Source : Baptiste Ricard-Châtelain, Le Soleil, le 21 février 2009
(Québec) La Ville de Québec plantera finalement à l’été, au centre-ville, des centaines de poubelles publiques acceptant les déchets d’un côté, les matières recyclables de l’autre. Mais la haie verte s’arrêtera aux portes de l’achalandé Vieux-Québec, puisque le ministère de la Culture n’a toujours pas approuvé le modèle choisi.
«Le ministère de la Culture ne veut pas du type de récipient que l’on va installer ailleurs en ville, confirme un des porte-parole de la municipalité, Benoît Jobidon. Ce n’est pas réglé encore.»
Peu importe, quelque 560 «poubelles à deux voies» sont maintenant commandées. Plus ou moins 400 seront disposées au centre-ville. «Les autres, c’est pour les pièces de rechange en cas de bris ou de vandalisme.»
la suite
remontons un peu dans le temps pour savourer cet article sur la fabrication d’éthanol à partir des déchets
21 février 2009 à 17 h 10
très bien pour la propreté de la ville… mais pourquoi être si lent pour dans les murs?
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21 février 2009 à 17 h 38
160 poubelle de rechange pour 400 installées? Je pensais pas que le niveau de vandalisme était si élevé à Québec. C’est vraiment épeurant!
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22 février 2009 à 03 h 30
Voilà le paradoxe environnemental. Les Vieux murs, patrimoine de l’UNESCO, ne souffrent pas des besoins de recyclage.
Je l’ai dit à plusieurs reprise, AVANT d’imposer aux anciennes villes de ceinture un troisième bac, ne serait-il pas temps de régler les problèmes que causent le recyclage dans les vieux quartiers, autant SJB et St-Roch que les vieux murs. Le deuièeme bac et le recyclage est problématique au même niveau que le centre de tri. Régler ce problèeme de savoir comemnt récupérer les matières recyclables augmenterait le volume transitant par le centre de tri.
Allez voir sur la rue St-Jean un hjour de ramassage des détritus, vous comprendrez ce que je veux dire : peu de matières recuyclées proviennent de ces parties de la ville.
On me répondra que l’exéguïté des lieux est le problème, je répondrait que tout problème a une solution. Pourquopi pas imaginer deux jours distincts de collecte: une pour le centre de tri et l’autre pour l’incinérateur. Je sais que l’été dans St-Sauveur et St-Roch on faisait deux collectes par semaine et que par restriction budgétaire on est revenu à une. Comme quoi il y a un coût à l’environnement et que l’harmonisation des efforts dans toutes les parties de la ville est loin d’être faite…
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22 février 2009 à 09 h 46
Selon mon expérience, ce type de poubelle ne changera rien en elle-même, si les gens ne sont pas davantage sensibilisés.
En Europe, il y a depuis longtemps ce type de poubelle, je peux vous assurer qu’en regardant le contenu vous ne pourriez pas les distinguer les unes des autres tant les gens ne se préoccupent pas d’où ils jettent leurs déchets. J’aimerais en fait bien avoir des données pour en mesurer le succès.
La consigne ne réglerait que peu ce problème, car les gens qui circulent dans la rue veulent, le plus souvent, se débarrasser au plus vite de leur bouteille d’eau vide. Et pour sensibiliser les gens à la jetter dans le bon compartiment, il nous faut quelques écolos, n’est-ce pas Fernand :)
Il commence à être implanté en Europe des « bulles » souteraines pour recevoir le verre, le plastique et le métal. C’est très discret – il y a seulement de petites bornes de couleur différente qui sortent du sol – et ils ont un assez grand volume. Ca se trouve pas à tous les coins de rue bien sûr et ce ne peut donc pas à elles seules constituer une alternative aux poubelles conventionnelles qu’on retrouve sur la rue. Mais si de telles bornes pouvaient remettre de la monnaie pour les consignes, je pense que ca aurait un grand succès. Mais ce serait cependant tout un investissement. À suivre…
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22 février 2009 à 13 h 54
Effectivement Louis, il faut sensibiliser les gens et c’est toujours à recommencer. C’est pourquoi le plan vert de la Ministre Beauchamps prévoit 34 millions pour sensibiliser les gens. Qui va les sensibiliser?
Les OSBL logés dans le Centre de l’Environnement et leurs confrères à Montréal qu’on veut loger subventionnés les OSBL dans la maison du développement durable, un autre OSBL. Vous savez la grande soeur montréalaise du Centre de l’Environnement pour laquelle Hydro-Québec a dionné un terrain de 1,3 millions à Équiterre. Bizarre, le théologien activiste Guilbault ne monte pas en chaire pour prêcher contre le harnachement de La Romaine, ni la restauration de Gentilly II. Ca fait d’ailleurs des vagues dans les millieux écolos, ce silence du pape de la religion kyotiste. L’argent corromp…
http://www.maisondeveloppementdurable.org/
Pour recycler je suis d’accord qu’il faut en faire. Je remarque que la banlieue est plus habituée au bac bleu que le centre-ville. À Beauport, le bac bleu est arrivé plus de 10 ans avant la fusion. Lors de mon mandat, on a établi une troisième collecte des résidus verts, feuilles mortes et des restes de jardin. On sait les problèmes de voisinage qu’on eu ces compagnies de compost sur la rive-sud et en Mauricie. Les écolos nous ont ensuite fait une campagne commanditée par la ville pour laisser nos résidus de gazon sur le terrain ce qui fait de la chaume. Au printemps, il faut la râteler et envoyer les résudus de gazon séché dans le bac allant à l’incinérateur car la troisième collecte a été enlevée par souci d’économie (500,000$ de moins de camionnage à payer). Vraiment bizarre, ces volte-faces.
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23 février 2009 à 08 h 12
Ah Fernand ! tu devrais écrire un roman de ta croisade contre le sujet de l’environnement et des écolos ;-) (air taquin)
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23 février 2009 à 10 h 26
Je n’utilise le gros bon sens et l’écoute de mes concitoyens…
Je ne suis pas contre qu’il faut se ramasser et essayer de ne pas trop polluer mais je n’en fait pas une raison de vivre sinon une carrière et dans le cas Steven Guilbeault très lucrative surtout pour un théologien…
Voici une parole sage de Karry Mullis, prix Nobel de Chimie 1993: « Les partisans du réchauffement prédisent que celui-ci est imminent et que nos émissions sont à blâmer… Si nous ne nous sentions pas inquiets et coupables, nous pourrions ne pas leur payer leurs salaires. C’est aussi simple. »
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23 février 2009 à 14 h 37
Si on avait besoin d’une preuve que même les récipiandaires des prix nobels pouvaient être cons, la voici!
Merci Fernand.
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23 février 2009 à 15 h 19
Le recyclage dans les endroits publiques doit être un méchant problème car on doit souvent y trouver des vraies vidanges dans un compartiment à recycler etc. Des poubelles à plusieurs compartiments et des consignes sur les bouteilles ne vont pas solutionner le problème au complet, il faudra toujours quelqu’un qui fait un tri de dernière minute a fin de ne pas casser la machine. J’ai d’ailleurs vu quelque part qu’ils ont inventé un robot-trieur, mais le hic c’est son prix exorbitant qui se chiffre dans les millions. Malgré tout c’est probablement ça la voie de l’avenir… Un robot à qui on donne un sac poubelle avec des restes de nourriture, des couches, du papier, bouteilles consignables ou non, produits complexes (bouteilles de verre avec un bouchon de plastique, enveloppes avec fenêtres) etc., et il serait assez intelligent analyser le type de produit, en faire un tri optimum, et à une vitesse impossible à réaliser par une équipe complète d’êtres humains.
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23 février 2009 à 18 h 03
Simon Gauvin faudrait peut-être rajouter le nom de Al Gore dans ta liste de Nobel cons ou arnaqueurs. avec cette citation.
Je pense qu’il convient de sur-représenter les faits qui montrent à quel point le [réchauffement global] est dangereux pour inciter les gens à écouter les solutions. Al Gore dans un interview en mai 2006 http://www.grist.org/news/maindish/2006/05/09/roberts/
Les cons sont ceux qui croient sans se poser de questions. La science évolue par débat et par expérience probantes. Celle du GIEC souffre de sérieux à bien des points de vue surtout quand on rend public un résumé pour décideur sans aucun études pour le prouver. Certaines études sont arrivées 9 mois après et les auteurs sont avares dans les détails pour éviter d’être confrontés à leurs confrères.
C’est évident qu’il n’y que les cons qui suivent aveuglément les édits du GIEC, un organisme de l’ONU financé par les gouvernements et leur faisant rapport en tronquant la vérité. Lesz groupes environnementaux propagent ces rapports comme si c’était la vérité sans équivoque. Voilà la supercherie climatique que je dénonce avec des centaines de scientifiques de renom.
Pour votre plaisir voici d’autres citations
« Insister sur les scénarios extrêmes peut avoir été justifié à un moment où le public et les décideurs étaient relativement inconscient du problème du réchauffement global. Maintenant cependant, il est nécessaire d’avoir des scénarios climatiques démontrablement objectifs conformes à la réalité du moment. » James Hansen, Directeur du GISS, Nasa, (Natural Science, 2003)
Depuis ce temps, Hansen critique ouvertement le GIEC qui n’est plus capable de démontrer des scénarios crédibles.
« Le réchauffement climatique peut vouloir dire plus froid, plus sec, plus humide, c’est ce à quoi nous avons à faire face. » Steven Guilbeault, directeur de Greenpeace Quebec, Dec 2005 lors de la clôture de la conférence de l’ONU sur le changement climatique à Montréal
Autrement dit Guilbault nous déclare peut importe si ca réchauffe ou refroidit, il cri au loup quand même…
« Comme la majorité des gens, nous aimerons voir un monde meilleur, ce qui se implique ici que nous travaillions à réduire les risques d’un changement climatique potentiellement catastrophique. Pour cela, nous devons avoir des soutiens importants afin de frapper l’imagination du public ce qui suppose bien sûr d’avoir un maximum de couverture médiatique. Pour cela, nous devons proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simples et dramatiques et éviter de mentionner le moindre doute que nous pourrions avoir. » Stephen Schneider, auteur-coordinateur principal du GIEC
J’aime le mot potentiellement, pas vous ??? Il évite de mentionner le moindre doute et aime frapper l’imagination des gens en exagérant, wow la science infuse. C’est le même qui en 1971 disait ceci:
« Nos calculs suggèrent un refroidissement global jusqu’à 3,5°C. Une telle baisse de la température moyenne terrestre, si elle se poursuivait sur quelques années, suffirait à déclencher un nouvel âge glaciaire. » S. Schneider, fondateur du journal Climate Change et auteur principal du GIEC 2001, in Science-1971.
Quand dit-il la vérité ???
« Notre capacité à produire des prédictions basées sur les modèles semble avoir dépassé en vitesse notre capacité à utiliser ces outils informatiques avec sagesse dans les processus de décision. » , NATURE Vol 447 le 3 Mai 2007
Il nous parle que les théories du GIEC sont basés sur des modèles informatiques peu fiables. Il est repris par plusieurs autres d’ailleurs.
« Les ordinateurs permettent à un mauvais modèle d’être précisément faux. » William Gray, spécialiste des ouragans
Wow quelle phrase lapidaire qui supporte la citation précédente de Roger Pielke Jr
Enfin ma préférée citée par le père de la climatilogie reconnu mondialement.
« Je ne fais pas partie du dit consensus, qui croit que la science du réchauffement climatique causé par l’homme ne se discute plus. En fait, il y a peu de vraie science dans cette histoire. » Prof Reid A. Bryson, considéré comme le père de la climatologie
Il y a de quoi réclamer un conclave au point tel que certains journalistes sérieux ont des remors de conscience.
« J’admettrais sans peine que [au sujet du réchauffement climatique], nous avons franchi la ligne qui sépare le reportage et l’activisme. » Charles Alexander, Senior Science Editor de Time Magazine
et la cerise sur le gâteau
« Mon engagement écologiste est né d’une révélation. Je me suis dit : plutôt que de sortir dehors pour tirer un oiseau, je devais au contraire sortir pour tirer sur l’enfant qui tue l’oiseau. »
Paul Watson, co-fondateur de Greenpeace, 4 décembre 1982
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23 février 2009 à 22 h 18
Soupir !
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24 février 2009 à 08 h 23
« Les cons sont ceux qui croient sans se poser de questions. »
Cette réplique de « créationniste », additionnée à la foi aveugle que les ressources de la planète sont illimitées, pourrait s’appliquer à notre premier ministre canadien et son équipe de très intellectuels et surtout très cultivés conservateurs envers qui vous avez tant d’admiration, Fernand!
Suggestion de lecture, et j’en ferai un billet bientôt:
http://www.delaplanete.org/Que-faudra-t-il-pour-arreter-l.html
« L’opposition croissante de citoyens à l’étalement urbain dans tous ces endroits [cités dans le document] vise à instaurer un meilleur équilibre entre les intérêts privés et les intérêts publics. Aux Etats-Unis, les fabricants d’automobiles et les sociétés de construction furent pour beaucoup dans l’établissement par les gouvernements de règles qui encouragèrent un usage largement inefficace du sol, de l’énergie et du temps. »
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24 février 2009 à 08 h 46
Autre article à consulter, histoire de faire, exceptionnellement, un « Fernand de moi »! ;-)
Comment travaille le lobby des sceptiques:
http://www3.institut-gouvernance.org/spip.php?article416
Aux Etats-Unis, certains scientifiques, industriels et hommes politiques de droite continuent de nier l’existence du changement climatique. Enquête.
Barbara Boxer présidait la commission de l’environnement du Sénat depuis moins d’un mois quand le verdict est tombé en février dernier : “Le réchauffement du système climatique est sans équivoque”, concluait un rapport du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat [GIEC, l’organe international qui compile régulièrement les résultats de la recherche en climatologie], élaboré par 600 scientifiques travaillant pour les gouvernements, les universités, les associations écologistes ou des entreprises de quarante pays. (…)
Alors qu’elle quittait une réunion avec le patron du GIEC, une collaboratrice lui communiqua pourtant une information stupéfiante : un lobby conservateur longtemps financé par la compagnie pétrolière ExxonMobil offrait 10 000 dollars à des scientifiques pour rédiger des articles critiquant le nouveau rapport et les modèles informatiques sur lequel il reposait. “J’ai compris, confie Mme Boxer, qu’il y avait derrière tout ça des gens résolus qui n’avaient pas l’intention de renoncer.” (…)
Depuis la fin des années 1980, scientifiques dissidents, groupes de réflexion capitalistes et certaines grandes entreprises mènent une campagne savamment orchestrée et abondamment financée pour entretenir le doute à propos du changement climatique. (…)
En juin 1988, James Hansen, un climatologue de la NASA, fut invité à témoigner devant une commission du Sénat dont faisait partie Al Gore. Le chercheur déclara qu’il était sûr à 99 % que “l’effet de serre était en train de changer le climat”. La réaction des industries impliquées fut immédiate. Des représentants des secteurs du pétrole, de l’acier et de l’automobile, entre autres, formèrent des groupes de pression portant des noms comme Coalition sur le climat planétaire (GCC) ou Comité d’information sur l’environnement (ICE). L’ICE décida de faire appel à des personnalités non convaincues de l’existence de l’effet de serre pour “faire revenir le réchauffement de la planète au stade d’hypothèse théorique et non de réalité” et semer le doute sur la recherche en climatologie, exactement comme les fabricants de cigarettes l’avaient fait pour la recherche sur le tabac. (…)
Les lobbies industriels ne pouvaient cependant se contenter de travailler l’opinion publique américaine. Ils devaient aussi faire face à une menace plus pressante : les propositions internationales pour lutter contre le réchauffement de la planète. Les Nations unies organisaient en 1992 un Sommet de la Terre à Rio de Janeiro et le changement climatique était la vedette du programme. L’ICE et la GCC réagirent en faisant fortement pression contre tout traité mondial sur la réduction des gaz à effet de serre. Ils furent épaulés par un rouage essentiel de la machine à nier : le George C. Marshall Institute, un groupe de réflexion conservateur. (…)
La machine à nier ne veillait pas uniquement à étouffer les lois dans l’œuf. Elle s’efforçait également d’éviter que le public exige des actes. Il lui fallait donc gérer soigneusement ce qu’écrivaient et déclaraient les autorités et les scientifiques dépendant du pouvoir. Le gouvernement nomma d’anciens lobbyistes du charbon et du pétrole à des postes clés de l’élaboration de la politique climatique. Les autorités firent en sorte que tout rapport et tout discours jette un doute sur les conclusions des études climatologiques – de façon à empêcher qu’elles puissent servir de base à des décisions politiques.
La réaction au dernier rapport du GIEC, en février 2007, a montré que les sceptiques avaient encore de la ressource. Non contents d’offrir 10 000 dollars aux scientifiques prêts à critiquer le texte, ils mettent en avant un nouveau thème : même si le monde est en train de se réchauffer, et même si ce réchauffement est dû en partie à la combustion des carburants fossiles, il n’y a pas de quoi s’inquiéter. (…)
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24 février 2009 à 10 h 26
« histoire de faire, exceptionnellement, un “Fernand de moi”! ;-) »
Ouin ! Jean première fois que tu as un commentaire aussi long que Fernand ;-)
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24 février 2009 à 10 h 41
Une association regroupant des scientifiques éminents dont les travaux contredisent factuellement le discours officiel, l’International Climate Science Coalition, a voulu organiser une conférence de presse lors du sommet de Bali, mais en a été empêchée par les organisateurs. Les membres de cette association se sont vus interdire de participer aux travaux du sommet. Certains d’entre eux ont rédigé une lettre ouverte au Secrétaire Général des Nations Unies, non pas dans l’espoir que celui-ci lise la lettre, mais dans le but qu’un certain nombre de données soient connues aussi largement que possible.
Il est étrange que les groupes écolos par centaine étaient officiellement accueillis à cette même conférence et on y a vu le théologien Steven Guilbault (on ne sait pas qui a payé le voyage) . Les activistes ont eu plus de droit que ces scientifiques pourtant renommés.
Pourquoi on écoute pas des scientifiques et qu’on se contente de travailler en vase clos avec les politiciens et les activistes? Jean Cazes tu n’est pas honnête dans tes propos, personne ne nie qu’il y a des changements climatiques, on se dispute sur la cause. Certains disent que l’homme n’est pas responsable de tout, que c’est un des mànombreux cycles naturels et d’autres comme le GIEC affirment le contraire n’hésitant pas à exagérer. Le GIEC n’est pas la bible et les quelques études qu’ils ont montré ont été démolis une à une. Qui dit vrai ??? Pourquoi les sceptiques n’ont jamais droit d’être entendus. La lumière vient du choc des idées, la science évolue ainsi par débat. Ici on nous dit que tout est indéniable, qu’il faut croire sans se poser de questions, pourtant…
Voici cette lettre qui répond aux assertions de Jean Cazes qui ne prend que la version du GIEC, suivie du nom de ses signataires. Comme par hasard ce sont des professeurs à la retraite dont certains ont travaillé avec le GIEC.
Lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies
Le 13 décembre 2007
Re : La conférence des Nations Unies sur le climat conduit le monde dans une très mauvaise direction
Cher Monsieur le Secrétaire général,
Il n’est pas possible d’arrêter le changement climatique, phénomène naturel qui a affecté l’humanité au fil des ans depuis très longtemps. L’histoire géologique, archéologique, orale et écrite, atteste des défis profonds qu’ont du relever les sociétés du passé lorsqu’elles ont été confrontées à des changements non anticipés de température, de précipitations, de vents, et d’autres paramètres climatiques. Il faut que les pays du monde se donnent les moyens de mieux résister à tout l’éventail des phénomènes naturels en favorisant la croissance économique et la création de richesses.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a divulgué des conclusions toujours plus alarmantes concernant l’influence sur le climat de dioxyde de carbone (CO2) produit par les hommes, un gaz non polluant qui est essentiel pour la photosynthèse végétale. Nous avons observé les données qui ont conduit les experts à considérer les émissions de CO2 comme nocives, et nous disons que les conclusions du GIEC ne peuvent justifier la mise en œuvre de politiques qui réduiront nettement la prospérité future. En particulier, il n’est pas établi qu’il soit possible de changer significativement le climat global en réduisant les émissions humaines de gaz à effet de serre. De surcroît, parce que les tentatives de réduire les émissions ralentiront le développement, l’approche des Nations Unies en matière de réduction du CO2 est à même d’accroître, et non de diminuer la souffrance humaine qui résultera des futurs changements climatiques.
Les résumés à l’intention des décideurs sont, parmi les textes du GIEC, ceux qui sont les plus lus par les politiciens et les non scientifiques, et ils sont la base de la formulation de la plupart des propositions politiques en matière de changement climatique. Ces résumés, néanmoins, sont rédigés par une équipe relativement restreinte, et leur texte final est approuvé au mot près par les représentants des gouvernements. La majorité des contributeurs du GIEC, et les dizaines de milliers d’autres scientifiques qui ont qualité pour commenter ces sujets, ne sont pas impliqués dans leur rédaction. Et les résumés ne peuvent être considérés, en ces conditions, comme le reflet d’un consensus parmi les experts.
Contrairement aux impressions données par les derniers résumés :
-Les observations récentes de phénomènes tels que le retrait des glaciers, la montée du niveau des mers et les migrations d’espèces sensibles aux températures ne signalent pas de changements climatiques anormaux, car aucune des fluctuations constatées ne se situe à l’extérieur des limites de la variabilité naturelle connue.
-Le taux de réchauffement moyen (0,1 à 0,2 degrés Celsius par décennie) enregistré par les satellites au cours de la dernière partie du vingtième siècle se situe dans les limites du réchauffement et du refroidissement naturels tels que constatés au cours des 10 000 dernières années.
-Les principales autorités scientifiques, y compris des membres éminents du GIEC, reconnaissent que les modèles informatiques utilisés aujourd’hui ne peuvent permettre de prédire le climat. En dépit des prédictions informatiques de hausses de température, et en conformité avec ce que nous venons d’écrire, il n’y a pas eu de réchauffement global depuis 1998. Que les températures actuelles se stabilisent après une période de réchauffement à la fin du vingtième siècle correspond à la continuation aujourd’hui de cycles climatiques multi décennaux et millénaires.
En contraste brut avec l’affirmation souvent répétée selon laquelle la science du climat a établi les faits de façon irréfutable, des recherches récentes et très sérieuses ont mis en doute davantage encore que ce n’était le cas l’hypothèse d’un réchauffement climatique global dangereux causé par les hommes (voir http://ipcc-wg1.ucar.edu/wg1/docs/ wg1_timetable_2006-08-14.pdf). Mais parce que les groupes de travail du GIEC ont reçu la consigne de ne prendre en compte que les travaux publiés avant mai 2005, les découvertes importantes issues de ces recherches n’ont pas été prises en compte : le dernier rapport du GIEC est, en ces conditions, d’ores et déjà concrètement périmé.
La conférence des Nations Unies sur le climat à Bali a été conçue aux fins de conduire le monde vers des restrictions drastiques d’émissions de CO2, sans que soient tirées les leçons de l’échec du protocole de Kyoto, de la nature chaotique du marché européen du CO2, et de l’inefficacité d’autres initiatives coûteuses destinées à diminuer les émissions de gaz à effet de serre. Les analyses basées sur un calcul avantage/coûts ne viennent pas justifier l’introduction de mesures globales destinées à limiter et à réduire la consommation d’énergie aux fins de réduire les émissions de CO2 . Il est, qui plus est, irrationnel de recourir au « principe de précaution » dès lors que la plupart des scientifiques reconnaissent que le réchauffement, aussi bien que refroidissement, sont des possibilités réalistes dans le moyen terme
La focalisation actuelle de l’ONU sur le « combat contre le changement climatique », illustrée par le communiqué de lancement du Rapport sur le développement humain par l’ONU le 27 novembre dernier distrait les gouvernements et les conduit à ne pas envisager une adaptation aux menaces des changements climatiques naturels inévitables et divers. Une anticipation nationale et internationale de ces changements est nécessaire, et doit être centrée sur les moyens à même de permettre aux êtres humains les plus vulnérables de s’adapter aux conditions futures. Les tentatives de prévenir le changement climatique global sont essentiellement futiles et constituent un gaspillage de ressources qui seraient mieux dépensées si elles étaient utilisées pour répondre aux problèmes réels et pressants auxquels l’humanité est confrontée.
Bien sincèrement.
Don Aitkin, PhD, Professeur, chercheur, ancien Président, Université de Canberra, Australie
William J.R. Alexander, PhD, Professeur émérite, Département.d’Ingéniérie des biosystèmes, Université de Pretoria, Afrique du Sud; membre du comité scientifique et technique des Nations Unies sur les désastres naturels, 1994-2000.
Bjarne Andresen, PhD, physicien, Professeur, Niels Bohr Institute, Université de Copenhague, Danemark.
Geoff L. Austin, PhD, Professeur, Département de physique, Université d’Auckland, Nouvelle Zélande
Timothy F. Ball, PhD, consultant en environnement, ancien Professeur de climatologie, Université de Winnipeg, Canada.
Ernst-Georg Beck, Biologiste, Merian-Schule, Fribourg, Allemagne.
Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Enseignante au Département de Géographie, Hull University, Rédactrice en chef, Energy & Environment journal, Royaume Uni.
Chris C. Borel, PhD, scientifique, Etats-Unis.
Reid A. Bryson, PhD, DSc, DEngr, ancien chercheur au Center for Climatic Research, Professeur émérite de météorologie, de géographie, et d’études environnementales, Université du Wisconsin, Etats-Unis.
Dan Carruthers, M.Sc., biologiste, consultant, spécialiste de l’écologie animale dans les régions Arctiques et Subarctiques, Alberta, Canada.
R.M. Carter, PhD, Professeur, Laboratoire de géophysique marine, James Cook University, Townsville, Australie.
Ian D. Clark, PhD, Professeur d’hydrogéologie et de paléoclimatologie, Département. de sciences de la terre, Université d’Ottawa, Canada.
Richard S. Courtney, PhD, consultant en sciences du climat et de l’atmosphère, expert au GIEC, Royaume-Uni.
Willem de Lange, PhD, Département des sciences de la terre et de l’océan, School of Science and Engineering, Université Waikato, Nouvelle Zélande.
David Deming, PhD (Géophysique), Professeur, College of Arts and Sciences, Université d’Oklahoma, Etats-Unis.
Freeman J. Dyson, PhD, Professeur émérite de physique, Institute for Advanced Studies, Princeton, New Jersey, Etats-Unis.
Don J. Easterbrook, PhD, Professeur émérite de géologie, Western Washington University, Etats-Unis.
Lance Endersbee, Professeur émérite, ancien doyen du Département d’ingéniérie, Monasy University, Australie.
Hans Erren, géophysicien et spécialiste du climat, Sittard, Pays-Bas.
Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Département d’ingéniérie mécanique, Ohio State University, Etats-Unis.
Christopher Essex, PhD, Professeur de mathématiques appliquées, Directeur adjoint du programme de physique théorique, University of Western Ontario, Canada.
David Evans, PhD, mathématicien, ingénieur en informatique, Directeur de « Science Speak », Australie.
William Evans, PhD, éditeur, Naturaliste, Département de sciences biologiques, University of Notre Dame, Etats-Unis.
Stewart Franks, PhD, Professeur, Hydroclimatologue, Université de Newcastle, Australie.
R. W. Gauldie, PhD, Professeur, Hawai’i Institut de géophysique et de planétologie, Ecole des sciences et technologies de l’océan, Université de Hawai’i à Manoa
Lee C. Gerhard, PhD, Scientifique émérite, Université du Kansas; ancien Directeur, Kansas Geological Survey, Etats-Unis.
Gerhard Gerlich, Professeur de physique mathématique et théorique, Institut fur Mathematische Physik der TU Braunschweig, Allemagne.
Albrecht Glatzle, PhD, Agro-Biologiste et Gerente ejecutivo, INTTAS, Paraguay
Fred Goldberg, PhD, Professeur, Institut Royal de Technologie et d’Ingéniérie mécanique, Stockholm, Suède.
Vincent Gray, PhD, expert au GIEC, auteur de The Greenhouse Delusion: A Critique of « Climate Change 2001 »,Wellington, Nouvelle Zélande.
William M. Gray, Professeur émérite, Département. de sciences de l’atmosphère, Colorado State University, directeur du Tropical Meteorology Project, Etats-Unis.
Howard Hayden, PhD, Professeur émérite de Physique, University of Connecticut, Etats-Unis.
Louis Hissink MSc, M.A.I.G., éditeur, AIG News, consultant en géologie, Perth, Australie.
Craig D. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.
Sherwood B. Idso, PhD, Président, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Arizona, Etats-Unis.
Andrei Illarionov, PhD, Chercheur, Center for Global Liberty and Prosperity; fondateur et Directeur de l’Institute of Economic Analysis, Etats-Unis.
Zbigniew Jaworowski, PhD, physicien, Président du Conseil scientifique du Laboratoire central de protection radiologique, Varsovie, Pologne.
Jon Jenkins, PhD, MD, computer modelling -virology, Australie.
Wibjorn Karlen, PhD, Professeur émérite, Département. de géographie physique et de géologie, Université de Stockholm, Suède.
Olavi Karner, Ph.D., Chercheur associé, Département de physique atmosphérique, Institut d’astrophysique et de physique de l’atmosphère, Toravere, Estonie
Joel M. Kauffman, PhD, Professeur émérite de chimie, University of the Sciences, Philadelphie, Etats-Unis.
David Kear, PhD, géologue, ancien Directeur Général, Department. of Scientific & Industrial Research, Nouvelle Zélande.
Madhav Khandekar, PhD, ancien chercheur à Environment Canada; Rédacteur en chef, Climate Research (2003-05); membre du bureau de Natural Hazards; expert au GIEC, 2007, Canada.
William Kininmonth M.Sc., ancien chef de l’Australia National Climate Centre, consultant pour la Commission de climatologie de l’Organisation météorologique mondiale, Australie.
Jan J.H. Kop, MSc, Professeur émérite d’ingéniérie en santé publique, Université technique de Delft, Pays-Bas.
R.W.J. Kouffeld, Professeur émérite, Conversion de l’énergie, Université technique de Delft, Pays-Bas.
Salomon Kroonenberg, PhD, Professeur, Département de géotechnologie, Université technique de Delft, Pays-Bas.
Hans H.J. Labohm, PhD, économiste, ancien conseiller au Clingendael Institute, Pays-Bas.
Lord Lawson of Blaby, économiste; Président du Central Europe Trust; ancien Chancellor of the Exchequer, Royaume-Uni.
Douglas Leahey, PhD, météorologue et consultant en qualité de l’air, Calgary, Canada.
David R. Legates, PhD, Directeur, Center for Climatic Research, University of Delaware, Etats-Unis.
Marcel Leroux, PhD, Professeur émérite de climatologie, Université de Lyon, ancien directeur du Laboratoire de climatologie et de risques environnementaux au CNRS, France.
Bryan Leyland, International Climate Science Coalition, consultant et ingénieur en énergie, Auckland, Nouvelle Zélande.
William Lindqvist, PhD, consultant en géologie, Californie, Etats-Unis.
Richard S. Lindzen, PhD, Alfred P. Sloan Professor of Meteorology, Département des Sciences de la terre et de l’atmosphère, Massachusetts Institute of Technology, Etats-Unis.
A.J. Tom van Loon, PhD, Professeur de géologie, Université Adam Mickiewicz, Poznan, ancien président de l’European Association of Science Editors, Pologne.
Anthony R. Lupo, PhD, Professeur de sciences de l’atmosphère, Department. of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, Université du Missouri, Etats-Unis.
Richard Mackey, PhD, Statisticien, Australie.
Horst Malberg, PhD, Professeur de météorologie et de climatologie, Institut fur Meteorologie, Berlin, Allemagne.
John Maunder, PhD, Climatologue, ancien Président de la Commission for Climatology de la World Meteorological Organization (89-97), Nouvelle-Zélande.
Alister McFarquhar, PhD, économie internationale, Downing College, Cambridge, Royaume-Uni.
Ross McKitrick, PhD, Professeur, Département d’économie, University of Guelph, Ontario, Canada.
John McLean, PhD, analyste de données climatologiques, chercheur en informatique, Australie.
Owen McShane, PhD, économiste, directeur de l’International Climate Science Coalition, Directeur, Centre for Resource Management Studies, Nouvelle Zélande.
Fred Michel, PhD, Directeur, Institute of Environmental Sciences, Professeur de sciences de la terre, Carleton University, Canada.
Frank Milne, PhD, Professeur, Département d’économie, Queen’s University, Canada.
Asmunn Moene, PhD, ancien Directeur du Centre de prévision, Institut de Météorologie, Norvège.
Alan Moran, PhD, Economiste en énergie, Directeur de la IPA’s Deregulation Unit, Australie.
Nils-Axel Morner, PhD, Professeur émérite Paléogéophysique et Géodynamique, Université de Stockholm, Suède.
Lubos Motl, PhD, Physicien, Université Charles, Prague, République tchèque.
John Nicol, PhD, Professeur émérite de physique, James Cook University, Australie.
David Nowell, M.Sc., Chercheur à la Royal Meteorological Society, ancien président du Groupe météorologique de l’OTAN, Ottawa, Canada.
James J. O’Brien, PhD, Professeur émérite, météorologie et océanographie, Florida State University, Etats-Unis.
Cliff Ollier, PhD, Professeur émérite (Géologie), Research Fellow, University of Western Australia, Australie.
Garth W. Paltridge, PhD, physique de l’atmosphère, Professeur émérite, ancien Directeur de l’Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Australie.
R. Timothy Patterson, PhD, Professeur, Département. de Sciences de la terre (paléoclimatologie), Carleton University, Canada.
Al Pekarek, PhD, Professeur de géologie, Département de sciences de la terre et de l’atmosphère, St. Cloud State University, Minnesota, Etats-Unis.
Ian Plimer, PhD, Professeur de géologie, School of Earth and Environmental Sciences, Université d’Adelaide, Professeur émérite de Sciences de la terre, Université de Melbourne, Australie.
Brian Pratt, PhD, Professeur de géologie et de sédimentologie, Université du Saskatchewan, Canada.
Harry N.A. Priem, PhD, Professeur émérite de géologie planétaire et de géophysique, Université d’Utrecht, ancien Directeur de l’Institut de Géosciences, Pays-Bas.
Alex Robson, PhD, Economiste, Australian National University, Australie.
Colonel F.P.M. Rombouts, Responsable de la sûreté et de la qualité de l’environnement, Royal Netherland Air Force, Pays-Bas.
R.G. Roper, PhD, Professeur émérite de sciences de l’atmosphère, Georgia Institute of Technology, Etats-Unis.
Arthur Rorsch, PhD, Professeur émérite, Génétique moléculaire, Leiden University, Pays-Bas.
Rob Scagel, M.Sc., spécialiste des microclimats, consultant, Pacific Phytometric Consultants, Canada.
Tom V. Segalstad, PhD, (Géologie/Géochimie), directeur du Musée de géologie, Professeur de géologie environnementale, Université d’Oslo, Norvège.
Gary D. Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, Californie, Etats-Unis.
S. Fred Singer, PhD, Professeur émérite de sciences de l’environnement, University of Virginia ; ancien directeur du Weather Satellite Service, Etats-Unis.
L. Graham Smith, PhD, Professeur, Département. of géographie, University of Western Ontario, Canada.
Roy W. Spencer, PhD, climatologiste, chercheur, Earth System Science Center, University of Alabama, Huntsville, Etats-Unis.
Peter Stilbs, TeknD, Professeur de chimie physique, Ecole de sciences chimiques, KTH (Institut royal de Technologie), Stockholm, Suède.
Hendrik Tennekes, PhD, ancien Directeur de recherche, Royal Netherlands Meteorological Institute, Pays-Bas.
Dick Thoenes, PhD, Professeur émérite d’ingéniérie physique, Eindhoven University of Technology, Pays-Bas
Brian G Valentine, PhD, PE (Chem.), Technology Manager -Industrial Energy Efficiency, Department of Energy, Washington, DC, Professeur de sciences, University of Maryland at College Park, Etats-Unis.
Gerrit J. van der Lingen, PhD, géologue et paléoclimatologue, consultant en changement climatique, Geoscience Research and Investigations, Nouvelle-Zélande.
Len Walker, PhD, Ingénieur en énergie, Australie.
Edward J. Wegman, PhD, Department of Computational and Data Sciences, George Mason University, Virginie, Etats-Unis.
Stephan Wilksch, PhD, Professeur de gestion et de technologies de l’innovation, Université de technologie et d’économie, Berlin, Allemagne.
Boris Winterhalter, PhD, ancien chercheur, Geological Survey of Finland, ancien professeur de géologie marine, Université d’Helsinki, Finlande.
David E. Wojick, PhD, P.Eng., consultant en énergie, Etats-Unis.
Virginia Raphael Wust, PhD, chercheuse, Sédimentologie et géologie marine, James Cook University, Australie
A. Zichichi, PhD, Président de la Fédération mondiale des Scientifiques, Genève, Suisse, Professeur émérite de Physique, Université de Bologne, Italie.
(Copie transmise aux chefs d’Etat des pays dont les signataires sont citoyens).
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24 février 2009 à 11 h 02
La pensée unique de la coalition de la gauche et des aux verts excommunie tous ceux qui ne disent pas la même chose qu’eux. On est pour eux des rétrogrades, des vendus, des maudits conservateurs. Les Falardeau du climat n’en sont pas à leur premier écart de language.
Je vote selon ma conscience et je n’ai aucune $$$ pour écrire ce que je penses. Je ne suis accroché à aucune subvention gouvernementales moi…
Je me demande pourquoi Ted Turner a fait un don de 1 milliard pour financer les activités du GIEC. Turner n’est-il pas celui qui a financé le film de Gore ?
Ici au Canada les études environnementales ont coûté 5 milliards actuellement.
Polluer avec ses détritus n’affecte pas le climat.
90% du CO2 provient de l’évaporation des océans
0,3% du CO2 est humain
le reste provient de phénomènes naturels comme les éruption volcaniques, les autres gaz à effet de serre comme le méthane, le protoxyde d’azote, l’ozone, les chlorofluorocarbures, le perfluorométhane, l’hexafluorure de soufre.
Le rapport du GIEC sur le captage et le stokage du carbone, il y a un graphique RT.2a qui illustre la répartition mondiale des grandes sources fixes de CO2. (J’expédie sous pli séparé le graphique que je ne peut reproduite et je défie Jean Cazes de le publier).
Malheureusement pour les alarmistes au Canada le CO2 est très peu présent sauf en Alberta et le gouvernement a concentré ses efforts là en privilégiant la recherche (I-CAN) pour capter le CO2 comme le GIEC le recommande et y investi des $$$. Le gouvernement n’a pas seulement l’environnement dans son budget et affecte les fonds qu’il peut supporter avec les revenus qu’il a et les responsabilités autres. Quelles dépenses on sacrifie à l’autel kyotiste ??? Il est prouvu que respecter Kyoto équivaut pour le Canada à 200 milliards, rien de moins… Pourquoi dépenser 200 milliards pour satisfaire les lobbys écolos et ainsi déstabiliser l’économie?
Je pense que la gauche et les verts ont fait cause commune pour rejeter la société que les boomers laisse aux générations X, Y, Z qui refusent carrément de s’y conformer et qui ont créé une société parallèle aux crochets des autres. Ca fait pas une civilisation qui va aller loin. Car les mots « responsabilité, travail et persévérance » ont disparus de leur vocabulaire. Ils réclament et faut leur donner. L’argent ne tombe pas du ciel sauf pour ceux qui attendent la loto.
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24 février 2009 à 11 h 22
Heuseusement que tu n’Est point payé par mots, sinon tu serais riche Fernand ;-) (petit air taquin amical)
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24 février 2009 à 12 h 47
Carol c’est sûrement pas le Centre de l’Environnement qui me finance. Je suis retraité que j’ai gagné chèerement et sans pushing. Je suis de revenu moyen et je peux vivre pleinement.
Maintenant voici quelques sites scientifiques ou tous les avis sont bienvenus: Pour ou contre …
http://www.co2science.org/
http://www.friendsofscience.org/
http://www.climateaudit.org/
http://www.pensee-unique.fr/
http://z4.invisionfree.com/Popular_Technology/index.php?showtopic=2050
http://virtedit.free.fr/article.html
http://www.newscientist.com/article/dn4321
http://www.cato.org/
http://www.worldclimatereport.com/index.php/2006/11/17/cooling-the-debate-a-longer-record-of-greenland-air-temperature/
http://climat-sceptique.over-blog.com/
http://nsidc.org/
http://www.iarc.uaf.edu/people/indiv/iarc_all_staff.php?photo=sakasofu
Dans ces sites vous aurez des détails et des graphiques pour supporter leur théorie. Plusieurs recoivent des commentaires du public. C’est une bonne chose…
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24 février 2009 à 14 h 44
Pour les sceptiques des conséquences de l’activité humaine et pour les autres aussi, je conseille le livre de Hubert Reeves : Mal de terre. C’est facile à lire, bien fait et les points de vue des 2 bords sont présentés.
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24 février 2009 à 19 h 38
« La pensée unique de la coalition de la gauche et des aux verts excommunie tous ceux qui ne disent pas la même chose qu’eux »
Fernand ! la pensée unique existe aussi dans le néolibéralisme et tous autres domaines de savoir humain, point seulement au niveau des « écolos »
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24 février 2009 à 20 h 05
Non Carol. Explique moi pourquoi le théologien Steven Guilbault est sur toutes les tribunes médiatiques pourtanbt il n’a aucune formation en science de laterre autre qet le géologue Reynald
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24 février 2009 à 20 h 42
Non Carol. Explique moi pourquoi le théologien Steven Guilbault est sur toutes les tribunes médiatiques pourtant il n’a aucune formation en science de la terre autre que d’avoir escaladé la tour du CN et avoir été porte parole de Greenpeace. Pourquoi le professeur de géologie de l’UduQ Reynald Duberger, n’a pas accès au même traitement médiatique. Pourtant lui c’est un scientifique.
La pensée unique c’est de dire que parce que le GIEC a produit des résumés pour décideurs politiques, commandés par ceux-ci, la chose est entendue. Ce n’est pas de la science, c’est de l’activisme, du lavage de cerveau, de la politique-fiction…
Richard Lindzen, expert engagé par le GIEC, les a quitté justement parce que le GIEC allait à l’encontre de ses études scientiques sur le niveau des mers. En 2006, il écrivait dans le Wall Street Journal que le débat sur le climat se dégrade en ces termes:
«Les chercheurs qui refusent l’alarmisme voient leurs subventions disparaître, leur travail décrié et ils sont qualifiés de suppôts de l’industrie, de piètres scientifiques ou pire encore. Pas étonnant dans ces conditions que les mensonges à propos du changement climatique gagnent en crédibilité alors même qu’ils contredisent de plein fouet la science qui est leur fondement supposé.»
Mais le champ de bataille climatique n’est pas qu’une guerre de mots. Lindzen rappelle les mises à l’écart de Henk Tennekes (Pays-Bas), d’Aksel Winn-Nielsen (WMO-OMM), d’Alfonso Sutera et Antonio Speranza (Italie)… tous climatologues respectés mais tous coupables d’avoir émis de sérieux doutes sur le nouveau catéchisme du réchauffement. «Seuls les scientifiques âgés peuvent désormais se dresser face à la tempête alarmiste», conclut amèrement Lindzen. «Ceux qui commencent leur carrière ont un choix assez simple entre le conformisme réchauffeur ou la fraîcheur d’un placard.»
Yves Lenoir, qui n’est pas le seul sceptique, souligne que la pseudo-science a proclamé l’année 1998 la plus chaude du millénaire, et pourtant, écrit-il, l’Asie du Nord et de l’Est a été frappée par «deux hivers successifs les plus longs et les plus rudes de l’Histoire».
L’affaire Allegré en France en est un autre exemple éloquent de dénégation scientifique.
Claude Allègre, prix Crawford, médaille d’or du CNRS et ancien ministre de la Recherche a exprimé son scepticisme sur les causes du réchauffement climatique. On est monté aux barricades et Allégré les a affrontés et gagné.
Il y a trop de sons de cloche différents pour que je me convertisse à la bible de Greenpeace Guilbault et je n’ai pas de subventions à quêter… Mais je constate que le co2 est responsable de 0,325% du problème climatique seulement. Alors, pourquoi tout ce branle-bas…
Cette semaine Borg Lomborg, directeur du « Copenhagen Consensus Center » et fondateur de Greenpeace, écrivait ceci en marge du futur méga rassemblement planétaire de l’ONU pour remplacer le protocole de Kyoto(J’ai envoyé l’article au complet à Jean Cazes). en voici quelques extraits:
« Kyoto s’est en fait avéré trop ambitieux. Quatre-vingt quinze pour cent des réductions envisagées ne se sont jamais produites. Pourtant, même si Kyoto était totalement appliqué pendant tout le siècle, cela ne réduirait la température que d’un insignifiant 0,2oC, pour un coût annuel de 180 milliards de dollars. »
« Les États-Unis ont clairement annoncé que les pays en développement devront s’engager à réduire leurs émissions de carbone de façon substantielle à Copenhague. Les pays en développement – surtout la Chine et l’Inde – seront les principaux émetteurs de gaz à effet de serre du XXIe siècle. Ils ont été exemptés du protocole de Kyoto à cause de leur faible taux d’émission pendant la période d’industrialisation de l’Occident. L’Europe a elle aussi admis, à contrecœur, que sans la participation des pays en développement, les réductions des pays riches n’auront que peu d’impact. »
« Rajendra Pachauri, président du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), a récemment déclaré à un public indien : “naturellement, les pays en développement seront exemptés de telles restrictions, mais il est certain que les pays développés devront réduire leurs émissions.”
Il est fort probable que Pachauri ait raison :
ni la Chine, ni l’Inde ne s’engageront à d’importantes réductions sans une importante compensation.
Leurs raisons sont tout à fait compréhensibles. Le principal facteur est un coût énorme pour un résultat dérisoire. Réduire les émissions est la seule réponse au changement climatique évoquée par les militants écologistes, malgré l’échec des tentatives répétées d’y parvenir – à Rio en 1992 et à Kyoto en 1997. »
En décembre prochain, des chefs d’État vont se réunir à Copenhague pour négocier un nouvel accord sur le réchauffement climatique afin de réduire les émissions de carbone. Mais étant donné la manière dont il a été organisé, il est condamné à l’échec. La meilleure chose à espérer est que cette leçon finisse par nous apprendre à gérer ce problème d’une manière plus intelligente.
Les arguments susceptibles de convaincre la Chine et l’Inde de respecter des plafonds de carbone sont rares – alors que leurs raisons de résister aux pressions de le faire sont impérieuses.
Le successeur de Kyoto ne connaîtra pas de bon résultat si la Chine et l’Inde n’y sont pas impliquées d’une manière ou d’une autre. Pour y parvenir, l’Union européenne a fait l’inévitable et presque ridicule proposition de soudoyer les pays développés pour qu’ils y participent – pour un coût de 175 milliards d’euros annuels d’ici 2020. Alors Carol quand est-ce que tu passes le chapeau ???
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24 février 2009 à 22 h 35
Soupir XI
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7 avril 2009 à 15 h 59
vive fernand!!! on l’adore!!!
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