Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Projet de 235 M $ au Mesnil

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 novembre 2008 30 commentaires

Source: Pierre-André Normandin, Le Soleil, 14 novembre 2008.

Un projet de 235 millions $ promet de faire pousser un nouveau quartier résidentiel d’ici six ans au Mesnil, dans Les Rivières. Un consortium de trois entreprises a fait l’acquisition d’un important terrain pour y construire 1155 logements.

Le carrefour giratoire voilà deux ans sur le boulevard La Morille cessera donc d’être une simple curiosité en plein coeur d’un champ. Aménagé dans ce qui semblait être le milieu de nulle part, le rond-point sera appelé à servir de principale porte d’entrée à ce nouveau quartier grand comme la moitié du Vieux-Québec intra-muros. (…)

Les promoteurs se donnent six ans pour ériger 1155 unités d’habitation au nord des Galeries de la Capitale. La Ville souhaitant voir naître un quartier densément peuplé, le secteur n’accueillera pas de maisons unifamiliales. Y seront plutôt érigés des jumelés, des maisons en rangée, des semi-détachés et des immeubles accueillant plusieurs familles. Un calcul rapide permet d’entrevoir une valeur moyenne des logements de 200 000 $.

La vente complétée, la première pelletée de terre ne devrait néanmoins pas survenir avant mai prochain. (…)

La suite. À consulter, entre autres billets: Carrefour giratoire à Québec: Une première.

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières, Condo, Logement locatif ou social, Nouvel urbanisme.


30 commentaires

  1. Erick

    14 novembre 2008 à 16 h 59

    Quand je dis que Lebourneuf est un 3e centre-ville en devenir…

    Je suis pas si sure toutefois qu’ils vont trouver aussi facilement 1155 familles prêtes à payer 200K pour se loger si la récession qui commence à nous effleurer prend l’allure de ce qui se passe aux USA.

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  2. Goldoche

    14 novembre 2008 à 23 h 02

    La récession ne durera pas éternellement.

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  3. Yvan Dutil

    15 novembre 2008 à 09 h 14

    Comme la cause fondamentale de la récession c’est la rareté du pétrole, c’est pas demain la veille qu’elle sera terminée.

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  4. arr4ws

    15 novembre 2008 à 09 h 20

    Yvan Dutil: c’est drole … je croyais que c’étais les prêts a haut risque la cause de la récession actuelle.

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  5. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    15 novembre 2008 à 09 h 21

    Récession? Les centres commerciaux seront pleins dans les prochaines semaines…

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  6. Patrick

    15 novembre 2008 à 11 h 35

    À ma connaissance,les prêts hypothécaires à risques ont causés une crise finacière lorsque les défauts de paiments se sont multipliés. Cette crise financière (difficulté d’obtenir des prêts) a causée la crise économique, ou récession (diminution du PIB).

    Pour ce qui est du prix élevé des matières premières en général et du pétrole en particulier, on craignait que cela cause de la stagflation (diminution du PIB et augmentation de l’inflation). Or, avec la baisse très importante du prix du brut depuis quelques mois (il est passé de 145$ à 55$ le baril), l’inflation n’est plus à craindre.

    http://www.boursorama.com/graphiques/graphique_histo.phtml?symbole=CLDC08

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  7. Paul Bienvenue

    15 novembre 2008 à 11 h 46

    On dit « au Mesnil » ou « dans le Mesnil »?

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  8. Fernand

    15 novembre 2008 à 11 h 50

    Yvan Dutil, le prof biaisé, parle de rareté du pétrole et il est dans le champ de patates. On peut parler de blocus des écolos pour aller explorer d’auitres réserves. Les réserves actuelles en exploitation sont évaluées à 60 ans pour le pétrole et 100 ans pour le gaz naturel.

    Le Brésil vient de découvrir la deuxièeme réserve mondiale de pétrole mais les écolos l’empêchent d’aller de l’avant car c’est du « off shore ». Ils préfèrent affamer le monde (lutte contre les OGM et pour l’Éthanol) et faire de nous des pauvres. D’ailleurs la simplicité volontaire est leur moto et il planifient la décroissance depuis des lunes.
    En passant la baisse du prix deàu baril fait srtopper toute expansion des exploitation des sables bitumineux car en bas de 95$ c’est non rentable. Certains se réjouiront mais quand 12% du budget du Québec (8,4 milliards) provient des redevances du pétrole, le Québec en payera le prix un jour…

    Pour revenir au projet, c’est du solide et je connais les promoteurs, C’est pas des deux de pique. Le projet prendra dix ans à se réaliser ou plus, les compagnies du consortium sont capables à moyen terme de tout réliser. Constrobourg a vendu plus de 200 maisons l’an passé…

    Par contre, il faudra installer des infrastructures pibliques y compris des circuits d’autobus adéquats, des loisirs et des services d’urgence. Et ca , ca va coûter plus que 8 millions payé pour acquérir les terrains de la ville. Pas grave les taxes de ces nouvelles résidences viendront compenser. Un projet comme ca, ca s’appelle développer la Ville, d’autres ayant des esprits étroits, appelleront ca de l’étalement urbain…

    Ce sont les mêmes qui se sont opposés au prolongement de Du Vallon. Allez voir comment ca se développe dans ce coin et vous verrez que 1,100 maisons c’est pas exagéré comme projet.

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  9. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    15 novembre 2008 à 13 h 00

    Fernand: pouvez-vous dire un SEUL mot de positif sur les écolos, même si vous êtes un adepte de la fuite en avant?

    Jean
    Un écolo pro Kyoto, à gauche et pro simplicité volontaire! ;-)

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  10. Yvan Dutil

    15 novembre 2008 à 15 h 27

    @Fernand

    On en plus dans les années 60, le pétrole se fait rare. C’est Jeff Rubin, l’économise en ched à la CIBC World Markets qui a montré que la hausse du prix du pétrole à été le déclancheur de la crise du crédit aux USA. Pour ce qui est de la rareté, l’Agence Internationale de l’Énergie est tout à fait d’accords avec mon diagnogstic dans son derniere rapport date du 11 novembre 2008. Vous pouvez faire toutes les affirmations sans fondements que vous voulez monsieur Trudel, vous êtes dans le champs, vous n’êtes jamsi sorti des années soixante et les seuls modèles de dévellopement que vous connaissez datent de cette époque révolue.

    Pour ce qui est du gisement de Tupi au Brésil, c’est pas les écologiste qui empêche son exploitation mes des difficultés techniques considérable. Le pétrole de ce gisement se trouve à une profondeur extrême sous une couche de sel. J’usqu’ici personne n’a réussit à produire ce chamsp de façon commerciale.

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  11. jeff

    15 novembre 2008 à 18 h 42

    un de mes ami travaillait sur des plan fin années 90 et m’a parler que le mesnil et le secteur pierre bertrand développerait et que tout était fait pour enligner l’argent dans ce secteur..
    il ne s’est pas tromper!!

    il ya quelques mois ….
    un autre chose qu’il ma dit sur des nouveau plan: un liaison qui se ferait entre jean talon ouest ( rue pour se rendre au marché au puce)à le haut de lebourneuf d’ici les 10 prochaines années

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  12. Manu

    15 novembre 2008 à 21 h 02

    Ce qu’on connaît comme développement aujourd’hui (autant les rédisences que les bureaux) dans ce secteur devait se faire il y a 20 ans… la récession a alors tué le projet dans l’oeuf. Toutefois, à cette époque, on partait pratiquement de rien. Là, le secteur est plutôt sur une fulgurante lancée. Alors même avec une récession, j’ai bien l’impresion que ça ne mourra pas.

    @jeff : du côté de Pierre-Bertrand, c’est pas mal déjà complété, non? et pour Jean-Talon Ouest, ça va très longtemps que la ville pense à le raccorder à Bastien (autrefois St-Joseph) à la hauteur de Chauveau et non Lebourgneuf. Totuefois, si on ne parle pas du boulevard, mais plutôt du quartier Lebourgeuf, alors nécessairement c’est dans ce quartier que ça se fera, puisque Jean-Talon Ouest s’y termine.

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  13. feuille

    15 novembre 2008 à 23 h 44

    Allez faire un tour du cote de Toronto, au nord de la 401 pres de Wonderland, et vous y trouverez des tonnes de nouveaux quartiers denses de ce genre [extrapolation] en plein milieu de nulle part. Les petites maisons sont toutes collees les unes sur les autres, et le peu d’espace qui reste est souvent dedie au stationnement a l’avant et a un enclos sans vegetation a l’arriere. Les gens font reference a leur maison comme d’un appartement dans un complexe tellement les quartiers sont uniformes. Le matin vers 5h, on se reveille avec le bruit des premieres voitures qui partent vers la ville en remplacement des petits oiseaux. Je pourrais continuer comme ca longtemps…

    Je ne suis pas contre ce genre de projet mais je comprend mal pourquoi tant de gens sont pretes a payer si cher pour s’installer en ceinture de la ville et obtenir une si pietre qualite de vie.

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  14. Fernand

    16 novembre 2008 à 00 h 01

    Mon cher Yvan Dutil vous croyez n’importe quoi. Allez donc sur les sites des pétrolières et regardez les réserves et les claims détenus. Mais non vous vous fiez sur des ragots…

    On est assis sur une réserve de gaz naturel de Drummondville à la Gaspésie. Shell a exploité avec Air Liquide des puits dans Lotbinière qui forunissaient la coimenterie St-Laurent et la Brique Citadelle. Il y avait sur la 20 deux camions citernes qui faisiaent la navette 24 heures par jour. Le 3 avril dernier le devoir titrait : « Du gaz naturel au Québec »…

    http://www.ledevoir.com/2008/04/03/183358.html

    Allez sur le site de Pétro-Canada et regardez les exploitation « off Shore » dans le golfe St-Laurent, les explorations dans l’arctique et le’histoire de l’exploitation des sables bitumineux.. On a trouvé des réserves près de l’ile de sable et même près des Iles-de-la Madeleine. Terra-Nova, Hibernia, White Rose et Hebron vous connaissez. Explorez ce site avant de parler. Et j’en ai d’autres…

    http://www.petro-canada.ca/fr/about/705.aspx

    J’ai travaillé dans la vérification comptable 35 ans et j’ai eu l’occasion de vérifier et visiter toutes les pétrolières opérant au Québec. Je ne parle pas de oui-dire…

    J’ai visité la Baie de James en 1983 et vu les expérience sur l’Hydrogène au barrage LG2 par Stuart Energy. On fournissait 4 avions cargos qui prenaient leur hydrogène fabriqué à LG2 à Mirabel. Depuis ce temps je suis ce titre à la bourse. Ca s’est fusionné pour devenir Hydrogenics.

    http://www.hydrogenics.com/

    Puis, j’ai suivi les recherches de l’UQTR à Shawinigan dans son « Institut de recherche sur l’hydrogène ». Vous savez la Cité de l’Énergie…

    http://irh.uqtr.ca/bienvenue/index.php

    Puis le MIT et sa découverte sur les nano batteries.

    http://www.lefigaro.fr/automobile/20070413.FIG000000179_naissance_d_une_batterie_revolutionnaire.htm

    Puis les progrès dans le domaine de l’automobile. Pour ceux qui ne le savent pas j’ai été vice-président, directeur-général et contrôleur de La Canardièere Datsun Inc. dans les années 70. Je magageais une concession de 600 empoloyés qui vendait 2,500 autos neuves par année. J’ai pas été seulement dans le public…

    J’ai d’abord suivi les progrèes de la voiture conçue par Hydro, la Cleannova fabriquée par le français Marcel Dasseault.

    http://www.cleanova.com/public/sve/
    https://www.quebecurbain.qc.ca/2008/03/29/une-heure-pour-la-terre/

    Puis je m’intéresse aux recherches sur l’automobile.

    http://www.clean-auto.com/

    Je crois en l’intelligence des humains et aux progrèes de la recherche.

    Les études pour payer les joints des rêveurs j’en ai marre…

    Saviez vous que l’entreprise d’Al Gore, Generation Investment Management, avait pour banquier la banque américaine Lehman Brothers. Je dis « avait » parce que cette banque a fait faillite! C’est très hilarant quand on sait que cette vieille institution avait misé sur les échanges de carbone et, qu’à cette fin, elle avait pondu un rapport hyper-alarmiste sur les changements climatiques. Et ce rapport était devenu une bible. On le citait, on l’invoquait, on l’encensait. Les Verts avaient placé ce rapport sur le même pied que celui du GIEC.

    Clairvoyance prise en défaut
    Mais, la banque a fait faillite. Vous ne trouvez pas ça comique? Lehman Brothers a concocté un gros rapport qui vous prédisait péremptoirement la température qu’il ferait en 2062 ou bien en 2100; elle n’a pas pu pressentir que, dans moins de douze mois, elle serait en banqueroute! Si sa clairvoyance générale était si médiocre pour une seule année, imaginez-vous ce qu’elle pouvait être pour un siècle.

    Et dire qu’Obama injecte l’argent des payeurs de taxes pour sauver de tel canard boiteux.

    Des légendes urbaines pour nous entrainer dans la pauvreté (simplicité volontaire), je sais les reconnaitre et les dénoncer…

    Jean si tu es bien en vélo à rêver et vivre de l’air du temps au crocher àt des autres. C’est ton choix, pas le mien…

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  15. Fernand

    16 novembre 2008 à 00 h 15

    Jean. j’en ai dit des choses positives sur l’environnement dans le texte précédent et je démontre que j’évolue et que j,ai toujours netoyé mon perron même si je ne crois pas aux sornettes de l’ONU et de son bras politique, le GIEC.

    Voici ce qu’on lit sur les sites écolos.

    La décroissance, c’est quoi ?
    Un prolongement de la simplicité volontaire vers le socio-politique.

    source: Les AmiEs de la Terre

    Autrement dit du socialisme ou tout le monde est pauvre par choix martelé par des faussetés médiatisées. Pour ce faire on vise à utiliser la politique à cette fin…

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  16. Fernand

    16 novembre 2008 à 00 h 39

    Marcel leroux, ce scientifique de renommée mondiale écrivait un livre de 500 pages dont le titre est évocateur : « Réchauffement global : Mythe ou réalité ? Les errances de la Climatologie ».

    L’auteur n’est pas un inconnu, Marcel Leroux qui vient de mourir, était professeur de climatologie à l’Université Jean Moulin et directeur du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement, tous deux à Lyon. Il a déjà depuis une vingtaine d’années critiqué le Groupe d’International d’Experts sur le Climat (GIEC). Il pense que les températures sont le résultat des dynamiques des systèmes climatiques dans le contexte de nombreux espaces aérologiques distincts dans le monde, et pas d’équations hypothétiques de modèles climatiques.

    Leroux a entrepris d’écrire son livre afin de décrire le triste état vers lequel la climatologie a dérivé dans les 20 dernières années, depuis qu’elle est entrée sur la scène politique, et de montrer que la climatologie elle-même est aussi à blâmer pour cette dérive.
    « Il ne se passe pas une semaine sans un nouveau ‘scoop’… emplissant nos écrans et les pages de nos journaux », écrit-il. « Le ‘réchauffement global’ provoqué par l’effet de serre est de notre faute, comme n’importe quoi d’autre, et le message/slogan/désinformation devient de plus en plus simpliste, de plus en plus rudimentaire. Il ne pourrait être plus simple : si la pluie tombe ou la sécheresse sévit ; si le vent souffle en tempête ou s’il n’y a rien du tout ; s’il fait chaud ou gèle fort ; tout cela est provoqué par l’effet de serre, et nous sommes à blâmer. Un argument facile, mais stupide. »

    Lisez bien l’analyse des rapports du GIEC que Leroux en fait et que persiàonne ne peut nier.

    « Le quatrième rapport du GIEC pourrait tout aussi bien décréter la suppression des manuels de climatologie, et les remplacer dans nos écoles par des communiqués de presse… Jour après jour, la même mantra…que ‘la terre se réchauffe’ est matraquée sous toutes ses formes. Dés que ‘la glace fond’ et ‘le niveau des mers s’élève’ l’Apocalypse semble se rapprocher ! Sans s’en rendre compte ou peut-être sans le vouloir, le citoyen moyen est submergé, lobotomisé, réduit à une acceptation sans réflexion… Ceux qui ne croient pas au scénario de l’effet de serre sont dans la position de ceux qui, il y longtemps, doutaient de l’existence de Dieu… heureusement pour eux, l’Inquisition n’est plus de ce monde. »

    D’après Leroux, le premier rapport contient déjà les idées centrales de ce qui est connu comme le ‘réchauffement global’, mais le ton est modéré et il n’est pas fait mention de la responsabilité de l’homme.

    Le deuxième rapport n’apporte rien de neuf du point de vue scientifique, mais, surprise soudaine, la race humaine est tenue responsable du réchauffement global.

    Comment s’est effectué ce tournant ? De nouvelles découvertes scientifiques ? Non, c’est le résultat d’un coup scientifique en un tournemain.

    Le scandale a été révélé par différentes personnes impliquées, dont Frederick Seitz, président émérite de l’Université Rockfeller et président du George C. Marshall Institute de Washington. Dans sa lettre au Wall Street Journal, le 12 juin 1996, il écrit :
    « [Mais] ce rapport [du GIEC] n’est pas ce qu’il paraît être – il n’est pas la version qui a été approuvée par les contributeurs scientifiques listés en page titre. En plus de 60 ans comme membre d’une communauté scientifique américaine, y compris comme président à la fois de l’Académie Nationale des Sciences et de la Société de Physique Américaine, je n’ai jamais été le témoin d’un tel détournement du protocole d’évaluation par les pairs que les événements qui ont conduit à ce rapport du GIEC. »

    Une comparaison entre le rapport approuvé par les contributeurs scientifiques et la version publiée révèle que des changements clés ont été faits après que les scientifiques se soient réunis et aient accepté ce qu’ils pensaient être la version finale après évaluation par les pairs…
    Peu de ces changements étaient de pure forme ; presque tous ont œuvré à enlever toute trace de scepticisme avec lequel les scientifiques considèrent que les activités humaines ont un impact majeur sur le climat en général et le réchauffement global en particulier.

    Les passages suivants sont des exemples de ceux inclus dans le rapport approuvé mais supprimés de la version publiée supposée validée par évaluation par les pairs
    – « Aucune des études citées plus haut n’a apporté de preuve claire que l’on peut attribuer les changements du [climat] observés à la seule cause de l’accroissement des gaz à effet de serre ».
    – « Aucune étude n’a actuellement attribué avec certitude tout ou partie [des changements climatiques observés aujourd’hui] à des causes anthropiques [effet de l’homme] »
    – « Toute assertion d’une détection claire d’un changement significatif du climat doit rester l’objet de controverses jusqu’à que les incertitudes sur la variabilité naturelle du système climatique soient réduites. »

    Au lieu de cela, le texte suivant a été inséré : « Le bilan des preuves suggère une influence humaine discernable sur le climat global ». En dépit de tout, cette vue a été imposée, et malgré la controverse qui s’en est suivie, l’idée n’a pas été abandonnée.

    Wowe voilà comment on manipule l’opinion publique. Continuons…

    Le troisième rapport apporta un deuxième coup scientifique. Il augmenta la valeur prévue de l’augmentation prévue de température, et confirma l’argument grâce à la courbe en « crosse de hockey » -récemment démontrée comme étant un faux- déclarant que les températures dans les époques récentes sont plus élevées que ce qu’elles ont été depuis un millier d’années. De plus, le spectre des conséquences de l’effet de serre a été considérablement grossi, de telle manière qu’il rende compte de tout phénomène météorologique.

    La célèbre courbe en « crosse de hockey », médiatisée par le 3e rapport du GIEC en 2001
    et reprise largement dans divers rapports officiels ou activistes, souvent sans la zone
    d’incertitude. Elle a été réfutée par plusiewurs scientifiques depuis et a disparu du 4e rapport du GIEC 2007 comme par enchatement. Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose…
    Leroux attire également l’attention sur la Convention Cadre des Nations Unies sur le changement climatique, dont l’article 6 sur l’éducation et la formation qui oblige les participants à sensibiliser le public, à un niveau national, au changement climatique et à ses effets. Les états signataires de la convention sont ainsi amenés à adopter le concept de « changement global » au plus haut niveau institutionnel, de l’imposer comme un dogme indiscutable (c’est à dire une sorte de religion d’Etat soustraite au débat). En France, ajoute Leroux, les « serviteurs » de l’Etat -et, en leur nom, tout à la fois les média audiovisuels et les instituts- se sentent obligés de propager le dogme officiel, tout à fait comme une certaine presse officielle des pays de l’Est à leur apogée ; faisant l’écho du Lysenkoïsme, elles forment l’opinion publique en faveur des thèses officielles.

    Dans son étude des contributions relatives des différents gaz à effet de serre, y compris le plus important d’entre eux, la vapeur d’eau, qui représente 95% de l’effet de serre total, il calcule que les activités humaines comptent seulement pour 0,28%, ce qui n’est pas très excitant. En conséquence, il soutient que nous devons nous débarrasser de notre obsession infondée de l’effet de serre anthropique, reconsidérer le problème du changement climatique d’une autre manière, rétablir la bonne hiérarchie des phénomènes et donner à « l’effet de l’eau » l’importance majeure pour le climat qu’il mérite.

    Surtout, Leroux pense que la climatologie a pris peu à peu ses distances avec l’étude des faits réels, la dynamique du temps et des climats, notamment en raison de l’influence grandissante des modélisateurs. Elle est devenue un concept bloqué depuis plus de 50 ans. « Nous ne pouvons réellement savoir quel est le temps qu’il ferait dans deux ou trois jours », écrit-il, « mais maintenant tout cela a été gommé en un instant ! Maintenant, cela est proclamé sans hésitation, nous pouvons prédire le temps et le climat (qui est la somme des temps) aussi loin que l’année 2100… Astrologie ou science ? »

    Oui des devins comme Lehman Brothers ont pris la relève et Jean Cazes croit fermement à ces sornettes…

    Jean respecter la nature et ne pas la forcer à se rebiffer, j’en suis mais croire que l’homme est la cause de tous les maux est irresponsable et insensé. Les écolos pour des $$$ claironnent des faussetés et je le déplore grandement…

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  17. Yvan Dutil

    16 novembre 2008 à 12 h 28

    @Fernand,

    Le petit texte de propagande que vous venex de nous passer contient deux erreurs formelles:

    -Le « hockey stick » de Mann n’a pas été démontré faux. Au contraire, en raison de la controverse, le papier à été étudié en détail par une commission indépendnate et a montré que ces conclusion étaient correcte. Depuis 1998, plus d’une trentaine d’articles scientifiques indépendant sont arrivés aux mêmes conclusions.

    -La contribution du C02 dépasse largement 5% contrairement à ce que vous affirmez. La vapeur d’eau produit entre 35% et 65% de l’effet de serre. Le CO2 c’est entre 9% et 26%. La contribution dépend de l’humidité relative dans l’air, elle est donc variable dans le temps et dans l’espace. Seul des modèles globaux peuvent capturer la valeur moyenne sur une année. Dans tous els cas de figures, la contribution d el’eau est bien inférieure à 95% ou 98% comme vous l’affirmez.

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  18. Paul Bienvenue

    16 novembre 2008 à 13 h 31

    Le problème avec le hockey stick, c’est qu’il change grandement si on change la date du bout du manche.

    Mettez-la à -500 000 ans, pour voir …

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  19. Carol

    16 novembre 2008 à 17 h 32

    « Les réserves actuelles en exploitation sont évaluées à 60 ans pour le pétrole et 100 ans pour le gaz naturel. »

    Sommes-nous obligés d’attendre de passer au travers de ces réserves, avant de changer de technologie ?

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  20. Yvan Dutil

    16 novembre 2008 à 18 h 03

    @Paul

    Justement, avec les sondages de Vostok et EPICA on remarque que le CO2 n’a jamis dépasser les 300 ppm, on atteint 380 ppm et on monte encore. La température est probablement la plus chaude depuis 120 000 ans et peut-être depusi 2,5 millions d’années. Mais, surtout c’est le changement extrêment rapide par rapport à tout ce que la Terre à connu durant le dernier 800 000 ans.

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  21. Paul Bienvenue

    16 novembre 2008 à 19 h 44

    Nonobstants les sempiternels débats sur lesquels il n’y a jamais de consensus, soit 1. est-ce qu’il y a un réchauffement et 2. est-ce qu’il est causé par l’homme, ce qui est intéressant, c’est lorsqu’on s’attarde aux conséquences.

    Alors on réalise que l’on navigue dans la spéculation et dans l’alarmisme. Même que selon le GIEC, le réchauffement serait plutôt positif pour nos régions… Bref, dans 100 ans, le Mesnil aura le même climat qu’Albany, NY. Est-ce que ça mérite autant tout notre attention? Cette énergie ne devrait-elle pas être mise sur des problèmes plus urgents?

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  22. Yvan Dutil

    16 novembre 2008 à 20 h 17

    Le effets du réchauffement pour le Québec ont été étudié en détail par le groupe Ouranos.

    Les principaux problème sont la fonte du pergélisol dans le nord, la hausse du niveau de la mer et la baisse du niveau du Saint-Laurent. Ces deux dernier phénomènes vont avoir un impact considérable sur toute la région cotière du fleuve.

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  23. Erick

    16 novembre 2008 à 20 h 49

    @Manu

    La récession n’empêchera pas ce secteur de se développer à long terme mais il est fort probable qu’elle en ralentisse le développement, et si elle s’agrave, qu’elle en gèle carrément le développement en attendant la reprise. Dans le pire des scénarios, les promoteurs de ce nouveau paté de maisons se casseront la gueule et feront faillite, mais un autre rechètera à rabais et repartira le tout lorsque le marche hypothécaire reprendra.

    Et dire qu’autrefois tout Lebourgneuf n’étaient que des terres de cultivateurs inutilisées. Celui ou ceux qui en étai(en)t proprio a dû faire une fortune en les revendant…

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  24. Paul Bienvenue

    16 novembre 2008 à 20 h 51

    « Ces deux dernier phénomènes vont avoir un impact considérable sur toute la région cotière du fleuve. »

    Mais encore?

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  25. Paul Bienvenue

    16 novembre 2008 à 21 h 14

    Alors je vais répondre à ma propre question.

    SOurce: http://www.ouranos.ca/cc/changclim9.pdf

    Prémisse: « Pour le Québec, selon divers modèles mondiaux de climat, ce sont dans un scénario moyen des augmentations
    de température en été de 2 à 3 °C dans le Sud (sous 50° N) »

    (Rappelons que nous vivons dans une région ou la variation annuelle est d’environ 64 degrés Celcius)

    Conséquences concrêtes:

    – Fonte du pergélisol: Les villages, en partie ou en totalité, construits sur des sols argileux, riches en glace, pourraient connaître
    des dommages importants et nécessiter d’ici quelques années des mesures d’atténuation d’impacts et
    d’adaptation pouvant comprendre des relocalisations plus ou moins importantes

    – Forêt: Plusieurs études ont montré qu’une augmentation de température et des concentrations de CO2 pourrait
    avoir un effet positif sur la croissance et la productivité de plusieurs essences forestières.

    – Hydro-électricité: Les scénarios climatiques présentement disponibles laissent entrevoir que le bilan hydrique,malgré
    la hausse des températures et de l’évaporation, permettrait d’amener plus d’eau dans les réservoirs du
    Nord québécois.

    – Érosion: L’accentuation de l’érosion côtière aurait des impacts importants notamment en coûts d’infrastructures
    municipales et routières, mais aussi en dommages aux propriétés résidentielles et commerciales situées
    au bord de la mer.

    – agriculture: il semble que l’agriculture pourra
    s’adapter assez efficacement au réchauffement
    des températures par les choix de ses cultures
    si elle peut compter sur une bonne irrigation.

    – tourisme: les centres de ski pourraient devoir effectuer des investissements supplémentaires pour
    maximiser leur enneigement.D’autres activités hivernales, dans le Sud du Québec tels le ski de randonnée
    ou la motoneige, pourraient connaître des difficultés croissantes. Par contre, plusieurs autres activités
    récréatives bénéficieraient largement d’un adoucissement des températures, qu’il s’agisse des activités
    nautiques, du golf, des autres sports d’extérieur ou encore de la marche en forêt favorisant ainsi l’ensemble
    de l’industrie touristique québécoise.

    – santé:Sur le plan de la santé humaine, des étés plus chauds comportant de plus longues périodes de canicule
    et une dégradation de la qualité de l’air, particulièrement dans le sud, entraîneraient une augmentation du
    taux de mortalité et de maladies respiratoires et cardiovasculaires, même si une acclimatation progressive
    pourrait réduire de beaucoup l’impact initial.

    (notons au passage que les gens de la région d’Albany vivent dans des conditions épouvantables en ce moment. ceci est de l’ironie.)

    – énergie: les changements climatiques devraient se traduire par une réduction
    des besoins totaux ainsi que par une diminution encore plus importante de la demande de pointe, plus
    coûteuse à satisfaire.Dans l’ensemble, il pourrait s’agir d’économies annuelles croissantes atteignant
    plusieurs centaines de millions de dollars.

    En résumé: il n’y a vraiment pas de quoi s’alarmer. Et en plus, nous avons 100 ans pour nous préparer ces conséquences horribles.

    Est-ce qu’on peut parler de recherche sur le cancer maintenant?

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  26. Yvan Dutil

    17 novembre 2008 à 00 h 16

    @Paul:Est-ce qu’on peut parler de recherche sur le cancer maintenant?

    Justement, les recherches sur le cancer montrent que c’est du coté de la prévention que les gains seraient les plus importants. Mais, le curatif c’est plus glamour, même si cela ne donne pas grand chose au bout de la ligne.

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  27. Tanné

    17 novembre 2008 à 01 h 04

    Le site QuébecUrbain est fort intéressant à consulter, pour connaitre divers points de vue sur l’urbanisme dans la ville de Québec. Par contre, les abondantes interventions de Fernand versent trop souvent sur le même bord, c’est à dire contre, peu importe le sujet. Je trouve que ce genre de contribution s’apparente à ce qui est expliqué dans le lien suivant:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Troll_(Internet_et_Usenet)

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  28. Paul Bienvenue

    17 novembre 2008 à 09 h 23

    L’attention donnée par les médias aux changements climatiques est complètement disproportionné par rapports aux effets concrets de ces changements.

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  29. Yvan Dutil

    17 novembre 2008 à 17 h 51

    @Paul

    Aux effets à court terme dans les pays les plus riches. Pour le reste de la planète et à long terme le rapport coût-bénifice est moyen évident. La montée des eaux et la réduction de précipitations en Asie cela va affecter un bon milliard de personnes.

    Il s’agit de la trappe malthusienne classique: le problème n’est pas aparant à court terme et prends un temps très grand pour se remettre en place. Alors à moins de faire un effort d’abstraction et d’anticiper le problème, cela passe sous le radar.

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  30. jeff

    17 novembre 2008 à 21 h 59

    on est seulement 6 million dans une immense territoire non peuplé au Québec. notre impact sur l’écologie est minime.. ce sont des région comme l’inde, la chine, le mexique qui vont changer quelques chose pas le québec.. c,est quoi cette manie de croire qu’on est ci important que ca sur l’échelle planétaire??

    vous voulez que ce soir plus vert : concentré les population vers la ville et surtout érigé des édifices en hauteur pour accueillir tout ce beau monde.
    vous être contre l’étalement urbain et les beau projet immobilier dans la ceinture de la ville mais à chaque fois qu’un promoteur veut faire un édifice de plusieurs étages en ville c’est du chiard et du niaisage avec des groupe zombie de manifestant qui sorte de nul-part..

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