L’image ci-haut est tirée de Wikipédia.
Source: Geneviève Bouchard, Le Soleil, 13 janvier 2009.
Les coupes du gouvernement fédéral en culture font mal aux compagnies de Québec, et pas seulement aux petits joueurs. Devant la disparition de mesures d’aide à la tournée, la compagnie de Robert Lepage, Ex Machina, s’est résignée à inscrire son prochain bilan financier à l’encre rouge.
«Pour nous, la situation change dramatiquement, lance le producteur Michel Bernatchez. On accepte de créer un déficit. On menace notre santé financière pour maintenir nos activités. On fait le pari que nos spectacles doivent continuer à circuler.»
L’abolition du programme PromArt touche particulièrement Ex Machina (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: Robert Lepage parle de développement.
13 janvier 2009 à 13 h 53
La je ne comprend. Selon plusieurs (le maire Labeaume entres autres), la culture est censé d’être rentable. Donc suivant cette
logique, Ex-Machina ne devrait mème pas avoir de subvention.
Si c’est si payant que cela, Ex-Machina qui doit avoir fait ses
frais depuis longtemps n’a logiquement plus besoin d’argent.
A moins que nous nous sommes fait monté un bateau. Impossible,
un politicien ne peut mentir.
C’était juste une petit commentaire non polémique.
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13 janvier 2009 à 14 h 02
dave, les retombées sont importantes pour ex-machina dans la ville de Québec. Là ou on doit se questionner c’est sur la nécessité de subventionner des promoteurs millionnaires comme GM développement à chaque année…
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13 janvier 2009 à 15 h 15
Il s’agit ici d’un progamme de subvention qui existait au gouvernement fédéral et qui n’a rien à voir avec la Ville de Québec. D’ailleurs, il s’agissait d’un programme pour faire « rayonner la culture » à l’extérieu du pays si je ne me trompe pas.
Curieusement, alors qu’on disait, l’automne dernier quand ce programme fut aboli, que chaque dollar investi dans ce programme en rapportait 11, on dit maintenant qu’il en rapporte 5. D’une part, ça me fait dire que ces chiffres ne sont pas très crédible. D’autre part, dans la ligne du commentaire de dave, on pourrait plutôt instaurer un programme où ceux qui profitent des dites retombées cotisent 10 à 20% de ces retombées à la « culture » (car la définition de « culture » est plutôt floue), ce qui viendrait fournir ce « un dollar investi » qui rapporte les autres.
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13 janvier 2009 à 21 h 14
Quand ça fait plusieurs qu’un organisme reçoit des subventions
et que l’on sait que sans subventions ses projets n’irait nulle
part, qu’ils ne sont pas viables sur le terrains (comme les films
de Robert Lepage entres autres), et bien c’est le temps de coupé.
L’excellence exige une compétition et il ne peut y avoir de
compétition s’il y a des subventions.LES SUBVENTIONS N’ATTIRENT
PAS LE TALENT, MAIS ATTIRE LES GENS QUI ONT LE TALENT
D’ATTIRER LES SUBVENTIONS.
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14 janvier 2009 à 08 h 57
« Quand ça fait plusieurs qu’un organisme reçoit des subventions
et que l’on sait que sans subventions ses projets n’irait nulle
part, qu’ils ne sont pas viables sur le terrains »
Dans le même ordre d’idée on pourrait dire la même chose de la Mile-Davie, qui a eu son lot de subvention et pourtant est-elle plus viable ???
Je sais je m’écarte un peu du sujet !
« L’excellence exige une compétition »
Hum je me sens pas en accord avec cette affirmation ! On peut-être dans l’excellence sans pour autant être dans la compétition. Une forme de pensé de l’Ancien monde qui devrait disparaitre.
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14 janvier 2009 à 16 h 08
Ouin la compétition… Batman, Harry Potter, Twilight, James Bond etc.
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