Mais alors… bonne, ou mauvaise nouvelle?
Source: Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, 19 décembre 2008.
Trois ans après son mariage avec la Télé-université, l’Université du Québec à Montréal (UQAM) envisage de l’avaler complètement. Le siège social de l’université à distance – fer de lance de la revitalisation du quartier Saint-Roch – pourrait même devenir un campus de l’UQAM à Québec. Entre les murs de la TÉLUQ, on crie au démantèlement.
Fin mai, le recteur de l’UQAM a mandaté un chargé de dossier pour étudier l’intégration de la TÉLUQ à l’UQAM. Dès son arrivée en poste en janvier, Claude Corbo avait annoncé son intention d’en faire un dossier prioritaire, déplorant l’absence de résultats concrets à la suite du rattachement de la TÉLUQ à l’UQAM en 2005. (…)
19 décembre 2008 à 19 h 22
Ce serait peut-être le temps de fusionner les succursales de Rimouski et de l’UQUAM en une seule université qui pourrait faire concurrence à l’UL?
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20 décembre 2008 à 13 h 02
Pêut-être qu’elles font plus concurrence ainsi (étant ratachée à d’assez grosses universités) que regroupées en une seule plus petite… je ne saurais dire.
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22 décembre 2008 à 11 h 03
Pourquoi rattacher une plus petit (rentable) à une plus grosse (non-rentable).. Corbo me dépasse.
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13 janvier 2009 à 11 h 46
@toudgge Corbo n’a rien fait du tout. La fusion TÉLUQ-UQAM a eu lieu à l’été 2005, sous Roch Denis. Or, depuis ce temps, on continue à doubler les services. La TÉLUQ a bénéficié du renom de l’UQAM pour attirer plus d’étudiants, mais c’est tout.
Corbo a demandé à un expert (Pierre Brossard) de voir ce qui pouvait être fait.
J’ai écrit un mémoire l’été passé qui fut soumis à Brossard:
http://www.daniel-lemire.com/UQAM/Brossard2008.pdf
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