Toronto, Ontario – Le 400e anniversaire de Québec a été une occasion extraordinaire pour rénover les berges du fleuve Saint-Laurent. En fait, les résultats se sont révélés plus réussis que ce que les gens avaient imaginé, de sorte que le projet de la promenade Samuel-De Champlain a valu à la Commission de la capitale nationale du Québec de recevoir de l’Institut urbain du Canada (IUC) le Prix du leadership urbain 2009, dans la catégorie renouveau urbain. Cette distinction lui sera présentée lors des Prix du leadership urbain (PLU), à Toronto, le 5 juin.
« La Commission de la capitale nationale du Québec a eu la clairvoyance de commencer à planifier le projet 10 ans à l’avance, en acquérant les terrains, en procédant à des consultations avec la communauté et en créant des plans, ce qui a mené à la rénovation et la revitalisation d’un lieu patrimonial et d’un trésor urbain d’un tel calibre », constate Glen Murray, président et directeur général de l’IUC.
« La première phase du projet a consisté à préserver et embellir de façon impressionnante les merveilles naturelles de l’eau, de la terre et de l’environnement bâti avec des sentiers et des installations pour les loisirs », indique M. Murray.
Environ 500 membres de la fine fleur de l’aménagement urbain se rassembleront à Toronto le 5 juin 2009 pour honorer la Commission de la capitale nationale du Québec, ainsi que 17 autres groupes et personnes de partout au Canada qui rendent les villes canadiennes intéressantes et dynamiques, des lieux où il fait bon vivre et travailler.
21 mai 2009 à 16 h 57
C’est une belle promenade urbaine.
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21 mai 2009 à 21 h 57
urbaine?
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22 mai 2009 à 10 h 30
Bravo, j’ai hâte que le parcours du Littoral-est gagne le sien. Je ne suis plus seul car le député de Montmorency lui aussi en a fait une priorité le projet du Littoral-Est et parlé que la porte d’entrée de Québec n’est pas seulement à l’ouest de la Ville…
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22 mai 2009 à 10 h 43
@Fernand,
L’ouest n’est peut-être pas la seule porte d’entrée, mais c’est LA PRINCIPALE. Alors les portes secondaires, on y reviendra plus tard. Les gens de Sept-Île et de Baie-Comeau en sont sûrement très satisfait de toute façon.
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22 mai 2009 à 10 h 46
avec le pont de l’ile d’Orléans qui risque de coûter 250 millions, j’ai comme l’impression qu’on risque d’attendre longtemps avant d’avoir d’autres investissements dans l’Est de Québec… Même si le pont ne servira pas beaucoup aux gens de Québec…
Dommage…
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22 mai 2009 à 10 h 47
Quelqu’un veut-il vraiment débuté un débat à savoir si la porte d’entré de la ville est à l’est ou à l’ouest ? Les allées et venue sont en très grande majorité concentré à l’ouest. J’ai pas de stats là-dessus, mais elle doivent exister et seraient dans doute sans équivoque sur ce point.
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22 mai 2009 à 22 h 30
Denis si on avait un tunnel dans l’est, vous ne parleriez pas le même langague. Vous démontrez votre dédain pour les concitoyens de l’est de la ville et c’est justement désolant.
Le problème majeur de la région est qu’on a tout installé dans l’ouest et que maintenant on réalise qu’on a tout développé sur ces axes sans autre issues.
Or, toute capitale qui se respecte a toujours une voie de ceinture à 360 degrés autour du noyau habité. Un tunnel sous l’ile d’Orléans pourrait dégager l’ouest d’une partie du trafic venant de la Gaspésie.
Vous le savez peut-être pas, mais le moulin à papier sur des Capucins, Papiers Stadacona, reçoit son bois du syndicat des producteurs de bois de la Cote-du-sud qui doivent se taper 45km de plus pour traverser la rive. Autrefois le bois arrivait par goélettes à partir des quais de la rive-sud. Ainsi j’ai demeuré 2 ans sur le chemin du quai de St-Jean Port-Joli et mon plaisir était d’aller fumer une pipe en regardant charger les goélettes de pitounes de bois pour Québec et en devisant avec Jean-Julien Bourgault, le célèbre sculpteur, sur l’avenir du monde.
J’ai rencontré Mme Dulac qui a vendu à Frito-Lay dont l’usine de fabrication de chips est à Lauzon. Eux aussi aimeraient traverser sur la rive nord sans faire le grands tour…
Le maire de Beaumont avait un projet et un promoteur privé qui était prêt à le bâtir, l’opérer en chargeant un droit de passage pendant 30 ans et ensuite le céder au gouvernement (BOOT). C’est encore sur la tablette. Il serait temps de le ressortir à la faveur de la réflection qui s’amorce. En tout cas, ici à Beauport on en voit une solution au désengorgement des ponts. Si les gens de Lévis avaient cette solution alternative, ils l’utiliseraient. Mais tant que les gens de l’ouest se regardont le nombril comme Denis, on arrivera pas à des solutions durables…
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