QUÉBEC, le 22 mai /CNW Telbec/ – La ministre des Affaires
intergouvernementales, présidente du Conseil privé de la Reine pour le Canada et ministre de la Francophonie, Mme Josée Verner, le ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, M. Sam Hamad, le maire de Québec, M. Régis Labeaume, et le président du conseil d’administration de la Société des fêtes du 400e anniversaire de Québec, M. Jean Leclerc, ont dévoilé aujourd’hui les résultats d’une étude sur les retombées touristiques et économiques du 400e anniversaire de Québec.L’étude révèle que le 400e anniversaire de Québec a attiré un nombre
record d’événements et de congrès générant des retombées économiques importantes pour la région. Celles-ci, combinées aux retombées liées aux dépenses d’infrastructures réalisées dans le cadre de cet anniversaire mémorable, telles l’Espace 400e, la Baie de Beauport et la Promenade Samuel-De Champlain, et aux investissements consacrés à l’organisation des festivités, totalisent des retombées de 438 M$ pour la région de Québec et ont généré la création de 8 742 emplois.Par ailleurs, 2,4 millions de personnes ont assisté aux activités du
400e. La participation locale a atteint des sommets inégalés puisque 93% des résidants de la région ont dit avoir participé au moins une fois aux festivités pour lesquelles ils ont exprimé une satisfaction élevée de 8,5 sur 10. 1,8 millions de visiteurs du Québec, du Canada, d’Europe et des Etats-Unis se sont joints aux célébrations.
22 mai 2009 à 17 h 43
Merveilleux. En plus Le maire juge ce résultat conservateur.
Mais tenons-en nous a $438 million. Si on enlève les $110
millions investit a m^me nos taxes, le profit brut s’élève a
$328 millions. Très joli retour d’investissement. Bon ceci dit,
puisque que nous citoyens avons investit a même nos impôts
et nos taxes sur un projet qui fut finalement très rentable, nous sommes en droit d’avoir qq ristournes sur notre investissement,
c’est comme cela que fonctionne notre société. A défaut d’avoir
eu les baisses de taxes frauduleusements promises lors des
fusions, nous devrions honnêtement avoir, en considérant le
profit de $328 millions, une baisse de taxes de l’ordre de
3.9% pour 2010 et de 2.1% pour 2011.
Cette fois-ci je suis content de notre maire.
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22 mai 2009 à 19 h 31
Appel aux comptable ! Simple question : comment sont calculées les retombées économiques pour une année donnée à Québec ? D’où vient le chiffre de 438$ millions ?
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23 mai 2009 à 08 h 19
Bonne question Réal.
La seule façon de répondre sur la vérificacité de ce chiffre, c’est
par le concret. Si en 2010 tu n’as pas reçu un retour sur ton d’investissement par le biais d’une baisse de taxe mais au
contraire une hausse, là tu pourras demander a que tu sais: OU EST
PASSÉ L’ARGENT?
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23 mai 2009 à 10 h 44
Bonjour,
Ma fois, un ville n’est pas une entreprise privée où l’on a des actionnaires, des proprio et des travailleurs. Ou du moins, tel était la vision dans les années ’50. Désormais, il vaudrait mieux dire qu’une ville et une cité avec des citoyens.
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23 mai 2009 à 10 h 58
Vous avez raison M.Amiot. Des citoyens qui paient des taxes et
ce seraient désireux d’avoir un retour de leurs investissements.
Je ne parle ici de réfection de rue, mais d’un évènement qui
a généré un profit énorme et en tant que citoyen investisseur, nous serions en droit de touché les dividendes de notre investissement.
C’est vrai nous ne sommes pas une entreprise, MAIS IL QQ A
LA MAIRIE QUI PREND NOS TAXES POUR FINANCÉ LES PROJETS DE
L’ENTREPRISE PRIVÉE…COMME LE RED BULL.
En tant qu’investisseur dans l’entreprise privée, nous avons droit
aux dividendes
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23 mai 2009 à 12 h 11
J’aimerais bien avoir ce document pour en faire l’évaluation…
Y a des fois que les extrapolations sont exagérées. Je suis comptable-vérificateur et je sais analyser des données…
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23 mai 2009 à 23 h 28
Cette mesure là, les « retombées », me laisse toujours perplexe. D’un côté, on trouve difficilement où sont retombés ces 438 millions (pas dans le sens que de l’argent s’est « égaré », mais dans le sens que j’aimerais voir le détail relatifs à tous les montants qui s’additionnent à 438 M$).
De l’autre côté, on semble toujours prendre pour acquis que si un « événement qui génère des retombées » n’avait pas eu lieu, les gens n’aurait pas dépensé leur argent. Autrement dit, par exemple, les gens seraient probablement allé au resto pareil même s’il n’y avait pas eu de 400e, et il y aurait quand même eu des touristes (peut-être pas autant, mais il y en aurait eu).
Cela étant dit, si certains veulent ravoir « leur » argent (si y en a qui voient ça comme ça), il est malheureusement trop tard… on pouvait le récupérer en « nature » dans une foule d’activités et de spectacles qui étaient offerts, bien souvent gratuitement, en 2008.
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24 mai 2009 à 06 h 02
@Manu
Ici on parle de retombés après-événements. C’est vrai qu’il y avait plein de chose gratuite, mais tu semble dire que nous avons été chanceux de cette situation. Mais bordel nous avons payer a même nos taxes pour avoir de tels événements c’est bien normal que
nous ayons le tout gratuit.
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25 mai 2009 à 11 h 14
Pour continuer dans le même sens que Manu, est-ce qu’une étude existe qui détaille les retombées économiques d’une saison estivale « non 400e » dans le Vieux-Québec et les environs? Ça permettrait de connaître réellement l’impact 400e…
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25 mai 2009 à 13 h 09
@dave deux : ce n’est jamais évident de dire ce qui revient réellement de nos taxes. Par exemple, si les commerces (en tout genre, restos, hôtels, boutiques, etc.) se portent mieux que ceux des autres villes nord-américaines (qui ont subi une bonne baisse de tourisme en 2008), ça fait plus de gens qui travaillent et qui réinjectent leur salaire dans l’économie locale (logement, bouffe, etc.) et qui ont les moyens de payer des taxes, et la ville peut continuer à subvenir aux besoins de l’ensemble de ces citoyens. Les avantages de faire « rouler » l’économie sont difficiles à quantifier. Mais évidemment, mathématiquement, si tu payes plus de taxes que la moyenne des gens, tu en as probablement moins pour ton argent que celui qui en paye moins. Néanmoins, ça peut dépendre des besoins… si tu diriges un organisme communautaire par exemple, la ville t’aidera (et tous ceux qui bénéficient de cet organisme) plus que ce que tu verse en taxes personnellement à titre de citoyen.
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