François Bourque
Le Soleil
J’ai fait découvrir cet endroit à des musiciens militaires français lors du dernier festival international de musique militaire de Québec. Ils donnaient un concert à la cathédrale. Entre la répétition et le concert, j’en ai amené quelques-uns voir cet endroit. Ils en ont été surpris et ravis.
(Québec) Elle attendait, tapie dans le passage piéton bétonné qui descend vers le stationnement de l’hôtel de ville de Québec.
D’une fois à l’autre, je ne la reconnais pas. Trop pressé. Mais c’est toujours la même.
Elle m’a sauté dessus dès que j’ai poussé la porte : la musique.
Des violons agités, intenses, envahissants. Beaucoup trop forts pour l’exiguïté du lieu.
Les musiques d’ascenseur cherchent à se faire oublier; celle-là voulait qu’on l’entende, qu’on n’entende qu’elle, jusqu’à l’insupportable.
Une musique épouvantail pour faire fuir. Il fallait un esprit «machiavélique» pour y penser.
L’histoire commence il y a six ou sept ans à la place D’Youville. La Société Parc-Auto, qui gère le stationnement, vient de réaménager le hall qui donne accès à l’ascenseur.
22 mars 2009 à 14 h 57
Ce texte est déconcertant lawl
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23 mars 2009 à 11 h 20
C’est toujour bien mieux de la musique qu’un son suraigü que seuls les plus jeunes peuvent entendre (en moyenne…) comme en produisaient des dispositifs pour éloigner les jeunes devant les commerces.
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23 mars 2009 à 19 h 47
Ou bien des clous pour éloigner les pigeons sur les corniches des façades des commerces.
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