Whoa! Les « trompettes » sont vraiment cool (ok ok.. j’admets, ça serait le bordel ici à la minute qu’on bouchon de glace s’y formerait au début de l’hiver).
Quant à celles avec les plantes, elles sont non seulement jolies et originales, mais aussi « bien conçues et pratiques ». Je veux dire par là que l’eau s’accumule dans un U sous les plantes jusqu’à ce qu’elle soit au niveau de la fourche qui descend à côté, remplissant alors les autres U en cascade. On imaginge donc que la terre (s’il y en a) des plantes arrive à ce niveau sous les plantes et les racines baignent dans l’eau. Bref, c’est bien pensé! ok ok, encore là, on pourra dire que ce n’est pas très bon que l’eau stagne semaine après semaine, année après année… mais c’est pas grave, un petit nettoyage de temps en temps…
Étant paysagiste, il m’arrive assez souvent, en cour de travaux, d’avoir des discussions avec des clients concernant leurs gouttières, car, plusieurs ont malheureusement la mauvaise habitude de terminent leur course près des fondations des maisons, c’est une erreur qu’il faut corriger sans délai si un jour vous ne voulez pas avoir une mauvaise surprise au sous-sol.
Sur une des photos, c’est possible de voir une méthode assez originale pour éloigner cette eau du bâtiment.
C’est tellement beau. Belle intégration. Dans les quartiers résidentiels ce serait peu élégant mais à travers les immeubles en ville, les galeries et les escaliers… wow. Vraiment.
@Pierre Bédard : C’est sûr qu’il faut éloigner l’eau des fondations, mais c’est rendu parfois difficile et onéreux de le faire. À Québec, on n’a plus le droit d’amener directement un collecteur de goûtières à la rue (et encore moins de percer la chaîne de rue) pour éviter la surcharge des égoûts pluviaux. Ironiquement, les nouveaux quartiers (là où il se construit des maisons qui doivent respecter ces nouvelles normes), il y a assez de bassins de rétentions extérieurs pour qu’on puisse vider une tempête tropicale dans les égoûts pluviaux.
Pour connecter ça directement au drain (bonjour les p’tites graines qui bouchent le tuyau!) là je ne sais pas.
Quand il n’y a pas possibilité d’installer un drain qui se rend à la rue (différent selon les secteurs) il y a toujours la construction d’une fosse qui s’installe sur le terrain à une certaine distance des fondations, idéalement le plus loin possible surtout sur un petit terrain, puis, nous raccordons les descentes de gouttière à cette fosse.
Lors d’une construction neuve, ces travaux sont à faire en premier, puisqu’après tout le terrain sera gazonné et plus rien n’y paraîtra.
25 février 2009 à 18 h 24
messemble j’ai déja vu ca ici meme …
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25 février 2009 à 20 h 40
C’est beau
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25 février 2009 à 21 h 43
Très original, je vais proposer ça à mes clients :)
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25 février 2009 à 22 h 52
Whoa! Les « trompettes » sont vraiment cool (ok ok.. j’admets, ça serait le bordel ici à la minute qu’on bouchon de glace s’y formerait au début de l’hiver).
Quant à celles avec les plantes, elles sont non seulement jolies et originales, mais aussi « bien conçues et pratiques ». Je veux dire par là que l’eau s’accumule dans un U sous les plantes jusqu’à ce qu’elle soit au niveau de la fourche qui descend à côté, remplissant alors les autres U en cascade. On imaginge donc que la terre (s’il y en a) des plantes arrive à ce niveau sous les plantes et les racines baignent dans l’eau. Bref, c’est bien pensé! ok ok, encore là, on pourra dire que ce n’est pas très bon que l’eau stagne semaine après semaine, année après année… mais c’est pas grave, un petit nettoyage de temps en temps…
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26 février 2009 à 10 h 36
Trop cool!
Malheureusement de telles gouttières feraient rapidement l’objet de plaintes dans notre chère ville conservatrice de Québec…
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26 février 2009 à 15 h 40
@ Pierre Bédard
Vos clients ? Vous m’intringuez… :)
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26 février 2009 à 18 h 48
@ Gérald Gobeil
Étant paysagiste, il m’arrive assez souvent, en cour de travaux, d’avoir des discussions avec des clients concernant leurs gouttières, car, plusieurs ont malheureusement la mauvaise habitude de terminent leur course près des fondations des maisons, c’est une erreur qu’il faut corriger sans délai si un jour vous ne voulez pas avoir une mauvaise surprise au sous-sol.
Sur une des photos, c’est possible de voir une méthode assez originale pour éloigner cette eau du bâtiment.
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26 février 2009 à 20 h 57
Merci ! :)
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27 février 2009 à 15 h 18
C’est tellement beau. Belle intégration. Dans les quartiers résidentiels ce serait peu élégant mais à travers les immeubles en ville, les galeries et les escaliers… wow. Vraiment.
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28 février 2009 à 11 h 54
@Pierre Bédard : C’est sûr qu’il faut éloigner l’eau des fondations, mais c’est rendu parfois difficile et onéreux de le faire. À Québec, on n’a plus le droit d’amener directement un collecteur de goûtières à la rue (et encore moins de percer la chaîne de rue) pour éviter la surcharge des égoûts pluviaux. Ironiquement, les nouveaux quartiers (là où il se construit des maisons qui doivent respecter ces nouvelles normes), il y a assez de bassins de rétentions extérieurs pour qu’on puisse vider une tempête tropicale dans les égoûts pluviaux.
Pour connecter ça directement au drain (bonjour les p’tites graines qui bouchent le tuyau!) là je ne sais pas.
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28 février 2009 à 16 h 21
@ Manu
Quand il n’y a pas possibilité d’installer un drain qui se rend à la rue (différent selon les secteurs) il y a toujours la construction d’une fosse qui s’installe sur le terrain à une certaine distance des fondations, idéalement le plus loin possible surtout sur un petit terrain, puis, nous raccordons les descentes de gouttière à cette fosse.
Lors d’une construction neuve, ces travaux sont à faire en premier, puisqu’après tout le terrain sera gazonné et plus rien n’y paraîtra.
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2 mars 2009 à 21 h 20
Il faudrait bien plus de ces petites originalités à Québec — comme les vélos sur le mur devant la traverse, les pot de fleurs géants, etc.
Vivement un peu de folie. C’est un bel exemple!
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