Ah oui les voisins. Excellent film. Pour avoir vécu qq temps
dans une banlieue typique, je dois dire ce qui ce passe dans le
film LES VOISINS est un concentré véridique de certaines
banlieues. LA VILLE EST UNE JUNGLE, LA BANLIEUE UN ZOO.
Pour les arroseurs d’asphalte, j’ai déjà vu ce genre de comporte-
ment imbécile, mais je pense qu’en 2009 cela est du passé.
Personne n’est aujourd’hui assez Néandertalien pour avoir un
comportement aussi profondément nul pour arroser avec de
l’eau potable son asphalte. Arroser de l’asphalte, tant qu’à faire,
aussi bien nourrir son gazon avec des T-Bone ou du steak haché maigre su possible.
La chronique auquelle Lagacé fait référence est particulièrement bonne. Il y parle d’un certain M. Millette dont les opinions sont étrangement semblables à celles exprimées par un participant de QU…
On peut toujours se munir d’un petit réservoir avec une sortie à forte pression, qui permet de déloger toute la saleté avec très peu d’eau (avec un boyau d’arrosage, ce n’est qu’une infime partie de l’eau qui fait le travail, le reste coule par-dessus, d’où la perte). En fait, ça ne prend alors pas plus d’eau que des enfants qui passent une heure ou deux à se courir après avec des fusils à l’eau, ou encore remplir une petite « pataugeoire grenouille ».
Évidemment, il faut d’abord enlever le plus possible avant à la brosse ou au balai (sinon on a l’air de l’imbécile qui pousse une feuille morte tout le long de l’entrée avec le jet de son boyau), puis garder l’eau surtout pour décoller le sable et le sel qui s’est collé au bords de marches de pierre, béton, ou autres matériaux qui n’ont pas intérêt à demeurer constamment sous une couche de sel.
C’est le gros bon sens Manu, mais pour avoir été élevé dans le 450 je peux te garantir que la norme, c’est le père de famille qui arrose son entrée pendant des heures. En fait, ça me fascinait, quand je regardais mon père faire ça, il avait l’air d’être en pleine méditation à décrotter l’entrée pouce par pouce avec le jet d’eau. Il avait l’air bien, mais maudit que c’était stupide.
Je ne crois pas que c’était mieux ou pire ici que dans le 450… c’est surtout une question de mentalité et d’époque selon moi. Il y a 30 ans ou 50 ans selon les endroits, on se vantait presque d’être « si avancé technologiquement qu’on a toute l’eau qu’on veut à notre disposition ». C’était tout simplement normal. Aujourd’hui on se rend bien compte qu’un tel comportement est insoutenable, mais certains demeureront toujours ancrés dans leurs vielles habitudes.
Revenons aux compteurs d’eau comme à Ste-Foy. Manu décrit très bien la mode en banlieue.
Un appareil à pression gaspille moins d’eau surtout s’il est précédé d’un bon coup de balai. C’est ce que je fais une fois au printemps pour nettoyer les rigueurs de l’hiver. Pa pire q..
…qu’on peut réutiliser dans son entrée (si elle est en pente) l’hiver suivant, plutôt que de ruer au Canadian Tire et se faire voler à 7$ pour une vulgaire poche de sable.
@ Manu: à dit
« …qu’on peut réutiliser dans son entrée (si elle est en pente) l’hiver suivant, plutôt que de ruer au Canadian Tire et se faire voler à 7$ pour une vulgaire poche de sable. »
eheheheh! Vraiement drôle Manu! Comme ça il vas rester plus d’argent à Fernand pour financé les infracstructures pour la ville!
17 avril 2009 à 18 h 55
Ah oui les voisins. Excellent film. Pour avoir vécu qq temps
dans une banlieue typique, je dois dire ce qui ce passe dans le
film LES VOISINS est un concentré véridique de certaines
banlieues. LA VILLE EST UNE JUNGLE, LA BANLIEUE UN ZOO.
Pour les arroseurs d’asphalte, j’ai déjà vu ce genre de comporte-
ment imbécile, mais je pense qu’en 2009 cela est du passé.
Personne n’est aujourd’hui assez Néandertalien pour avoir un
comportement aussi profondément nul pour arroser avec de
l’eau potable son asphalte. Arroser de l’asphalte, tant qu’à faire,
aussi bien nourrir son gazon avec des T-Bone ou du steak haché maigre su possible.
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17 avril 2009 à 20 h 10
@ Dave.2
« Personne n’est aujourd’hui assez Néandertalien pour avoir un comportement aussi profondément nul pour arroser avec de l’eau potable son asphalte ».
Hier, rue Fraser, arrondissement de La Cité, en face de ….. rue Fraser habitait le Néandertalien dont vous parlez. Et non, je n’ai pas de photo.
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17 avril 2009 à 20 h 31
J’ai vu ça à Charlesbourg il y a une semaine.
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17 avril 2009 à 22 h 02
La chronique auquelle Lagacé fait référence est particulièrement bonne. Il y parle d’un certain M. Millette dont les opinions sont étrangement semblables à celles exprimées par un participant de QU…
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17 avril 2009 à 22 h 43
On peut toujours se munir d’un petit réservoir avec une sortie à forte pression, qui permet de déloger toute la saleté avec très peu d’eau (avec un boyau d’arrosage, ce n’est qu’une infime partie de l’eau qui fait le travail, le reste coule par-dessus, d’où la perte). En fait, ça ne prend alors pas plus d’eau que des enfants qui passent une heure ou deux à se courir après avec des fusils à l’eau, ou encore remplir une petite « pataugeoire grenouille ».
Évidemment, il faut d’abord enlever le plus possible avant à la brosse ou au balai (sinon on a l’air de l’imbécile qui pousse une feuille morte tout le long de l’entrée avec le jet de son boyau), puis garder l’eau surtout pour décoller le sable et le sel qui s’est collé au bords de marches de pierre, béton, ou autres matériaux qui n’ont pas intérêt à demeurer constamment sous une couche de sel.
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18 avril 2009 à 13 h 32
C’est le gros bon sens Manu, mais pour avoir été élevé dans le 450 je peux te garantir que la norme, c’est le père de famille qui arrose son entrée pendant des heures. En fait, ça me fascinait, quand je regardais mon père faire ça, il avait l’air d’être en pleine méditation à décrotter l’entrée pouce par pouce avec le jet d’eau. Il avait l’air bien, mais maudit que c’était stupide.
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18 avril 2009 à 15 h 28
Je ne crois pas que c’était mieux ou pire ici que dans le 450… c’est surtout une question de mentalité et d’époque selon moi. Il y a 30 ans ou 50 ans selon les endroits, on se vantait presque d’être « si avancé technologiquement qu’on a toute l’eau qu’on veut à notre disposition ». C’était tout simplement normal. Aujourd’hui on se rend bien compte qu’un tel comportement est insoutenable, mais certains demeureront toujours ancrés dans leurs vielles habitudes.
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18 avril 2009 à 15 h 46
C’est vrai que ça change, mon père balaie maintenant et il se contente d’un petite 15 minutes à la fin!
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18 avril 2009 à 16 h 16
Revenons aux compteurs d’eau comme à Ste-Foy. Manu décrit très bien la mode en banlieue.
Un appareil à pression gaspille moins d’eau surtout s’il est précédé d’un bon coup de balai. C’est ce que je fais une fois au printemps pour nettoyer les rigueurs de l’hiver. Pa pire q..
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18 avril 2009 à 16 h 20
Pas pire que la ville qui nettoie la rue. D’ailleurs je ramasse une ou deux grosses chaudières de sable devant ma chaine de rue et mon entrée…
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19 avril 2009 à 19 h 53
…qu’on peut réutiliser dans son entrée (si elle est en pente) l’hiver suivant, plutôt que de ruer au Canadian Tire et se faire voler à 7$ pour une vulgaire poche de sable.
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20 avril 2009 à 12 h 42
@ Manu: à dit
« …qu’on peut réutiliser dans son entrée (si elle est en pente) l’hiver suivant, plutôt que de ruer au Canadian Tire et se faire voler à 7$ pour une vulgaire poche de sable. »
eheheheh! Vraiement drôle Manu! Comme ça il vas rester plus d’argent à Fernand pour financé les infracstructures pour la ville!
ehehehehe …!
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