Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Dézonage en terres agricoles dans la région

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 août 2009 53 commentaires

La population de Saint-Augustin-de-Desmaures pourrait passer de 19 000 à 25 000 personnes d’ici les 15 prochaines années. Du moins, c’est ce qu’envisage le maire de la municipalité, Marcel Corriveau, qui caresse le projet de développer un nouveau quartier écologique de 2000 unités au nord de la route 138.

Or, étant donné que les zones de développement de la ville sont déjà entièrement exploitées, le maire devra obtenir une série d’autorisations pour empiéter sur les terres agricoles où le promoteur a proposé de construire son nouveau quartier résidentiel.

Un projet de quartier écologique Radio-Canada/Québec

St-Augustin et Québec d’accord pour un dézonage Le Soleil

Un billet précédent

Voir aussi : Étalement urbain, Québec La cité.


53 commentaires

  1. Charles

    24 août 2009 à 15 h 07

    Si le maire de St-Augustin était sérieux pour l’écologie, il ne ferait pas d’étalement urbain. La densité de la population à Québec ne justifie aucunement la construction de nouveaux quartiers éloignés. Et il est assez cynique pour les qualifier «d’écologiques»!

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    • Marie

      24 août 2009 à 15 h 40

      Il parle de quartier dit écolo, mais il veut dézoné des terres agricoles…est-ce que c’est ce que l’on appelle un paradoxe?

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    • Réal Utilisateur de Québec Urbain

      24 août 2009 à 15 h 59

      « …la Ville de Québec a besoin de 17 000 logis, d’ici 2021, pour contrer les effets de l’étalement urbain, alors que Saint-Augustin vise l’apport de 3500 nouveaux logements… » dit le maire Corriveau.

      De nouveaux projets domiciliaires à St-Augustin sur des terres agricoles, ce n’est pas de l’étalement urbain … est-ce que c’est ce que l’on appelle un paradoxe ? (bis)

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  2. François

    24 août 2009 à 16 h 28

    Venant des promoteurs, l’argument qu’il manque d’espace sera toujours utile. Quant à l’argument écologique, il est tellement galvaudé ; quelques toits verts, on conserve l’eau de pluie et voilà que c’est écolo. On parle bien de démantèlement de territoire agricole ici. Je n’ai aucune confiance dans la vision (sic) des promoteurs.
    Par ailleurs, on l’a vu dans le dossier de la densification douce à Sainte-Foy, la ville de Québec ne sait pas vendre ce concept ni le mettre de l’avant. Il y a tout un travail de marketing urbain à faire.

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  3. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    24 août 2009 à 17 h 06

    La plupart de ces terres agricoles sont inexploitées. Autrement dit c’est de la foret zonée agricole. Ca commence à partir de Henri-IV vers l’ouest, dont un grand bout dans la « municipalité » de Québec avant de rejoindre St-Augustin. Autrement dit c’est le beigne autour de l’aéroport.

    Comme l’a bien dit M. Corriveau dans un autre article à ce sujet, si on ne fait pas de place à « Québec », les gens vont aller ailleurs comme à Pont-Rouge et cela n’apportera rien à Québec.

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  4. dave deux

    24 août 2009 à 17 h 36

    Ce qui est paradoxale dans cette histoire, c’est que plus il y a de
    monde et plus qu’il faut bâtir, ici sur des terres bonnes pour la culture dézonnée ou pas et plus qu’il y a de monde et plus qu’il faut des terres agricoles pour les nourrir. Dans certains pays du Sahel, l’utilisation de terre agricole (tout comme pour l’eau) est fortement encadré. Ici, gaspillage pas de problème. Dans un rapport de l’ONU datant de 2007, il était écrit que pour les 25 prochaines années que la disponibilité des terres agricoles allaient diminués de 18% a cause de la désertification, sud de l’Europe compris (voir à ce sujet un reportage a RDI (19 sur le càble ce soir a 20 heures au Grand reportage). Selon ce rapport, les terres agricoles devaient être considéré comme un bien précieux pour
    l’humanité (tout comme l’eau). Il y a des gens qui crèvent de faim
    par manquent de terres agricoles et ici elles servent a des
    bungalows.

    Finalement je propose trois solutions rapides.

    1/Interdiction de touché a toutes terres pouvant servir à une
    exploitation agricole,dézonné ou pas.

    2/Contrôle de l’augmentation de la population par le contrôle
    écologique de l’immigration et des naissances.

    3/Mise en place d’un tribunal écologique dans le but de sévir
    radicalement contre les élus autorisant la construction sur des
    terres agricoles.

    Ce ne sont que des mesures de premières lignes avant l’implantation de mesures plus sévères.

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  5. Sébastien

    24 août 2009 à 18 h 03

    Excellent commentaire sur le site de radio-canada.ca que je reproduit ici :

    « Convertir des terres agricoles pour développer un quartier écologique! C’est totalement anti-écologique. Un quartier de banlieue qui sera, de fait, une zone résidentielles de luxe pour quelques bien nantis! Au diable les problématiques qui seront soulevées par ce projet; congestion automobile sur la 40, développement des mégas centre d’achat au détriment des commerces de quartier, destruction de terres agricoles fertiles (- de 2% du territoire québécois) etc… Le tout à l’encontre de la densification des centres urbain déjà existant.

    C’est de l’arrogance pure, du déni des problématiques environnementales actuelles et des défis qui attendent la planète. M. le Maire écoutez le documentaire HOPE… et, surtout, de grâce, n’utilisez pas le nom de quartier écolo. car, en fait, c’est un quartier de riches pour consommateurs de masse. Un quartier pour ceux et celles pour qui l’AVOIR passe avant l’ETRE.

    Ce projet est tout, mais il ne sera jamais, au grand, jamais, écologique. Il sera, un jour, clôturé pour protéger les bien nantis (et leur biens) qui y vivront!

    Après moi le déluge! »

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  6. Goldoche

    24 août 2009 à 18 h 32

    Arrêtez avec la pénurie de terres agricoles, il y en a plein au Québec qui ne sont pas exploitées, surtout pour des raisons de rentabilité.

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    • dave deux

      24 août 2009 à 18 h 40

      Vous n’avez vraiment rien compris. Désolé, mais le débat ce
      situe a un autre niveau que la simple exploitation ou non des
      terres agricoles.

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      • Goldoche

        24 août 2009 à 19 h 20

        C’est tout de même une partie de votre argumentation. Tout comme le fait qu’il y a seulement 2% de terres agricoles au Québec. C’est normal, 90% du Québec est inhabitable.

        Vite comme ça, je dirais qu’au moins 20 à 25% du sud du Québec est composé de terres agricoles.

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  7. Al Capone

    24 août 2009 à 19 h 02

    Les terres agricoles n’ont tout simplement pas leur raison d’être quand elles sont situées dans les limites d’une ville… Vous devez vous y faire, c’est un fait et à long terme celles-ci vont disparaître des paysages urbains.

    Et si elles sont inutilisées tant mieux, à la limite si elles étaient exploitées et que la Ville expropriait les producteurs pour le développement il y aurait lieu de se poser des questions…

    Faut en venir au fait, certains quartiers de Québec tels Sainte-Foy refuse la densification douce, et d’autres comme dans SJB la refuse à moins que ce soit pour acceuillir des coops ou des logements sociaux. En même temps, quand la Ville propose un développement tels le Boisé Neilson à l’intérieur même de la ville il y a le « Comité des Arbres », un obscur regroupement d’écologistes, qui bloque le projet pour se porter à la défense de l’environnement tout en favorisant de manière indirecte l’étalement urbain en bloquant les projets à même la Ville…

    Alors j’en reviens à u autre commentaire, on va les mettre où les nouveaux arrivants à Québec (environ 8 500 en 2008)? Dans ses souterrains, dans le HLM de dave deux? À saint-Augustin sur des terres inexploitées? Pourquoi pas…

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    • Marie

      24 août 2009 à 19 h 26

      On pourrait les mettre dans les tas de maisons qui sont déjà à vendre ou dans les tas d’appartements qui sont déjà à louer….

      D’ici 20 ans, ce seront des centaines de maisons qui seront vides puisque plusieurs baby-boomers décèderont ou iront en maisons de retraite. Comme la génération qui suit ne sera pas assez nombreuse pour palier au problème, il serait totalement inutile de bâtir de nouvelles maisons alors que tant d’autres seront disponibles d »ici peu.

      Et j’ajouterais que non seulement ces maisons auront été bâties pour rien, mais elles auront déplacées et même détruits des habitats naturels auxquels les générations futures ne pourront avoir accès. Et l’Homme étant ce qu’il est, il va se demander pourquoi il y a un ours dans sa cour un bon matin.

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      • Réal Utilisateur de Québec Urbain

        25 août 2009 à 07 h 18

        Votre commentaire est très pertinent. Il m’est arrivé souvent de marcher dans des rues résidentielles de Sainte-Foy et ce qui m’a frappé, c’est le grand silence qui y règne. Pas ou très peu d’enfants, des cours silencieuses, des piscines inutilisées, signe évident que le bungalow n’est plus maintenant habité que par un couple retraité et que les enfants sont partis. Au fur et à mesure que ces retraités baby-boomers vendront pour aller dans un condo ou une maison de retraite, ce sont des centaines de bungalows qui seront disponibles dans les « anciennes banlieues » de Québec.

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      • Manu

        25 août 2009 à 12 h 32

        Il y aura assez de gens pour remplir ces maisons puisqu’on prévoit non seulement une augmentation de population pour 2021, mais aussi une augmentation plus important du nombre de ménages (lequel nous donne le nombre d’unités d’habitations nécessaire). Cela est simplement dû au fait qu’il y ait de moins en moins de gens par ménage.

        Ça ne veut pas dire qu’on doive dézoner des terres à St-Augistin, mais simplement que les maisons dans les quartiers « plutôt de baby-boomers » vont facilement trouver prenneur, qu’importe l’âge de ses occupants.

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    • Sébastien

      24 août 2009 à 20 h 31

      Vous avez déjà pris la Capitale direction est le matin à l’heure de pointe dans les environs de Robert-Bourassa? Vous voulez rajouter quelques milliers d’automobilistes à cette congestion?

      Regardez bien une photo aérienne de Québec, il y a en masse d’espaces sur le territoire de l’actuelle ville de Québec pour construire des bungalows avant d’aller construire des sois-disant quartier écologiques dans les champs de patates de St-Aug ou les boisés de Ste-Catherine-de-la-JC.

      Faites une petite recherche juste pour vous amuser, sur ce qu’est un vrai quartier écologique. Vous allez voir que ce que le maire Corriveau affirme n’est que pure usurpation du concept!

      http://www.ecoquartiers.developpement-durable.gouv.fr/

      http://www.dudeveloppementdurable.com/ecolo/BLOG/Developpement-durable/Questce-quest-un-ecoquartier-69/

      Même la Cité verte est à des lieux de ce qui se fait en Europe, malgré qu’on est quand même dans la bonne direction.

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    • Réal Utilisateur de Québec Urbain

      25 août 2009 à 08 h 46

       » … Sainte-Foy refuse la densification douce et d’autres comme dans SJB la refuse à moins que ce soit pour acceuillir des coops ou des logements sociaux… »

      Trouves-moi un quartier plus densément peuplé que St-Jean-Baptiste à Québec et là tu pourras déblatérer contre tout ce qui se passe là: coopératives, logements sociaux et autres projets communautaires qui en font un milieu autrement plus vivant qu’une enfilade de tours anonymes.

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  8. jaco

    24 août 2009 à 19 h 28

    observation

    les gens de banlieu sont convaincus qu’ils sont écologiques:
    la pelouse, les fleurs, les arbres, les haies, les mangeoires d’oiseaux, le potager a légumes etc etc… sans oublier le « pet » familial (Lire chien ou chat) et le poisson rouge
    ————————————————-

    Le syndrome de « l’arche de Noé »

    La série américaine « Perdus dans l’espace » réalisé en 1965 coincide avec l,exode massif vers la banlieu.
    Les paralleles sont frappant quand on regarde le synopsis de la série et que l,on compare avec la réalité des centre-villes américains

    En 1965 les centre-villes américains sont au prises avec la violence raciale, la drogue, la délinquence, la pollution, la malpropreté..

    Et maintenant si on regarde le synosis de la série: »
    « En 2050, la planète Terre est à bout de course, épuisée sous l’action combinée de l’effet de serre et de la pollution. Menacée par une rebellion sauvage, il ne reste qu’un seul espoir à l’humanite: colloniser Alpah Prime, la planete habitable la plus proche de notre systeme solaire, a dix annees-lumiere. L’eminent scientifique John Robinson est designe pour mener a bien une mission de reconnaissance. Il decide d’emmener avec lui toute sa famille. Il ignore que le docteur Zachary Smith, a la solde de la rebellion, s’est indroduit dans « Jupiter II », leur vaisseau spatial.

    Si on le remanie ca donne ceci:
    EN 1965 LES VILLES-CENTRES sont a bout de course, épuisée sous l’action combinée de l’effet de serre et de la pollution. Menacée par une DÉLINQUENCE sauvage, il ne reste qu’un seul espoir à l’humanite: coloniser LA BANLIEUE, la planete habitable la plus proche de notre VILLE, a dix KILOMETRES DU CENTRE-VILLE. L’eminent scientifique John Robinson est designe pour mener a bien une mission de reconnaissance. Il decide d’emmener avec lui toute sa famille. Il ignore que le docteur Zachary Smith, a la solde de QUEBEC-URBAIN ET SES REBELLES ANTI-BANLIEU , s’est indroduit dans « LA FORD-JUPITERI », leur AUTO PAYÉ A CREDIT.
    ——————————————————

    Un commentaire un peu long pour dire qu’un des mythes fondateurs de la banlieu est AUSSI de sauver la planete !
    ou de se sauver de la dégradation anticipé des villes…

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  9. Hercule Poirot Utilisateur de Québec Urbain

    25 août 2009 à 09 h 50

    La banlieue respire et le centre-ville est congestionné.

    Pour corriger, on fait des parcs de verdure au centre-ville chassant du même coup les citoyens vers la banlieue.

    Le phénomène des ilots de chaleur urbains (ICU) est la tare des villes trop en hauteur et trop concentrées. Et dire que les environnementalistes prônent de densifier encore plus et de ne pas étaler. Le pire c’est que le GIEC ne reconnait pas comme déterminant les ilots de chaleur urbain alors que les adeptes de l’écologie en font leur cheval de bataille pour nous convaincre que les GES sont nocifs. Comme quoi le paradoxe est présent en environnement où l’on tire dans toutes les directions.

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    • Charles

      25 août 2009 à 10 h 27

      Ce qui chasse les citoyens de la ville, ce ne sont pas les parcs, mais les rues et les srtationnements sur-achalandés et pollués par les automobiles des banlieusards.
      Personne n’aime mettre sa vie et sa santé en danger, ni exposer ses enfants à la pollution et à l’agressivité des automobilistes.

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      • Manu

        25 août 2009 à 12 h 43

        Il y a aussi moyen de déplacer emplois et commerces en dehors de la ville question de réduire la présence « d’automobiles des banlieusards », mais ce sont ensuite les gens de la ville, qui devraient en être contents, qui se plaignent ensuite de tout voir déménager vers la banlieue. Il y a des avantages et des inconvénients à tout…

        De toute façon, à voir la quantité de véhicules avec des vignettes de la ville dans les rues des quartiers centraux, tout comme la grande quantité de voitures dans les stationnements de ruelles et de cours arrière en ville, c’est plutôt déplacé de considérer que ce ne sont que les automobiles des banlieusards qui polluent le coin.

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      • Réal Utilisateur de Québec Urbain

        25 août 2009 à 13 h 24

        Sans vouloir faire une guerre de chiffres sur le nombre d’autos des banlieues qui roulent en ville, il suffit d’aller d’aller sur d’Aiguillon, sur Ste-Marie ou au coin de Lavigueur-Côte St-Geneviève, aux heures où les bureaux de la Colline se vident pour se rendre compte que plus de 90% des autos qui y transitent n’ont pas de vignettes du quartier ou d’autres quartiers du centre-ville.

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    • Yvan Dutil

      25 août 2009 à 10 h 48

      « Le pire c’est que le GIEC ne reconnait pas comme déterminant les ilots de chaleur urbain  »

      Les ilots de chaleur urbains ont rien à voir avec les réchauffement climatique. D’une part, seulement 10% de la Terre est habité alors que le réchauffemente st global. De plus, c’est en Arctique qu’il se fait le plus sentir.

      Pour ce qu’il y est des ilots de chaleur, c’est relativement facile à contrôler: toits vert ou blanc, ajouter des arbres, etc

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      • Hercule Poirot Utilisateur de Québec Urbain

        25 août 2009 à 21 h 20

        Continuez Monsieur Dutil, vous êtes en train de dire que les humains concentrés dans les villes ne sont pas la cause des changements climatiques et c’est ce que dit depuis le début les scientifiques et les sceptiques alors que Greenpeace , Équiterre et tous les autres groupes subventionnées nous rendent coupables de ces changements.

        Ça doit être pour préserver leurs jobs subventionnées comme Steven Guilbault, le diplômé en théologie, qui est en train de quêter pour se construire une Maison du déveleoppement durable de 7 étages sur le terrain de 1,3 million au centre-ville de Montréal, cadeau de l’Hydro-Québec. On ne l’a pas entendu sur le débat de La Romaine…

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      • Yvan Dutil

        27 août 2009 à 11 h 21

        @Hercule Poirot

        La concentration des gens en ville n’a à priori rien à voir avce les changement climatique. C’est la production de gaz à effet de serre, particulièrement le CO2, qui est est la cause.

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  10. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    25 août 2009 à 11 h 37

    Dites vous que si la population de Québec grossit ce n’est pas parce que les Québécois font des bébés à profusion et ce n’est pas à cause de l’immigration massive non plus. Les gens qui sont à la recherche de terrains à Québec sont des gens qui quittent la campagne ou qui quittent Montréal. Dans le premier cas ils épargnent ainsi des terres agricoles en campagne, là où celles-ci sont le plus à leur place. Dans le cas des gens qui quittent Montréal, ca freine simplement l’étalement urbain de Mtl qui est encore plus entourée de bonnes terres agricoles que Québec.

    Pour ce qui est de la banlieue et de l’environnement, capotez pas! A vous entendre la présence de quartiers résidentiels serait polluant et désertifierait le secteur. Pourtant les maisons elles-mêmes prennent moins de 50% de la superficie des terrains, le reste c’est du gazon, des arbres, etc. Parfois aussi des patios et piscines, mais faut pas généraliser, c’est pas tout le monde qui a son terrain 100% aménagé avec 0% de verdure. Vous risquez pas mal plus de trouver des terrains avec 0% de verdure dans des quartiers centraux. Même en ajoutant globalement l’espace utilisé par les rues, entrées d’auto, boulevards et autoroutes, il reste encore un gros pourcentage de verdure. Le pire c’est les terrains commerciaux et industriels, dans ces cas là, la superficie du stationnement est souvent exagérée et la verdure quasi absente.

    Et vous avez beau chialer sur ces terrains industriels et commerciaux, mais il y a pas juste les banlieusards qui vont chez Wal-Mart et qui consomment les produits réalisés dans ces industries. Quand même vous voudriez construire un magasin à grande surface dans le Vieux-Québec, même sans parking, il n’y aurait aucune place. Idem pour les industries, entrepots.

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  11. Hercule Poirot Utilisateur de Québec Urbain

    25 août 2009 à 21 h 40

    Les verts viennent de piler sur une pelure de bananes quand un des dirigeants de Greenpeace vient d’avouer que les changements climatiques d’origine humaines sont exagérés et que son organisme a manipulé les données.

    http://www.betapolitique.fr/Le-dirigeant-de-Greenpeace-avoue-35771.html

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    • Jean Cazes (monlimoilou.com)

      25 août 2009 à 22 h 20

      « Les verts viennent de piler sur une pelure de bananes quand un des dirigeants de Greenpeace vient d’avouer que les changements climatiques d’origine humaines sont exagérés et que son organisme a manipulé les données. »

      Quel est le rapport, avec le sujet? Est-ce une raison de continuer la fuite en avant?

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    • Yvan Dutil

      26 août 2009 à 09 h 51

      Fernand sort de ce corps!

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    • Yvan Dutil

      26 août 2009 à 10 h 34

      J’ai lu le texte. D’une part c’est un texte en français qui interprête ce qui a été dit en anglais. D’autre part, la discussion parle uniquement de la fonte des glaces au pole nord. Cele ressemble plus à une mauvaise communication qu’à la modification des faits. Beaucoup de monde s’entends pour dire que le pole nord sera libre de glace vers 2030 en été. C’est pas dans le rapport du GIEC en passant qui parle de 2080. Je pense que la différence n’a pas été fait entre les glaces flottantes et l’Islandis du Groenland qui prendra ou minimum quelques siècles pour fondre.

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    • Carol

      26 août 2009 à 15 h 31

      Tien ça ressemble a du Fernand tout craché !

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  12. Michel

    25 août 2009 à 21 h 59

    Stop…Laissez donc le choix à celui qui va investir une partie de sa vie et de ses économies dans le milieu qu’il désire vivre….Il y a les fadas de macadam, et les fadas de banlieue ..

    Le jour ou nous aurons un Dave-deux pour trancher de la question, je déserte pour l’Afrique… Il y a d’excellente terres agricoles à St-Augustin-de-Desmaures qu’il ne faut pas toucher et qui ne seront jamais touchées. Par contre, pour le projet actuel, entre deux boulevards, à côté de la caisse Populaire, presque en plein centre du village, pour les arpents verts on repassera…. Et pour les petits alarmistes qui croient que tous ceux qui demeurent en dehors de l’arrondissement de la Cité/Limoilou sont des banlieusards riches, égoïstes, anti-écologiste,qui vont ruiner la planète, alors, comme disais Brassens, je vous emmerde… En passant Saint-Augustin-de-Desmaures a plus de 300 ans.

    Il y aura toujours des gens, qui seront incapable de vivre dans un centre-ville, la banlieue ce n’est pas seulement une rangée de bungalows, c’est un choix de vie.

    Pour les petits dictataires, qui au nom de l’écologie BCBG, proposent des solutions aussi imbéciles que celles de Dave-Deux, J’ose encore faire parler Brassens.

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    • Goldoche

      25 août 2009 à 22 h 36

      Très bien dit!

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    • dave deux

      26 août 2009 à 06 h 55

      Encore un autre qui pensent localement. Aucune vision a long terme.
      La dictature du libre choix ou nous retrouvons que deux modèles,
      la ville ou la banlieue. C’est le problème a Québec, cette tyrannie
      de ce double choix est librement consentie par des gens serviles,
      qui ont choisi volontairement de ne plus choisir. En ce concerne ton
      choix d’aller vivre en Afrique, bonne initiative, comme ça vous allez
      constater c’est quoi la pénurie des terres agricoles et vous rendre
      compte que celles qui restent doivent servir a nourrir les gens et non pas a construire de petits bungalows qui non même pas le mérite
      d’être architecturalement beau.

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    • Réal Utilisateur de Québec Urbain

      26 août 2009 à 10 h 30

      C’est tout le débat fondamental entre le bien commun et les intérêts particuliers qu’on touche là. Ça rejoint le petite polémique relative aux tondeuses du dimanche matin soulevée par Marc Simoneau et la réaction d’un citoyen (sans doute partagée par beaucoup de banlieusards) qui écrit ce matin que  » … la vertueuse quête de quiétude n’est qu’intolérance et menace à la QUALITÉ DE VIE (des) citoyens…  » Donc, pour certains de ces citoyens, leur qualité de vie prime sur tout, même si ça brime celle des autres.

      Les gouvernements, à tous les paliers, ne mettront jamais leurs culottes pour régler le phénomène de l’étalement urbain et les problèmes qui en découlent et les intérets personnels de leurs citoyens (voteurs) continueront à définir les grandes orientations de notre vie en société, c’est à dire, comme disait mon père, au plus fort la poche !

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    • Charles

      26 août 2009 à 12 h 48

      Michel, votre «choix» individuel est nuisible à la majorité, habitants des banlieues inclus. C’est un choix illogique et parfaitement inefficace menant au gaspillage des ressources.

      Que fuyez-vous, au juste? La circulation automobile et la détérioration du milieu de vie qui en découle. Dans votre jardinet, vos enfants ne peuvent se faire frapper, et vous respirez l’air pur, loin du gaz des autos.

      Il faut renverser la vapeur de façon à ce que ce «choix» soit découragé, car vous faites partie du problème. Pour ce faire, il faut rendre la ville de nouveau attrayante en limitant la circulation automobile. Il ne s’agit pas de faire du dirigisme, mais simplement de corriger une distorsion couteuse.

      Si vous sortez de Québec à l’occasion, ou si vous lisez, vous verrez que ce changement est dans l’air du temps. Le paysage de nos villes est appelé à changer, et ce, au bénéfice de tous.

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  13. fernand Utilisateur de Québec Urbain

    26 août 2009 à 16 h 09

    Dans le cas des tondeuses tout est question de tolérance.

    Dans le cas de Marc Simoneau qui ne tolère pas ses voisins, ces derniers le dérangent quoiqu’ils fassent.

    Dans une ville qui s’étend de plus en plus tout est question de choix et de goût. Certains préfèrent les espaces verts de la banlieue ; d’autres choisissent de s’entasser en ville. Ce que j’ai horreur c’est de vouloir imposer son choix aux autres.

    J’ai acquis une propriété dans un centre structurant d’une ville de banlieue : Beauport. Je l’ai aménagé à mon goût et je suis heureux comme ça, n’en déplaise à d’aucuns.

    Quand aux calottes polaires, elles se déplacent fondent et se reforme au gré des millénaires. Ni vous, ni moi, ne pouvons y faire quelque chose sauf les gens qui crient au loup à chaque fois qu’ils découvrent un phénomène naturel. N’est-ce pas un iceberg immense détaché du Groenland qui a fait couler le Titanic en 1909 ? À ce moment, il n’y avait pas de Greenpeace pour ameuter la plèbe et leur faire accroire la fin du monde. Aujourd’hui avec les moyens de communications que l’homme a créé, on peut effrayer toute une planète.

    Et dire que les météorologues ne peuvent prédire 48 heures à l’avance et qu’il faut croire des théories calculées avec les mêmes appareils informatiques pour nous prédire l’apocalypse dans 100 ans. Qui est-ce qui manipule l’opinion publique ? Voici des citations qui en disent long…

    « Le fait que l’effet de serre ne peut être détecté dans la basse troposphère, pendant de longues périodes, montre que le réchauffement qui est évident dans les mesures de surfaces ne peut pas être dû à l’effet de serre. » Vincent Gray est depuis 1991 et jusqu’à nos jours inclus, un des relecteurs officiels et attitrés des différents rapports pondus par le GIEC. Spécialiste chevronné du climat, il a été jusqu’à écrire un livre (The Greenhouse Delusion: A Critique of ‘Climate Change 2001) et plusieurs articles, dont un, récemment, en 2007, pour dénoncer les abus et les erreurs commises par cet organisme.

    « Il y a tant de gens qui tirent bénéfice de cette affaire de réchauffement de la planète – tous les grands laboratoires de recherche et autres. L’idée est d’effrayer le grand public afin de recevoir de l’argent et de poursuivre ses travaux. Maintenant que la guerre froide est terminée, nous devons nous fabriquer un nouvel ennemi, commun à tous, pour soutenir la Science et quel est le meilleur ennemi commun pour la planète que les gaz à effets de serre ? » BILL GRAY est professeur émérite (donc retraité) au laboratoire de Sciences Atmosphériques de l’Université de l’Etat du Colorado. 4 novembre 2008

    “Warming fears are the worst scientific scandal in the history. When people come to know what the truth is, they will feel deceived by science and scientists.” Dr. Kiminori Itoh, membre du GIEC et spécialiste de renommée mondiale en chimie-physique de l’environnement

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    • Yvan Dutil

      26 août 2009 à 21 h 32

      « . N’est-ce pas un iceberg immense détaché du Groenland qui a fait couler le Titanic en 1909 ? »

      Fernand, l’iceberg du Titanic n’était aps particulièrement gros, rien à voir avec un bout de banquise vieux de plusieurs milliers d’années.

      « Et dire que les météorologues ne peuvent prédire 48 heures à l’avance et qu’il faut croire des théories calculées avec les mêmes appareils informatiques pour nous prédire l’apocalypse dans 100 ans. Qui est-ce qui manipule l’opinion publique ? Voici des citations qui en disent long… »

      Cela n’a rien à voir Fernand. Si vous jeter une pièce de monaies en l’air, vosu ne pouver prédire de quelle coté elle va tomber. Par contre, vosu pouvez prédire avec une grande précision en moyenne ce qui se passera. La météo c’est la fluctuation autour de la moyenne, la climatologie s’intéresse aux moyennes. C’est pourquoi l’horizon de prédiction est beuacoup plus grand.

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      • fernand Utilisateur de Québec Urbain

        27 août 2009 à 10 h 50

        « Il n’y a aucun lien prouvé entre réchauffement global et activités humaines »
        Yury Izrael, vice président du GIEC (Novosti mai 2005)

        « Je ne connais pas un seul météorologue d’Etat qui adhère à la théorie du réchauffement d’origine humaine. » James Spann, météorologiste certifié de l’Etat d’Alabama Février 2007

        « Notre capacité à produire des prédictions basées sur les modèles semble avoir dépassé en vitesse notre capacité à utiliser ces outils informatiques avec sagesse dans les processus de décision.  » Roger Pielke Jr, NATURE Vol 447 le 3 Mai 2007

        « Les ordinateurs permettent à un mauvais modèle d’être précisément faux. » William Gray, spécialiste des ouragans

        « J’admettrais sans peine que [au sujet du réchauffement climatique], nous avons franchi la ligne qui sépare le reportage et l’activisme. » Charles Alexander, Senior Science Editor de Time Magazine

        Greenpeace et al font de l’activisme…

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      • Yvan Dutil

        27 août 2009 à 11 h 17

        @Fernand

        Vous n’avez lu aucun de ces articles. Vosu n’avez aucunne idée du contexte ou elles ont été utilisées et vous ne savez pas si elle se rapporte réellement à votre point.

        Par exemple, la citation

         » Je ne connais pas un seul météorologue d’Etat qui adhère à la théorie du réchauffement d’origine humaine. » James Spann, météorologiste certifié de l’Etat d’Alabama Février 2007″

        Est totalement contedite par un sondage récent de l’AGU qui montre que la grande majorité des métérologues croient à la théorie du réchauffement d’origine humaine.

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      • Yvan Dutil

        27 août 2009 à 12 h 59

        @Fernand Vous êtes un bel exemple de comment il est facile de manipuler la population avec des citations sortie de leur contexte. Voici la texte original d’où provient votre citation de Roger Pielke:

        http://www.carboocean.org/upload/images/nature447-7140-34_Unearthing_gender_issues.pdf

        Pielke critique un livre où les auteurs critiquent l’utilisation abusive de modèles mathématiques. Ce n’est donc pas une affirmation faite dans el cadre d’une publication scientifique. Ce qui est intéressant c’est que les auteurs malgré leur méfiance face aux modèles appuient l’idée que les changements climatiques sont d’origine humaine.

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      • Yvan Dutil

        27 août 2009 à 13 h 04

        @Fernand plus pissant encore voici une citation de Pielke lui-même:

        http://climatesci.org/2007/12/10/correction-to-a-december-10-2007-bbc-news-article/

        Humans are significantly altering the global climate, but in a variety of diverse ways beyond the radiative effect of carbon dioxide. The IPCC assessments have been too conservative in recognizing the importance of these human climate forcings as they alter regional and global climate. These assessments have also not communicated the inability of the models to accurately forecast the spread of possibilities of future climate. The forecasts, therefore, do not provide any skill in quantifying the impact of different mitigation strategies on the actual climate response that would occur

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    • Jp-Duval

      28 août 2009 à 09 h 20

      Question: Qui a couler le Titanic??

      Réponse: Iceberg!

      Merde encore un juif!!!

      Raisonnement de type dave deux

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  14. Michel

    26 août 2009 à 18 h 05

    Charles, Charles, Charles……Réveil….Ok on lâche télétoon et on commence à jaser adulte. La population de l’agglomération de la Ville de Québec est d’environ 503 000 habitants. Ce que vous appeler la Ville en comprend environs 200 000 et le reste est dans ce que vous dédaigner appeler la banlieu.

    Bien oui, plein de bazous qui entre en ville le matin… Le problème est t’il vraiment la banlieu ou l’incapacité de prendre de bonnes décision de développement. je site uniquement l’exemple de vouloir transformer l’hôtel-Dieu en méga centre hospitalier. Il faut penser qu’en plus cet hôpital va desservir tous l’est de la province. Ça, sa va être un autre casse tête pour le problème des bazous en ville.

    Plusieurs parle des terres agricoles qu’il faut conserver, Ça prend aussi du monde pour les exploités. Ça prend des petites villes et villages qui puissent offrir un environnement physique et social agréable pour attirer les jeunes à s’intéresser à l’agriculture. J’en connais pas un qui va partir de Limoilou pour aller traire ses vaches à Neuville le matin.

    Le PQ avec la mère Harrel avait trouvé la solution en 2002, tout fusionné et il en sera fini de l’étalement urbain. Fantastique…Ste-Brigitte-de-Laval, Sainte-Catherine, Neuville et l’ensemble des villes en dehors de l’agglomération de Québec ont vu leur développement explosé.

    Contrairement à ce qu’en pense Dave-Deux, je suis loin de penser localement, je pense pour l’ensemble de l’agglomération de la Ville et bien sur que je sort à l’occasion. La Ville de Québec est encore un gros Village dans le sens physique alors pensons à son développement futur. Dans le respect de l’ensemble de ses habitants incluant les 300 000 banlieusards actuels et futur.

    Non, vous ne me convaincrez jamais que pour sauver la planète je devrais aller vivre dans un centre-ville.

    Je n’embarque pas (pour le moment) sur votre accusation que je gaspille les ressources par mon choix de vie. Je trouve l’accusation trop simpliste et gratuite. Je ne suis pas en fuite, j’ai fais un choix, comme un homme, j’ai décidé.

    Je tolère les tondeuses, le rhume des foins, les 6 autobus par jours et les jeunes qui poussent à profusion dans mon quartier. C’est une qualité de vie qui me convient. POINT.

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    • Erick Utilisateur de Québec Urbain

      27 août 2009 à 09 h 56

      Super bien dit, Michel (pour l’ensemble de vos commentaires).

      Je me demande comment des gens qui n’ont pas un seul poil de verdure sur leur terrain et presque aucun dans leur quartier peuvent venir faire la morale « environnementale » à ceux qui ont la moitié de leur terrain en verdure.

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  15. dave deux

    26 août 2009 à 19 h 20

    Disons que pour moi, « penser localement¨ inclus Québec et la
    région. Faut voir la préservation des terres agricoles dans une
    vision a long terme, dans un monde ou c’est une denrée de plus en
    plus rare, au même titre que l’eau. A court terme c’est vrai que la
    région et le Québec n’a pas trop de soucis a ce faire a ce point du vue. Mais a long moyen et long terme, là je ne suis pas si sûr.
    Il fat dons prévoir a long terme, ce que nos minables petits
    politiciens sont incapables de faire dépassé l’échéance électorale.
    Ce sont des unités biologiques obsolètes.

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    • Goldoche

      26 août 2009 à 22 h 53

      L’histoire des terres agricoles c’est une excuse facile Dave. Tu es un apôtre de Malthus et ça paraît. Le fait d’utiliser des terres agricoles qui étaient boisés ne changera en rien l’état de la sécurité alimentaire dans le monde.

      Les terres agricoles sont peut-être plus rares dans certaines régions comme la Chine et l’Inde, mais dans plusieurs pays il y a des terres à l’abandon faute de rentabilité.

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  16. Réal Utilisateur de Québec Urbain

    27 août 2009 à 08 h 05

    On ergotera tant qu’on voudra sur l’état de ces terres zonées agricole, sur la légitimité des choix de vie en nouvelle banlieue ou au centre-ville, et toute autre excuse pour ne pas affronter le problème de l’étalement urbain contrôlé par les promoteurs ( avec la bénédiction des élus locaux), un fait indéniable demeure: l’étalement urbain incontrolé est un gaspillage de ressources qui ne sont pas inépuisables et qui ne seront plus disponibles pour les générations futures.

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  17. Manu

    27 août 2009 à 20 h 48

    D’un autre côté, si ces terres se trouvent juste à côté du centre du village de St-Augustin, n’est-ce pas là une bonne façon de densifier leur centre?

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