Source: Claude Vaillancourt, Le Soleil, 23 janvier 2009.
(…) Conseillère du quartier Montcalm et architecte de formation, Anne Guérette n’est pas très entichée par le projet qu’elle a sous les yeux.
«Pour un site exceptionnel, ça prend un projet d’architecture exceptionnel», a mentionné, jeudi, la conseillère municipale, dans une entrevue accordée au Soleil. «Les esquisses que je vois, même si ce ne sont que des esquisses, m’apparaissent représenter une architecture commerciale standard.»
Appelée à préciser ce qui constituerait, à ses yeux, une architecture «exceptionnelle», Mme Guérette croit que le Château Frontenac a le mérite de correspondre à cette définition. «C’est un bâtiment bien intégré au milieu, visible de toutes les parties de la ville. Le projet, dans la côte d’Abraham, à l’entrée de l’arrondissement historique, doit être du même type. Lui aussi sera visible de plusieurs parties de la ville.»
Mais elle concède que l’architecte peut inclure des éléments de modernité dans l’immeuble suggéré.
Au surplus, la conseillère ne fait guère confiance à la Commission d’urbanisme de la Ville qui, selon elle, «a manqué de fermeté» dans le passé lorsqu’elle a délivré un premier permis de démolition. (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: Projet de l’Hôtel Boréal sur le site de l’église Saint-Vincent-de-Paul: un autre navet urbanistique.
23 janvier 2009 à 11 h 28
Je suis d’accord avec Mme Guérette, site exceptionnel – ca requiert un projet exceptionnel – et pour ce faire des architectes exceptionnels. ( DONC QUE LA VILLE FASSE UN CONCOURS AU PIRE MERDE Pour en trouver ca doit bien exister… )
Du reste, Mme Guérette est selon moi un peu dans le champs quand elle dit que le projet peut inclure des éléments de modernité.. CE PROJET DOIT ÊTRE CONTEMPORAIN on est en 2009… on vient de tourner la page à 400 ans d’histoire, peut-on faire de l’architecture contemporaine de qualité sans répéter les projet du passé OUI…
Et en passant quand on regarde le chateau frontenac, à l’époque rien de l’intégrait à la ville de Québec ( matériaux, échelle, implantation… )
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 12 h 15
Wow! Moi je trouve ca beau. Je juge l’hôtel Royale en diagonale est très beau aujourd’hui. (à part le mot Hotel en blanc devant). Et pourtant, il y avait de l’opposition.
Moi je pense que le coup d’oeil sera intéressant autant de la basse-ville qu’en haut de la côte. Les cube devront donc un repère vue de loin…
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 12 h 29
Stéphane, c’est de l’humour, vrai ?
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 13 h 48
C’est effectivement massif et très conservateur comme architec-
ture. Je comprend Labeaume de ce la fermé. Lui qui ne jure que
par un quartier St-Roch flyé et a l’avant-garde artistique et ceretrouvé avec une telle construction manquant totalement
d’imagination, conservatrice et appliquant une formule générale
que nous retrouvons a l’échelle mondiale. Mais que voulez-vous,
Québec a été victime depuis des décennies a la fuite de nos
meilleurs talents, que nous nous retrouvons aujourd’hui avec le
fond du panier urbanistique, architecturale et artistique. Nous avons qu’à constater la banalité imaginative de certaines murales extérieures Pour innové il faut du courage, de l’audace
et de l’imagination, autant de la part des promoteurs que des
artistes. Mais malheureusement ceux-ci ne font recopier ce qui
ce fait ailleurs toute en s’enfermant dans un conservatisme
éculé, soit par peur, par manque d’imagination ou tout simple-
ment par un je m’en-foutisme pathétique…ou les trois en mème
temps.
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 15 h 52
Antoine: je ne pense pas que la ville puisse faire un concours d’architecture pour un batiment privé. Je ne trouve pas ca tres beau non plus mais outre quelques details, la ville n’y peut pas grand chose.
détrompez moi si j’ai tord svp
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 17 h 09
Je respecte Mme Guérette mais elle n’a pas puempêcher la démolition de l’église autorisée par le comité d’urbanisme de notre cher Jacques « je m’excuse » Joli-Coeur.
On ne peut pas exiger un concours d’architecture du promoteur mais lui demander de respecter le milieu ambiant autant que possible et respecter les réglements d’urbanisme et de zonage.
Ceux qui n’aiment pas le projet, ben ils ont juste à faire une offre d’achat à Monsieur Robitaille, un point c’est tout…
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 18 h 24
Antoine, la ville y peut grand chose certain, puisque c’est elle qui délivre les permis de construction. Sans compter que l’imbécilité du promoteur lui a valu que le provincial décide de mettre son pied à terre.
Je me demandais du côté légal ce que les différentes parties peuvent faire, j’ai fait mes propres analyses et j’ai soumis mes observations à un de mes professeurs.
Le promoteur, en procédant à la destruction sans permis par déjà sur une très mauvaise case puisqu’il agit dans l’illégalité, et aura à payer une amende, par chance pour lui, à cette étape la facade n’était pas encore jugée patrimoniale officiellement. Ensuite, ils ont proposé un projet qui rayait la facade, ajoutant au problème. Puis lorsque le Ministère de la Culture a décidé que la facade était patrimoniale, eh bien là c’est finit pour lui, il n’aura pas le choix de faire avec. Je ne sais pas si le promoteur a été jugé pour son acte, mais s’il ne l’a pas encore été, l’amende pour démolition d’un bien patrimonial peut monter dans les dizaines de milliers de dollard. Essentiellement, il a donc la ville et le gouvernement à dos.
Le gouvernement et la ville ne le laisseront probablement pas détruire puisque ça constituerait un mauvais exemple envers d’autre promoteurs de mauvaise foi.
À cette étape, le promoteur a 3 choix. Soit il construit avec la facade qui serait en ordre selon le gouvernement, soit il reconstruit la facade ($$$$$$$), soit il vend. Il est probable qu’il pourrait vendre le terrain à une compagnie à numéros qui ferait ensuite faillite, avec ce que ça implique.
Le promoteur ne peut pas intégrer la façade parce qu’il la juge instable, ce serait admettre sa mauvaise foi.
Donc le promoteur s’engage présentement dans sa seule option valable, qui est de baisser la tête et accepter ce que dira la ville et le gouvernement. Ça veut dire qu’il n’a pas le choix de reconstruire la façade et trouver un moyen de l’intégrer, mais qu’il doit aussi soumettre un projet d’hôtel en accord avec la façade puisque la politisation du dossier arrive avec des attentes des conseillers, du maire et du ministre, s’il le veut.
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 19 h 02
Si vraiment le promoteur a agit dans l’illégalité, je suggère au
comité de citoyen de porter eux-mêmes plaintes a qui de droit.
Je ne suis pas avocat, mais je crois que chaque citoyen a un devoir
civique de porter plainte ou d’arrêter un acte qui est contraire à
la loi. A l’extrême limite, si la ville ne donne pas suite à la plainte,
les citoyens concernés pourront former un tribunal populaire symbolique et émettre un jugement toujours symbolique. Mais
tout cela a condition que le prometteur a agit dans l’illégalité.
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 19 h 32
@ Pierre-Luc Auclair qui dit: « Je ne sais pas si le promoteur a été jugé pour son acte, mais s’il ne l’a pas encore été, l’amende pour démolition d’un bien patrimonial peut monter dans les dizaines de milliers de dollard. »
La tape sur les doigts doit être donnée au comité d’urbanisme municipal qui a donné le feu vert pour la démolition. C’est eux qui pouvaient obliger le promoteur à conserver l’église et l’incorporer dans son projet ou simplement l’empêcher de démolir avant que le Ministèere donne son accord.
Le Ministère de la Cul-ture a mis sont nez là-dedans seulement quand les travaux de démolition ont commencé à soulever l’ire des citoyens du quartier.
Il demeure que les réglements d’urbanisme se doivent d’être suivis mais avec l’incident du « Paillard » sur la rue St-Jean, ou s’aperçoit que le service d’urbanisme ne voit que ce qu’il veut voir.
Je vous rappelle que la tenue du régistre en contestée en cour supérieure pour faute grave du service (il y avait 20 signatures et on en a retranché pour arriver en bas de 12 pour des raisosn très nébuleuses). Celà n’a pas empêché le promoteur, ami du conseiller Joli-Coeur, de faire des travaux et d’ouvrir son resto qui contrevient au moratoire sur le nombre des restos sur cette artère. De plus, l’affichage du resto convàtrevient au réglement et aucun fonctionnaire n’a sévit. Un beau cas de magouille…
Alors Monsieur Pierre-Luc bercez-vous avec vos illusions…
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 19 h 39
Si je comprend bien, il y a eu complicité. Je pense qu’il y a objet
a enquête.
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 20 h 54
dave
vous en avez du temps a perde a pelleter des nuages..
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 21 h 04
Radoteur
vous en avez du temps a perde a chercher des poux chez les autres.
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 22 h 10
Fernand je ne suis pas sûr que le service d’urbanisme soit totalement à blâmer. J’avoue que quand je vois certains développements qui sont faits, on peut se demander ce qui se passe parfois.
Faut dire aussi que si le promoteur amène sa pipine et passe à travers les murs la fin de semaine, qui c’est qui va l’en empêcher ? C’est pas comme si ils pouvaient envoyer un inspecteur pour arrêter les travaux s’ils savent pas que ça va être détruit !
Il est possible aussi que le politique ait demandé au service d’urbanisme de faire passer le projet parce qu’on voulait avoir les taxes et voir le trou béant rempli.
Vous savez autant que moi que c’est des choses qui arrivent.
Même si c’était le service d’urbanisme, tant qu’il n’y a pas de résolution au conseil il n’y pas de contrat.
Signaler ce commentaire
23 janvier 2009 à 22 h 34
Ce genre de destruction a la sauvette la fin de semaine, ce n’est
pas la première fois que cela arrive, c’est même un classique.
Pour agir de la sorte, le prometteur savait très bien ce qu’il faisait.
Certes, les mauvaises langues diront qu’il a reçu le OK d’un contact
haut placé de l’hôtel de ville dans le style ¨ vas-y démolie la fin
de semaine, je m’arrange avec l’urbaniste ». Les démolitions de
fin de semaine ou de nuit, c’est un grand classique.
Signaler ce commentaire
24 janvier 2009 à 08 h 40
Le promoteur a été jugé pour la destruction et il auras 150000$ a donné a la ville de Québec en amande…pour ceux qui se posais la question..
Signaler ce commentaire
24 janvier 2009 à 08 h 42
et en passant a cette époque la ville voulais voir disparaire cette facade la du secteur..alors oui le promoteur a dekoi etre gené mais la ville tout autant!
Signaler ce commentaire
24 janvier 2009 à 08 h 44
Mon cher Fernand,
Les jours passent et tu deviens de plus en plus pathétique avec tes commentaires. Dire aux gens qui ne sont pas contents de l’architecture proposée de faire une offre d’achat au promoteur, voilà une curieuse définition de la démocratie pour une personne qui met souvent de l’avant le fait qu’il ait été conseillé municipal… La population est libre et le sera toujours de contester un choix ou l’autre. De plus, ton petit lapsus « cul-ture » est très enfantin. Ça ne te tente pas de vieillir ?
Mais pour revenir au sujet initial, je suis d’accord avec Mme Guérette ; à site exceptionnel, architecture exceptionnelle. Mais le promoteur a déjà montré sa pauvreté. Déjà son hôtel Palace est à pleurer. Là, on a la nette impression d’une façade posée comme une soucoupe volante ; on ne sait pas trop d’où elle vient.
Signaler ce commentaire
24 janvier 2009 à 09 h 01
François effectivement je suis d’accord site exceptionnel – architecture exceptionnel, cela ne veut pas dire de faire du Walt Disney, de construire à l’ancienne ou de reconstruire à l’identique. Non il faut un projet de qualité et pour ce faire bien, il faut en partant une chose, une architecture soignée, étudiée, de grande qualité, pour ce faire…prendre les meilleurs architectes… ah oui, le promoteur préfère les moins chers ah bon…
Ce projet ce cache derrière une oeuvre d’art pour justifié son vide… l’usage de la façade découpée en deux, n’a rien d’innovateur en soit, et le volume derrière et tellement imposant… je ne comprend pas encore, si le palace Royale est une référence ou allons nous…
Signaler ce commentaire
24 janvier 2009 à 09 h 55
Mon cher François,
c’est simple les faits sont là. Un promoteur a eu l’aval du comité d’urbanisme pour détruire l’église et il l’a fait en toute légalité, ne vous en déplaise. Mme Guérette le sait, il avait un permis en bonne et due forme…
En tout état de fait, le droit de propriété et de doàisposer de son bien fait encopre partie de notre système démocratique…
Il demeure que le promoteur est propriétaire du terrain et qu’il a encore le droit dans une démocratie de choisir son architecte en autant qu’il respecte les normes municipales en matière d’urbanisme. J’ai été conseiller municipal et je sais comment ca marche…
Vous devez savoir que dans les bureaux d’architecte avant d’esquisser un plan, ils consultent les autorités municipales et se rendre rencontrer le service d’urbanisme. C’est kla moindre des choses car une erreur peut ^çetre coûteuse. J’imagine que vous avez déjà arpenté les corridors municipaux à cet effet.
Que l’architecture plaise ou non, c’est un choix du promoteur pas des gérants d’estrade qui n’ont mis aucune cenne dans le projet.
Avec les exigences contraignantes, ca coûte un bras démolir pièce par pièce pour déplacer la facade, le promoteur a deux choix: Aller de l’avant ou tenter de refiler la patate chaude à un autre en vendant sa propriété.
J’espère que s’il choisi la deuxième option, vous serez là pour lui faire une offre qu’il ne pourra pas refuser. Alors, vous construirez à votre goût mais n’oubliez pas, il y aura toujours des gérants d’estrade pour critiquer. Ca à l’air que c’est notre sport national…
Signaler ce commentaire
24 janvier 2009 à 10 h 10
Fernand, vous avez été conseiller municipal et vous faites encore des jeux de mots du genre « Le Ministère de la Cul-ture ». Il y a décidément un problème avec la démocratie…
Signaler ce commentaire
24 janvier 2009 à 12 h 40
Eliott je vois que vous ne le serez jamais…
Signaler ce commentaire
25 janvier 2009 à 06 h 57
En tout cas, il a une sacrée patiente le promoteur.
J’en connais qui n’auraient pas hésité à tout planter la et a laissé La ville de Québec se débrouiller avec les ruines.
Mais j’ai bien aimé certains commentaires du genre de la « définition de la démocratie ». Mais attention, la démocratie sur une terrain privé, et avec l’argent des autres.
Vous voulez quelque chose de différent à ce qui est prévu sur ce terrain ? Alors créé un collectif, rachetez et faites ce que vous voulez avec. Sinon, virer donc de la, c’est une propriété privée.
Ah, étant donné que tout ce cirque coute une petite fortune à la ville, je m’attend à ce que tout les « protestataires », « opposants », etc… , enfin, tout ceux qui s’occupe de ce qui ne les regarde pas, rembourse toutes les sommes dépensées.
Marre de me faire racketer fiscalement pour que des chialeux professionnel puissent continuer à chialer.
Signaler ce commentaire
25 janvier 2009 à 11 h 36
safeguard, je respecte ton opinion, mais tout cette saga a été
déclenché par…le promoteur. La démolition à la sauvette de
l’église sans permis était au départ un geste douteux et illégale.
Disons que c’est ce geste qui a emballé la machine. En plus, les
déclarations émotives et incontrôlés de Labeaume n’ont pas aidé
a une saine de bonne compréhension mutuelle. Québec est peut-être une trop grosse ville pour la capacité de gestion de certains.
Signaler ce commentaire
25 janvier 2009 à 12 h 03
Mais c’est tout à fait ça.
c’est bien de cette histoire de permis que tout est parti.
Je ne me suis pas encore renseigné sur ce sujet la, mais il faut combien de permis, délivré par qui, et à quel prix ? Et tout ça pour seulement pouvoir faire ce que l’on veut chez soi, sans nuire à personne.
Et le pire, c’est que même en ayant perdu temps et argent pour acquérir ces « permis », il suffit que le premier venu déclare que ça lui déplait pour que tout soit à refaire. Cette histoire en est également un bon exemple.
Beaucoup de gens désiraient voir cette église rester comme elle était. Si j’ai bien compris, ils désiraient également la voir restauré.
Il y avait une solution toute faite pour cela, mais qu’ils ont laissé passé. Maintenant c’est trop tard et tout ce qu’ils peuvent faire, c’est pleurer sur une façade.
Pour ce qui est de la gestion de la ville, je crois que c’est tout à fait faisable, à la condition que cela reste la gestion de la ville et pas des habitants et des propriétés privées.
Signaler ce commentaire
25 janvier 2009 à 12 h 42
Effectivement, je suis d’accord avec vous sur le fait que beaucoup
de gens qui voulaient conserver cette église, ont trop attendus.
Mais là il est trop tard. La seule trace qui reste de l’intérieur de
cette église, ce trouve dans un livre de photos consacrés aux
églises de Québec publié en 2008 pour le 400ème. Sinon, c’est
la façade. pour être honnète l’intérieur de cette église n’était pas
au top niveau de l’originalité.
Signaler ce commentaire
25 janvier 2009 à 13 h 53
A qui la faute si c’est si compliqué?
Voici ce qu’en pense le président d’HÉritage-Montréal sur des situations similaires a Montréal:
« …On ne peut blâmer les promoteurs pour l’absence d’un véritable service d’urbanisme , pour le rejet des processus crédibles de l’Office de consultation publique ou pour la sollicitation tardive du Conseil du patrimoine.
Ce sont pourtant des moyens intelligents d’éviter que la vigilance citoyenne se traduise en méfiance paralysante.
Ils apportent le degré d’exigence dont Montréal a besoin pour atteindre l’excellence qu’il recherche dans son développement. »
—————————————–
J’ai mis cette citation car ce sont les mêmes éléments qui s’appliquent a québec:
1-« Absence d’un plan d,urbanisme » ou d’une vision claire de ce que l’on voulait…
2-« rejet des processus crédibles de consultation »
(Il y a eu une consultation sur le démentelement d’une paire de bretelles mais c,est tout!)
3-« Sollicitation tardive du Conseil du Patrimoine »
(Le Patrimoine est intervenu in extremis pour sauver la facade St-Vincent mais était absente du débat initial)
———————————————
Voici le lien pour l’article:
http://www.ledevoir.com/2008/01/25/173197.html
Et rappelons le titre qui est tres evocateur:
« Développement urbain de qualité (à Montréal) – Des principes à respecter »
Signaler ce commentaire
25 janvier 2009 à 14 h 58
Le permis de démolir a été accordé par le Comité d’urbanisme de la Ville. C’est clair ca…
Si vous voulez lapider quelqu’un, demandez des comptes à Jacques « je m’excuse » Joli-Coeur.
Safegard a raison, ceux qui pleunichent ont juste une chose à faire:
Avoir des $$$ pour racheter le promoteur et faire du terrain ce qu’il en veulent avec les plans qu’ils voudront en autant que ça respecte le zonage et les normes d’urbanisme émises dans le plan directeur qu’on est en train d’harmoniser.
Dans la vie, il y a ceux qui agissent et ceux qui subissent…
Signaler ce commentaire
25 janvier 2009 à 22 h 35
Au moins le titre du billet est incontestable.
Comme je l’ai déjà dit ailleurs, je trouve que la récupération de façade ne s’intègre pas au bâtiment, dont le rendu est un peu moche dans l’ensemble.
Mais vous savez quoi?
Je vais l’accepter, car c’est mieux que ce qu’on a là et parce qu’il n’y a personne d’autre qui était prêt à faire quelque chose (sinon, ça aurait été fait depuis longtemps). Il y a certes eu des propositions intéressantes d’individus ou de regroupements, dont certaines qui me semblaient plus intéressantes que cet hôtel. Mais puisque « personne » ne s’est offert pour les réaliser, c’est à « personne » qu’il faut maintenant se plaindre de son inaction.
Signaler ce commentaire