L’image ci-contre est tirée de l’article suivant: Ceci n’est pas une feuille d’érable (Le Soleil).
Source: Nadia Ross, Le Soleil, 5 janvier 2009.
Dans le hall d’un hôpital, sur le terrain d’un immeuble de bureaux ou dans un parc, l’art public prend vraiment racine dans le paysage québécois. Si la politique provinciale d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement a labouré le terrain, le temps des semences n’est désormais plus réservé au domaine public. Pour soigner leur image ou pour contribuer à la société, plusieurs investisseurs privés choisissent maintenant de sortir leur portefeuille pour financer eux-mêmes des projets d’art monumental. Quels sont les retombées et les intérêts pour ces investisseurs? Comment la société et les artistes profitent-ils de ces dons? Le Soleil a rencontré quelques-unes de ces personnes qui travaillent à amener l’art sur la place publique. À ceux qui donnent des objets à lire.
Tout récemment, la Chambre de commerce de Québec dévoilait L’embarquement, de l’artiste Michel Saulnier. Déposée sur la place du Marché-du-Vieux-Port, l’immense feuille de chêne en laiton est une oeuvre accessible et déjà appréciée des passants. «On voulait souligner notre 200e anniversaire d’une façon tangible, qui durerait dans le temps. C’est un peu une façon de nous immortaliser et de remercier la population de nous avoir fait confiance pendant toutes ces années», explique Mélanie Larouche de la Chambre de commerce. (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: Le sculpteur Pierre Bourgault blessé par la controverse.