Source: Brigitte Breton, Le Soleil, 4 décembre 2008.
(…) Le maire, comme le conseiller municipal Richard Côté, responsable des négociations à la Ville de Québec, auraient pu se passer de parader devant la CRT, si les propos qu’on leur prêtait, dans des documents visuels et des articles de presse, avaient été admis par les avocats de la Ville, avant leur comparution. Tout ce qu’ils ont dit, en sorte, a permis de confirmer que ce que les journalistes avaient écrit était véridique. Surtout le passage où le maire a déclaré qu’il n’était «pas capable d’accepter que des syndiqués fourrent le système» (…)
La suite. À consulter, entre autres billets: Stratégie à revoir.
4 décembre 2008 à 11 h 05
Je trouve que le blogue Québec Urbain s’éparpille lorsqu’on parle de politique municipale et surtout lorsque ça ne touche aucunement à l’urbanisme. Les relations de travail à mon avis sont complètement hors sujet.
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4 décembre 2008 à 11 h 08
T’as peut-être raison. J’en avais déjà discuté avec Réjean Lemoine qui trouvait que ce sujet (politique municipale) était pertinent. Mais bon… C’est noté, et merci! ;-)
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4 décembre 2008 à 14 h 16
J’appuie Nicolas, restons concentrer sur les questions qui touchent l’urbanisme de la région de Québec.
Un article sur la performance général du Maire depuis un an, c’est une chose, mais un article sur la comparution du Maire devant une instance administrative qui s’occupe de relation de travail, ça commence à s’éloigner trop selon moi.
Juste ma perception.
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9 décembre 2008 à 08 h 53
Je suis d’accord moi aussi.
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