Québec, le 1er septembre 2009 – La Ville de Québec est fière d’annoncer le lancement du premier programme de distribution gratuite, à grande échelle, d’avertisseurs de fumée. À compter de demain, le Service de protection contre l’incendie (SPCIQ) entreprendra la distribution des premiers des quelque 240 000 avertisseurs de fumée prévus au projet.
Le programme de distribution s’étalera sur six ans et débutera dès cet automne par la distribution de près de 40 000 avertisseurs dans l’arrondissement de La Cité.
* A noter qu’il faut s’y présenter avec une copie de votre compte de taxes (il servira à déterminer l’année de construction qui doit être avant 1981) et une preuve d’identité avec photo.
2 septembre 2009 à 10 h 21
D’un côté, c’est une « bonne action », mais d’un autre, c’est déplorable qu’on doive en arriver à de pareilles mesures pour tenter de pallier à l’irresponsabilité des gens.
En même temps, ne pourrait-on pas désormais exiger que tout lieu d’habitation bâti avant 1981 soit désormais muni d’un détecteur de fumé? On pourrait même ajouter que d’ici 5 ans, tous ces détecteurs doivent être reliés à l’entrée électrique (s’il y en a une) des lieux. Comme ça, il est toujours possible de le débrancher, mais il ne peut pas rester un an sur le comptoir parce qu’une personne n’est pas foutue de trouver une batterie de remplacement.
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2 septembre 2009 à 18 h 33
Maintenant, les détecteurs ont une pile au lithium qui dure 10 ans… c’est encore mieux que de le relier au système électrique puisqu’il fonctionne même en cas de panne de courant.
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3 septembre 2009 à 09 h 04
En effet, dus-je préciser que je voulais dire qu’on le reliait au système électrique en plus de la batterie.
Dans ce cas-ci, la pile au lithium est bien, mais comme elle est faite pour ne pas être changée (à moins de démonter l’appareil bien sûr), c’est le détecteur au complet qu’il faudra changer. Ils risquent donc tous de se ramasser à la poubelle d’ici 10 ans en moyenne (ça peut être 5 comme ça peut être 15) et on sera de retour à la case zéro (en plus d’avoir produit inutilement des déchets qui ne seront pas probablement recyclés convenablement)
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