Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Panneaux-rama

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 18 novembre 2008 39 commentaires

Source: Radio-Canada (Le Téléjournal), 17 novembre 2008.

Les panneaux publicitaires ont envahi les abords des autoroutes et gâchent de plus en plus les paysages du Québec. La Ville de Québec a décidé de s’attaquer à cette pollution visuelle et vient de présenter un projet pour interdire ce type de panneaux-réclame d’ici 5 ans.

Pendant ce temps, ailleurs dans la province, c’est encore bien souvent le laisser-faire qui règne. Reportage: Émilie Dubreuil et Jo-Ann Demers

Le reportage télé (env. 5 min.). À consulter, entre autres billets: Québec persiste et bannit les affiches géantes.

Voir aussi : Environnement, Qualité et milieu de vie, Québec La cité, S'inspirer d'ailleurs.


39 commentaires

  1. Fernand

    18 novembre 2008 à 12 h 24

    J’ai combattu ces panneaux-réclames polluants lorsque j’étais conseiller à Beauport. Mais il faut se rendre à la raison que deux jugements leur donnent le droit de faire ce genre de commerce. Le conseiller Teasdale arrive èa la même conclusion en faisant des recherches à jour…

    Il reste à discipliner cette indi-ustreiàie si on ne peutr la faire disparaître. Il faut plutôt chercher à mieux les intégrer au paysage. C’est ce sur quoi j’ai travaillé lors de leur invasion à Beauport. Je passe souvent sur l’autoroute Félix-Leclerc et ceux de Charlesbourg sont agressants pour les automobilistes. Surtout celui derrière le Loblaw coin 4 èeme Avenue en direction ouest. Il en est de même de celui derrièere Carrefoir Charlesbourg en diorection est. On dirait qu’ils sont carrément dans le chemin. Comme conseiller je n’aurai jamais permis une telle pollution mais c’était pas la ville ou je siégais et Ralph Mercier est un bon bonhomme qui permets tout…

    Le conseiller Teasdale en parle sur son blogue…

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  2. Matrix

    18 novembre 2008 à 12 h 26

    Il n’y a pas très souvent de « paysage » à admirer autour des autoroute…

    Pour les villes c’est une autre histoire, mais à Québec, à part le vieux et les quartiers historiques et quelques coins… je vois pas énormément de quoi on veut nous protéger…

    un panneau publicitaire sur Charest-St-Sacrement, il n’y a pas vraiment de « paysage » à admirer, on s’entend…

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  3. Gilbert

    18 novembre 2008 à 13 h 20

    Le changement que ce soit pour le mieux ou pour le pire ça fait toujours parler mais dans ce cas si, il faut quand bien même admetre que c’est pour le mieux!

    Ces panneaux plubicitaire canibalisent depuis bien trop longtemps nos paysages urbains sans même ce soucier de l’impact sur l’esthétisme et la sécurité de la ville. La multiplication de ces panneaux réclame ont un impact sur la sécurité routière en venant capter l’attention de certains conducteurs, en nuisant à la bonne lecture des indications routière et j’en passe … .

    Mais je souligne qu’il n’y en a pas seulement pour les panneaux réclamme entre autre sur les stationnements à ciel ouvert qui devront aménager des allées piétonnière avec des îlots de verdure à chaque 100 cases de stationnements … .

    Voilà un bon coup pour l’administration du Maire Labeaume et du département de l’urbanisme!
    Bravo!

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  4. Paul

    18 novembre 2008 à 13 h 28

    Gilbert,

    Le maire Labeaume n’a rien à voir dans les nouvelles orientations de la prochaine réglementation d’urbanisme… Remercions plutôt l’ancienne administration L’Allier d’avoir mis en place une équipe au service d’urbanisme complète et compétente.

    L’harmonisation a été entamée sous le mandat de Jean-Paul L’Allier en 2004.

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  5. Gilbert

    18 novembre 2008 à 13 h 53

    @Paul
    L’harmonisation a été entamée sous le mandat de Jean-Paul L’Allier en 2004.
    Bravo!

    Et continué sous l’administration du Maire Labeaume!
    Bravo!

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  6. Fernand

    18 novembre 2008 à 14 h 34

    Gilbert vous amenez une autre aberration urbanistique. Faire une forêt d’ilôts de ciment avec une touffe de gazon et un arbre dans un stationnement. C’est en plus des parcs à rangement couverts des chariots du magasin.

    Les autos se cognent dessus l’hiver, les déneigeurs sacrent à contourner ces obstacles inutiles et les arbres subissent un mauvais traitement (plusieurs sont à remplacer le printemps). Les coûts d’entretien du stationnement augmentent de 30% avec ces ilots de ciment enfargants.

    Pire chez Wal-Mart à Beauport il y a 16 stationnements pour handicapés et 8 stationnements pour les femmes enceintes. Ca éloigne inutilement les autres utilisateurs et plusieurs se stationnent directement à la porte en faisant rouler leur auto au ralenti. C’est ca que ca crée ces mesures exagérées, des proprios de magasins…

    Ces ilots ont été aménagés partout dans le power center. Faudrait comme le toit du mail St-Roch, en enlever une bonne portion. Pire on vient de refaire un carrefour giratoire et des trorroirs devant le cinéma. Des travaux coûteux et inutiles, c’est du gaspillage de fonds publics et privés. C’est comme alentour de l’église de la Nativité de Beauport. Ca a coûté 2 millions pour faire un parc et diminuer de moitié le stationnement. Quand on est obligé de se stationner à l’aréna Marcel Bédard pour aller veiller au Centre municipal Mgr Laval sis sur la place de l’église…

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  7. Gilbert

    18 novembre 2008 à 15 h 49

    @Fernand
    Je conviens avec vous que cette solution n’est pas l’idéal mais n’oublions pas que la première erreur est d’avoir aménager des stationnements à ciel ouvert! Le réchauffement climatique ce n’est pas une illusion et les allées piétonnières c’est une questions sur la sécurité qui n’est pas un caprice de la ville.

    En 2008, le nouvel urbanisme ne peut ce permettre ce genre d’erreurs qui ne fait que contribuer au réchauffement climatique et à l’étalement urbain. « L’idéal ce serait que les centre commerciaux aménage des stationnments sous-terrain étagé mais je sais fort bien que nous ne vivons pas dans un monde idéal », alors la solution actuel en est une de compromis!

    Le vraie gaspillage est celui celui de l’étalement urbain qui lui nous coûte beaucoup plus en dollars($$$) sonnant jours après jours! Tu sais Fernand avec des stationnements sous-terrains il resterait de l’espace disponibles pour des développements immobiliers et commerciaux ce qui est très rentable! C’est un modèle d’affaire déjà éprouver ailleurs dans le monde mais tu sais tout comme moi que la ville ne peut obliger les gens d’affaire à investir alors la olution proposer me semble un juste compromis!

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  8. Gilbert

    18 novembre 2008 à 15 h 52

    correction d’une erreur par omission.

    …investir alors la solution proposer me semble un juste compromis!

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  9. François

    18 novembre 2008 à 15 h 56

    Fernand, peux-tu préciser ta pensée au sujet du « pire » et de l’aménagement de 16 cases de stationnement pour personnes handicapées, et du « ça éloigne inutilement les autres utilisateurs ». Je serais curieux de l’entendre.

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  10. Simon

    18 novembre 2008 à 16 h 29

    Peut-être que 16 est un nombre exagéré mais je ne connais pas suffisament les statistiques de fréquentation de ces stationnements pour me prononcer sur ce point là. Dans tous les cas, je doute que de faire marcher les gens quelques mètres de plus soit une réelle nuisance.

    Regarder… https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ie=UTF8&ll=46.87179,-71.204526&spn=0.000268,0.000846&t=h&z=20

    On voit les sites de stationnement pour handicappés. Personellement, j’en compte 12 de réserver.

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  11. Fernand

    18 novembre 2008 à 17 h 34

    À t’on besoin de 24 cases réservées pour un seul magasin? Voilà lsa question. Pisd il y a les proprios de centre d’achat qui se parke coté de la porte, restent au volant pendant que madame magasine. En plus ils font rouler leur auto pour se réchauffer enm fàhiver et fairte marcher l’auir conditionné en été. Si On avait moins de cases réservées on pourrait peut être avoir moins de proprios de magasins et on pourrait être plus sévèeres. Des fois j’en dénombre 5 à 6 à la queue leu-leu.

    Quand au réchauffement climatique on repassera voulez-vous ! On a assez planté d,arbres pour absorber le CO de nos chars. Pis un immense stationnement ca crée pas de GES ben ben mais ca rend attractif un magasin en titi, parlez en aux marchands du Boulevard René Lévesque et demandez-vous comment il se fait que 10 restos fuient le vieux Québec pour Ste-Foy…

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  12. Fernand

    18 novembre 2008 à 17 h 38

    Le stationnement d’handicapé a 10 cases de trop et celles des femmes enceimntes va falloir pas mal d’inséminations in vitro payées par l’état pour les occuper au max 2 seraient suffisants si mes observations sont correctes. C’est du simple au double. Même le Réno Dépôt (8 cases en tout) et le cinéma (4 cases) tout près n’en n’ont pas autant.

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  13. François

    18 novembre 2008 à 17 h 51

    Fernand, qui es-tu pour décréter qu’il y a trop de cases de stationnement pour les personnes handicapées, à cet endroit ? Une observation ne fait pas une conclusion. Je ne saurais trop encourager les personnes qui tiennent un discours de braillards sur l’éloignement des cases de stationnement de leur magasin préféré à continuer à se stationner loin : d’une part, c’est bon pour la santé, d’autre part, paraît-il que la marche, ça déniaise.

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  14. Fernand

    18 novembre 2008 à 17 h 52

    L’étalement urbain bien contrôlé est préférable à la concentration comme en Chine. Je ne sais si vous vous souvenez des jeux de Pékin. Y a tellement de monde concentré au pied carré dans ce pays qu’il y a un smog permanent sur la ville. Je crois à la théorie des îlots de chaleur urbain (ICU) mais le GIEC qui nous dit toutes sortes de choses a considéré ce phénomène comme marginal dans son quatrième rapport. Voici un article pris sur le site de climat sceptique, c’est une étàude chinoise sur l’urbanisation qui s’intitule « Chine échaudée, Chine urbanisée ». Si vous n’êtes pas d’accord vous pouvez y inscrire votre commentaire mais étoffez le car ce sont des St-Thomas du climat qui le visitent, ils sont nombreux et demandent des preuves y compris de déposer les études qui supportent vos dires…

    http://climat-sceptique.over-blog.com/2-categorie-505065.html

    Quand aux obstacles en bétons dans un stationnement, c’est beau mais ca fait sacrer tout le monde en titi…

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  15. Fernand

    18 novembre 2008 à 18 h 05

    François je te remercie du commentaire et je marche mon 18 trous de golf tout l’été. Mais réalises tu que la population est vieillissante? Les boomers tu connais? Ils y en a plusieurs qui ont horreur de trop marcher, ils ne font pas tous du jogging… Et c’est la majorité de la population actuelle à Québec, pas la génération Y qui pense tout savoir.

    Moi j’ai une femme de 65 ans qui marche avec une canne. Je suis obligé de la laisser à la porte du magasin avant d’aller me stationner et je lui demande de m’attendre à la porte pour lui éviter des pas. Y en a ici qui n’ont pas conscience que ce n’est qu’un début car je suis de la première couvée des boomers à 62 ans. Planifiez pour vous autres la génération Y et oubliez nous comme vous faites, le pouvoir gris s’en vient. C’est la génération qui avait les bras et l’audace pour faire un pays. Nous sommes rendus à l’âge de la retraite et la relève est moins nombreuse et rebute à l’effort. Nous réalisons que nous n’avons plus de forces vives suffisantes pour faire le pays et il ne se fera pas, nous avons trop attendu…

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  16. François

    18 novembre 2008 à 18 h 28

    Si elle a une canne, qu’elle est à mobilité réduite, elle a droit à une vignette, donc de se stationner. Quelque chose de contre maintenant ?

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  17. Simon

    18 novembre 2008 à 18 h 35

    Te rend tu compte Fernand que c’est justement à cause du vieillissement de la population que le nombre de stationnement pour handicappé est grand? Et c’est pas parti pour diminuer! Les personnes âgé en chaise-roulante, quadriporteur et cie ne sont pas là pour diminuer, justement.

    Et si ta femme a des problèmes de mobilité, vous devriez peut-être faire une demande pour obtenir une vignette?

    Voici les exigences :

    « Elle doit satisfaire aux trois conditions suivantes :

    —Vivre une situation de handicap qui occasionne une perte d’autonomie ou qui risque de compromettre sa santé et sa sécurité dans ses déplacements sur une distance qui ne nécessite pas l’utilisation d’un moyen de transport;
    —Remplir le formulaire de demande;
    —Fournir, s’il y a lieu, une évaluation démontrant une incapacité d’une durée d’au moins 6 mois.
     »

    Regarde dans l’image satellite dont j’ai mis le lien plus haut du Wal-Mart de beauport. On est loin d’être un samedi après-midi(juste à voir l’état du stationnement) mais tout de même, six des douzes emplacements sont occupés. Et on peut constater des situations semblables à d’autres magasins grande surface de la ville.

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  18. Gilbert

    18 novembre 2008 à 18 h 48

    @Fernand
    Fernand la démagogie n’est pas une vertue mais je comprend que tu vient d’une génération qui a crue fortement que le progrès venait par « l’autmobile » mais l’histoire démontrent le contraire! Aujourd’hui ce n’est plus le temps d’opposer les générations mais plûtot de s’unir et de réparer les dégats causer et de construire une ville plus viable pour tous les générations et les générations future.

    Marcher c’est bon pour la santé pas juste sur un terrain de golf et pour les autres qui ne peuvent pas du a un handicap ou qu’elles soient enceintes il reste les cases de stationnments réservé pour cette fin à juste cause!

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  19. Yvan Dutil

    18 novembre 2008 à 19 h 39

    @Fernand

    La génération des Boomers passe son temps à se vanter de ce qu’elle a fait. Mais, son plus grand mérite c’est d’être arrivé dans le bon temps. Des gens 3 fois plus diplomés ont jamais eu la possibilité de faire la moitié de ce que les boomers on fait juste parce que toutes les places étaient prises.

    Le pire c’est que cette population se pense encore dans les années soixante. Le seul modèle de dévellopement qu’elle connait c’est celui des années 60-70: grosse usines, gros barage et gros chars.

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  20. Yvan Dutil

    18 novembre 2008 à 19 h 47

    @Fernand

    La thèse de l’îlot de chaleur est très facile à démolir: l’endroit où la température augmente le plus vite c’est en … arctique!

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  21. Fernand

    18 novembre 2008 à 22 h 03

    Et l’endroit qui refroidit le plus vite est en antarctique malgré Jean Lemire, l’apprenti capitaine qu’on promène en héros. Même le GIEC l’admet que l’antarctique se refroidit dans son ensemble.

    Connaissez vous le phénomène de la rotation terrestre, Cher prof Dutil ?

    J’écoutais en mars dernier, une entrevue radiophonique avec un scientifique du grand nord, Bernard Voyer qui s’apprêtait à partir pour la Xième fois au nord. Il affirmait qu’il y a 12,000 ans, Québec était sous le pergisol comme dans le grand nord, que le grand lac des esclaves dans l’ouest est né de la fonte des glaciers, que la terre bouge et ce n’est pas l’homme qui contrôle ca.

    Vous ne savez pas que la terre tourne sur elle même de façon elliptique. Donc, les pôles se déplacent naturellement…

    Ëtes vous en train de me dire que l’homme est responsable de la disparition des dinosaures et qu’il n’y avait pas de fonte des glaces quand le Titanix àc a traversé l’atlantique. C’est quoi qu’il a heurté au juste ???

    Une chance que vous n’y étiez pas car vous auriez attribué ca au réchauffement climatique basé sur de fausses données. Ca me tente de sortir une critique sur les rapports du GIEC et vous démontrer qu’on leurre le monde en plus de lui faire gaspiller des milliards pour rien ou presque…

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  22. Gilbert

    18 novembre 2008 à 22 h 43

    @Fernand
    Toujours aussi démagogue Fernand tout ça pour te faire croire à toi-même et tes très rares compaires que vous pouvez continuer à faire comme si rien était.

    Crois-tu vraiement que les américains sont des gens qui se laisse compter des histoires par n’importe qui sans vérifier et contre vérifier!

    Les américains réagissent encore plus fortement que nous avec des gestes qui vise à réduire les gaz à émission de serre!

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  23. Fernand

    18 novembre 2008 à 22 h 46

    Voici un extrait du rapport du GIECcommenté par les scientifiques sceptiques qui démontre toutes le manigances de cet orgamànisme à la solde des politiciens de l’ONU. source le sirete de Climat sceptique. A vous de juger:

    GIEC : L’essentiel de l’accroissement observé sur la température moyenne globale depuis le milieu du XXe siècle est très vraisemblablement dû à l’augmentation observée des gaz à effet de serre anthropiques. Ceci constitue un progrès par rapport à la conclusion du troisième Rapport : « l’essentiel du réchauffement observé au cours de 50 dernières années était vraisemblablement dû à l’accroissement de la concentration en gaz à effet de serre ».

    Commentaire :

    • Pour déterminer la part des gaz effet de serre anthropique dans le changement climatique, on doit procéder à une détection-attribution. Le GIEC en donne les définitions suivantes.

    Détection : démonstration que le climat a changé dans un sens statistique défini, sans donner de raison à ce changement.

    Attribution : établissement des causes les plus probables pour un changement détecté avec un certain niveau de confiance.

    • Le phénomène dont on recherche les causalités est ici le réchauffement des températures de surface constaté depuis la seconde moitié du XXe siècle. Ce réchauffement est statistiquement significatif depuis 1977. Il représente environ 0,5 °C (0,4-0,6) sur les trois dernières décennies, à des rythmes inégaux selon les décennies.

    • Une attribution-détection suppose donc des mesures fiables (pour la détection) et des modèles fiables (pour l’attribution). En 2007, ni l’une ni l’autre de ces conditions ne sont remplies. Il existe une marge d’erreur importante (facteur 4) dans les forçages anthropiques intégrés (0,6 à 2,4 W/m2), de même qu’une variation importante (facteur 2) dans la sensibilité transitoire du climat au CO2 (1,3 à 2,6°C pour un doublement).

    • Pour procéder à une détection-attribution sur la période 1950-2005 et pour conclure que les gaz à effet de serre représentent « l’essentiel de l’accroissement de température », on doit avoir au minimum des mesures correctes de l’ensemble des facteurs pertinents pour l’évolution des températures de surface. Ce n’est pas le cas. A titre d’exemple, nous ne sommes pas capables de fournir une estimation fiable des émissions d’aérosols sur ces cinquante dernières années ; nous ne sommes pas capables de fournir une estimation fiable de l’évolution de la nébulosité sur ces cinquante dernières années ; nous ne sommes pas capables de fournir une estimation fiable de l’évolution de l’irradiance totale et spectrale (du soleil) sur ces cinquante dernières années ; nous ne sommes pas capables de fournir une estimation fiable de l’évolution du contenu de chaleur des océans sur ces cinquante dernières années.

    • Le GIEC reconnaît explicitement la nature de ces problèmes dans le texte du rapport complet (SD-9.1.2) : « Les incertitudes des modèles et des forçages sont des considérations importantes dans la recherche d’attribution. Idéalement, l’analyse de l’incertitude des modèles devrait inclure les incertitudes dans leurs paramètres (par exemple, explorée par des ensembles multi-modèles) et dans la représentation des processus physiques (incertitude structurelle). Une telle analyse n’est pas encore disponible, bien qu’une recherche ayant cette finalité soit en cours et que les études d’intercomparaison des modèles continuent d’améliorer notre appréciation de ces incertitudes. Les effets des incertitudes de forçage, qui peuvent être considérables pour certains agents comme le soleil ou les aérosols (9.2), sont également difficiles à évaluer, en dépit des avancées de la recherche ».

    • Malgré cela, le GIEC tient comme « robuste » l’attribution aux gaz à effet de serre d’une partie essentielle des 0,5°C de hausse constatés en cinquante ans. C’est une évidente contradiction dans les termes. Mais à nouveau, le Rapport complet prend soin de préciser l’origine de ce jugement (SD-9.1.2) : « Les approches utilisées dans la recherche de détection et d’attribution ne peuvent rendre pleinement compte de toutes les incertitudes, et en dernier ressort le jugement des experts est utilisé pour estimer la vraisemblance qu’une cause spécifique est responsable d’un changement climatique donné ».

    • Cette remarque prend sens quand on consulte la Note interne à l’usage des auteurs principaux de l’AR4. Celle-ci précise dans son point 14 : « La vraisemblance peut être fondée sur une analyse quantitative ou une sollicitation des vues des experts ». Il n’existe aucune analyse quantitative permettant ce jour d’estimer la proportion relative des gaz à effet de serre dans les causes du réchauffement (les modèles concluent au mieux que l’inclusion des facteurs anthropiques est nécessaire pour reproduire la tendance, point trivial dont tout le monde convient). Le jugement sur la part essentielle des gaz à effet de serre est donc simplement l’avis dominant des auteurs principaux et du cercle restreint des experts choisis par le GIEC.

    Nota : les mentions SD renvoient au Second Draft du rapport complet du GIEC, suivies des chiffres des chapitres et paragraphes concernés.

    Lien (pdf, anglais)
    Notes for Lead Authors of the IPCC Fourth Assessment Report on Addressing Uncertainties

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  24. Fernand

    18 novembre 2008 à 23 h 01

    Il est intéressant de moter dans les rapports du GIEC ces incohérences qui nous permettent de mettre en doute leur assertion fondamentale qe l’homme est respônsable des changements climatiques.

    La « courbe de hockey », vedette du Rapport GIEC 2001 montrant des températures assez stables au cours du dernier millénaire, a disparu et le GIEC doit reconnaître que les températures de l’Hémisphère Nord ont peut-être été plus variables, avant toute influence humaine significative. Il est surprenant que Al Gore a fait de la crosse de Hockey, la vedette de son film catastrophe et que le jugement britannique en conclut que ce n’est pas prouvé scientifiquement.

    Malgré cela, les auteurs du GIEC s’accrochent à l’idée que la seconde partie du XXe siècle est « vraisemblablement » plus chaude que les 1300 dernières années. Ce détail, qui se joue à quelques dixièmes de degré, évalués sur des indices très rares et avec des méthodes présentant des incertitudes importantes, est sans intérêt. L’enjeu réel est de savoir si le climat connaît des variations naturelles notables, sous l’effet des forçages non-anthropiques que sont le soleil et le volcanisme. Et les nouvelles courbes paléoclimatiques incitent à penser que c’est le cas.

    La Résumé pour décideurs mentionne également la situation du Groënland au cours de l’Eemien (précédent interglaciaire). En omettant de préciser un détail important : le forçage orbital solaire sur cette zone et à cette période était 20 à 100 fois plus important que le forçage anthropique actuel. Oups je vient de répondre que ce n’est pas l’humain mais le soleil qui est responsable de son effet sur l’Arctique.

    Voici l’explication du GIEC sur la crosse de hockey disparue.

    « Les températures moyennes de l’hémisphère Nord pendant la seconde moitié du XXe siècle étaient très vraisemblablement (90-99 %) plus élevées que durant d’autres périodes de cinquante ans pendant les derniers 500 ans et vraisemblablement (66-90 %) les plus élevées des derniers 1300 ans au moins. Des études récentes indiquent une plus grande variabilité dans les températures de l’hémisphère Nord que suggéré dans le troisième Rapport, et trouvent en particulier que des périodes plus froides existaient du XIIe au XIVe, au XVIIe, et au XIXe siècles. Les périodes chaudes avant le XXe siècle sont dans la gamme d’incertitude donnée dans le troisième Rapport. »

    Le GIEC reconnaît aujourd’hui que les températures de l’Hémisphère Nord ont peut-être été plus variables qu’on ne le suggérait aux décideurs en 2001, surtout pour les 500 dernières années. Cela revient à accepter l’hypothèse que le réchauffement moderne (1850-présent) s’inscrit en fait dans la sortie d’une période froide (le traditionnel Petit Âge Glaciaire), dont l’impulsion initiale est naturelle. Je mets en évidenvce les écrits de mon amie Brigitte Van Vliet-Lanoé spécialiste en glaciation qui pemàndant 35 ans a parcvourru les deux pôles avec des équipes de chercherurs renommés. Elle est professur des sciences de la terre à l’université de Lille et a écrit « La planète des glaces » publié en 2005.

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  25. Yvan Dutil

    18 novembre 2008 à 23 h 12

    @Fernand

    Vous comprenenez pas la moitié des mots que vous utiliser. On connait très bien la valeur de la variablité solaire. Si effectivement le climat reéagit autant que les septiques veulent nous le faire croire à la variation extrêmement minime de la constante solaire, l’effet du CO2 sera tout simplement montreux.

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  26. Yvan Dutil

    18 novembre 2008 à 23 h 16

    @Fernand: Et l’endroit qui refroidit le plus vite est en antarctique malgré Jean Lemire, l’apprenti capitaine qu’on promène en héros. Même le GIEC l’admet que l’antarctique se refroidit dans son ensemble.

    La peninsule antarctique s’est réchauffée rapidement. Mais, il y a un autre secteur d el’antarctique qui s’est refroidi rapidement, conséquence de la destruction de la couche d’ozone.

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  27. Yvan Dutil

    18 novembre 2008 à 23 h 19

    @Fernand: Et l’endroit qui refroidit le plus vite est en antarctique malgré Jean Lemire, l’apprenti capitaine qu’on promène en héros. Même le GIEC l’admet que l’antarctique se refroidit dans son ensemble.

    La peninsule antarctique s’est réchauffée rapidement. Mais, il y a un autre secteur de l’antarctique qui s’est refroidi rapidement, conséquence de la destruction de la couche d’ozone.

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  28. Yvan Dutil

    18 novembre 2008 à 23 h 21

    @Fernand: Connaissez vous le phénomène de la rotation terrestre, Cher prof Dutil ?

    J’écoutais en mars dernier, une entrevue radiophonique avec un scientifique du grand nord, Bernard Voyer qui s’apprêtait à partir pour la Xième fois au nord. Il affirmait qu’il y a 12,000 ans, Québec était sous le pergisol comme dans le grand nord, que le grand lac des esclaves dans l’ouest est né de la fonte des glaciers, que la terre bouge et ce n’est pas l’homme qui contrôle ca.

    Vous ne savez pas que la terre tourne sur elle même de façon elliptique. Donc, les pôles se déplacent naturellement…

    Oui, c’est les cycles de Milankovitch. Je vous ai déjà expliqué le phénomène en réplique à une de vos faussetés. Ce cycle n’explique pas la situation actuelle.

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  29. Fernand

    18 novembre 2008 à 23 h 21

    Extrait de «La Planète des Glaces — Histoire et environnements de notre ère glaciaire»
    (Vuibert, mai 2005, 470 p., ISBN 2 7117 5377 8)

    «Épilogue : Vers une englaciation et une aridification croissantes à long terme»
    par Brigitte van Vliet-Lanoë
    professeur en sciences de la Terre à l’université des Sciences et Technologies de Lille
    (avec la permission de l’auteur)
    __________________________________________________

    Nous avons vu qu’à l’échelle des temps géologiques et, plus particulièrement, à l’échelle du Cénozoïque, nous étions, en raison de la tectonique des plaques, dans un contexte d’englaciation de plus en plus marqué à long terme. Dans ce contexte global, nous sommes en raison du forçage orbital à la fin d’un interglaciaire banal, dans un épisode de réchauffement millénaire faisant suite au Petit Âge glaciaire. En 1970, les médias nous annonçaient l’éminence d’une glaciation. Aujourd’hui, alors que le Soleil vient de passer par un maximum d’activité, c’est un réchauffement cataclysmique qui est toujours évoqué.

    Les hautes latitudes enregistrent, comme le désert, la moindre modification du milieu. Selon les observations présentées plus haut, il semble que les perturbations industrielles et agricoles induisent, dans les régions côtières de l’Arctique atlantique, une rétroaction accentuant régionalement le refroidissement progressif du système naturel, enregistré depuis 4500 BP dans l’hémisphère Nord, alors que le reste de l’Arctique se réchaufferait modérément puis un peu plus rapidement depuis 20 ans. L’Antarctique, péninsule occidentale exceptée, reste de glace dans son isolement, et se refroidit. C’est lui qui, depuis 38 Ma, est le véritable chef d’orchestre de notre climat. Il est inquiétant de constater à la lumière des résultats des carottes antarctiques que, pour la grande majorité des événements quaternaires, l’Antarctique reste l’ordonnateur du climat, comme le souligne J. Jouzel.

    Pour le moment, les zones subtropicales et méditerranéennes s’aridifient. Le bilan global de l’action indirecte et directe de l’homme, à l’échelle terrestre, est une érosion mécanique continentale importante, entraînant un retour précoce de la rhexistasie, à un régime érosif de début glaciaire, après la période de stabilité biogénique de l’interglaciaire actuel. L’anomalie présente, probablement transitoire, se produit avec une élévation modeste du niveau marin. Dans cette situation, il est difficile de nommer avec certitude le coupable étant donné la chaîne des effets rétroactifs. Ce qui est certain, c’est que vers 1947, quand l’épisode de refroidissement temporaire des années 1970 s’est amorcé, la pollution atmosphérique était moindre, mais surtout plus riche en aérosols qu’à l’heure actuelle ; la zone péri-Atlantique Nord, où le phénomène s’est maintenu le plus longtemps, est en fait une des plus polluées du monde, notamment depuis les années 1970. Mais le soleil a également sa part de responsabilité !

    L’hétérogénéité du réchauffement actuel ne plaide pas en faveur de la dominance de l’effet de serre : l’Antarctique, notre chef d’orchestre, se refroidit malgré un apport énergétique temporairement accru jusqu’en 2000. Dès que l’irradiance solaire reviendra à un niveau normal, il en sera de même pour l’Arctique, dès que le Gulf Stream se ralentira et se refroidira. Le coup de semonce constitué par le refroidissement complexe du Petit Âge glaciaire (1450-1880) a déjà fait basculer les régions arctiques péri-atlantiques en dehors du monde interglaciaire holocène, comme le montrent les enregistrements pédo-sédimentaires identiques à ceux du début de la dernière glaciation. Une situation d’un type voisin a prévalu à la fin du dernier interglaciaire en Europe (vers 110 000 BP), mais cette fois exclusivement pour des raisons climatiques, alors que le Gulf Stream n’avait pas encore disparu. Les résultats des carottes glaciaires du Groenland attestent de la brutalité du refroidissement il y a 110 000 ans.

    Dans le contexte actuel, l’activité solaire vient de signer un réchauffement du même ordre que celui qui s’est produit au Moyen Âge, soit environ 1 °C de plus qu’en 1880. Nous sommes loin de l’Optimum holocène, voire de l’Interglaciaire Éémien (130 ka) ! La «transgression marine» associée sera probablement de même grandeur que celle du Dunkerquien II. Ce qui est beaucoup plus vraisemblable, c’est que l’accroissement actuel du gradient thermique interzonal sur l’Atlantique accroît la fréquence et la violence des tempêtes aux «quarantièmes rugissants» de l’hémisphère Sud. Mais ceci est également valable pour les « cinquantièmes rugissants » de l’hémisphère Nord, via la migration des anticyclones polaires, plus puissants et mobiles lorsque le déficit énergétique se creuse sur l’Arctique. Ce décalage latitudinale est lié à celui de la zone de convergence intertropicale en raison du caractère peu englacé de l’Arctique comparé à l’Antarctique. Le réchauffement récent sera plus ou moins rapidement tamponné par la disparition de la banquise et un ralentissement notoire de la circulation thermohaline, refroidissant par là l’Europe et surtout le nord-est de l’Atlantique. De plus, l’augmentation actuelle de l’effet de serre doit probablement accélérer cette procédure.

    Dans le cas du doublement du CO2, il faudra s’attendre à un contraste thermique encore plus marqué, au moins pendant quelques dizaines d’années, avec toutes ses conséquences. Comme les tempêtes sont accompagnées par des précipitations plus abondantes (comme en témoigne l’augmentation catastrophique des inondations ces dernières années), les facteurs aérosols et albédo (les 10 % d’effets non contrôlés par l’effet de serre et l’activité solaire) vont probablement augmenter. Si le réchauffement climatique continue à être dopé par l’effet de serre, le vêlage des calottes groenlandaise et antarctique sera plus précoce, amenant un Dryas moderne d’ici une cinquantaine d’années. Si la calotte groenlandaise largue ses icebergs, nous n’aurons plus besoin de mettre des glaçons dans notre whisky !
    Comme les précipitations augmentent également en zone arctique atlantique en conformité avec plusieurs modélisations, il est vraisemblable que cette suite d’événements fera basculer brutalement le contexte de fin d’interglaciaire dans lequel nous sommes actuellement dans un contexte stadiaire, avec formation d’une calotte dans le bassin de Foxe à l’ouest de la Terre de Baffin et sur la Scandinavie déjà refroidie. Ce scénario a été évoqué dès 1993 par G. Miller : une issue glaciaire à un scénario chaud. De plus, puisque le pic d’activité solaire vient d’être dépassé, le refroidissement de l’Arctique atlantique, masqué temporairement par ce dernier, pourra à nouveau accentuer le Néoglaciaire de l’Atlantique Nord, comme le suggère la croissance observée des petits glaciers d’Ellesmere, du Groenland et de Scandinavie pendant la période 1950-1995. La Grande Sécheresse saharienne, qui s’accroît depuis 1967, avec quelques années pluvieuses au début du XXIe siècle, devrait atteindre un niveau de période glaciaire. Cela va encore compliquer les échanges économiques.

    Attention, un Petit Âge Glaciaire peut en cacher un autre : après un pic de réchauffement millénaire, va-t-on vers un nouvel épisode du Petit Âge Glaciaire ou vers une vraie glaciation ? La calotte antarctique semble aujourd’hui avoir quelques velléités de croissance. Les nations développées de l’hémisphère Nord sont de grosses consommatrices d’énergie et d’eau : qu’adviendra-t-il de leur consommation si le climat se refroidit et s’aridifie, la probabilité étant loin d’être nulle – comme nous venons de le voir – de part et d’autre de l’Atlantique ? Qu’adviendra-t-il des pays en cours de développement économique très énergivore et polluant, comme la Chine et l’Inde ? Il serait injuste de leur interdire d’évoluer.

    Notre planète a des capacités d’autorégulation remarquables, notamment par les échanges convectifs au sein de l’atmosphère, de l’hydrosphère en dialogue permanent avec la biosphère. L’homme, ce grand perturbateur, est un peu présomptueux de croire qu’il va tout modifier, même si son impact sur la biosphère est aussi destructeur pour la biodiversité qu’une chute d’astéroïde. Même si notre interglaciaire joue la prolongation pour un siècle ou un millénaire, comme le suggère certaines modélisations couplées au forçage orbital (MOBIDIC), c’est en fait, à notre humble échelle, l’érosion des sols, devenue chronique, et la réduction de la recharge des aquifères qui restent et resteront, quoi qu’il advienne du climat, le facteur préoccupant pour le devenir de l’humanité. Quant à la réduction des terres cultivables et à la pollution, conséquences des modifications anthropiques du milieu et du climat, elles peuvent, à brève échéance, poser plus de problèmes économiques et politiques que le réchauffement potentiel censé faire fondre les calottes polaires et créer un déluge d’origine anthropique. La guerre de l’eau est un phénomène sociétaire cyclique au cours de l’Holocène. La dernière est commencée depuis plus de cinquante ans et, si le prochain glaciaire s’annonce, elle risque de durer longtemps. L’eau reste malgré tout le premier des gaz à effet de serre !

    Le Global Warming nous a fait prendre conscience de la fragilité des équilibres à la surface de notre planète et, grâce à lui, de nombreuses études ont apporté leur lot d’informations à la fois sur notre passé et sur la géoprospective. Il nous a fait prendre conscience du caractère limité des ressources énergétiques fossiles. Et si ce Global Warming était surtout politique, une peur latente des nations économiquement riches de manquer d’énergie en cas de refroidissement climatique ? Qu’il fasse chaud ou qu’il fasse froid, il est important d’optimiser notre consommation énergétique et de limiter la pollution pour que les générations futures puissent continuer à se développer équitablement. Quant à voir pousser le maïs en Laponie, il existe d’autres facteurs limitant que la température.

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    Je partage cet avis du Prof Vliet-Lanoe et vous M. Dutil ???

    Au fait elle a signé le Manineste d’heiligenroth avec 300 de ses confrères.

    http://www.klimamanifest-von-heiligenroth.de/klimaman-f.html

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  30. Manu

    18 novembre 2008 à 23 h 29

    HEY HO!

    N’y aurait-il pas moyen, pour les « collaborateur » de ce site, d’émettre une « règle » limitant le copier-coller à 3 ou 4 lignes?

    Je n’ai rien contre les gens qui en ont long à dire.

    Mais quand quelqu’un n’a rien à dire d’intéressant et qu’il ne fait que du copier-coller de chose qu’il ne COMPREND MÊME PAS, lesquelles sont d’ailleurs de la foutaise la plupart du temps, là ça devient carrément de la pollution visuelle dans un billet.

    Et curieusement, mon commentaire rejoint ici le sujet du billet, duquel on s’est franchement égaré.

    MERDE, FAITES DE QUOI! YOUHOU!

    @Fernand : ou bien vous n’êtes pas allé à l’école longtemps, ou bien ce qu’on vous a appris à grand coup de pied dans le derrière jadis ne vous est pas d’un grande utilité dans le présent contexte. Alors, voici ce que les enfants du PRIMAIRE apprennent aujourd’hui : ce n’est pas parce que vous lisez quelque chose sur Internet que c’est vrai, peu importe les prétentions de ceux qui l’ont écrit. Plus tard, ils apprennent que les diplômes, ça s’achète. Encore plus tard, pour ceux qui poursuivent des études universitaire en science, on apprend qu’un scientifique qui fut un jour réputé peut très bien changer de bord et dire n’importe quoi qui satisfasse ceux qui le subventionne. On apprend aussi que les références dans un article scientifique ne valent rien si on ne les cite pas correctement. Finalement, un article scientifique, ou tout autre docuement d’une telle nature, ne tient pas sa fiabilité de la présumée réputation de ses auteurs, mais bien de son acceptation (l’article lui-même, pas les auteurs) par les pairs et la communauté scientifique.

    Ainsi, ceux qui démontrent scientifiquement que ce qu’on a toujours cru vrai est finalement faux sont acceptés par cette communauté scientifique. Mais lorsque quelques centaines ou même quelque milliers de « scientifiques » supposément réputé (ce qui ne change rien) nie le facteur anthropique du réchauffement planétaire, ils ne sont pas bien reçus par le 99% restant de la communauté scientifique.

    Bref, lorsqu’on n’est pas en mesure de comprendre quelque chose, il faut se fier à ce qui est reconnu comme respectable (tel qu’expliqué ci-haut), et non à ceux qui sont gueulent les plus fort simplement parce qu’ils sont mieux financés.

    Tout cela, mon cher Fernand, vous ne l’avez certes pas appris… jusqu’à maintenant. Alors maintenant que vous savez quelque chose d’utile, veuillez en faire bon usage.

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  31. Yvan Dutil

    18 novembre 2008 à 23 h 56

    @Fernand: Je partage cet avis du Prof Vliet-Lanoe et vous M. Dutil ???

    Les suputation du Prof Vliet-Lanoe date d’avant les derniers résultats d’EPICA. Pendant longtemps on a cru que l’on se dirgeait vers un age galciaire car les âges interglaciaire sont normalement court au point ou on serait due pour une autre glaciation. Or, les données EPICA remontent suffisament loin dans le passé pour que l’on puisse observé l’âge interglaciaire correspondant au notre. Résultat, on en a encore pour un bon 10 000 ans. Ceci dit, le CO2 que nous avons déjà émis nous assure de ne pas avoir d’âge glaciaire pour au moins 150 000 ans.

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  32. François

    19 novembre 2008 à 00 h 17

    Dis donc Fernand, tu n’aurais pas un blogue pour balancer tout ton copier coller, parce qu’ici, dans la section des commentaires de Québec urbain, c’est vraiment pénible.

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  33. Gilbert

    19 novembre 2008 à 00 h 58

    Bon, c’est quoi le sujet déjà? Ah oui, je me souviens les panneaux publicitaires!

    Excélente décision du Maire Labeaume d’avoir appuyer son département d’urbanisme et de notre ancien Maire Jean-Paul Lallier! (Merci a Yvan Dutil de m’avoir rappeler que ce beau projet à débuter sous Jean-Paul Lallier)

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  34. Yvan Dutil

    19 novembre 2008 à 08 h 00

    @Gilbert: Merci a Yvan Dutil de m’avoir rappeler que ce beau projet à débuter sous Jean-Paul Lallier

    Ce n’est pas moi c’est Paul.

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  35. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    19 novembre 2008 à 08 h 10

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  36. Fernand

    19 novembre 2008 à 12 h 17

    @ Yvan Dutil

    que penser de cet article que les galces de l’ARCTIQUE se reforment plus vite que prévu.

    http://www.dailytech.com/Sea+Ice+Growing+at+Fastest+Pace+on+Record/article13385.htm

    Quand è Mme Vliet-Lanoé, elle est une chercheuses sur les pôles crédible encore que vous et moi. Vous êtes aussi néophyte de la question que moi et vous ne pouvesz me reprocher d’appuyer mes dires par des copier/collé de scientiques chevronnés priàuvat que je ne dis pas des clichés infondés comme vous. Comme vous êtes contaminé par la pensée unique je vous fait remarquer que qu’un scientifique directement concerné par l’arctique a écrit au GIEC pour qu’ils modèrent leurs déclarations. Voici une version traduite de la lettre du professeur Syun-Ichi Akasofu,fondateur du Centre International de Recherche Arctique (IARC) de l’Université de Fairbanks Alaska, directeur de l’IARC entre 1998 et janvier 2007. Avant cela, Prof Akasofu a été Directeur de l’Institut de Géophysique (1986-1999) où il a concentré les efforts de l’Institut sur la recherche arctique.

    Nous rencontrons des termes scientifiques tels que changement climatique, réchauffement global, effet de serre et dioxyde de carbone plus d’une fois chaque jour dans les journaux papiers, radio, télé ainsi qu’au fil des conversations. Cela doit être la première fois dans l’histoire des sciences qu’un sujet scientifique spécifique attire autant l’attention du grand public. En tant que scientifique, je me réjouis de cet intérêt du public pour la science. Malheureusement, j’ai bien peur que ce grand intérêt pour la climatologie est largement le résultat d’une prolifération de nouvelles confuses des médias basées sur une mauvaise interprétation des informations au sujet de l’effet de serre du CO2.

    Si le GIEC veut représenter ce domaine scientifique particulier, il est de sa responsabilité de rectifier la grande confusion et la mauvaise interprétation des faits scientifiques dans l’esprit du public. Certains des points qui demandent des clarifications et des actions sont :

    1. Définir changement climatique, réchauffement global, l’effet de serre d’origine humaine et demander au public de cesser d’utiliser ces termes comme des synonymes (ceux qui font cela ne savent pas de quoi ils parlent).

    2. Demander aux médias d’arrêter d’utiliser les scènes de larges blocs de glace tombant à l’extrémité et la fonte printanière de l’Arctique pour illustrer l’effet prétendu de serre d’origine humaine. Les glaciers sont des « rivières de glace », donc leur ablation est normale et la fonte de printemps est un événement annuel normal ; ces deux phénomènes se sont produits depuis des temps géologiques.3. Demander aux médias de cesser de montrer des maisons s’effondrant sur le permafrost pour illustrer le résultat de l’effet de serre d’origine humaine. Cet effondrement est dû à une construction impropre qui laisse la chaleur de la maison fondre le permafrost dans la fondation.

    4. Dire que la glace de l’Océan Arctique n’est pas un seul plateau de glace. L’Arctique est recouvert de la glace de mer qui change considérablement à cause du vent et des courants océaniques, pas seulement à cause de la fonte.

    5. Attirer l’attention sur le fait que les phénomènes anormaux, extrêmes et inhabituels ne sont pas directement liés à l’effet de serre d’origine humaine. L’effet de serre d’origine humaine est représenté par une hausse lente de température à un rythme de 0,6°C/siècle.

    6. Reconnaître que l’utilisation de la dite « crosse de hockey » dans le Résumé pour Décideurs de 2001 est inappropriée. Elle montre une hausse soudaine de température aux environs de 1900 après une baisse lente pendant 900 ans, en donnant l’impression d’un « changement climatique abrupt ».

    7. Reconnaître que le réchauffement actuel n’est pas inhabituel ou anormal par rapport aux changements de températures passées. Il y avait eu de nombreux périodes plus chaudes que l’actuelle, qui avaient duré des centaines d’années, pendant l’interglaciaire actuel qui a commencé il y a 10,000 ans.

    8. Faire la distinction entre l’effet de serre d’origine humaine et une grande variété de destructions environnementales faites par l’homme qui sont souvent mis dans le même sac par les activistes de la théorie de l’effet de serre d’origine humaine. Sont inclus dans ces destructions la surexploitation des forêts et de la pêche, la pollution, l’extinction de certaines espèces.

    9. Arrêter les nouvelles des médias qui disent que le niveau des océans a déjà augmenté de plusieurs mètres ces 50 dernières années. D’après le rapport 2007 du GIEC, la vitesse de la montée est de 1,8 mm/an donc le niveau des océans est monté de 9 cm pendant les 50 dernières années.

    10. Les scientifiques qui étudient les données satellites ne doivent pas utiliser le terme de changement « sans précédent ». Ils n’ont pas de données satellites avant les années 1970 et ne peuvent pas dire si un changement est « sans précédent », même comparé aux événements entre les années 1930 et 1940, car ils n’ont pas de données comparables.

    11. Encourager les médias de masse à ne pas reprendre des annonces scientifiques sensationnelles qui pourraient ne représenter l’opinion d’un seul scientifique ou de quelques-uns uns. Les journalistes qui ne sont pas familiers avec les phénomènes arctiques ont tendance à rapporter les événements normaux comme anormaux.

    12. Rappeler aux scientifiques de faire attention de ne pas suggérer des scénarios possibles de désastres liés à l’effet de serre sans avoir de bases scientifiques solides.

    Je pense que ce sont des requêtes raisonnables, qui n’ont pas besoin d’être débattues. Le public est alarmé et donc se sent concerné par le changement climatique largement parce qu’il est dans la confusion à cause des points exposés ci-dessus et d’autres désinformation et mauvaises interprétations, pas parce qu’il est particulièrement intéressé par la climatologie. Les gens rappellent ces points et d’autres points non compris quand je discute avec eux au sujet du réchauffement actuel. Je suis inquiet d’un inévitable retour de flamme contre la science et les scientifiques, quand le public prendra connaissance des informations correctes au sujet du changement climatique. Même si le GIEC n’est pas directement responsable de cette confusion, il doit prendre ses responsabilités et entreprendre les actions nécessaires pour rectifier la situation.

    Lui aussi est un scientifique hérétique qui conteste l’alarmisme médiatisé et exagérée par les groupes écolos au point de déformer la vérité et de vous obnibuler…

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  37. François

    19 novembre 2008 à 13 h 19

    Fernand, tu ne comprends rien ou c’est dans ta nature d’en ajouter une couche ? Personnellement, tes longs et interminables copier coller m’énervent royalement. Tu as un blogue, sers-toi de lui. Sinon, un court résumé de ou des articles fera amplement l’affaire et fous un lien vers l’article ou le document au complet, le cas échéant.

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  38. Gilbert

    19 novembre 2008 à 13 h 20

    Oui merci Yvan Dutil le mérite revient effectivement à Paul.

    Alors Merci Paul pour ce rappel!
    Excélente décision du Maire Labeaume d’avoir appuyer son département d’urbanisme et de notre ancien Maire Jean-Paul Lallier!

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  39. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    19 novembre 2008 à 22 h 20

    « Quand è Mme Vliet-Lanoé, elle est une chercheuses sur les pôles crédible encore que vous et moi. Vous êtes aussi néophyte de la question que moi et vous ne pouvesz me reprocher d’appuyer mes dires par des copier/collé de scientiques chevronnés priàuvat que je ne dis pas des clichés infondés comme vous. (etc.) – Fernand

    Rappel sur le Nétiquette:

    La plupart agissent en adultes dans les discussions; certains se conduisent parfois en ados immatures, peu importe leur âge. Moi-même, je ne suis pas à l’abri d’une “dérape� quand un commentaire sans nuance remet en cause mes valeurs et convictions profondes.

    En passant, à titres d’�irritants�: les citations à n’en plus finir (les hyperliens n’ont pas été inventés pour rien!), les commertaires vides et “fermés� (�Cé poche�… genre!), les dérives sur des sujets “pas rapport�, sans oublier bien sûr ceux qui sont décrits ci-bas…

    Alors – il en va de la crédibilité de votre “blogue bien aiméâ€? -, ce rappel bien personnel s’adresse à tous pour fins de réflexion. Je tiens toutefois à le dire: ce n’est pas une politique officielle de Québec Urbain.

    Toutefois, dorévant, je crois que je ne me gênerai plus pour effacer des commentaires qui à mon sens entacheront mes billets. Et si ça déplaît à ceux qui se sentent visés, ils n’auront qu’à se plaindre aux administrateurs du site! ;-)

    Comme modèle, à titre d’exemple, je vous suggère de consulter la “nétiquette� de Radio-Canada :

    Quand vous vous exprimez dans le cadre d’une tribune ou d’un forum, vous devez être aussi courtois que si vous parliez à quelqu’un face à face. Les insultes et attaques personnelles ne seront pas tolérées. Ne pas être d’accord avec une opinion, une idée ou un événement est une chose, mais manquer de respect envers autrui est une autre chose. Les grands esprits ne se rencontrent pas toujours, et c’est bien là l’intérêt des tribunes et des forums!

    La nétiquette est l’ensemble des règles de conduite régissant le comportement des internautes dans le réseau Internet. Avant d’intervenir dans une tribune ou un forum, il est important de prendre connaissance de la nétiquette. Sinon, on risque de se faire expulser! (…)

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