Louise Lemieux
Le Soleil
(Québec) L’édifice Price, la centrale de police du parc Victoria, le Pavillon de la jeunesse, l’édifice Andrée-P.-Boucher, le réservoir d’eau des Plaines. Tous ces bâtiments et 95 autres font partie des 100 bâtiments publics qui sont analysés dans un nouvel ouvrage lancé hier par l’École d’architecture de l’Université Laval.
«Nous avons choisi ces 100 bâtiments parmi 500 autres, selon leur importance dans le paysage urbain et leur valeur symbolique dans la ville», explique Martin Dubois, professeur d’architecture et directeur de l’ouvrage.
L’édifice Andrée-P.-Boucher, par exemple, est un incontournable. «Son architecture représente le style postmoderne des années 90. Vrai, le style détonne dans le paysage, mais sur le plan didactique, c’est un bon archétype des années 90», dit M. Dubois.
Une vingtaine d’étudiants de troisième année ont participé à l’ouvrage. «Ce travail s’est fait dans le cadre d’un cours pour leur donner l’occasion d’analyser et de critiquer des bâtiments», explique M. Dubois.
11 avril 2009 à 14 h 37
Je serais curieux de savoir si les Terrasses du Vieux-Port sont classés parmi les 100.
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