Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Super Peps : le projet débloque

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 23 janvier 2009 3 commentaires

Sourece : Daphnée Dion-Viens, le Soleil, le 23 janvier 2009

(Québec) Après plusieurs faux départs, le projet du Super PEPS est bel et bien sur les rails, affirme le recteur de l’Université Laval, Denis Brière, qui prévoit maintenant la première pelletée de terre pour le printemps 2010.

La mise en chantier pourrait même commencer avant cette date si le projet est réalisé en deux phases. «Nous avons besoin des plans et devis pour décider si on débute tous les travaux en même temps ou si on devance la réalisation du stade de soccer», qui peut être séparé de l’ensemble du projet, a expliqué hier M. Brière. Selon le scénario le plus tardif, tous les travaux débuteraient en même temps au printemps 2010 pour se terminer au plus tard au début 2012, a-t-il ajouté.

Le projet a finalement pu se mettre en branle il y a quelques semaines grâce à la mise de fonds de 2 millions $ consentie par la Ville de Québec et le ministère de l’Éducation. Un premier appel d’offres pour la réalisation de 15 % des plans et devis se termine à la fin janvier. Les travaux sont toujours évalués à 85 millions $.

la suite

un gros « ENFIN »…

à consulter cet article sur les tractations de coulisses relatives à ce dossier

Voir aussi : Arrondissement Ste-Foy / Sillery / Cap-Rouge, Québec La cité.


3 commentaires

  1. Manu

    23 janvier 2009 à 13 h 52

    Espérons que cette fois sera la bonne!

    Et plus loin dans l’article, on parle aussi de « Maison internationale ». C’est peut-être un peu hors du sujet de ce billet, mais je trouve ce point très intéressant. L’Université Laval est déjà la porte d’entrée de plusieurs immigrants, et y ajouter un « portail officiel avec services inclus » aidera à les accueillir et peut-être aussi à les retenir (c’est surtout ce bout là qui manque à Québec). Par ailleurs, on ne pourra pas se plaindre d’une telle « qualité » d’immigrants pour la région (à part les quelques fils de princes ou de riches héritiers qui arrivent de pays moins organisés où des diplômes reconnus, mais « achetés » là-bas leur permettent d’être admis ici dans un programme donné, mais il ne s’agit que de quelques rares cas)

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  2. Jérôme

    23 janvier 2009 à 14 h 52

    Bonne nouvelle en effet.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  3. Simon

    23 janvier 2009 à 16 h 57

    Personellement, je vais attendre de voir les ouvriers à l’oeuvre avant de pousser un « enfin ».

    Signaler ce commentaire

     ou annuler