Source : Daphnée Dion-Viens, Le Soleil, le 17 juin 2009
(Québec) Après avoir lancé un pavé dans la mare de la NeuroCité, le maire Labeaume a mis des bémols à ses propos mardi, affirmant qu’il fallait «ajouter des compétences» plutôt que de faire du ménage dans l’organisation.
Lundi soir, lors du conseil municipal, Régis Labeaume a affirmé que «ça (prenait) de très gros changements» au niveau de la «gouvernance» et de l’«organisation» de la NeuroCité, un complexe de recherche évalué à 250 millions $ qui devrait créer 2000 emplois.
Invité à préciser ses propos, le maire Labeaume a indiqué mardi qu’il ne visait pas l’équipe en place. «Toute l’équipe est compétente, mais ils sont rendus à une autre étape, a-t-il affirmé. Ce n’est pas que ceux qui sont là n’ont pas bien fait la job. Mais il va falloir qu’ils ajoutent des compétences en transfert technologique, en financement… Ça prend des gens qui ont pris une entreprise à zéro et qui l’ont amenée sur le marché.» Du moins, voilà les conditions mises sur la table pour que la Ville accepte de financer le projet, a ajouté le maire Labeaume.
la suite
déjà ici on parlait des problèmes de ce projet
un projet pour de belles maquettes, des cocktails, et de l’impression de documents ou les pelles mécaniques et les grues pourront se faire entendre ?
17 juin 2009 à 22 h 35
Lebaume s’y connais, il a eu l’expérience de Saint-Roch avant de devenir maire. S’il considère que le projet n’avancera pas sans l’aide de nouvelles personnes, il a probablement raison. De toutes façons, personne ne veux que ça fasse comme plein d’autres projets des précédentes administrations (du genre RMQ) et que ça finisse par être oublié.
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17 juin 2009 à 22 h 59
A mon avis le maire n,a pas d’autres choix que de mettre toutes ses énergies a faire aboutir des projets tels Neuro-cité et la cité technologique de st-Roch…
C,est sur cela précisément qu’il a été élu…
le maire a aussi a soutenir la comparaison avec la RMQ dont personne n,oubliera les réalisations tangibles et abouties; 400eme, promenade Champlain , revitalisation St-Charles, revitalisation St-Roch, développement des « hautes-technologies » etc etc qui ont fait de québec une ville hautement Créative selon des analystes…
le maire doit certes poursuivre le travail réalisé mais il doit en amener des preuves concretes par des projets tels la Neuro-cité et la cité-technologique…
la commande n’est pas « facile » mais il ne peut aller en deca non-plus! (bonne chance)
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18 juin 2009 à 13 h 25
C’est sous la mairesse de Québec (un indépendante), puis sous l’administration Labaume (un indépendant) que ça s’est concrétiser le 400ème. Si on avait continué avec le RMQ, on se serait planté lamentablement!
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18 juin 2009 à 13 h 48
Vous semblez avoir de la hargne contre l’administration du RMQ. Pourtant, c’est sous cette administration que bien des choses se sont améliorés à Québec, sont dans le coeur d’une certaine radio. Québec ne serait pas tel qu’elle est sans St-Roch et bien d’autre chose. Rendez à César…
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18 juin 2009 à 06 h 47
La Neurocité doit-être différente de l’approche St-Roch car Québec
n’a pas les moyens de ce payer un deuxième échec. Ce mélange des genres que plusieurs feront, me parait qq peu douteux. Pour la Neurocité, nous avons encore une fois devant nous la marque du « style » Labeaume, c’est-a-dire qu’après un ménage dans l’organisation, nous sommes tombés subitement dans une simple
réorganisation. À Québec nous avons une poule a plusieurs têtes,
un jour c’est blanc et le lendemain c’est noir. J’espère de tout coeur que la Neurocité fonctionneras contrairement a St-Roch.
Finalement, il na faut pas oublier que ce sont les générations futures qui devront rembourser les dettes que nous avons contractés. certes, nous leurs laisseront des infrastructures mais il
s’agira pour elles de les entretenir. Avec St-Roch nous avons
l’exemple parfait pour savoir ne pas quoi faire. La Neurocité
doit partir sur une basse plus saine et ce nous devons éviter
de donner ce quartier a un seul prometteur accros aux subven-
tions. A long terme, soit d’ici 5 a 10 ans, il est impensable
que le monde politique actuelle ne puisse ce réformer pour nous donner enfin des compétences capable de gérer les grands défis
économiques de la ville comme la Neurocité. Pour ce nous devons
nous affranchir des Napoléons locaux en mal de reconnaissance
sociale lus prompt a montrés des dents et a mordre les oppositions, qu’a nous donné une vraie vision d’avenir.
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18 juin 2009 à 07 h 24
Je suis vraiment exaspéré de votre défaitisme par rapport à St-Roch. La revitalisation n’a pas échoué; elle n’est pas encore terminée. Nous sommes dans le vrai monde, pas dans un jeu vidéo; la construction et le succès ne sont pas instantanés. Il faut du temps; attends donc un autre 10 ans avant de conclure si c’est un échec ou une réussite.
Un jour, nous allons certainement récolter la richesse investie dans St-Roch. Arrêtez de pleurer comme des enfants à qui on a arraché leur sucette.
Pour ce qui est de la Neurocité, je suis content de voir que Labeaume prend la chose au sérieux et qu’il s’assure que tout fonctionne correctement.
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19 juin 2009 à 00 h 11
dave deux
Avec St-Roch nous avons l’exemple parfait pour savoir ne pas quoi faire.
…………………………………………………
Cette affirmation est plûtot redondante de votre part! Selon vous et une minorité de gens de Québec c’est un échec! Mais pour la majorité c’est un succès, pour les urbanistes une réussite, pour les touristes de plus en plus nombreux dans St-Roch c’est un plus pour venir visiter cette si belle ville, si romantique et pour les gens qui y vivent, y travaillent c’est de plus en plus agréable.
Mais ce que vous sembler oublié c’est que St-Roch est un chantier qui est en cours, une oeuvre qui reste pour l’instant incomplète!
Le maire L’Allier peut être fier de son administration, du travail accomplie! Maintenant c’est le temps du maire Labeaume, c’est lui le nouveau maire et j’espère qu’il le restera au prochaine élection!
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18 juin 2009 à 10 h 12
Le maire Labeaume ne fera que tasser l’ancien maire L’Allier sans plus et placera un de ses amis à la place. Son ami l’architecte Pierre Thériault remet tout en question avec son poumon vert, un article paru comme par hasard en même temps. Les sautes d’humeur du maire sont légendaires et encore là il a jeté un cailloux dans la mare pour placer ses billes. Il ne cherche qu’à reprendre à son crédit ce qu’il a été fait à ce jour et y imprimer sa marque.
Le « faubourg Giffard » qui est quasi tout construit sur La Canardière sur les terrains de l’hôpital fait partie du plan d’ensemble de la Neuro-Cité. Derrière l’hôpital St-Michel-Archange au sud de la rue Évangéline et à l’est de Bardy, le zonage est en train de changer dans l’harmonisation des réglements d’urbanisme pour pouvoir construire les logements multiples. Ca aussi fait partie du plan d’ensemble sur la maquette de la NeuroCité qui a été médiatisée. Est-ce de ça que parlait l’architecte, porte-parole du maire ???
Constatez mes dires sur le plan dévoilé par Québec-urbain
https://www.quebecurbain.qc.ca/2008/11/22/neurocite-une-lumiere-a-lhorizon/
Je pense qu’un projet annoncé par la mairesse Boucher et le Ministre Couillard en juillet 2007, avance très bien. Mais quand on veut se débarrasser de son chien, on dit qu’il a la rage. Pourtant, ici le Dr Maziade annonce l’arrivée de deux entreprises.
http://www.crulrg.ulaval.ca/fr/docs/2007-12-18_Neurocite_Chlorion_NDEI.pdf
Le maire a tort de dire qu’il ne se passe rien. Mais le politicien Labeaume prépare son élection et celle de ses suiveux et bulldoze tout sur son passage. Il tire du plomb dans l’aile du projet de NeuroCité pour en devenir par après le sauveur.
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18 juin 2009 à 15 h 41
@ Fernand
une intervention tout à fait réaliste à laquelle je souscris; pour faire une « perronisme », je dirais qu’il y a magouille sous roche ! :-)
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18 juin 2009 à 15 h 35
« Ça prend des gens qui ont pris une entreprise à zéro et qui l’ont amenée sur le marché » dixit le maire.
Il fait référence à sa propre expérience ? :-)
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18 juin 2009 à 15 h 48
Il le fera sans opposition.
Démission d’Alain Loubier
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18 juin 2009 à 17 h 03
Cette démission nous ramènera au temps des petits tyrans sans envergure qui faisaient la pluie et le beau temps dans les conseils municipaux, dans le style du maire Loranger.
Le pire est quand même le fait que l’exercice démocratique par le vote n’aura aucune utilité aux prochaines élections et que le cochon de contribuable perdra toute prise ou influence sur les décisions unilatérales d’un maire brouillon et affairiste qui parle plus vite qu’il ne pense !
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18 juin 2009 à 18 h 02
Peux d’entres-vous savent ce que peut faire comme dégât un
politicien sans opposition. Cela va aller du meilleur au plus pire.
Le meilleure est pour le début et après l’hommerie prend le
dessus est là ça commence a ce gâter.
Voici le scénario qui s’annonce: Au départ c’est l’euphorie et les
grandes projets. Petit a petit s’installe la magouille, les dépassements de projets et le favoritisme. En fait, c’est un scénario classique qui tout au long de l’histoire ce répète continuellement. Pensez pas que Labeaume est au-dessus de la joute. Un humain c’est un humain. Vous connaissez son esprit
brouillon et bien imaginez-le sans opposition, comme un enfant
laissé a lui-même.
Bonne chance
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18 juin 2009 à 19 h 04
il y a un flou actuellement sur la scene municipale pour trouver les idées fortes qui formeraient le ferment rassembleur pour former un parti d’opposition.
Le maire Labeaume, issue du RMQ, a évidé (ou amputé) beaucoup d’idées fortes de ce parti; le progressisme, la modernisation,les grands projets, le dynamisme culturel etc etc
Le candidat Loubier a été forcé semble-t’il de se rabattre sur les clienteles délaissés: le citoyen-payeur-de-taxes et les gens de Vivre-en-ville qui réclament le Tramway…!!!
Ca fait un « mixte » bizarre car le payeur de taxes ne veut pas nécessairement payer le tramway! ou s’associer avec les gens de .vivre-en-ville.
je l,aimais bien comme opposition car il n’utilisait pas de démagogie,était honnête et intelligent ..et il signalait les faiblesses réelles du maire et les dangers de dérapage financier…
Quand on regarde les débats municipaux a la TV, on voit bien que le maire est un personnage qui doit être perpétuellement « contenu »ou encadré par le conseil municipal(Yvon Bussieres) et le chef de l,opposition…
Pour une rare fois on pouvait dire que l’opposition rendait la mairie plus efficace!
Sur quels bases pourrait -on reconstruire une opposition qui serait utile et nécessaire?
je ne le sais pas ….pour l’instant
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18 juin 2009 à 21 h 08
Très bon texte jaco !
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18 juin 2009 à 23 h 32
Je ne serais pas surpris toutefois que les gens de Québec votent pour Labeaume comme maire, mais aussi pour des conseillers qui ne sont pas les siens. Alors on verra bien…
Quant au « changements » demandés par Labeaume dans le comité de Neurocité, j’aimerais bien croire le contraire, mais j’ai aussi la malheureuse impression qu’on ne fait que chercher des prétextes (peu d’expérience dans telle ou telle chose) pour évacuer quelqu’un et y placer un ami (du moins quelqu’un de loyal et malléable)
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19 juin 2009 à 00 h 44
Dommage qu’Alain Loubier se retire si rapidement de la course à la mairie mais je crois que c’est un homme intelligent et il a su évalué ses chances avec justesse et il a refusé de jouer le rôle de l’agneau sacrifier!
De plus Alain Loubier est un intélectuel de premier plan ce qui n’est pas très apprécier ici à Québec. Les intélectuel(es)s non pas trop bonne presse à notre époque les gens ont tandances à préfèrez un pitbull prêt à se ruer dans les brancarts, une description qui colle bien au maire Labeaume!
Mais bon si le maire Labeaume est élu sans opposition pour un mendat ce ne seras pas la fin du monde ici à Québec les maires sont scruter à la loupe par les médias d’informations et je crois que si le maire Labeaume est élu sans opposition les médias vont se faire un devoir de le surveillé de plus prêt en quête de trouvé un scandale à se mettre sous leurs dents!
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19 juin 2009 à 06 h 19
@Gilbert
A votre place, je ne compterais pas trop sur les médias pour faire
ce genre de boulot. Jadis oui, mais aujourd’hui l’esprit critique a
foutu le camp. Vous avez même un « journaliste » qui a écrit une
livre flatteur sur un ancien maire de Québec. Nous sommes dans
l’ère de la médiocratie médiatique.
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19 juin 2009 à 08 h 06
Si on se fit à Laval qui vit sans opposition depuis des années, ce n’Est pas les médias qui vont jouer l’opposition…
Effectivement, bien des gens vont voter pour une opposition, mais le vote sera dispersé parmis tous les districts… ¨ca va prendre des noms connus ou très impliqués dans leur quartier pour se faire élire…
Ça ne me surprendrait pas de voir Jasques Teasdale comme « chef de l’opposition » et seul conseiller pas associé à M. Labeaume…
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19 juin 2009 à 12 h 13
Je rejoins les propos de JJ Samsom aujourd’hui.
Le RMQ a manqué sa chance de continuer en changeant et modernisant son discours lorsque Labeaume s’y est présenté au printemps 2005. J’étais là sur le plancher du centre des congrès parce que je voyais en Labeaume un changement de garde et un discour dynamique tout comme Yvon Bussières, Jean-Marie Matte, Gérald Poirier, etc. On connais la suite, le RMQ lui a tourné le dos…
Je trouve que les partis politiques n’ont de vie que rassemblées sous un leader visionnaire. L’après L’Allier a creusé un vide que le RMQ a refusé de combler avec Régis Labeaume. Ce fut sa mort lente…
J’ai encore cru que Régis Labeaume était prêt à assumer le rôle de maire de Québec et j’ai fait campagne pour lui en 2007. Je crois que j’avais vu juste.
Je suis conscient qu’il parle trop vite avant d’avoir tout attaché mais sa vision je la partage encore sauf que dans mon arrondissement, je cherche outre Mme Bégin des gens qui sont capables de débattre sur des idées et des concepts. Nous aurons dans le prochain mandat des dossiers majeurs comme D’Estimauville, le super Aréna de Giffard doté d’un stade de soccer, la requalification du boul Ste-Anne, la redéfinition des parcours du RTC, la fluidité des axes nord-sud et la définition de l’aménagement du littoral.
Ça commence mal car pour la consultation sur la mobilité et le transport, Beauport a été ignorée dans les soirées de consultation. Par contre, Régis nous impose la vision de son architecte Pierre Thibault sans consulter le milieu. ‘est pas très démocratique…
Malgré tout, je sens que Régis préférera Lisette Lepage qui a appuyé Claude Larose en 2007 et avant la fusion était collée au maire Langlois. Une béni-oui-oui modèle classique qui saura suivre sans se poser de question. Pourtant de tels dossiers ont besoin de discussions pour les peaufiner, rallier les visions et avoir une décision durable…
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19 juin 2009 à 13 h 06
En politique l’idéalisme ne fait pas long feu! Donc pour ma part je choisie d’être réaliste et ce que je vois dans le Maire Labeaume c’est un homme de pouvoir qui a de la volonté et du « gut’s »! Et a notre époque c’est ça que ça prend pour relevé des défis majeurs qu’il auras a relevé!
Une opposition certe joue un rôle important en démocratie mais les journalistes eux aussi joue un rôle aussi important mais je ne compte pas sur leur esprit de professionalisme mais bien plus sur leur égo démesuré, leur désir d’être connu et de la compétition entre les médias d’information!
Ah oui Julien tu sais comparé la situation de ce qui ce passe à Laval avec celle de Québec n’est pas le meilleur exemple! Laval ce n’est pas la ville centre de la région métropolitaine donc ce qui si passe n’attire pas trop l’attention des médias régionnaux et le Courrier Laval tu sais il n’y a pas grand monde qui en font la lecture!
Il serais plus juste de comparer Québec à Montréal car Québec est la ville centre de sa région et ne l’oublions pas elle tout de même la capitale du Québec ce qui met la ville sous les réflecteurs! Et tout ce qui s’y fait est scruté à la loupe!
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19 juin 2009 à 14 h 18
Laval n’est peut-être plus autant la ville dortoir que tu imagines (bien qu’effectivement, elle est très liée à Montréal pour son développement).
Mais, pour la comparer à Québec, elle a une population de taille comparable et a aussi eu des fusions municipales (mais il y a plus de 30 ans). Qui lui ont permis de mieux se développer que la rive sud de Montréal. Outre le Métro qui vient de s’ajouter, les problèmes de transport en commun sont semblables à Québec; manque de densité pour offrir des services dans certains secteurs, manque de voies réservées, etc. Et côté enseignements, les principales universités sont en train d’y bâtir des campus près de la station de Métro Montmorency.
Et, pour ce qui est de son développement, les villes dortoirs se sont déplacées vers le Nord (de Blainville à Mirabel). Il y a de plus en plus d’emplois à Laval… et pas juste dans les centres d’achats…L’industrie pharmaceutique y est d’ailleurs très présente.
Par contre, pour ce qui est de la beauté de la ville et ses attraits touristiques, on repassera…
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20 juin 2009 à 01 h 15
Petite anecdote : cette mention de Laval me rappelle quelqu’un il y a 5-10 qui était supposé aller y demeurer ou travailler, je ne sais plus, mais qui est revenu de sa première visite en disant : « c’est comme du boulevard Hamel à la grandeur » (évidemment, c’était peut-être un peu exagéré)
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