Johanne Roy
Journal de Québec
Lieu pratimonial oblige, on s’intéresse de près au potentiel archéologique de l’emplacement de l’Hôtel-Dieu de Québec, avant qu’il ne fasse l’objet d’une cure de rajeunissement de plus 735 millions$.
A la demande du CHUQ, une étude de potentiel archéologique a été réalisée par une firme indépendante, dont le rapport vient d’être soumis à la Ville de Québec et au ministère de la Culture, pour commentaires. Si l’on juge pertinent de pousser plus loin les analyses, des carottes seront creusées à certains endroits, afin d’extraire des échantillons de sol. (…)
Fondé en 1639 par les Soeurs Augustines, l’Hôtel-Dieu de Québec est le plus vieil hôpital au nord du Mexique. D’abord destiné à soigner les autochtones, l’établissement devient rapidement le principal hôpital civil et militaire de la Nouvelle-France.
2 juillet 2009 à 12 h 20
Les coûts faramineux commencent. L’agrandissement va dépasser le milliard…
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2 juillet 2009 à 13 h 38
L’Hôtel-Dieu est un bâtiment important de notre patrimoine trop souvent négligé et oublié. Les voûtes du monastère en témoignent. C’est là que se sont réfugiés plusieurs citadins lors du siège de Québec. On y retrouve encore des boulets de canon lancés par Wolfe.
Si on a fait des fouilles à la brasserie Jean-Talon, pourquoi n’essaierions-nous pas d’en faire pour le premier hôpital qui subsiste encore. Des artéfacts pourraient enrichir le lieu de mémoire proposé.
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2 juillet 2009 à 21 h 37
faire du neuf avec du vieux c’est pas toujours idéal.
Par contre pour les fouilles c’est super.
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7 juillet 2009 à 22 h 23
L’édifice « Budget » probablement démoli
une bonne nouvelle :D
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