Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le Bassin Louise sous un ciel nuageux

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 14 juillet 2009 52 commentaires

Bassin Louise. Jean Cazes
Bassin Louise. Panorama. Jean Cazes

Le ciel du Bassin Louise vu par Jean Cazes

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Champlain / Vieux-port, Photographies citadines.


52 commentaires

  1. Matrix Utilisateur de Québec Urbain

    14 juillet 2009 à 12 h 24

    Pour un 2e été de suite, le soleil est plus difficile à photographier que les nuages.

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  2. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    14 juillet 2009 à 12 h 36

    Je remercie Gérald pour la publication de ces photos!

    Précisions: je les ai prises hier après-midi avant l’arrivée de la grosse averse, vers 17h00. La première illustre des mammatus. La deuxième, un front de rafale en panorama que j’ai publié (et commenté) sur le site français Infoclimat:

    http://www.infoclimat.fr/multimedia/photolive.php?photoid=82170&d=&dept=&region=&motcle=&start=0&auteur=jcazes&ord=

    Cela dit, été pourri, j’en conviens! ;-)

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  3. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    14 juillet 2009 à 13 h 53

    Carol parle-nous de réchauffement climatique, hihihi…

    Les nuages sont fait de CO2 évaporé des océans. Ça vient pas des autos, ni des humains, ces nuages…

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    • Seb

      18 juillet 2009 à 22 h 14

      Les nuages ne sont pas fait de CO2. C’est de l’eau en phase gazeuse.

      Comme dit Sébastien D: «réchauffement = plus d’évaporation = plus de nuages»

      Les prévisions de changement climatique pour le Québec sont plus de précipitations, été comme hiver.

      Le terme réchauffement climatique reflète une tendance globale et planétaire. Certains endroit ce refroidiront toutefois. Le problème majeur est l’augmentation de l’instabilité climatique.

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  4. Sebastien D

    14 juillet 2009 à 15 h 31

    @Fernand
    On pourrait aussi penser que:
    réchauffement = plus d’évaporation = plus de nuages

    Mais ce serait simpliste de penser de la sorte, car le réchauffement est tout sauf une situation simple.

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  5. Stéphane Groleau Utilisateur de Québec Urbain

    14 juillet 2009 à 17 h 43

    Wow, belle photo Jean!

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  6. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    14 juillet 2009 à 17 h 44

    Pour moi le réchauffement est un faux débat car l’homme ne domestiquera jamais la nature qui a ce pouvoir d’autorégulation.

    L’atmosphère a du O2 à 280 PPM alors que pour accélérer la pousse des plantes en serre, il faut 1,000 PPM.

    Mais des dirigeants politiques (l’ONU est un organisme formé de représentamnts des pays) ont chargé un groupe de travail de prouver que l’homme est la base des changements cycliques de la terre. Or, sa rotation ellyptique, l’exposition au soleil, son voyage dans son axe, et le centre de la terre en fusion sont des éléments drôlement plus importants que l’action de l’homme qui est marginal. NÇMais il faut exagérter pour nous culpabiliser et nous enbtrainer à subir de nouvelles taxes comme celle sur le carbone ou accepter une nouvelle bourse du carbone inutile qui ne fait que plumer les crédules…

    L’espagne a acheté pour 405 milliards d’euros de crédits de carbone pour camoufler qu’elle produit 51,7% plus de CO2 en 2007 qu’en 1990.
    http://www.nodo50.org/worldwatch/ww/pdf/emisiones2008.pdf

    La France fait son électricité avec des centrales nucléaires dont les déchets radioactifs traversent l’europe en train pour se ramasser dans la poubelle soviétique.

    L’allemagne vient de déplacer un village pour exploiter une mine de charbon à ciel ouvert afin d’alimenter ses centrales électriques au charbon.

    L’éolien en Italie est un business juteux : 3 700 tours ont déjà été plantées, en grande majorité dans les régions du Mezzogiorno, les plus pauvres,produisant moins de 1 % de la demande. La perspective, pour les propriétaires, de louer leurs terres, et pour les administrations locales de percevoir des subsides, a permis un développement rapide de l’activité. Le gouvernement italien subventionne la production d’électricité à hauteur de 18 cents d’euros du kWh contre 6 cents en Grande-Bretagne ou au Danemark. Selon Giuseppe Zollino,professeur d’ingénierie électrique de l’université de Padoue, ces incitations pourraient atteindre 20 milliards d’euros à l’horizon 2020,si l’Etat s’en tient à sa promesse de produire 5 % de l’énergie consommée grâce à l’éolien. C’est dans ce contexte que vient de se tenir, à Palerme, un colloque intitulé « Le paysage attaqué » organisé par l’association Italia Nostra.Tous opposants à l’éolien, les participants ont mis en avant les dégâts provoqués sur le paysage italien. Invité, l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing a évoqué la « fragilité du paysage de l’Europe du Sud » face à ces « forêts tournantes », dénoncé « les lobbies financiers » qui ont mis la main sur cette activité, et vanté l’énergie solaire, « l’avenir », et le nucléaire, « une énergie propre ». Huit personnes ont été arrêtées au mois de février dans la région de Trapani : des entrepreneurs et des hommes politiques. Les premiers sont soupçonnés d’avoir versé aux seconds des sommes d’argent en échange d’autorisations pour ériger des éoliennes sur le territoire qu’ils administrent. Résultat, le président de la région, Raffaele Lombardo,a bloqué tous les projets de construction de nouveaux parcs éoliens : 139 chantiers sont en attente. Un fabricant d’éoliennes, à Syracuse, est au bord de la faillite, faute de commandes.

    Oui, on nous cite en exemple souvent l’Europe pour faire honte à notre gouvernement canadien dont le seul défaut est de tolérer l’exploitation des sables bitumineux dont les réserves sont prouvées pour 250 ans et qui nous procurent les revenus suffisants pour être à l’abri de la crise économique actuelle.

    Une amie scientifique Brigitte van Vliet-Lanoë, professeur en sciences de la Terre à l’université des Sciences et Technologies de Lille et glaciologue réputée, m’écrivait ceci: « Si ce Global Warming était surtout politique, une peur latente des nations économiquement riches de manquer d’énergie en cas de refroidissement climatique ? Qu’il fasse chaud ou qu’il fasse froid, il est important d’optimiser notre consommation énergétique et de limiter la pollution pour que les générations futures puissent continuer à se développer équitablement. Quant à voir pousser le maïs en Laponie, il existe d’autres facteurs limitant que la température. »

    Tous ces pays trichent avec leur bilan

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    • Seb

      18 juillet 2009 à 22 h 22

      Vous ne pouvez avoir plus tort.

      L’homme a déjà domestiqué la nature; agriculture, élevage, aquaculture, pêcheries, foresterie, etc.

      L’homme détruit la nature et l’homme est la cause principale des changements climatiques. Vos références sont celles des acolytes des plus grand pollueurs de la planète.

      Il est vrai que les plantes sont plus productives quand il y a plus de CO2, mais cela n’est pas suffisant pour fixer tout le carbone rejeté par les activités humaines. D’ailleurs ce carbone n’est pas séquestré, il retourne vers l’atmosphère lorsque la plante se décompose.

      J’aimerais répliquer à tout ce que vous avez écrit, mais j’ai mieux à faire. Je vous conseille de mieux choisir vos sources.

      Finalement, 99% des scientifiques jugent que les changements climatiques sont causés par l’homme. Il y a rarement eu de tel consensus dans la communauté scientifique. Cessez donc de vous accrocher à ce que le pourcent restant affirme afin de vous déculpabiliser.

      Pensez à vos enfants un peu.

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  7. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    14 juillet 2009 à 19 h 52

    Bref, Fernand, Harper a raison sur toute la ligne…

    Et vive la fuite en avant! ;-)

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  8. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    14 juillet 2009 à 20 h 54

    Selon Gilles Duceppe l’exploitation des sables bitumineux est contraire aux intérêts du Québec parce que l’activité de cette industrie est incompatible avec le protocole de Kyoto. Par conséquent, le chef du Bloc Québécois considère que l’exploitation des sables bitumineux en Alberta représente une raison de plus de faire la souveraineté.

    C’est bien connu. Lorsque le Québec sera souverain, les gaz à effet de serre produit par l’Alberta vont disparaître comme par magie !

    Je me demande ce qu’en dirait Mme Marois qui demande 1 milliard de plus en péréquation. Or, on sait que la péréquation est en grande partie formée des redevances du pétrole. D’Ailleurs le Ministre Béchard a instauré une taxe québécoise sur le pétrole qui rapporte annuellement 200 millions. Et vive l’écologie en vélo vert dans la flotte…

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  9. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    14 juillet 2009 à 21 h 10

    C’est bien ce que je disais, Fernand, Harper et ses ministres avec leur grande culture, leur ouverture, leur conscience à la fois écologique, ssociale, égalitaire et planétaire ont raison sur toute la ligne…

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    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      14 juillet 2009 à 22 h 31

      Jean tu es de mauvaise foi. Je ne suis pas partisan comme toi. Jew suis un libertaire qui vote selon ce qu’il pense le mieux au moment d’exercer ce droit. Je ne défend pas un parti mais les gestes raisonnables d’un gouvernement qui gère mes impôts avec prudence. Si ce serait Ignatieff, ça serait pareil enrubanné autrement…

      Un gouvernement ne peut se priver de redevances à coup de milliard pour faire plaisir aux alarmistes. C’est ce qui empêche le Canada de connaître l’ampleur de la récession de nos voisins du sud. On rpoduit de l’énergie et on l’exporte…

      Savais-tu que Steven Guilbault quand il va devant le comité de l’environnement fédéral a un autre discours que celui qui nous sert quotidiennement. Lors d’une audience en février 2005, il répond à une question du député bloquiste, Bernard Bigras de façon surprenante. Voici l’extrait:

      M. Bernard Bigras (Bloc québécois): Une autre question. On a appris qu’on vise à réduire les objectifs pour les grands émetteurs industriels de 55 à 35 mégatonnes environ. Inévitablement, si on veut atteindre l’objectif de Kyoto, il faudra aller les chercher ailleurs. Il semble que le gouvernement fédéral veuille aller chercher ces émissions ailleurs à l’étranger. Je regardais dans le plan original de novembre 2002, on parlait de 12 mégatonnes qu’on souhaitait aller chercher en émissions internationales par le gouvernement canadien. N’y a-t-il pas une limite à tenter d’aller chercher des mégatonnes à l’étranger alors que nous avons un potentiel évident de pouvoir réduire à la source les émissions de gaz à effets de serre sur notre territoire? Y a-t-il une limite à tenter d’augmenter l’objectif d’aller chercher les crédits d’émissions à l’étranger?

      Le président: Monsieur Guilbeault, une courte réponse, s’il vous plaît.

      M. Steven Guilbeault: Il n’y a pas de limite prévue dans le cadre du protocole de Kyoto, donc, théoriquement the sky is the limit. Évidemment, là où cela devient problématique c’est que cela pourrait être perçu comme une fuite de capitaux. Je suis d’accord avec votre collègue du Parti conservateur, ce qu’on ferait c’est qu’on financerait ailleurs des réductions d’émissions, du développement technologique, alors que nous restons pris avec nos vieilles affaires polluantes. Je ne pense pas que ce soit une stratégie de développement économique qui fasse beaucoup de sens.

      Surprenant qu’il soit d’accord avec la position conservatrice, hein Jean !!!

      Enfin pour les adeptes de Kyoto…

      À l’émission Le Point de lundi 26 février 2007, des spécialistes ont confirmé qu’en matière d’environnement, l’ancien gouvernement libéral a simplement prononcé de belles paroles et fait des promesses creuses en voulant réduire les émissions de CO2 de 6 p. 100 par rapport à 1990.

      Le professeur au Département des sciences fondamentales de l’Université du Québec à Chicoutimi, Claude Villeneuve, a déclaré: « La position du Canada […] ça a été de se tirer dans le pied en prenant un objectif comme celui-là sans avoir étudié auparavant quelles allaient être les contraintes qu’amenait cet objectif-là. »

      De plus, le professeur au département d’économie de l’Université Laval, Jean-Thomas Bernard, a ajouté: « Réduire les émissions de cette ampleur-là sur une aussi courte période, c’est complètement irréaliste. L’économie canadienne, telle qu’on la connaît, ne pourrait pas générer de telles réductions. »

      On apprend également qu’en cessant le développement des sables bitumineux en Alberta et en fermant les centrales d’électricité au charbon en Ontario, l’écart Dion serait toujours de 216 millions de tonnes de CO2 de plus qu’en 1990.

      Alors que le rôle du Bloc se limite à constater l’irresponsabilité du gouvernement libéral…

      source : Hansard (procès-verbal officiel des communes) le 28 février 2007- Intervention de Jacques Gourde.

      Ça fait 20 ans qu’on fait toutes sortes de simagrées pour diminuer le CO2 et il augmente quand même. Dommage mais je ne troquerai pas mon auto pour un vélo. Je ne suis pas assez pauvre pour ça…

      Les visées des alarmistes sont anticapitalistes et comme le dit si bien Guilbault : « Sky is the limit ». Le pire c’est que l’économie verte ne peux s’installer d’elle même, elle doit toujours avoir des subventions à profusion pour créer des jobs tertiaires qui ne rapportent rien.

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      • Seb

        18 juillet 2009 à 22 h 24

        «Ça fait 20 ans qu’on fait toutes sortes de simagrées pour diminuer le CO2 et il augmente quand même. »

        ??? Rien n’a jamais été fait. Les quelques exemple des deux dernières décennies que vous pourrez citer sont des coups d’épée dans l’eau. Il faut quelquechose de majeur pour solutioner notre problème.

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  10. Pierre Jean Jacques

    15 juillet 2009 à 00 h 45

    Bon il y a t’il quelques chose contre le spam !

    Heille ! c’est une joke !

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  11. Sophie

    15 juillet 2009 à 07 h 53

    En tout cas, le gazon est d’un magnifique vert cet été !

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  12. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    15 juillet 2009 à 08 h 45

    Fernand, vous avez le droit de faire la promotion des compagnies pétrolières, de laisser sous-entendre que nous, les Nord-américains, les ressources de la planète NOUS appartiennent et on peut en faire ce que l’on veut, mais le but premier de ce billet était simplement d’illustrer que le ciel, même gris ou brun, pouvait nous offrir de magnifiques spectacles!! C’est tout.

    Je vous vois venir: « on gèle, et les écolos parlent de réchauffement climatique ». Juste un rappel pour dire que les cycles climatiques sont complexes, et on assiste encore, comme l’an passé, à un jeu de débalancement qui fait en sorte, par exemple, que le nord canadien et l’Alaska jouissent présentement d’un été exceptionnellement chaud:

    http://www.accuweather.com/news-story.asp?partner=accuweather&traveler=0&article=9

    Et croyez-moi, s’il y a un domaine que connais bien, c’est la météo…

    Moi, je déteste Harper et ses ministres ignorants, et vous, les écolos et les utilisateurs de vélo vous énervent. Je préfère la sagesse d’un Hubert Reeve ou d’un Michel Jurdant, vous le « gros bon sens » des économistes qui nous veulent du bien et qui possèdent évidemment la vérité.

    Bref, à chacun son radottage! ;-)

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  13. Sebastien D

    15 juillet 2009 à 09 h 27

    Si il y a bel et bien une conspiration verte, à qui profite-t-elle? Quel État, quel association secrete tire réellement profe de cette conspiration? Les États ne seraient-ils pas mieux de faire croire qu’il n’y a pas de problème justement? Cela les aiderait à pouvoir exploiter les ressources sans gène il me semble.

    Ceux qui ne croient pas aux changements climatiques causés par l’homme ne sont que des paresseux, lâches et peureux qui refusent de reconnaître les faits et préfèrent croirent en un mensonge afin de ne rien perdre de leurs conforts moderne et éviter de devoir faire le moindre effort. Ils s’isolent dans l’individualisme afin de se déresponsabiliser de ces changements.

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  14. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    15 juillet 2009 à 10 h 08

    Je sais Jean, nos conceptions sont incompatibles. Mais au départ j’ai visé Carol qui travaille au Centre de l’Environnement et qui ne tolère pas mes propos et soupire.

    Au fait je pratique le vélo sur les pistes cyclables en hobby. Non pas m’en servir comme un moyen de me véhiculer. C’est l’intolérance des vélomanes envers les autres et leurs volonté d’enlever les autos pour prendre leur place qui m’irrite, eux qui ne respectent même pas le code de la route. Je vais me présenter à l’automne et surprise je vais avoir dans mes promesses l’amélioration du réseau des pistes cyclables car certaines portions pourraient être rattachées pour améliorer la pratique hors route.

    Que vous ayez sauté sur l’occasion pour faire de la partisannerie, c’est votre affaire. Je ne défend personne sauf un système économique que quoique imparfait est le moins pire et nous a fait vivre jusqu’ici. Avant de le remplacer par des lubies vertes anticapitalistes, ces gens devront me convaincre que c’est vivable. À venir jusqu’à maintenant, ça conduit dans des cul-de-sac après avoir dilapidé des fonds publics (re: les cas que j’ai cité plus haut et je peux en citer d’autres)…

    Les nuages et le froid qualifient cet été. J’ai vu trois jours de soleil lors de la semaine dernière dans mon voyage à l’Ile-du-Prince-Édouard. Quant au réchauffement de l’arctique, ce n’est pas la première fois car c’est cyclique. Lisez le voyage du capitaine J.Ernest Bernier dans le début du 20èeme siècle. Mais aujourd’hui on a des médias puissants pour dramatiser les cycles naturels. À ce que je sache le Titanic a heurté un immense glacier qui s’était détaché du Gröenland (terre verte en Danois) découvert par Érick le rouge qui en a vu un vaste pâturage vert. On avait pas de médias pour crier au réchauffement…

    Dans l’atmosphère, le CO2 ne représente que 3,62% des GES alors que la partie humaine des CO2 n’est que de 3,4%. Ça fait peu 3,4% de 3,62% = 0,94% et on demande de diminuer de 6% les émisssions humaines (6%/0,94% = 0,0564% ) donc négligeable…

    Je ne crois pas qu’on doivent investir 7,000 milliards (Chiffres de Sir Stern) dans cette aventure nébuleuse car la nature est en train de déjouer les calculs alarmistes des suppôts de l’ONU.

    Il y a 1 milliard d’humains qui crèvent de faim, souffrent du Sida ou n’ont pas accès à de l’eau potable ou simplement ont des soins inadéquats et vivent dans insalubrité porteuse de maladies endémiques. On a détourné de ces problèmes, l’attention du peuple. Il faut se demander pourquoi ???

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  15. Matrix

    15 juillet 2009 à 10 h 42

    @Sebastien D :
    « Si il y a bel et bien une conspiration verte, à qui profite-t-elle?  »

    Et bien elle profite à pelleter des nuages et se détourner des vrais problèmes avec l’environnement. Pendant qu’on imagine que l’être humain est un responsable majeur dans le changement de température (théorie qui est pourtant malmené de façon constante par un nombre grandissant de scientifiques à travers le monde mais dont en entend rarement parler en raison de médias qui n’ont d’oreille que pour la nouvelle religion verte-apocalyptique) on n’a plus besoin de s’occuper de problème comme la déforestation de l’amazonie, la polution des eau, la destruction d’habitats d’animaux en voie de disparition, etc etc

    Il y a tellement de problème sérieux bien plus criant que cette histoire de réchauffement (qui n’existe plus depuis des années) qui est la plus grande fraude de l’histoire.

    Tu veux une autre possibilité à qui peut profiter cette histoire ??

    « Dans une revue de livres exposant les manipulations derrière les politiques financières mondiales, Wang Jisi, doyen de l’Ecole des Etudes Internationales de l’Université de Pékin, écrit :

    « Dans quasiment tous les domaines, les Chinois suspectent les Etats-Unis d’avoir des plans pernicieux pour contenir la croissance de la puissance chinoise, et pour profiter de ses vulnérabilités. Dans le domaine du Réchauffement climatique, l’opinion courante, c’est que les pays occidentaux ayant pollué l’air au cours de leur industrialisation, ils essayent de ralentir la croissance économique de la Chine en la poussant à réduire ses émissions de carbone. » »

    je vais terminer comme toi :
    Ceux qui ne croient que l’on ne peut PAS douter des changements climatiques causés par l’homme ne sont que des paresseux d’esprit, qui renonce à l’esprit critique scientifique qui dit qu’on doit toujours douter, ceux ci sont généralement brainwasher par des médias complaisant et ne pouse jamais très loin la réflexion sur le sujet. Ces gens préfèrent agir comme dans une religion et s’entête à voir arriver la fin du monde et qu’elle soit causé par l’homme en raison qui est le mal et la nature est le bien. Ceux ci sont en général des anti-capitaliste et anti-américain frustré qui se sont recyclé dans les théories vertes communistes.

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  16. Denis Utilisateur de Québec Urbain

    15 juillet 2009 à 11 h 41

    « « Si il y a bel et bien une conspiration verte, à qui profite-t-elle? » »

    En tous cas elles profitent certainement à tous les lobyistes et compagnies qui profitent de notre naïveté pour nous vendre à qui mieux mieux des produits ménagers et de toutes les sortes soit disant « plus vert ».

    Certe bien des éléments sont toute de même profitable pour nous tous, quand on pense au recyclage (pour lequel on ne sait même plus quoi en faire) et certaines innovations, mais tout ce marketing « vert » profite certainement à tous les rapaces qui essayent de nous avoir avec leurs beaux messages de planète plus verte par ci et par là.

    Je suis du même avis que Fernand, tous les efforts mis dans ce ridicule vert au détriment de choses de loin plus importante et plus tangible n’est que façade…

    Je me demande bien comment les organismes vivants d’autrefois ont réagi lors de la dernière glaciation ou dernier réchauffement, quand l’argent n’était pas là pour contrôler le pouvoir!

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    • Sebastien D

      15 juillet 2009 à 11 h 45

      Ils ont réagi de façon normal puisque que les précédents réchauffement se sont produits à un vitesse normale, sur des milliers d’années et non pas sur des décennies comme c’est le cas présentement.

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  17. Sebastien D

    15 juillet 2009 à 11 h 43

    Je te corrige sur ta dernière, Je crois quand même avoir l’esprit scientifique car j’en suis un, eh oui. Je ne plonge pas corps et âme dans les dogmes écologiques, loin de là. Je ne fais que du recyclage de base, et je me passionne pour le sport automobile (écolo en maudit hein?) Et les changements climatiques ne causeront pas la fin du monde.
    Ceci dit je crois qu’il y a bel et bien une accélération du réchauffement climatique. Le réchauffement étant naturel, l’accélération beaucoup trop rapide pour être naturelle est causée par l’homme.
    Je suis d’accord qu’il y a un énorme greenwashing exploité par les média et surtout par les épiceries qui en plus de faire de l’argent en chargeant les sacs de plastiques, en font en en vendant des réutilisables.
    Et je suis loin, très très loins d’être anti-capitaliste et anti-américain.

    Donc, malgrés que je fasse ma part que de façon élémentaire pour l’environnement, je ne doute pas de notre contribution aux changements climatique.

    Je ne suis pas de ceux qui se définissent comme de gauche ou de droite en embrassant tout les dogmes associés à ma position pour ensuite les appuyés aveugléements comme trop de prétendus expoerts le font.

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    • Matrix

      15 juillet 2009 à 12 h 21

      « accélération du réchauffement climatique »

      C’est justement faux
      C’est pas pour rien qu’on a changé le terme réchauffement pour « changement ».. on ne voit plus de réchauffement depuis l’an 200 et l’ironie c’est que les « changement climatique » (terme galvaudé) est tout ce qu’il y a de plus naturel, c’est pas pour rien qu’il y avait 1 km de glace sur l’amérique du nord il n’y a pas très longtemps !!

      « la température a diminué depuis 1998, et plus de 35 000 scientifiques mondialement reconnus contestent la contribution de l’activité humaine à l’augmentation des CO2.  »

      Tu affirmes que t’es pas dans un dogme, mais pourtant regarde tes commentaires…qui refuse le droit de douter du degrée d’impact de l’homme dans les changements.

      Si tu savais le nombre de fois que j’ai vu une nouvelle concernant le réchauffement… des chiffres de la NASA, des études en antarctique, ca confirmait la thèse alors les médias en parlait. Et bang 1 semaine plus tard on apprenait en douce en fouillant sur internet qu’il y avait eu des erreurs et que finalement les résultats étaient éroné et JAMAIS je n’ai vu la nouvelle corrigé dans les médias.

      Les journaux quebecois préfère s’informer des changement climatique via Steven Guilbault qui a une formation en sciences politiques.

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      • Sebastien D

        15 juillet 2009 à 13 h 13

        La baisse depuis 1998 c’est l’équivalent d’une hausse à la bourse durant deux jours quand la tendance sur trois mois est quand même à la baisse. Comme toute les tendances, la courbes a des dents de scie.

        Et je ne me base pas sur des dogmes, je me base sur des études ni plus nin moins sérieuses que celle qui prouvent le contraire.

        Seulement, il y a plus d’études qui tendent à prouver le réchauffement que l’inverse.

        Et il faut aussi regarder parfois d’où provient le financement des études « prouvant » qu’il n’y a pas de réchauffement.

        Est-ce que les compagnies alimentaires voulant vendre du bio ont plus de budget alloué aux études biaisées que les pétrolière qui veuelent vendre de l’Essence? Je sais pas, mais je m’en doute.

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    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      15 juillet 2009 à 21 h 12

      C’est de valeur mais j’ai des graphiques qui démontrent le contraire, il y a refroidissement depuis quelques années et l’été actuel est l’un des plus froid depuis des années. On a même atteint des records cette semaine. On ne peut même pas se baigner dans nos piscines actuellement.

      Voici quelques citations de scientifiques renommés ou de membres de la Nasa:

      Il y a tant de gens qui tirent bénéfice de cette affaire de réchauffement de la planète – tous les grands laboratoires de recherche et autres. L’idée est d’effrayer le grand public afin de recevoir de l’argent et de poursuivre ses travaux. Maintenant que la guerre froide est terminée, nous devons nous fabriquer un nouvel ennemi, commun à tous, pour soutenir la Science et quel est le meilleur ennemi commun pour la planète que les gaz à effets de serre ? BILL GRAY est professeur émérite (donc retraité) au laboratoire de Sciences Atmosphériques de l’Université de l’Etat du Colorado. 4 novembre 2008

      Les partisans du réchauffement prédisent que celui-ci est imminent et que nos émissions sont à blâmer… Si nous ne nous sentions pas inquiets et coupables, nous pourrions ne pas leur payer leurs salaires. C’est aussi simple. Karry Mullis, prix Nobel de Chimie 1993

      Les ordinateurs permettent à un mauvais modèle d’être précisément faux. William Gray, spécialiste des ouragans

      Il n’y a aucun lien prouvé entre réchauffement global et activités humaines. Yury Izrael, vice président du GIEC (Novosti mai 2005)

      Notre capacité à produire des prédictions basées sur les modèles semble avoir dépassé en vitesse notre capacité à utiliser ces outils informatiques avec sagesse dans les processus de décision. Roger Pielke Jr, NATURE Vol 447 le 3 Mai 2007

      Il n’est pas possible d’exclure que le changement climatique puisse être dû aux causes naturelles. Il est plausible que l’homme ne soit pas à blâmer. Antonio Zichichi, président de la Fédération Scientifique Internationale, au Vatican (27 avril 2007)

      Nos calculs suggèrent un refroidissement global jusqu’à 3,5°C. Une telle baisse de la température moyenne terrestre, si elle se poursuivait sur quelques années, suffirait à déclencher un nouvel âge glaciaire. S. Schneider, fondateur du journal Climate Change et auteur principal du GIEC 2001, in Science-1971

      Pourtant 30 ans après, Monsieur Schneider jure le contraire en signant les rapports du GIEC.

      Je ne fais pas partie du dit consensus, qui croit que la science du réchauffement climatique causé par l’homme ne se discute plus. En fait, il y a peu de vraie science dans cette histoire. Prof Reid A. Bryson, considéré comme le père de la climatologie

      Je pense qu’il convient de sur-représenter les faits qui montrent à quel point le [réchauffement global] est dangereux pour inciter les gens à écouter les solutions. Al Gore dans un interview en mai 2006 http://www.grist.org/news/maindish/2006/05/09/roberts/

      “Warming fears are the worst scientific scandal in the history. When people come to know what the truth is, they will feel deceived by science and scientists.” Dr. Kiminori Itoh, membre du GIEC et spécialiste de renommée mondiale en chimie-physique de l’environnement

      « En tant que Géologue, j’aime observer la Terre. Mais, il est ridicule d’associer cet objectif à un « consensus » selon lequel les humains seraient la cause du réchauffement climatique alors que l’expérience des hommes, les données géologiques et l’histoire ainsi que le refroidissement actuel peuvent montrer le contraire. Le « Consensus » ainsi que beaucoup l’ont dit, ne représente que l’absence d’une science achevée. Vous savez, aussi bien que moi, que la « panique du réchauffement climatique » est utilisée à des fins politiques pour accroître le contrôle du gouvernement sur la vie des Américains, sur leur revenus et sur leurs prises de décision. Ceci n’a pas sa place dans les activités de la Société. » 20 Nov. 2008 : Un géologue et astronaute américain de la NASA, Harrison H. ( » Jack ») Schmitt

      « Il existe d’excellentes corrélations entre les fluctuations naturelles du soleil et la température terrestre alors que les scientifiques ne parviennent pas à trouver de corrélation entre les activités industrielles, la consommation de l’énergie et les températures globales. Mais le traitement du réchauffement climatique ne relève plus de la sphère scientifique.  » Ronnie Walter « Walt » Cunningham, astronaute de la NASA

      La plupart des scientifiques ne comprennent pas les mécanismes de base et ils préfèrent s’en référer aux modélisateurs du climat. Les modélisateurs du climat veulent rentrer toutes les données dans les modèles. Ainsi, les modèles climatiques sont supposés vous donner la solution par un coup de baguette magique. Je parierais qu’un grand nombre de scientifiques sont sceptiques mais ils ne l’admettront pas en public. Si vous en discutez avec la plupart des scientifiques qui sont des ardents supporters de cette question (NDLR : du réchauffement climatique anthropogénique), vous réalisez qu’ils ont une vision politique ou idéologique globale qui nécessite que l’humanité cesse de mettre du CO2 dans l’atmosphère. C’est une croyance religieuse et elle est très répandue dans les milieux scientifiques. Roy Spencer Directeur de Recherches sur les questions climatiques à l’Université de l’Alabama (Huntsville). Il a été chef de projet sur la recherche climatique à la NASA.

      « Le fait que l’effet de serre ne peut être détecté dans la basse troposphère, pendant de longues périodes, montre que le réchauffement qui est évident dans les mesures de surfaces ne peut pas être dû à l’effet de serre. » Vincent Gray est depuis 1991 et jusqu’à nos jours inclus, un des relecteurs officiels et attitrés des différents rapports pondus par le GIEC. Spécialiste chevronné du climat, il a été jusqu’à écrire un livre (The Greenhouse Delusion: A Critique of ‘Climate Change 2001) et plusieurs articles, dont un, récemment, en 2007, pour dénoncer les abus et les erreurs commises par cet organisme.

      Bizarre .. et inquiétant. N’est-ce pas ? Le rapport final du GIEC ne tient aucun compte des préventions de son Vice-Président et d’un de ses meilleurs experts. Pas plus d’ailleurs que les vives critiques de trois autres de ses experts officiels : Paul Reiter, Richard S. Courtney et Peter Dietze qui ont tous signé en 2006 une pétition auprès du gouvernement Canadien le mettant en garde contre l’application du protocole de Kyoto sur des base scientifiques infondées. On se demande qui tire les ficelles au GIEC

      Les personnels responsables de l’IPCC et les auteurs principaux furent rémunérés par les gouvernements et les Résumé pour les Décideurs (SPM, Summary for Policymakers) ont fait l’objet d’approbation par les membres issus des gouvernements appartenant aux Nations Unies avant d’être médiatisés. Les scientifiques impliqués dans l’IPCC sont pratiquement tous soutenus par des contrats gouvernementaux qui financent non seulement leurs recherches mais également leurs activités pour l’IPCC. L’essentiel des frais de voyages et de logement des auteurs dans des sites exotiques, sont payés par des fonds gouvernementaux.

      Enfin voici un extrait du livre  » La planète des Glaces » de mon amie Brigitte Van Vlet-Lanoë qui a reproduit sur le site d’un autre ami Géologue et économiste, Yvon Dionne, avec la permission expresse de l’auteure. En tout cas elle a fait partie d’expéditions internationales pendant 35 ans et visité les deux pôles à moultes reprises. Elle fait partie des glaciologues internationalement reconnus. C’est plus crédible que Jean Lemire, le biologiste qui n’a fait qu’un seul voyage dans un seul point de l’antarctique.

      http://pages.globetrotter.net/yvon_dionne/vliet-lanoe.html#sommaire

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  18. Matrix

    15 juillet 2009 à 12 h 36

    Déclaration du Dr. Kiminori Itoh, membre du GIEC et spécialiste de renommée mondiale en chimie-physique de l’environnement:

    “Warming fears are the worst scientific scandal in the history. When people come to know what the truth is, they will feel deceived by science and scientists.”

    —————————-

    Selon tes dires, voilà donc un autre :
    « paresseux, lâches et peureux qui refusent de reconnaître les faits et préfèrent croirent en un mensonge afin de ne rien perdre de leurs conforts moderne et éviter de devoir faire le moindre effort. Ils s’isolent dans l’individualisme afin de se déresponsabiliser de ces changements. »

    et pendant ce temps, y a jamais autant neigé en Alaska l’été l’année passé et la empérature était 3 degrées plus froid que la normal,

    et toujours en 2008 les niveau de glace en antarctique ont atteint les niveau de 1979, qui tend à être confirmé par une expédition récente qui confirme qu’il y a 2 fois plus de glace que prévu.

    « accélération du réchauffement climatique », la seule chose qui accélère vraiment est la vitesse à lequel vous sortez cette phrase.

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  19. Jean Cazes (monlimoilou.com)

    15 juillet 2009 à 12 h 58

    Matrix et Fernand:

    J’ai déjà posé la question: imaginons que vous êtes invités à titre de conférenciers dans une école primaire pour un cours d’écologie sociale. Vous échangez avec les enfants sur notre avenir collectif.

    Concrètement, quel message d' »espoir » allez-vous leur lancer? La fuite en avant dans la surconsommation, dans l’illusion que les ressources de la planète sont illimitées et que leur exploitation n’a aucun impact sur la biosphère et les pays dits du tier-monde? Et tout ça pour notre bonheur, nous le peuple élu nord-américain supérieur qui doit servir de modèle de société pour le reste de la planète?

    En passant: je suis loin d’être un « communisse » et je crois encore moins à une révolution écologique du jour au lendemain!! Mais j’accueille avec bonheur les petits gestes exemplaires du quotidien comme la marche, le vélo, l’utilisation des sacs en toile, le développement des jardins communautaires… On en parlera jamais assez!

    En passant: « Dommage mais je ne troquerai pas mon auto pour un vélo. Je ne suis pas assez pauvre pour ça… » et « Ceux ci sont en général des anti-capitaliste et anti-américain frustré qui se sont recyclé dans les théories vertes communistes. »… C’est quoi, l’rapport??? On crorait écouter la radiopoubelle!

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  20. Sebastien D

    15 juillet 2009 à 13 h 18

    Au sujet de « Dommage mais je ne troquerai pas mon auto pour un vélo. Je ne suis pas assez pauvre pour ça… » . Il y a deux voitures dans la cour chez moi, donc une neuve, avec le plus gros des deux moteurs disponible pour le modèle.

    Et pourtant, quand il ne pleut pas, moi et ma conjointe allont tout les deux travailler à vélo. De bons vélos, pas des vélo de pauvres, mais pas des vélo de flasheux non plus.

    Le revenu vs le désir de faire du vélo ca n’a rien à voir.

    Ca laisse juste sous entendre que ceux qui nient le réchauffement le font pour se déculpabiliser et/ou justifier l’utilisation de leur gros véhicule qui consomme trop pour rien.

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  21. Matrix

    15 juillet 2009 à 13 h 47

    Jean :
    La différence c’est que tu te donnes bonne conscience et cela doit justifier tes pensés qui sont erronées ! Les ressources de la planète ne sont certe pas illimitées. Cependant tu négliges (comme l’on fait des beaucoup de monde dans le passé) la capacité de l’homme à s’adapter et à évoluer.

    Il n’y a pas très longtemps, on entendait le même discours a propos du charbon : il faudrait ralentir la consommation, bientôt il y en aura plus, etc. Qu’est-ce qui est arrivé ?? le prix du charbon en augmentant a poussé le développement d’une autre énergie, le pétrole, et si un jour le pétrole devient trop cher, la loi de l’offre et la demande va pousser le génie humain a développer de nouvelle technologie, utiliser d’autres ressources et surtout développer une meilleur productivité.

    L’ironie et la contradiction dans ton discours est que tu affirmes que l’Amérique du Nord se croit le modèle pour le monde mais en même temps c’est toi qui refuse par ton idéologie le même développement aux pays en développement et du tiers-monde. Tu ne réalise pas l’impact dans ces pays qui ont un niveau de vie beaucoup plus faible car ils sont a une étape importante de leur développement : l’industrialisation !

    Ensuite, le discours écolo-apocalyptique n’est pas nouveau, regarde ce qui était dit en 1970 :

    “…civilization will end within 15 or 30 years unless immediate action is taken against problems facing mankind,” biologist George Wald, Harvard University, April 19, 1970.

    By 1995, “…somewhere between 75 and 85 percent of all the species of living animals will be extinct.” Sen. Gaylord Nelson, quoting Dr. S. Dillon Ripley, Look magazine, April 1970.

    • Because of increased dust, cloud cover and water vapor “…the planet will cool, the water vapor will fall and freeze, and a new Ice Age will be born,” Newsweek magazine, January 26, 1970.

    • The world will be “…eleven degrees colder in the year 2000. This is about twice what it would take to put us into an ice age,” Kenneth Watt, speaking at Swarthmore University, April 19, 1970.

    “By 1985, air pollution will have reduced the amount of sunlight reaching earth by one half…” Life magazine, January 1970.

    “…air pollution…is certainly going to take hundreds of thousands of lives in the next few years alone,” Paul Ehrlich, interview in Mademoiselle magazine, April 1970.

    Ehrlich also predicted that in 1973, 200,000 Americans would die from air pollution, and that by 1980 the life expectancy of Americans would be 42 years.

    “By the year 2000…the entire world, with the exception of Western Europe, North America and Australia, will be in famine,” Peter Gunter, North Texas State University, The Living Wilderness, Spring 1970.

    ————–

    Et bien c’est la même chose aujourd’hui !! On va rire de ce qui est dit présentement dans une avenir proche !

    Et a propos des théories-vertes communistes dont tu ne comprends pas le rapport, voici un résumé rapide :

    « L’objectif des écologistes occidentaux est de faire du capitalisme le seul coupable de la pollution et du réchauffement climatique. Car les écologistes ne sont pas des écologistes: ce sont des gauchistes. Ils ne s’intéressent à l’environnement que dans la mesure où, en feignant de le défendre, ils s’en servent pour attaquer le néolibéralisme. Jamais ils ne dénoncent la pollution causée par l’extraction du pétrole des sables bitumineux vénézuéliens. Ce n’est pas une pollution capitaliste. Exiger que Chavez stop le développement de ses sables bitumineux serait, de leur point de vue socialiste, sans utilité. Car cette entreprise fatigante ne renforcerait pas leur croisade contre le capitalisme. Il y a eu jadis un écologisme sincère, mais il a été depuis longtemps récupéré et retourné par un écologisme mensonger, devenu le masque de vieilleries marxistes coloriées en vert.
    =====Cet écologisme idéologique ne voit le danger que dans les nations capitalistes. « ===

    T’a juste a regarder le comportement de tes amis sympatisants des communistes (quebec solidaire) pour comprendre ce que je veux dire..

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    • fernand Utilisateur de Québec Urbain

      15 juillet 2009 à 22 h 00

      Matrix je partage votre avis. D’ailleur au Tcad dernièrement on empêchait les citoyens d’utiliser le bois pour combustible et ce sans alternative. Voici le reportage à ce sujet…

      http://skyfal.free.fr/?p=313

      Je vous présente Norman Borlaug, le père de la révolution verte et prix nobel de la paix en 1970 car ses travaux avaient permis de sauver environ un milliard de vies humaines. Voici des extraits d’un reportage publié en avril 2008 par l’Institut Économique Molinari.
      ______________________________________________________

      Il y a de nombreuses années, quand les néo-malthusiens prédisaient des famines massives, Borlaug a utilisé une bourse de la Fondation Rockefeller pour mettre au jour des gènes récessifs jusqu’alors inconnus, et pour croiser entre elles différentes variétés de blé, avec pour objectif de créer de nouvelles espèces naines capables de résister à certains parasites. Les plantes plus petites étaient aussi plus robustes, utilisaient moins d’énergie pour faire croître une tige et des feuilles, et avaient dès lors de meilleurs rendements.

      Il a aussi enseigné les méthodes de culture modernes aux agriculteurs du Tiers Monde, persuadant par ailleurs les gouvernements de lever le contrôle des prix et d’autoriser l’usage d’engrais chimiques. Ce faisant, il leur a permis de réaliser des récoltes jusqu’alors sans précédent. Le Mexique est devenu autosuffisant en blé à partir de 1960, l’Inde et le Pakistan ont fait de même peu après. Borlaug a ensuite aidé la Chine, l’Indonésie, les Philippines et d’autres pays à obtenir de grands succès dans la culture du blé, du maïs ou du riz.

      Borlaug remarque simplement qu’« il n’est pas possible de construire un monde pacifique avec des estomacs vides et de la misère humaine ». Il a par la suite remporté la Médaille Présidentielle de la Liberté et la Médaille d’Or du Congrès américain.

      En 1985, il a commencé à travailler avec l’ancien président Jimmy Carter pour tenter d’exporter la Révolution Verte à l’Afrique sub-saharienne. Il insista alors sur la nécessité d’utiliser des méthodes d’agriculture intensive moderne et des semences OGM pour réduire la destruction et la combustion des environnements sauvages quand le sol manque de nutriments. Malheureusement, leurs progrès pourraient bien être stoppés par Kofi Annan, l’ancien Secrétaire Général des Nations Unies, et par son Alliance pour une Révolution Verte en Afrique, dont le nom est trompeur. Annan explique que les récoltes OGM sont dangereuses, mal connues, et pourraient asservir de pauvres agriculteurs à des multinationales qui les forceraient à acheter des graines chères.

      Comme il l’a affirmé en 2005 lors d’une conférence sur les biotechnologies parrainée par le Congrès pour l’Égalité Raciale aux Nations Unies, il ne voit aucun moyen de nourrir la population mondiale sans avoir recours à des céréales génétiquement modifiées, surtout si l’on souhaite développer les biocarburants de manière croissante.

      Il n’apprécie guère « les utopistes bien nourris qui vivent dans les beaux quartiers et viennent dans le Tiers Monde pour y causer de graves dommages » en effrayant les populations et en bloquant l’usage des biotechnologies. Ces militants particulièrement durs ont ainsi persuadé la Zambie de laisser sa population mourir de faim plutôt que de leur permettre de manger du maïs OGM donné par les États-Unis. Ils s’opposent également aux insecticides pour combattre la malaria, aux énergies fossiles, aux barrages hydroélectriques, et à l’énergie nucléaire pour produire une énergie abondante, fiable et peu chère dans les pays pauvres.

      « Notre planète compte 6,5 milliards d’habitants, explique Borlaug. Je vous en prie, utilisez du fumier. Vous ne pouvez pas rester assis à ne rien faire. Mais si l’on utilise que des engrais organiques et des méthodes naturelles sur les terres arables existantes, nous ne pouvons nourrir que 4 milliards de personnes. J’ai du mal à imaginer 2,5 milliards de personnes se portant bénévoles pour disparaître. »

      Produire 7 milliards de gallons d’éthanol en 2007 a nécessité une croissance de la culture du maïs sur une surface équivalente à celle de l’Indiana, en plus de grandes quantités d’eau, d’insecticide, d’engrais et de pétrole. C’est la raison principale pour laquelle les coûts du Programme Alimentaire Mondial ont augmenté de 40 % depuis juin 2007, forçant le PAM à rationner l’aide alimentaire, et plongeant dans la faim des millions de personnes. Cette situation est insoutenable, tant au point de vue moral, économique, qu’écologique.

      Les biotechnologies libèrent les agriculteurs les plus pauvres des chaînes d’une nature potentiellement destructrice. Ils paient les semences plus cher, mais ils utilisent moins d’eau et d’insecticides, obtiennent de meilleurs rendements et gagnent plus d’argent. Les paysans d’Afrique du Sud qui sont passés aux plants OGM peuvent en témoigner.

      Elizabeth Ajele: « Les anciens plants sont détruits par les insectes, ce qui n’est pas le cas des nouveaux plants OGM. Avec les profits que je réalise en cultivant le maïs Bt, je peux faire pousser des oignons, des épinards et des tomates. En les vendant, j’obtiens des recettes qui me permettent d’acheter des engrais. Par le passé, nous luttions pour ne pas avoir faim. Aujourd’hui, le futur ne nous fait plus peur. Si quelqu’un venait pour me dire que je dois cesser d’utiliser les nouvelles variétés de maïs, j’en pleurerais. »

      Bethuel Gumede: « En plantant du coton Bt sur mes 6 hectares, j’ai pu construire une maison et y adjoindre un panneau solaire. J’ai aussi acheté une télévision et un réfrigérateur. Ma femme peut acheter de la nourriture saine et nous pouvons nous permettre d’envoyer nos enfants à l’école. »

      Les agriculteurs au Brésil, en Chine, en Inde, aux Philippines et dans d’autres pays racontent des histoires similaires.

      Du fait de ses réalisations, Norman Borlaug est connu dans de nombreuses régions d’Afrique, bien qu’il soit ignoré aux États-Unis. Il faut dire qu’il a accompli une large part de son travail hors de son pays.

      —————————————————

      Nourrir le tiers-monde, lui donner accès à l’eau potable, à des soins médicaux adéquats et améliorer l’hygiène sont des objectifs de beaucoup plus valables que de lutter contre la nature pour dompter le climat. En tout cas c’est ce que prône le Copenhagen Consensus Center dirigé par un écologiste sceptique et ancien membre de Greenpeace : Bjørn Lomborg

      http://www.copenhagenconsensus.com/CCC%20Home%20Page.aspx

      La survie de l’humanité passe par un partage des richesses entre les pays plus riches et les plus pauvres. Moi j’y crois plus que de tenter d’influencer de façon marginale le climat…

      Quand au pétrole c’est une ressource énergétique encore abondante mais dont les réserves s’épuisent. Déjà les pétrolières investissent dans les alternatives pour l’avenir. La plupart ont des filiales dans le gaz naturel.

      Gaz de France s’est lancé dans l’éolienne et le Gaz naturel (GNL) en plus d’alimenter en pétrole la France et les caraïbes (Suez)
      http://www.gazdefrance.fr/

      Les compagnies Shell, Exxon, BP, Air Liquide ont des filiales de distribution d’hydrogène

      http://www.shell.com/home/content/aboutshell/our_business/oil_products/fuels/hydrogen/hydrogen.html
      http://www.matternetwork.com/2008/10/exxon-mobil-helps-with-hydrogen.cfm
      http://www.bp.com/genericarticle.do?categoryId=2012968&contentId=7019791
      http://www.airliquide.com/en/hydrogene.html

      Ah ces méchantes pétrolières, elles seront encore là même s’il ne reste plus une goutte de pétrole. C’est ça la recherche et le capitalisme. Les compagnies s’acclimatent pour durer…

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  22. Max

    15 juillet 2009 à 15 h 40

    Québec est une ville tellement, tellement conservatrice. C’est insuportable.

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    • Réal

      15 juillet 2009 à 17 h 33

      Faut faire la différence entre le centre-ville de Québec qui est généralement plus à gauche que l’ancienne banlieue qui est résolument « me, myself & I » et qui est de ce fait, à droite.

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      • Max

        16 juillet 2009 à 17 h 16

        C’est vrai Réal! Exit la coupure Basse-Ville et Haute-Ville, la vrai coupure est entre l’arrondissement La Cité-Limoilou et tout le reste. L’urbain et le suburbain.

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  23. Éric

    15 juillet 2009 à 16 h 53

    Que c’est stupide. Encore un débat environnementaliste sur un simple billet qui illustre des nuages.

    J’ai de moins en moins le goût de lire les commentaires quand je lis un billet. Une bonne fois, je vais me tanner pour de bon et je cesserai de lire les commentaires et parfois d’en écrire. Je me contenterai de lire uniquement les billets, point.
    D’un côté, les anti-Kyotistes pro-immatriculation des vélos; de l’autre, les gauchistes anti-tout-ce-qui-fait-de-la-pollution-et-du-bruit.

    Me semble que quand j’ai commencé à visiter ce blogue v’là déjà plusieurs années, c’était pas de même. Pis on avait des billets plus variés. C’est-tu moi ou des billets sur les arrondissements moins centraux, il y en a moins qu’avant ?

    À bon entendeur, salut…

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    • Réal

      15 juillet 2009 à 17 h 37

      Y aussi la secte des skysrapers et des adorateurs du skyline contre les mécréants qui ne partagent pas leurs « valeurs » … :-)

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      16 juillet 2009 à 00 h 24

      Merci pour votre commentaire et votre assiduité. En ce qui a trait aux arrondissements moins centraux, auriez-vous connaissance de projets ? Quant à ce que vous soulignez relativement aux commentaires, que proposez-vous ? En passant, si jamais vous proposez de devenir collaborateur bénévole avec Québec Urbain, votre contribution sera sûrement appréciée. Qu’en pensez-vous ? Bon festival d’été. :-)

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  24. Carol

    16 juillet 2009 à 00 h 50

    Ouais il y a tous un dérapage !!! :O

    « Mais au départ j’ai visé Carol qui travaille au Centre de l’Environnement et qui ne tolère pas mes propos et soupire. »

    Vous en fumer du bon ! je ne travaille point a cette endroit ??!!

    (et la seul chose que je ne tolère point c’Est l’inconscience volontaire…)

    Bref comme d’habitude vous mélanger tout !!!

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    • Jean Cazes (monlimoilou.com)

      16 juillet 2009 à 08 h 44

      Pas grave: j’ai déjà été traité d’extrémiste alors que j’ai toujours dénoncé la démagogie et la mauvaise foi, peu importe d’où elles proviennent. On m’a aussi traité de « séparatisse » (comme si c’était une maladie honteuse) et pourtant, j’ai voté « non » aux deux référendums!

      De toute façon, Carol, il n’y aurait pas de honte à y travailler: moi-même, j’ai déjà oeuvré comme pigiste à l’Union québécoise pour la conservation de la nature. De plus, j’ai été membre fondateur d’un mouvement écologique à l’UQAM, de même que de la Société de conservation et de la mise en valeur de la tourbière Grande Plée Bleue, à Lévis.

      Des extrémistes, dans ces groupes? Non, des passionnés avant tout!! Cela dit, il est temps de changer de sujet, en effet…

      PS: J’aimerais bien, moi, travailler au Centre de l’environnement! ;-)

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  25. Denis Utilisateur de Québec Urbain

    16 juillet 2009 à 16 h 01

    Hahaha, les scientifiques! Quand on sait qu’ils ne sont pas foutu de prédire avec exactitude la météo au delà de 6 heures…..

    Ce qu’il pense des changements climatiques d’après leurs données j’en ai rien à secouer.

    Si je met un glaçon dans un vers d’eau, tout le monde sait que la fonte va s’accélérer vers la fin, pis la ben on est rendu à la fin de nos beaux gros glaçon, donc normal que ça s’accélère…

    Tk, c’est qu’ils m’ont dit dans mon cours de prématernel, et ça me semble de loin plus juste que tout ce que les scientifiques de la météo exposent par-ci et par-là.

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  26. Max

    16 juillet 2009 à 17 h 21

    « Quand on s’est » oui, « quand on s’est. » Seigneur!

    Moi je trouve que Québec Urbain est devenu un chap de bataille sur lequel il est presque impossible d’échanger les idées sans faire de la confrontation inutile et gratuite.

    Les autres blogs sont plus agréables à lire.

    D’ailleurs, faudrait peut-être recadrer la mission de Québec Urbain autour de l’urbanisme parce que plus souvent qu’autrement ça dérape sur pleins de trucs sans lien avec ce sujet.

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  27. sgauvin Utilisateur de Québec Urbain

    16 juillet 2009 à 20 h 39

    Wow Denis, je suis vraiment abasourdie par la sagesse de tes propos, tu devrais commencer à faire des conférences!

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  28. Seb

    18 juillet 2009 à 22 h 30

    Je suis EXTRÊMEMENT étonné de constater la quantité de détraqués qui nient ici la responsabilité de l’homme dans les changements climatiques.

    De grâce, éduquez-vous avec des sources crédibles. Il est trop facile, de nos jours, d’aller sur internet et de s’abreuver de la propagande des pétrolières ou d’histoires selon lesquelles les Mayas ont prédit la fin du monde pour 2011…

    Vous me dégoutez profondément, vraiment.

    J’ai d’autant plus la nausée que vous êtes certainement de ceux qui polluent le plus.

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  29. ArtByte

    31 juillet 2009 à 01 h 02

    Héhé Jean, continue de nous envoyer ces belles photos de nuages ici, ça semble attiser les débats musclés qui occupent les verbeux du clavier!

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