Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


L’actualité et l’immobilier

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 25 mars 2009 20 commentaires

Le marché de l’immobilier a connu ces dernières années des hausses parfois vertigineuses. Coup d’œil sur les prix à Québec.

Voir aussi : Condo, Résidentiel.


20 commentaires

  1. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    25 mars 2009 à 15 h 43

    L’évaluation des immeubles à Québec pour les comptes de taxes sera distribuée à l’automne. Elle représentera le marché de l’immeuble pour 2007-2008-2009.

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  2. Charles

    25 mars 2009 à 15 h 46

    Les prix ont en fait rattrappé un retard historique.

    Sur une longue période, les prix des maisons évoluent au rythme de l’inflation. Les prix médians sont aussi le reflet de la santé de l’économie régionale. À l’échelle canadienne, les prix de Québec sont une véritable aubaine. Doit-on vraiment se réjouir que nos maisons valent, relativement, si peu?

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  3. Fernand

    25 mars 2009 à 16 h 22

    Charles tu as raison. L’engouement pour Québec devrait se réfléter dans le prix de ventes. En août dernier, j’ai fait évaluer ma maison à 175,000$ et je ne pourrai avoir davantage actuellement.

    J’attribue ce phénomène à la crise. Partout ça baisse et ici ça se maintient…

    J’espère que les prix vont monter avant les taux d’intérêts car le marché deviendrait à l’avantage du vendeur…

    On parle d’une crise de trois ans dans les milieux financiers bien branchés…

    En passant, j’avais prédit fin novembre que cet hiver serait plus froid et moins neigeux. Avais-je raison ???

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  4. Ludovic

    25 mars 2009 à 19 h 37

    Pas trop difficile de faire une prévision « moins neigeux » après une année record de tous les temps :)

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  5. Gilles

    25 mars 2009 à 20 h 21

    Le vrai problème de Québec c’est les salaires de miséreux… Un gars (ou une fille) qui a un BAC et a peu près 10 d’expérience se compte chanceux s’il gagne un salaire de 45 000$ – 50 000$.

    Même à deux, après que le grand prêtre (Revenu Canada) et le curé (Revenu Québec) aient passés la quête, (en prenant bien soins de vous féliciter pour votre beau parcours professionnel), il te reste pas grand chose dans les poches une fois que t’as payé ton hypothèque.

    C’est le paradoxe de la ville de Québec, D’un coté on nous dit que c’est grâce à la fonction publique que l’économie s’en tire pas trop mal… mais en même temps, les entreprise se servent du gouvernement comme « Baseline » pour déterminer combien on te paye…

    Il faut que ça change !

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  6. Jeff-TVQC

    25 mars 2009 à 20 h 37

    j’attends que ça baisse, je veut acheter mais 200 000$ pour un 3 et demi non merci…

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  7. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    25 mars 2009 à 21 h 52

    « Un gars (ou une fille) qui a un BAC et a peu près 10 d’expérience se compte chanceux s’il gagne un salaire de 45 000$ – 50 000$. » – Gilles

    Vraiment, vous appelez ça un salaire de misère??? Bon, on est loin du salaire des joueurs de hockey, mais tout de même…

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  8. Manu

    25 mars 2009 à 22 h 49

    @Gérald Gobeil : petite correction : le rôle d’évaluation 2007-2008-2009 a été déposé en septembre 2006 et se base sur les prix au 1er juillet 2005. Cette automne, ce sera plutôt pour 2010-2011-2012, basé sur la valeur au 1er juillet 2008.

    @Charles : les prix de l’immobilier suivent peut-être grosso modo l’inflation (ils font partie du calcul d’ailleurs), mais il me semble avoir vu récemmetn que les salaires n’avaient vraiment pas suivi. Alors qu’il y a 30 ans on pouvait se payer une maison unifamiliale neuve avec grand terrain et tout avec un seul salaire moyen sur 40 (ou 45?) heures par semaine, on a aujourd’hui besoin de 75 heures par semaine au salaire moyen pour acheter… la même maison vieille de 30 ans! Il me semble que c’était la comparaison. On disait entre autres que pendant cette période, l’IPC avait crû de plus de 100%, contre à peine plue de 50% pour les salaires. Mais je crois que c’était pour tout le Québec. Alors le cas de Québec est peut-être différent de ces moyennes.

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  9. Lucas

    26 mars 2009 à 06 h 46

    @Gilles: Ça vient d’où ces chiffres? Peut-être connais-tu quelqu’un qui a 10 ans d’expérience et qui gagne 50K avec un BAC en philo! Dans ce cas-là, oui c’est vrai que cette personne est chanceuse… d’avoir un emploi! Je diverge un peu du sujet mais faudrait pas penser que c’est parce qu’on a un BAC qu’on doit gagner un salaire de la mort!

    J’ai le mien en informatique, je n’ai pas 30 ans et je suis propriétaire. Faut relativiser le tout!…

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  10. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    26 mars 2009 à 06 h 51

    @ Manu

    Merci pour la correction.

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  11. Jean Cazes Utilisateur de Québec Urbain

    26 mars 2009 à 06 h 55

    Bon, ça n’a pas rapport, mais le sujet des coupes au service de l’information à Radio-Canada Québec mériterait un billet sur Québec Urbain: je suis à court de bolos envers notre foutu gouvernement conservateur et sans culture qui se méfie des journalistes!!!!

    Mes sympathies pour Michel Lamarche, et je suis inquiet pour la rubrique urbaine de Réjean Lemoine…

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  12. Julien

    26 mars 2009 à 07 h 13

    @gilles: Le vrai problème de Québec c’est les salaires de miséreux… Un gars (ou une fille) qui a un BAC et a peu près 10 d’expérience se compte chanceux s’il gagne un salaire de 45 000$ – 50 000$.

    voici les salaires au gouvernement: http://www.tresor.gouv.qc.ca/fr/ress_humaine/conditions/echelle.asp

    Avec un Bac, on peut postuler pour les emplois de niveau professionnels. Si on regarde une classe 108 (analyste en informatique) avec 10 ans d’expérience, on parle d,environ 65 000$ (car, pour les 5 premieres années, on augmente de deux échelons).

    Et, le gouvernement du Québec paie beaucoup moins bien ses employés que la Ville de Québec ou que les grandes compagnies de la région…

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  13. Gilles

    26 mars 2009 à 07 h 44

    @Julien

    Faut pas se fier aux échelles du gouvernement car ils n’embauchent plus, depuis au moins 5 ans, des candidats d’expérience. Ils vont t’embaucher mais à l’échelle 0 dont 37500$. À ce salaire, il n’y a que les gens qui sortent à peine de l’université qui sont embauchés. Donc le 69500$ dont vous parlez, il n’y a que les gens qui ont été embauchés AVANT le gel de l’embauche imposé par le gouvernement Charest qui peuvent y aspirer.

    Les entreprises connaissent ce fait et ils en prennent compte lorsque le temps est venu de faire leurs « études » de marché.

    Ce que je déplore dans tous ça, c’est que ton salaire doit être ajusté selon (dans l’ordre):

    1- Ta compétence
    2- Ton expérience
    3- Le cout RÉEL de la vie dans la ville où tu travail
    4- Le(s) taux d’imposition en vigueur dans la tranche d’âge médiane de tes employés

    Mais c’est beaucoup plus facile de regarder combien ton compétiteur paye tes employés… ça sauve du temps… triste mais vrai.

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  14. Lucas

    26 mars 2009 à 11 h 15

    @Gilles prise 2: ARRRkkk… Tu déplores qu’un salaire soit ajusté à la compétence? Tu ne trouve pas ça normal que quelqu’un avec de plus grande compétence soit mieux payé qu’un autre sans?

    Tu dois être syndiqué toi…

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  15. Goldoche

    26 mars 2009 à 19 h 42

    J’ai 27 ans, j’ai un bac et fais 52k, pas trop mal, mais c’est pas assez pour se payer un condo dans les quartiers centraux.

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  16. Gilles

    26 mars 2009 à 21 h 11

    @Lucas

    Je voulais dire que je déplore que ne fait pas les points 1 à 4. Hiech ya pas plus anti-syndicat que moi !! désolé pour la confusion.

    Je vais aller me cacher maintenant. :)

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  17. Manu

    27 mars 2009 à 00 h 42

    @Gilles : c’est quand même pas si difficile que ça de respecter implicitement ces 4 points. Imaginons le cas où un employé prétend que selon ces points, il « mérite » tel ou tel salaire. Ou bien on lui accorde et tout le monde est content, ou bien l’employeur va lui dire non. Dans ce cas, l’employé peut soit rester en poste en se disant qu’il ne mérite probablemetn pas autant qu’il croit, soit aller ailleurs où on lui offre ce qu’il croit mériter (idéalement, on obtient une telle offre avant de négocier son salaire…)

    Évidemment, cela peut difficilement s’appliquer dans les emplois très réglementés ou encore, pour lesquels le nombre d’employeurs est restreint ou carrément unique. Ce serait le cas d’un juge par exemple.

    Sinon, on peut s’en tenir à ce que j’ai dit plus haut.

    Ah… et qu’arrive-t-il si on travaille dans un milieu syndiqué où la règle de base est que tous les employés qui occupent un même poste (ou tout autre définition d’équivalence) doivent recevoir le même traitement? Eh bien il n’arrive rien! C’est à l’employé de se demander s’il accepte d’être à la solde d’un syndicat, ou s’il veut aller ailleurs pour se faire reconnaître pour ce qu’il est.

    Personnellement, considérant que la majorité des syndicats considèrent que le traitement doit être en lien avec les postes (et ce qui les entoure comme l’expérience ou les diplômes requis) et non avec les personnes, je ne peux pas leur accorder grande crédibilité.

    Je crois que plusieurs ici partagent cet avis, du moins en partie.

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  18. steeve

    21 avril 2009 à 20 h 59

    Le prix des maisons suit effectivement plus ou moins l’inflation. Actuelleemnt, le prix de vente à Québec dépasse cette valeur de 25%. Alors tôt ou tard les maisons corrigeront face à l’inflation. C’est la chose la plus sûre qui existe.

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  19. Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

    21 avril 2009 à 21 h 16

    @ Steeve

    En Europe, on parle depuis toujours d’investir « dans la pierre ». En Amérique, on parlait d’investir « à la bourse ».

    Times are changin

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  20. Steeve

    5 mai 2009 à 17 h 57

    Nos maisons sont loins de la qualité de certains bâtiments en Europe qui je suis sûr, ont une durée de vie plus longue.

    Cependant, ceci n’élimine pas le fait que l’immobilier est de 25% sur-évalué et que le risque financier oscille autour de 50000-60000$ pour quelqu’un qui achête maintenant. A moins que quelqu’un soit prêt à garantir la valeur de l’immeuble, le risque financier existe et figure très important puisque la majorité des gens mettront plus d’une décennie ou plus pour économiser une telle somme. Il ne faut pas prendre ce risque à la légère.

    Il ne faut oublier qu’une maison, excluant les immeubles à revenu, n’a jamais été un placeemnt et ne le sera jamais. Actuellement, nous restons dans la phase spéculative.

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