« Vous êtes jeune et désirez faire l’acquisition d’une propriété près de votre lieu de travail, au centre de Québec. Pour réaliser votre rêve, vous devrez payer une «prime» de 16 % à 49 % par rapport au prix moyen qui prévaut sur les deux rives.
«En fait, il faut payer plus cher pour habiter le marché central. Une prime, quoi», caricature Frédéric Brie, économiste et analyste de marché au bureau de Québec de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL). » (…) « L’historien et communicateur Réjean Lemoine a rappelé, lors de la conférence de la SCHL de la semaine dernière, que les jeunes oeuvrant dans les nouvelles technologies viennent en bon nombre grossir les rangs du Saint-Roch nouveau. Ils achètent des lofts. » (…)
Source: Le Soleil Gilles Angers 29 novembre 2008
29 novembre 2008 à 10 h 44
No money, no candy.
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29 novembre 2008 à 10 h 48
AHAHA j’ai bien hâte d’entendre les « suburbs bashers » à ce sujet!
On sauve sur l’essence, le trasport…ben oui le champion mais tu paie ton loyer (trop souvent de merde soyon franc) à un prix de fou!
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29 novembre 2008 à 10 h 49
^^soyons
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29 novembre 2008 à 11 h 21
Bien sûr, je taquine…je taquine!
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29 novembre 2008 à 11 h 27
Moi j’ai habité trois ans sur la rue Rochette à St-foy près de l’université et je peux vous dire que j’ai déboursé un paquet de fric incroyable pour un apparte tout droit sortie de Beyrouth Ouest!
Il faut dire que c’est un coin très en demande mais tout de même…
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29 novembre 2008 à 12 h 41
Oui!
souvent la demande vaut plus cher que la qualité proprement dite!!
reste qu’à mettre du temps sur une bicoque et à y payer de ses heures, il y a moyen de se trouver un solide, confortable et joli chez-soi à moyen terme!
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29 novembre 2008 à 16 h 35
Le truc : habiter en coloc, je suis sur Grande-Allée en face du musée et je paie un gros 230$ par mois pour un appart de qualité, près du travail et de tous les services ;-)
Mais bon, faut accepter de vivre à quelques-uns sous le même toit, c’est pas tout le monde qui est prêt à ça…
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29 novembre 2008 à 18 h 50
J’aime mieux me déplacer en auto même si je fais des GES de temps en temps. Par contre, j’ai planté plusieurs arbres pour aménager mon immmense terrain et ainsi compenser auprès de nature en lui donnant des poumons pour absorber mes GES…
Je l’ai dis et redis, pour 175,000$, la valeur de ma maison, je n’aurai jamais autant d’espace pour relaxer au centre-ville et je vais payer plus cher. Je serai dans un petit coquerond ou je suis obligé de me déplacer pour voir de la pelouse dans des parcs publics. Ici je suis obligé de la tondre à toute les semaines et les gens du centre-ville me conseille comment je dois me comporter avec l’herbe coupée. Je leur ai pas demandé l’heure à ces gens là, ils en ont même pas chez eux…
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29 novembre 2008 à 21 h 09
Cette étude ne m’étonne pas du tout. Mais je pense qu’elle n’est valable que pour les condos et les maisons unifamiliales. Quand on est propriétaire-occupant d’un immeuble à revenus, les choses sont plus intéressantes. C’est à peine plus cher que payer un loyer et en plus on a le contrôle.
Je pense qu’au centre-ville la façon abordable d’habiter diffère de la banlieue, c’est tout. Tout le monde peut y trouver son compte.
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29 novembre 2008 à 23 h 00
Il y a quelques années, je décidais de m’établir à Québec, et, en bonne fille des régions, pour moi, s’établir voulait dire acheter une propriété.
N’étant pas de la ville, j’ai fait le tour des quartiers toutes couronnes confondues. À l’abri des préjugés locaux, Limoilou s’est démarquée comme étant l’endroit idéal où posséder sa propre pelouse tout en jouissant des nombreuses pelouses communautaires. La chaleur d’un quartier et ses services, à dimension humaine, sans la prétention du nouveau st-roch, tout de même très proche, pour les crises de dépenses huppées et les soirées branchées.
Je pourrais faire des pages sur mon coin, mais, le sujet étant le prix des propriétés, avez vous noté que le quartier semble avoir été exclu de l’analyse. À mon avis, ce coin de paradis ne coûte pas beaucoup plus cher que les grises banlieues PVC de notre région, sans compter les économies liée au fait d’être assez au centre-ville. Le « hic » est que, malgré toute la mauvaise presse qu’on fait au secteur, les maisons intéressantes de Limoilou ne restent que quelques jours sur le marché.
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29 novembre 2008 à 23 h 24
Pour Kilo
Je ne me défini pas comme une “suburbs bashers” mais voici tout de même la réplique puisque tu la demandes.
Selon CAA québec, le coût -toutes dépenses cumulées – d’une voiture moyenne est de 6 000$ par an.
Un couple qui peut se permettre d’avoir une voiture plutôt que deux en vivant au centre-ville sauve d’emblée 6 000$ par an. S’il investit ce capital sur son hypothèque (500$/mois), il pourra à porte-feuille égal, faire passer ses paiements mensuel de 1 100$ à 1600$, ce qui correspond (taux de 6,5% sur 20 ans) à payer sa propriété 225 000$ plutôt que 150 000$. Il lui restera aussi plus d’argent au final, les maisons perdant certainement moins de valeur que les chars !
Vivre en ville n’est pas nécessairement plus coûteux, c’est plus une question de choix, selon nos types de loisirs et de vie, le quartier peut avoir une influence faible ou forte sur la qualité de vie.
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30 novembre 2008 à 01 h 18
Attention, il faut lire ce qui est considéré comme le centre dans l’article et force est de constaté que ça comprend toutes les banlieues anciennes même Cap-Rouge et l’Ancienne Lorette. C’est un peu n’importe quoi. Notons au passage que le prix des maisons du centre comprend aussi celui de Sillery… Bref, très drôle de classification qui reflète très peu la réalité du centre-ville.
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30 novembre 2008 à 12 h 23
Effectivement, leur définition du centre-ville est très large. Honnêtement, il y a une bonne partie de Sainte-Foy qui ne correspond pas à une définition de banlieue classique, mais ce n’est pas le centre-ville non plus.
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30 novembre 2008 à 19 h 19
Bonjour, comme de nombreuses personnes l’ont souligné, il y est question d’achat. Car question logement, la qualité est très différente entre la ville et la banlieue. À Kilo qui nous parle d’un appart à St-Foy, c’est un peu une joke… Les apparts à St-Foy peuvent être d’une qualité convenable, mais affreux. Cependant, ils coutent une fortune comparé à ce qui se trouve en ville pour l’équivalent. Enfin, entre un logement en périphérie et en ville, il y a souvent une différence d’esthétisme qui est discutable: entre les gros blocs bruns et les charmants triplecs, il y a une question de goût…
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30 novembre 2008 à 19 h 28
Suivant ce que disent Guibert et Yvan Dutil, certains n’ont pas pris le temps de regarder la définition de « centre nord » (et non centre-ville). Ainsi, dans le cas des unifamiliales, la plupart des maisons considérées sont dans la banlieue, et non le centre-ville (car il y en a plus en banlieue tout simplement). Toutefois, ça ne comprend pas Beauport ou Charlesbourg… ça ne veut pas dire grand chose comme statistique à mon avis. Ça irait mieux avec un découpage qui n’est pas liée aux limites des anciennes villes avant les fusion.
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30 novembre 2008 à 21 h 23
Non mais avez vu de quelle façon ils ont fait le découpage?
Ils ont fait 3 gros quartiers, ils ont mit Neufchatel, l’Ancienne-Lorette et St-Augustin dans le même groupe que le Vieux-Québec, Montcalm et Ste-Foy, et ils ont mit Charlesbourg dans le même groupe que Shannon, Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, et la Côte de Beaupré!
Le résultat: des chiffres qui n’ont absolument aucun sens.
Découpé « intelligemment », ces écarts seraient beaucoup plus élevés…
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