Beauport est maintenant un arrondissement de la ville de Québec. Elle fut fusionnée à Québec en 2002 avec plusieurs autres banlieues. Mais, saviez-vous que l’ancienne ville de Beauport était elle-même issue d’une fusion? En 1976, on fusionne les municipalités de Beauport, Giffard, Saint-Michel-Archange, Villeneuve, Montmorency, Courville et Sainte-Thérèse-de-Lisieux pour créer le territoire qu’on connait aujourd’hui comme Beauport.
Avant la première fusion, la planification dans les transports entre les anciennes municipalités voisines était sans doute une préoccupation de moindre importance pour les élus. Par contre, entre 1976 et 2002, la ville de Beauport n’a malheureusement jamais mis de l’importance sur les voies de circulation à l’intérieur de la municipalité. La possible raison pour ce laxisme serait la construction des autoroutes de la Capitale et de l’autoroute Dufferin qui s’est faite exactement à la même période. Mais, on n’a aucune idée si la ville de Québec a des plans pour corriger ces erreurs du passé.
L’ancienne ville fut développée comme une banlieue. L’accent a été mis sur les déplacements quotidiens des travailleurs de Beauport vers Québec/Ste-Foy. La circulation nord-sud dans Beauport n’a pas été priorisée. Il parait plus simple pour un Beauportois d’aller faire ses emplettes à Lebourgneuf que de se rendre sur le boulevard St-Anne, même si c’est moins loin en distance. Ceci explique sans doute le déclin du secteur sud de Beauport où le développement urbain a stagné au profit du secteur situé au nord de l’autoroute de la Capitale (Sainte-Thérèse-de-Lisieux).
Pourtant, il y a de nombreux axes pour traverser l’autoroute de la Capitale. On a construit des viaducs à la hauteur de la rue d’Estimauville, l’avenue Bourg Royal, la rue St-David, la rue Seigneuriale, le boulevard Raymond, chemin Royal et boulevard des Chutes. Le problème se situe dans la partie sud ou ces voies de circulation ne se rendent pas à tous les axes est-ouest. La fameuse et importante rue Seigneuriale s’arrête à l’avenue Royale. Il y va de même pour la rue St-David et l’avenue Bourg-Royale. Rabattons-nous alors à l’est sur la rue Labelle? Vous allez être déçus et surtout perdus! Je vous souhaite bonne chance pour vous rendre sur le boulevard St-Anne, vous seriez mieux de prendre l’autoroute Dufferin par Capitale.
Le secteur le plus mal planifié est celui de Villeneuve. Il n’est impossible par aucune rue de faire le trajet nord-sud sans emprunter des axes est-ouest. C’est un véritable labyrinthe. Remarquez entre autres l’incompréhensible tracé du boulevard des Chutes qui devient un axe nord-sud momentanément en prolongeant la rue Vallée. Lors de la fermeture temporaire des sorties et entrées d’autoroutes du viaduc Raymond/Labelle les automobilistes étaient détournés par ce trou noir via la rue Labelle Sud.
J’ai personnellement déjà été abordé par de nombreux touristes dans le secteur commercial de la rue Clémenceau. Ils se demandaient comment se rendre à leur hôtel du boulevard St-Anne. Ils ne croyaient surement pas le trajet que leur GPS leur proposait, il devait délirer! Je leur ai indiqué de prendre l’autoroute, gentillesse oblige.
14 janvier 2009 à 22 h 19
Je partage une bonne partie du constat de Monsieur Roberge et comme membre de l’opposition à la table du conseil de novembre 1996 à décembre 2001, date de disparition de la ville, j’ai souvent intervenu pour dénoncer certaines aberrations du trafic nord-sud et la tendancà développer des artères apr petits bouts de chemin.
Ainsimà, le petit bout de chemin entre le garage municipal sur le boulevard Raymond et la rue Clémenceau a subit 5 transformations et est encore incomplète. La dernièere phase on a tasé unpoteau mais on a oublié d’élargir les voies qui rétrécissent de 4 èa 2 avec la même emprise pour un bout d’à peine 500 pieds créant ainsi un goulot étrangleur dans les déplacements des travailleurs et leur empestant l’existence. Il en est de même de la rue Seigneuriale qui malgré des travaux et le nombre effarant de circuits d’autobus l’empruntant n’as pas su y installer des baies d’embraquement pourles autobus pour faire pester enci=ore plus les automobilistes pris en arrièere du transport en commun en plein trafic du matin car il ne peuvent dépasser les autobus qui embarquent du monde dans une artèere aussi névragique toujours à deux seules voies de circulation et à deux sens à partir de Des laurentidses jusqu’èa sa limite nord.
Oui le maire Langlosi a su développer au frais des contribuables beauportois et des erreurs de planification sont toujours nombreuses.
Pourq
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14 janvier 2009 à 22 h 24
Ça serait bien que vous tapiez un peu moins vite, les fautes de frappe sont frappantes (sans jeu de mots).
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14 janvier 2009 à 22 h 29
Je partage une bonne partie du constat de Monsieur Roberge et comme membre de l’opposition à la table du conseil de novembre 1996 à décembre 2001, date de disparition de la ville, j’ai souvent intervenu pour dénoncer certaines aberrations du trafic nord-sud et la tendance à développer des artères par petits bouts de chemin.
Ainsi, le petit bout de chemin entre le garage municipal sur le boulevard Raymond et la rue Clémenceau a subit 5 transformations et est encore incomplète. La dernièere phase on a tasé unpoteau mais on a oublié d’élargir les voies qui rétrécissent de 4 èa 2 avec la même emprise pour un bout d’à peine 500 pieds créant ainsi un goulot étrangleur dans les déplacements des travailleurs et leur empestant l’existence. Il en est de même de la rue Seigneuriale qui malgré des travaux et le nombre effarant de circuits d’autobus l’empruntant n’as pas su y installer des baies d’embraquement pourles autobus pour faire pester encore plus les automobilistes pris en arrièere du transport en commun en plein trafic du matin car il ne peuvent dépasser les autobus qui embarquent du monde dans une artère aussi névragique toujours à deux seules voies de circulation et à deux sens à partir de Des laurentidses jusqu’èa sa limite nord.
Oui le maire Langloii a su développer au frais des contribuables beauportois et des erreurs de planification sont toujours nombreuses.
Pourquoi a t’on privilégié le développementr de Armand-Paris dans le fiond d’une carrièere de sable désaffecté et aboutissant au boulevard Louis XIV sans aller plus bas alors que le boulevard Raymond très achalandé a un goulot értrangleur 100 pied au sud de Louis XIV car on a pas voulu exoproprier cinq maisons pour le rendre à 4 voies sur sa longueur. Oui on a continué ce boulevard entre le boulevard Raymond et Clémenceau mais une partie encore est à deux voies créant là aussi une entrave à la circulation nord-sud pourtant intense surtout le matin et le soir.
Oui, Monsieur Roberge a raison, Beauport s’est développé par cycles, par époque (la partie ancienne a respecté l’exéguité et le tracé des routes à cheval) et par bout de chemin sans un plan d’ensemble cohérent. On ne peut refaire les erreurs du passé, seulement tenter de les corriger. Mais pour ca, il faut une volonté politique que nous de cet arrondissement nous ne sentons pas exister.
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14 janvier 2009 à 23 h 19
J’habite St-Thérèse-de-Lisieux depuis 6 ans et je planifiais parler du boulevard Raymond plus en détail. J’avais remarqué qu’il alterne de 4 voies à 2 voies constamment sur toute sa longueur. En 6 ans, le flo de circulation a augmenté significativement qui est attribuable à l’expansion des quartiers résidentiels au nord de la rue St-Thérèse.
Je comprends les contraintes géographiques des quartiers plus historiques, mais il n’y a pas de très bonnes excuses pour les secteurs qui ont moins de 50 ans.
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15 janvier 2009 à 00 h 42
Monsieur Roberge, cet état de fait vous pouvez l’attribuer en grande partie à la frugalité du petit maire, le notaire Jacques Langlois. Il était plus intéressé à faire rouler son cabinet de notaire que de planifier correctement son développement. Les rues se rallongeait à mesure que les maisons se dressaient. La plupart des résidences au nord de la Capitale sauf celles longeant Seigneuriale, St-Michel, Rochette, Bertrand et autres n’ont pas 50 ans d’âge et ont été construites par des promoteurs amis du maire. Votre constat est exact…
Je suis intervenu à plusieurs reprises avec d’autres conseillers pour tenter de corriger plusieurs situations mais sans succès. Faut pas oublier que les deux conseillères actuelles dans le nord de la ville ne font que très peu d’interventions sur le sujet du trafic nord-sud. je sais que lorsque je siégeais nous avons exigé une étude sur la question et les conclusions du rapport n’ont jamais été publiquement discutées. La poussière sur la tablette ou il est installé a fini par le rendre caduque. Je suis heureux qu’un résident du secteur nord veuille bien reprendre le flambeau.
À la défense de Mme Trudel, je vous ferai remarquer que la sécurité des enfants dans les rues a été sa priorité et le combat pour les résidents des rues privées qui n’ont plus de déneigement par la Ville. Je crois que c’est la seule des deux qui a déploré la sitation du trafic nord-sud, mais avec si peu de conviction…
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15 janvier 2009 à 00 h 48
Éric je devrais taper sur word et copier/coller aprèes revision pour éviter ce que vous me reprochez. Voyez-vous le texte s’est inscrit sur le blogue avant même que j’ai fini et que j’ai pu en faire la revision. Il m’est apparu le message présence d’un doublet et vlan le texte s’est retrouvé enregistré. Ca fait plusieurs fois que ca m’arrive. Ai-je malencontreusement touché à une mauvaise touche ou c’est la longueur de mes textes qui impatiente l’ordi du blogue, hihihi…
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15 janvier 2009 à 00 h 51
Il y avait aussi le dossier de boulevard François-de-Laval, lequel devait rejoindre St-David un peu plus haut pour créer un lien nord sud continu et hors des « petites rues ». Toutefois, c’était plutôt délicat pour plusieurs raisons, dont la présence d’un secteur historique (redoute de Montcalm?) et probablement d’autres considérations de voisinage. Il me semble que ce n’est qu’en 2008 qu’on a enterré le projet. Je parie qu’on va construire des condos sur l’emprise qu’on réservait à ce boulevard, sans égard aux considérations qui allaient à l’encontre du développement initial du boulevard.
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15 janvier 2009 à 00 h 54
Fernand : juste pour votre information, selon votre ordinateur, les logiciels, etc. il y a parfois des combinaisons de touches du genre « Ctrl-Enter » (désolée pour la version anglaise, je n’osais pas me risquer avec une mauvaise traduction), qu’on peut facilement accrocher et qui peuvent avoir l’effet d’un clic sur le « bouton par défaut » d’une page (dans ce cas-ci « Poster le commentaire »). C’est le genre de chose qui m’arrive parfois, et je ne dois pas être le seul…
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15 janvier 2009 à 20 h 11
Je vais simplement dire ceci… Je roule encore en autobus. Il n’y a pas si longtemps j’habitais encore chez ma chère maman, dans le secteur val-Bélair… et parlez moi de deux MÉGA solitudes entre « Val-Bé » et Beauport. Vous rendez-vous comptes que je n’étais jamais allé à Beauport de ma vie, sauf au Wal-Mart (à 20 ans!!!) C’est certain que rouler en autobus ne fait rien pour aider mon cas! (2h00 pour se rendre… attente de 2h00 pour l’autobus du retour… un autre 2h00 pour revenir…. eurk!) MAIS! J’étais de Val-bélair, une autre belle banlieu loins de tout.
Enfin, maintenant je suis à Limoilou et les deux villes sont également innaccessibles par l’autobus pour moi! huhuhu!
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15 janvier 2009 à 23 h 58
Manu je ne suis pas né avec un ordi au pied de mon lit comme les jeunes d’aujourd’hui. Je n’ai pas de doigté et je pioche à deux doigts comme tout autodidacte. Ayant des gros doigts, j’accroche souvent des touches sans le vouloir et des fois le tout part sans que j’ai eu le plaisir de reviser.
Quand j’ai commencé à travailler au Ministère du Revenu en 63, on avait des typewriter Rémington fourni par la firme Gérald Martineau, l’ami de Duplessis. J’étais à la perception des comptes des corporations et on devait faire nos états de compte en trois copies soit Trois feuilles de papier avec des papiers carbones entre chacune qu’on roulait sur le rouleau du typewriter. On devait faire nos addition de mémoire ou on calculait à la main sur un feuille à part. Par la suite est apparu les calculatrice à manivelle et ensuite les calculatrices électriques. Alors j’ai fait tout un chemin avant d’aboutir avec un ordi sur mon bureau. Ce n’est qu’en décembre 1972, je j’ai eu accès à cette invention révolutionnaire. Je me suis doté d’un 64K personnel et pour garder en mémoire mes texte sur word perfect, il fallait les loader sur des disquettes.
Oui beaucoup de ce qui nous entourre aujourd’hui n’étaient pas là anciennement. Alors permettez moi de vous
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16 janvier 2009 à 00 h 27
Malgré mon âge relativement peu élevé, j’ai quand même connu à l’âge de huit (8) ans en 1988 les Commodore 64 et les fameuses disquettes 5¾ ». :)
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