La construction du Super PEPS, l’agrandissement du Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) et tous les autres gros projets d’infrastructures au Québec doivent passer par le filtre des PPP, a appris Le Soleil. Un long processus qui ne fait que commencer et qui soulève des questions sur l’avancement réel de ces projets, malgré ce que peut en dire le gouvernement libéral.
13 mars 2009 à 07 h 39
J »ai bien lu l’article du Soleil. Disons que les PPP (Permis Pour
Procrastiné) c’est l’excuse. En réalité, et ce n’est un secret pour
personne, le gouvernement ne peut seul ce permettre un tel
investissement et que l’entreprise privée, nous le constatons pour le CHUM, est assez froid pour un tel investissement dans ce temps économique difficile. Cà c,est la version fortement résumé. En ce qui concerne l’îlot voyageur, aucun rapport avec le PEPS, ce n’est qu’une excuse un peu confuse pour justifier le retard. La débâcle financière de l’îlot voyageur fut plutôt causé par des gens qui auraient mieux fait de continuer d’enseigner que de gérer. Ca c’est le problème des universités au Québec,
la gestion est confier a des gens qui ne possède aucun profil
de gestionnaire. Mais là c’est un autre débat sur lequel je
pourrait être intarissable.
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13 mars 2009 à 07 h 48
Je ne crois pas que cela soit une excuse: faire intervenir l’organisme qui s’occupe des PPP et les entreprises privées en amont du processus prend bel et bien beaucoup de temps. Jusqu’à présent la formule construite par les libéraux, qui n’est ni du privée, ni du public, n’a presque rien donné. C’est encore plus bureaucratique que cela l’était auparavant! Enfin, oui, il y a un rapport avec l’UQAM car on exige désormais au Université de faire en PPP si c’est possible.
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13 mars 2009 à 08 h 19
Pour avoir travailler sur qqs dossiers, je dois vous dire que oui
on oblige les Universités a faire du PPP quand c’est possible, là vous avez raison. Par contre la finalité première de ce partenariat
Public/PPP, c’est tout simplement, pour que les Universités, évitent
le dérapage de l’UQUAM dont les coûts collectifs sont d’environ $700 millions. Pour les universités, le PPP est un coaching
de gérance et de surveillance.
A ce sujet voir les articles du devoir sur ce scandale financier.
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13 mars 2009 à 08 h 37
@dave deux: le problème de l’ilot Voyageur est survenu justement parce que le CA de l’UQAM n’a jamais été informé des tractations plus ou moins secrètes d’un dénommé Malservisi (quel nom prédestiné!), du recteur Roch Denis et un autre connard du nom de Nicolas Buono. Donc ça n’a rien à voir avec le corps professoral ou la capacité de gestion des enseignants:
http://www.ledevoir.com/2008/06/04/192627.html
Il va falloir se rendre à l’évidence: les PPP manquent de transparence et sont un bourbier propice aux tractations semi-mafieuses et au graissage de pattes. L’argument d’ «éviter la catastrophe de l’îlot Voyageur» ne tient pas la route.
D’ailleurs l’UQAM manquait et manque encore d’espace, et le terminus d’autobus actuel a l’air d’une dompe. Sauf que si le chantier ne se termine pas, c’est parce que la renégociation du PPP avec la firme Busac (la firme de gestion qui laisse le mât du Stade vide depuis 20 ans) bloque le parachèvement des travaux. Pendant ce temps, les trois larrons sus-mentionnés sont toujours en liberté alors qu’ils devraient être derrière les barreaux.
Je suis absolument consterné de voir que le chantier du super PPPEPS va s’embourber durant 5 ans avant de lever.
Même le Royaume-Uni a abandonné cette stupide formule et est en train de tout renationaliser, des écoles privées aux banques aux hopitaux. Efficacité du privé mon cul!
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13 mars 2009 à 09 h 32
Effectivement le PPP est un procédé qui n’est pas nécessairement plus économique de un il y a l’agence des PPP qui se graisse royalement la pate pour ses services, de deux le gouvernement se cache derriere les ppp pour justifier parfois leur manque d’expérience dans les projets. C’est aussi effectivement une bonne manière de graisser la pate par la bande à plusieurs…
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13 mars 2009 à 09 h 54
Petit complément d’information très intéressant sur les PPP…
http://www.cyberpresse.ca/opinions/forums/cyberpresse/200903/13/01-836235-ppp-quebec-a-raison-tout-le-monde-se-trompe.php
Il y a un lobby très fort de l’agence des PPP pour ce mode d’opération…qui se cache derrière…
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13 mars 2009 à 11 h 02
C’est réellement le PPP qui a coulé le dossier de Labeaume-Simoneau à coté de la biblithjèque Étienne-Parent en face de l’aréna de Giffard. L’appétit vorace du seiàul soumissionnaire a fait reculer le tandem. 560$/heure comparativement à un coût d’opération des arénas actuels de la motié.
Les PPP oblige un intermédiaire supplémentaire qui prend son profit après avoir graissé les cauisses électorales.
Je suis partisan d’une soumission fermée à prix fixe sans supplément pour imprévu (Target price) ou à un « cost plus ». Ça a marché à la baire de James sur les grands chantiers.
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13 mars 2009 à 12 h 01
Je suis un gérant d’estrade comme vous dans ce dossier des PPP (mon opinion vaut alors ce qu’elle vaut…)
Mais je suis aussi un citoyen voteur(qui a le droit de se prononcer)
Et vos arguments ne m’ont pas convaincu!
Gouvernement -1- gérants d’estrade -0-
—————————————————
Arguments
L’Information « qui fesse » de Antoine a été écrite par: « …L’auteur est médecin et vice-président de Médecins québécois pour le régime public (MQRP).
Donc l’auteur n’a AUCUNE compétence administrative et parle au nom d’un lobby défendant des intérets corporatifs…
Argument NUL!
Dans l,argumnent de Pierre-Paradis, il y a une contradiction dans le texte même:
Le fiasco de l’UQUAM n’a rien a voir avec la mauvaise gestion du corps professoral et tout de suite apres on dit que le recteur Roch Denis a fait de mauvais choix….
Donc la conclusion logique qui s’impose serait de retirer effectivement la gestion des grands chantiers du corps professoral qui n’y connait rien !
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Compllémentaires
Quand on sait maintenant qu’il y a des accointances entre la mafia et la Ftq-construction et certains gros boss , je crois que le gouv. a raison d’être prudent…
Pour la démolition de la bretelle Dufferin , la FTQ avait annoncé des couts de départ de 75 millions et en PPP ca c’est réalisé a 20 millions.
Je ne crois pas au miracle du PPP mais je crois plus en la prudence du gouv. plut^t qu’a l’audace des gérants du 110%
une opinion d’un citoyen-voteur
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13 mars 2009 à 12 h 35
En référence a l,article ci-haut proposé ou il est question du métro
de Londres, nous avons ici un bon exemple des dérives qui arrivent
en mode PPP. En fait je pourrais facilement résumé le mode PPP
comme suit, avec le PPP le privé empoche les profits et le public
éponge la perte. le but principal de procéder en mode PPP, c,est
le transfert de risque avec une partenaire privée. mais il devient
évident en regard avec l,expérience jusqu’ici acquise, que les
risques ne sont assumés qu’uniquement par le secteur publique.
En ce qui concerne l’îlot voyageur, je suis d’accord avec le fait
que les responsables n,auraient pas du s’en sortir avec une
prime de départ mais avec une paire de menotte.
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13 mars 2009 à 12 h 37
@jaco: si les professeurs ou le CA de l’UQAM avaient été proprement informés, ils se seraient opposés au projet ilot Voyageur, qui comprenait une tour à bureaux dont les revenus anticipés étaient complètement irréalistes.
Le fond du problème est le MANQUE DE TRANSPARENCE des contrats en PPP, qui fait que les profs, journalistes et le grand public n’ont aucune idée de ce qui se trame réellement et par conséquent, ne peuvent évaluer la validité ou non d’un projet.
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13 mars 2009 à 12 h 52
M.Paradis, j’ai suivis a 80% le dossier de l’îlot voyageur dans le
Devoir et la Presse. La question que je pose et puisque toute
évidence il y a eu malversations, pourquoi les coupables sont-ils
toujours en liberté? Et de surcroît pourquoi certains responsables
qui ont démissionnés du CA de l’UQUAM, dont l’ancien Recteur
ont-ils reçus leurs primes de départ???
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