Valérie Gaudreau
Le Soleil
Dans un livre à paraître mardi, Jean Pelletier fait ce qui ne lui est pas arrivé souvent : avoir des regrets. L’ancien maire affirme en effet s’en vouloir d’avoir cédé aux pressions de Brian Mulroney et de Robert Bourassa pour laisser ériger les Terrasses du Vieux-Port. Une «horreur» qui a compromis un projet initial de créer un lien entre le Musée de la civilisation et le fleuve.
12 avril 2009 à 10 h 57
Ça c’est la version Jean Pelletier. Pour comprendre ce que je dis,
faut lire l’article au complet et surtout lire entres les lignes pour
saisir les commentaires de jean Lemoine, Moi je rajouterais deux choses connaissant bien le milieu underground de la politique municipale.
1/Bienvenue sur la façe obscure de la politique municipale de
Québec. La politique souterraine, celle que les jounaleux , par
lâcheté ou complicité, ne parleront jamais. C’est le monde
parallèle de la duplicité et des retours d’ascenseurs.
2/Bienvenue dans le merveilleux monde journalistique de
Québec. Celui de la mielerie et de la flagonnerie. Un monde
qui est a des années lumières du vrai journaliste, celui à
l’esprit critique et d’enquête honnête. Pas celui des entrevues
sympathique celles du gentils journalistes posant de
gentilles questions aux politiciens.
C’est tout…pour le moment
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12 avril 2009 à 13 h 29
Dave deux là tu touche un point véridique le journalisme de nos jours n’est que très rarement crédible, l’esprit critique et d’investigation profesionnel ce fait très rare!
Bravo Dave deux, bon commentaire!
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12 avril 2009 à 14 h 17
Je vous invite a lire « Québec, ville dépressionniste » aux éditions
Moult. Ou comment ¨Comment mes taxes sont-ils partis en
fumée ».
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13 avril 2009 à 08 h 28
Pôvre vous autre, c’est un territoire fédéral…
Toutes les bâtisses qui se sont érigées dans le cadre de Québec 1984 dans le vieux port l’on été par un seul constructeur très proche de Mulroney…
On a même fait conbstruire et démolir l’édifice du Havre sur le coin de l’entrée du Bassin Louise par le même entrepreneur, faut le faire…
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13 avril 2009 à 12 h 08
Que ce soir fédéral ou pas n’enlève aucunement que le copinage des chums à cravattes et la duplicité des simili-journaliste dans une ville de la taille de Québec, ça donne ça pareil comme résultat. À chacun de le voir ou de regarder ailleurs.
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13 avril 2009 à 17 h 29
Fernand, si je fais référence à l’article pensez-vous vraiment
que nous l’avons pas lu? Et si nous l’avons lu, pensez-vous vraiment que nous n’avons pas remarquer que c’était un
territoire fédérale. Voyons, un peu de logique déductive.
Finalement, si les Premiers Ministres ont fait pression sur
Pelletier, comme il semble le dire, c’est sans doute parce que
il avait son mot a dire. Ben voyons, c’est le cas classique de
« c’est pas de ma faute, c’est lui¨.
QUÉBEC, VILLE DÉPRESSIONNISTE aux éditions MOULT.
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13 avril 2009 à 17 h 32
Tenez, un petit extrait:
Québec a une histoire double. Peu de cités, comme cette capitale nationale, se présentent au monde entier lustrées, polies et radieuses, alors que dans leurs souterrains s’entrecroisent l’hypocrisie, la bêtise et l’arrogance des élites municipales. Elle est l’exemple par excellence d’une ville qui s’est développée par l’anéantissement systématique de son centre au profit de l’horreur banlieusarde. Québec dépérit ostensiblement sous sa muséification, son abandon à la spéculation grossière, son conservatisme grandissant, son esprit policier et sa dissolution dans les océans de périphéries conformistes. Au fil du temps, cette ville est devenue dépressionniste. Et l’ennui que ressentent ses habitants vient le confirmer.
Dans cet ouvrage, une dizaine d’auteurs examinent l’histoire, la géographie, l’urbanisme, l’imaginaire et la vision du monde propres à la ville de Québec. Ils énoncent notamment les erreurs de l’administration Lamontagne, la laideur du boulevard Hamel, la niaiserie cosmique des célébrations du 400e, la dysneylandisation du Vieux-Québec, le conservatisme des habitants, l’oeuvre complète du Bonhomme Carnaval, les lieux fantômes comme l’Université Laval ou feu le quartier chinois, et toute la banlieue en général.
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13 avril 2009 à 18 h 20
Bref pas beaucoup de points positifs.
la niaiserie cosmique des célébrations du 400e?
l’oeuvre complète du Bonhomme Carnaval?
toute la banlieue en général?
Ok?
J’aime ton premier billet Dave sur l’esprit journalistique. Cependant, j’aime moins les derniers et tu sais pourquoi.
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13 avril 2009 à 19 h 32
Précisions, ce texte est un extrait du livre. Faut pas s’attendre
dans cette ouvrage à la version journalistique de la vie politique
de Québec, la version rose bonbon. Vous aurez la version under-ground et grise de la petite politicaillerie de la ville.
Il ne faut pas voir dans un tel ouvrage une attaque en règle contre
les magouilleurs, mais l’analyser comme étant un instrument
permettant a ne pas répéter les erreurs du passé et du présent.
Dans ce sens, faut voir ce livre positivement.
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13 avril 2009 à 19 h 44
Dave deux ça doit être pour s’avoir fait tordre un bras qu’il est devenu le chef de cabinet de Chrétien par la suite…
Pelletier était un excellent communicateur et même un journaliste comme profession avant d’être maire…
En 1957 il était à CFCM-TV (maintenant TVA) et en 1958 corrspondant pour Radio-Canada pour ensuite être l’attaché de presse du premier ministre Paul Sauvé.
Come on Dave Deux, Jean Pelletier était journaliste…
Un bon point pour Pelletier. C’est sous sa gouverne que Québec fut déclarée ville de l’UNESCO…
Quant à ton livre surréaliste a été écrit par des jaloux montréalais: Le collectif La Conspiration dépressioniste, Montréal, Édition Moult…
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13 avril 2009 à 19 h 48
Oups j’ai oublié la référence:
http://www.consdep.info/lenvers-du-decor
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13 avril 2009 à 22 h 48
Fernand « pauvre » ne s’écrit pas « pôvre » alors pour ce quiest de vouloir donné des leçons d’histoires aux autres tu repasseras lorsque tu t’auras départie de ton esprit de partisanerie!
Vos commentaires Fernand sont d’une tristesse teintée de nostalgie!
Jean Pelletier en terme d’urbanisme fût pour Québec une période noire et bien triste!
C’est depuis ce temps que les gens de Québec sont devenue plûtot frileux face aux promoteurs, … .
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14 avril 2009 à 05 h 25
Fernand e suis content de vous. Vous faites des progrès énormes. Je m’attendais dès ma première intervention que vous me sortiez des arguments comme » Ce sont tous des communistes de la gauche troskiste de Québec-Solidaire » EH BIEN NON, c’est encore pire, CE SONT DES MONTRÉALAIS, jaloux en plus. Mais en oubliant de préciser que plusieurs d’entres-eux sont des ex-de Québec, dont qq anciens urbanistes dont un ex-de Beauport, qui ont décrissé, excusez l’expression, incapables de ce faire entendre du point de vue urbanistique. Que voulez-vous, tout comme aujourd’hui, jadis l’hôtel de Ville était grande ouverte aux promoteurs. N’importe qui pouvait proposer de
construire une verrue de béton devant le parvis d’une église
comme a St-Roch et avoir le OK de la mairie, et ce malgrès
l’avis contraire des urbanistes et architectes. D’ailleurs c’est
quoi le rôle de ceux-ci? Sans doute a défaut de ce faire
écouter pour les projets importants, manifeste un zèle fantasti-
que quand le simple citoyen désire changer sa poignée de porte
dans le « vieux ».
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14 avril 2009 à 09 h 23
Gilbert j’en sais plus sous les dessous de la vie politique et journalistique que n’importe qui ici… J’ai fait exprès pour écrire pôvre…
Je convient que Laurent Gagnon, l’entrepreneur a influencé Pelletier dans le développement de St-Roch mais que penser de Robert Guillet le chou-chou subcventionné à Jean-Paul L’Allier, son voisin à Ste-Pétronille-qui-pête-plus-haut-que-le-trou… Maintenant on est versé dans le virtuel avec GM et Ex-Machina, St-Roch devenu un fond de scène d’un cirque de rue…
Vous avez droit à votre point de vue Dave Deux et les goûts architecturaux se discutent… Un maire accepte des concepts quand on lui parle de revenus de taxes et n’est pas nécessairement une personne connaissante en art. Quand ça ne soulève pas de réprobation populaire, il décide en fonction de la majorité… Il faut conclure que la point de vue de cette poignée de rêveurs expatriés ne représentait pas celui de la majorité. Des gens qui ont écrit ce livre négationniste se sont réfugiés dans une poubelle montréalaise. Ils n’ont pas eu le « Guts » voulu pour imposer leurs vues ici…
Ils préfèrent l’anonymat d’une grande ville sale et en décrépitude et je vais dire comme une invitée de ‘tout le monde en parle’ de dimanche passé: « les artistes viennnent à Montréal parce que c’est cheap et que ça coûte pas cher pour y vivre »…
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14 avril 2009 à 09 h 45
Personne àn’est parfait et tantr qu’il y aura des hommes à, il y aura de l’hommerie.
Mais est-ce la meilleure façon de préparer l’avenir et d’apporter des solutions durables que de critiquer le passé et d,essayer de noircir notre histoire ??? Nous ne la referons pas…
Mettez des idées novatrices et emballantes sur la table. C’est plus positif que de prendre un malin plaisir à vomir sur les acteurs disparus…
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14 avril 2009 à 10 h 33
L’histoire est un éternel recommencement. Le tandem Lamontagne-Pelletier a fondé le Parti civique avec l’appui de la communauté d’affaires de Québec. Ce fut le règne du béton et de la destruction d’une partie du centre-ville: quartier chinois, paroisse St-Vincent de Paul, de grands pans de la partie sud de St-Jean-Baptiste ( heureusement que les citoyens ont réussi à arrêter les buldozers avant qu’on ne détruise tout), etc.
Aujourd’hui,après le règne de L’Allier, les hommes d’affaires sont revenus au pouvoir avec Labeaume. Dans quels excès tomberont-ils cette fois-ci ?
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14 avril 2009 à 10 h 53
« Vomir » quel gros mot! Reconnaître l’histoire avec exactitude ce n’est pas « vomir » sur les acteurs de la scène politique disparus… .
Apprendre des erreurs du passé c’est en premier lieu de reconnaître ces mêmes erreurs! Mais par la suite il y a des propositions, un « Brain Storming » un « Brassage d’Idée » en français mais pour celà, ça prend une ouverture d’esprit aux nouvelles idée et celà sans clivage de générations comme c’est le cas actuellement en excluant les rêves, les valeurs et les espoirs des nouvelles générations.
Des idées novatrices et emballantes pour qui? Dite-moi Fernand êtes vous vraiement fier du Complexe G cette horreur architectural et urbanistique?
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14 avril 2009 à 16 h 26
Finalement Fernand ce genre de livre ou même les propos
de plusieurs intervenants sur ce fil n’a pas pour but de brasser
de la « marde » juste par plaisir nihilisme. Le but est de ce servir
des erreurs du passé pour prévenir le erreurs présentes et futures.
Plusieurs politiciens seraient heureux que l’on fasse table rase
du passé pour qu’ils puissent magouiller en paix, sans a avoir
le « ti-peuple » entre les jambes. Ce serait bien plus agréable de
magouiller en cercle fermé, sans rendre de compte a personne.
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14 avril 2009 à 23 h 18
« Vomir” quel gros mot! Reconnaître l’histoire avec exactitude ce n’est pas “vomir” sur les acteurs de la scène politique disparus… »
x 2.
faut savoir appeler un chat un chat.
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15 avril 2009 à 15 h 21
Pour les collègues intéressés à la relation entre Ville, Port et Fleuve (y compris les jolies Terrasses du « vieux » port),je suggère: http://www.gensdebaignade.org/NICE.doc – Toutes critiques, remises en question ou commentaires sont grandement bienvenus.
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15 avril 2009 à 23 h 30
Nicolas explique la nature te ton intervention cela laisse place à plusieurs interprétations possiblede ton propos … .
(clin d’oeuil)
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16 avril 2009 à 07 h 28
Quand il y a a palce à plusieurs interprétations, on sent très bien la mémoire sélective faire son oeuvre. Moi je veux bien qu’on qu’on honore la mémoire de ceux qui ont fait du service public un engagement, mais il ne faut surtout pas mettre de côté le lourd passif respectif à chacun: mur de la honte sur René-Lévesque, bétonnisation de la rivière St-Charles, annihilation de l’artère commerciale avec l’avénement du mail, destruction du quartier chinois avec le déploiement des bretelles de Dufferin, monstruosités héritées de Québec 84, démolition des maisons victoriennes en face du parlement, démentèlement anarchique du faubourg St-Louis et St-Jean-Baptiste to name a few. Colle le nom du politicien qu’il te plait sur chacune de ces « réussites » si tu veux continuer l’interprétation.
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17 avril 2009 à 00 h 07
Merci Nicolas. Voilà qui est plus clair!
Pour ma part moi aussi je veut bien « qu’on honore la mémoire de ceux qui ont fait du service public un engagement »!
Mais quand j’entend dire que l’ancien Maire Jean Pelletier fut un Maire sans tâches et que la faute reviens essentielement aux autres instances politique alors je dénonce ce discours d’un personnage qui dénie sa responsabilité en la reportant sur les autres! Si on veut honoré un maire qu’on honore le Maire qui à réparé au cours de ses mandats les erreurs monumental de l’autre qui n’assume pas sa responsabilité … .
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17 avril 2009 à 16 h 53
Je pense que le temps donnera raison à Jean-Paul Lallier à bien des points de vue concernant le réaménagement de la cité comme il est certain qu’on lui repprochera toujours le ratio coût/productivité des employés municipaux. C’est à savoir ce qu’on prévilégie comme résultats.
Je veux bien dire à quoi bon pleurer sur le lait renversé comme Fernand aime dire, sauf que quand ça coûte des dizaines de millions à chaque fois pour ramasser le lait 20 ou 30 ans plus tard, j’pense qu’on a le droit de savoir qui l’a renversé. Personne n’est sans tache non, mais y en a qui beurre pas mal plus large que d’autres.
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18 avril 2009 à 00 h 37
Bref Nicolas j’abonde dans le même sens que toi le Maire Jean-Paul Lallier fut en effet le maire qui eu la meilleur conscience en terme d’urbanisme au cours des dernière décénies mais effectivement la notes fut salée. Mais n’oublions pas que le Maire Lallier à reçue en héritage de redonné à Québec une certaine crédibilité en terme d’urbanisme et finalement de réparé les erreurs magistral de l’administration du Maire Jean Pelletier entre autres!
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