Laval n’est toujours pas disponible, ce qui retarde encore une fois la première pelletée de terre, dit-il. Pendant ce temps, la facture grimpe.
M. Brière ne se gêne pas pour déplorer les manipulations politiques entourant ce projet de 85 millions $, ballotté au gré des campagnes électorales. «Ce que je n’aime pas, c’est que ce dossier a été très politisé. Je me sens mal à l’aise avec ça. On se sert tout le temps du projet en campagne électorale et pendant ce temps, le projet n’avance pas», a affirmé M. Brière au Soleil, hier. (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Super PEPS : la première pelletée de terre attendra.