Lysiane Gagnon
La Presse
Il y a de bonnes idées dans le Plan de déplacement urbain du Plateau-Mont-Royal. Quoi de plus normal, par exemple, que de limiter la vitesse dans les rues transversales?
On pense à émettre des vignettes additionnelles aux résidants pour faciliter le stationnement à leurs visiteurs. Pourquoi ne pas en offrir aussi aux restaurants et aux petits commerces, pour accommoder leurs clients venus en auto?
Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que ça va discuter rondement dans les commentaires!
7 mars 2009 à 19 h 57
J’ai emprunté la piste du boul. Maisonneuve pas plus tard qu’hier. Son seul défaut est d’être constamment bloquée par des chantiers (Place des festivals, condos Louis-Bohème et réfection de la place Norman Bethune, réfection de la dalle de béton effondrée du La Baie, etc.) Mais sinon je dirais que c’est une des rares pistes en milieu urbain dense qui soit relativement bien conçue et assez large pour prévenir les accidents.
La critique du Vélib’ a un certain fondement, et j’appréhende les mêmes problèmes avec le système Bixi à Montréal.
Mais le reste de l’article est du pur Lysiane Gagnon: bitchage de matante et clichés gros comme le bras. (Les Hollandais « disciplinés et peu coquets » ??? À Amsterdam, j’ai vu quantité de gens habillés élégamment, faisant du vélo cellulaire à la main sans se soucier des piétons.)
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7 mars 2009 à 19 h 59
Montréal devrait s’occuper de problèmes plus urgents comme son réseau d’aqueduc qui défonce de partout et son réseau d’égout qui fait encore des rejets au fleuve. Son réseau routier est en piteux état et cette semaine on montrait des rails de l’ancien tramway qui refont surface tellement la chaussée est maganée…
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7 mars 2009 à 20 h 10
En effet Montréal a plusieurs plaies à panser, dont les chantiers en PPP (« Pas de PéPine ») couteux et paralysés dont meme l’Ordre des Architectes et les médecins ne veulent pas.
Le jovialiste maire nous annonce des coupes de 40 millions $ à la STM pendant que le gouvernement provincial dort au gaz. Le train rapide vers l’aéroPET est prévu vers l’an 2040. L’AMT a toutes les misère à faire respecter l’horaire des trains de banlieue.
Bref, une litanie de problèmes qui font qu’habiter dans les quartiers centraux et ressortir le vélo dès le mois de mars apparait souvent comme la « moins pire » des solutions.
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7 mars 2009 à 20 h 44
« Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que ça va discuter rondement dans les commentaires! »
Parce que souvent on oppose vélo et transports alternatifs vs auto.
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7 mars 2009 à 21 h 10
Eh bien vous vous êtes trompé mon cher Francis. Je remarque que comme mesure on veut appliquer à un plus grand nombre de rues le 30Km/H. C’est inutile si la surveillance policière n’est pas omniprésente.
Je demeure dans un quartier ou les affiches de 30Km/H sont légions. Presque tout le quartier est pavoisée de ces enseignes. Ca n’empêche pas que par exemple la sortie Labelle, la rue Seigneuriale (partie en bas de l’autoroute), Des Cascades, Royale ou Du Cénacle, la vitesse est continuellement supérieure au maximum permis. Il n’y a qu’une opération radar pour que les automobilistes deviennent moins pressés et préoccupés par le respect des limites permises.
L’enfer est pavé de bomnnes intentions, il demeure que l’homme a besoin de coercition pour être resopectueux des lois et normes gouvernementales. On dirait que le coureur de bois indiscipliné sommeille encore en nous…
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8 mars 2009 à 15 h 08
Fernand, c’est totalement vrai ce que vous dires. Cependant j’ai vu à beaucoup de places à Montréal des photo-radars près des écoles (ou est-ce seulement des pancartes d’affichage de vitesse ?) qui montrent notre vitesse. Bon bien sûr à vélo c’est un peu ironique de voir « MAX 30, Votre vitesse: 22 kmh », mais ça porte à réfléchir ceux qui comprennent pas encore pourquoi y’a des limites à 30 autour des écoles !
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8 mars 2009 à 15 h 48
Autour des hôpitaux aussi…
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9 mars 2009 à 10 h 31
Rue Frontenac est publié par les 253 membres en lock-out du Syndicat des travailleurs de l’information du Journal de Montréal. Son nom s’inspire de la rue où se côtoient leurs bureaux et ceux du Journal de Montréal, le «quotidien de la rue Frontenac».
http://www.ruefrontenac.com/
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9 mars 2009 à 20 h 36
« Rue Frontenac est publié par les 253 membres en lock-out du Syndicat des travailleurs de l’information du Journal de Montréal. »
C’est quoi le rapport, Fernand?
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10 mars 2009 à 16 h 16
Et pour Québec, c’est pour quand le vélib? Difficilement praticable en Haute-Ville à l’est de Montcalm, il serait par contre très bien dans plusieurs quartiers. Et comme c’est un système par station, on pourrait laisser son vélo en Basse-Ville, monter en haut par un escalier et un en prendre un autre en Basse-Ville. Je crois que ça pourrait être très bien implanté dans des quartiers à très basse densité (i.e. banlieues) pour permettre aux gens d’utiliser autre chose que leur char pour aller acheter du lait.
Pour notre hiver, on pourrait avoir des ski en libre-service. Suffirait de « paver » les pistes cyclables avec de la neige et de la dammer un peu. Ne riez pas; c’est vraiment un moyen de transport actif et beaucoup plus rapide que la marche (et la voiture un lundi matin de tempête sur René-Lévesques).
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11 mars 2009 à 09 h 48
Max moi je me permets de rire, franchement des skis pour se déplacer en ville.
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