Source: Le blogdelaVille (France), 21 février 2009.
Greenpeace nous propose une animation flash fort sympathique, la ville efficace: The EfficienCity. Vous allez pouvoir faire un tour dans une ville durable, avec en option une présentation d’un bouquet énergétique fonctionnelle, énergie des vagues, énergie des marées, train à grande vitesse, etc. (…)
La suite. Aussi, entre autres billets: Éco-urbanisme, qu’est ce que c’est ?.
Merci à François Marcotte pour cette trouvaille!
21 février 2009 à 10 h 52
et pendant ce temps à Québec, en raison du « pas dans ma cour », on favorise l’étalement urbain, donc on détruit les boisées et les forets :
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/opinions/carrefour/200902/20/01-829462-festival-de-la-coupe-a-blanc.php
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21 février 2009 à 11 h 02
Cette fois-ci Matrix tu as raison. Il faut des couilles solides a
un politicien pour proposer une re-configuration de ville.
En fait l’idéal serait de repartir a neuf, une nouvelle ville quoi.
Mais ici à Québec plutôt de penser a l’avenir et à long terme,
c’est la politique populisme DU PAIN ET DES JEUX. Un vieux
classique qui fonctionne toujours. En fait avant de re-configurer
une ville au complet, ll faut re-configurer l’humain qui n’est plus
adapter aux défis écologiques.
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21 février 2009 à 13 h 09
Pas très convainçant surtout que c’est encore importé de la France…
On utilise le rivage pour couper les citoyens de l’eau ménageant qu’une faible partie en plage et coupant du littoral avec un train, des éoliennes et des capteurs de vagues. Pas très loin l’usine de compost de l’autre coé de la rue. Si c’est ça un monde idéal…
Mais ca ne me surpends pas. Greenpeace est un mouvement d’activistes, pas des penseurs de demain…
Ici on a comme principal porte parole un théologien dont le seul mérite est d’avoir attiré l attention en escaladant la tour du CN. Stecven Guilbault charge 3,000$ de l’heure pour des conférences (vérifié chez Équiterre). Voici d’ailleurs son CV.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Steven_Guilbault
Quant aux propos de Matrix, je le réfère à ce texte comme quoi la tordeuse des bourgeons d’épinette est plus dévastatrice que les municipalités. Encore là, les écolos sont contre l’épabçndahe=ge chimnique.
http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/05/20/009-tordeuse-tests_n.asp
Quantèa l’étalement urbain, faudrait se brancher… Les citoyens de l’îlot le londàg de Laurier refuse la concentration urbaine et, les citoyens ne veulent pas de la Cité Verte sur les terrains de l’ancienne crèche de Québec. Si vous préférez des building en hauteur, ce qui est caractéristique d’un centre-ville avec du smog ou d’une ville chinoise entassée au lieu d’utiliser les grandes étendues de notre territoire, vous avez le droit de chercher à créer d’autres problèmes. Je lis aujourd’hui dans Le Soleil qu’on je pourra pas installer des bacs de récupération dans les vieux murs à cause de l’esthétisme. Voyez vous un paradoxe, moi si…
Enfin, la ville idéale de Greenpeace a encore des autos et pour les édifices en hauteur on repassera, on vise plus l’étalement…
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21 février 2009 à 18 h 25
DIsons que Greenpeace, c’est un lobby comme un autre
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21 février 2009 à 20 h 08
Ça fait amateur ce site ; on se croirait dans South Park et rien n’est à l’échelle.
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21 février 2009 à 22 h 55
«et pendant ce temps à Québec, en raison du “pas dans ma cour”, on favorise l’étalement urbain, donc on détruit les boisées et les forets » Matrix
Ce serait bien quand même que celui qui a écrit le texte d’opinion pour le Soleil (dans l’hyperlien que tu nous donnes) nous dise exactement de quel terrain il parle quand il dénonce une coupe à blanc. Il faut que ce soit dénoncé.
Mais l’information semble floue. Parce que la photo nous montre une vue aérienne du nouveau golf qui longe l’autoroute Laurentienne, et je ne crois pas que ce soit de cet endroit qu’il nous parle. Pour parler de coupe à blanc, il faut que l’endroit ait été boisé auparavant!
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22 février 2009 à 20 h 41
« DIsons que Greenpeace, c’est un lobby comme un autre »
On en peut les blâmer d’utiliser les mêmes moyens que le monde de la finance ! Pourquoi pas !
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22 février 2009 à 20 h 41
Oups ne au lieux de en
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22 février 2009 à 22 h 55
@dave deux : Dans les années 80, on voulait justement partir à neuf, recréer un nouveau centre-ville et tout ce qui va avec. On a créé Lebourgneuf. Évidemment, rien n’est allé comme prévu… En fait, à part la récession des années 90 qui est venue freiner le tout (et ce qu’on a fait depuis n’est pas mauvais, mais n’a plus rien à voir avec le projet d’origine), ce qui a fait que ce n’est pas allé comme prévu, c’est qu’on avait probablement beaucoup trop d’ambition. Ce n’est pas tout d’avoir des couilles ou de l’ambition, encore faille-t-il que ce soit réaliste et réalisable. Bref, tout ça pour dire que c’est pas mal plus facile à dire qu’à faire…
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23 février 2009 à 11 h 03
Carol ce sont des paroles naïves et crédules. Votre jeunesse vous empêche d’être critique, moi pas…
Greenpeace est un rouage du complot climatique ou Al Gore tire les ficelles et engrange les $$$ vertes. Gore et sa gang ont plumé les crédules de milliards de $$$ lors du bogue de l’an 2000. Les ordinateurs devaient bloquer et tout le monde s’arrêtait, lews avions tomberaoent du ciel. Or, mon vieil ordi a passé le siècle sans problème…
C’est le même Gore qui milite pour les bourses du carbone, cette arnaque kyotiste qui est approuvé par Greenpeace. Or, on apprend que Gore est actionnaire majeur de la bourse du carbone de Chicago et il est venu à Montréal pour ouvrir celle de Montréal mais affiliée à la sienne.
Je ne sais si tu lis l’anglais, voici un extrait paru en mars 2007 dans « Executive intelligence review », une publication qui circule sur Wall Street. Le titre est accrocheur :
Carbon Trade Swindle Behind Gore Hoax .
Look behind—if you dare—Al Gore and his science hoax, and you find the very same London-centered oligarchical financial crew that drove the 2003-2006 oil and commodity price increase, amidst the bubbles and hyperinflation that characterize the breakdown-phase of the financial system. The centerpiece of the U.S. emerging market for carbon emissions trading, is the Chicago Climate Exchange (CCX), created in 2003 as a « voluntary, » or pilot agency, part of a London-based network positioned to reproduce the oil bubble on a scale orders of magnitude greater and more dangerous, while at the same time, destroying what’s left of the physical economy.
Gore’s personal financial involvement is blatant, especially through Goldman Sachs—a large shareholder of CCX, and in 2004, the creator of Gore’s very own London-based hedge fund, Generation Investment Management.
CCX has multiple interconnections with the London-run Intercontinental Exchange, Inc. (ICE), whose subsidiary is the International Petroleum Exchange, the world’s largest petroleum futures and options market. The dirty details of ICE and the Great Oil Price Swindle came out extensively at a May 8, 2006 Senate Democratic Policy Committee hearing, where Sen. Carl Levin (D-Mich.) said that futures speculation on the ICE was the driver for adding $20 to 25 to the price of every barrel of oil, causing hardship to industry and households, and suffering to underdeveloped nations. (The report, « The Role of Market Speculation in Rising Oil and Gas Prices, » is still posted on Sen. Levin’s website).
Pas surprenant que Gore est venu à Montréal militer pour une bourse du carbone qui comme par hasard est affilié à celle de Chicago dont il est un actionnaire majeur. Je suis un vérificateur-comptable capable d’aller plus loin que les apparences et le scepticisme prime sur la crédulité pour moi…
On sait que ses amis investissaient dans l’éthanol pendant la bulle spéculative sur le prix du baril de pétrole et la campagne antipétrolière de Greenpeace. Greenpeace était un maillon de la guerre biocarburant-pétrole. Je vous laisse deviner qui financait Greenpeace et leur permettait d’avoir un budget annuel de 105 millions. Faurt arrêter de croire au bonhomme sept heures…
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23 février 2009 à 12 h 12
« Carol ce sont des paroles naïves et crédules. Votre jeunesse vous empêche d’être critique, moi pas… »
Eh bien !!! que ne faut-il point entendre !!! :P
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23 février 2009 à 21 h 07
« Greenpeace est un rouage du complot climatique ou Al Gore tire les ficelles et engrange les $$$ vertes. »
Bref, la crise environnementale est un complot socialiste. Vous m’avez convaincu, Fernand! ;-)
Et vive la fuite en avant!
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