Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Secteur Lebourgneuf : entre la quiétude et l’effervescence

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 24 septembre 2009 10 commentaires

Jacques Bélanger
Le Journal de l’Habitation

Abritant le plus grand parc vert de la capitale et accueillant sept parcs industriels, l’arrondissement Des Rivières oscille entre la quiétude et l’effervescence. (…) Au cours des dernières années, l’arrondissement Des Rivières a connu de nombreuses mises en chantier. À la lumière des données transmises par la Société canadienne d’hypothèques et de logements (SCHL), on apprend de l’analyste principale de marché, Élisabeth Koulouris, qu’entre 2003 et 2008, ce sont les logements en copropriété qui ont eu la faveur des constructeurs.

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La Nouvelle Ville de Québec ?

Voir aussi : Arrondissement Les Rivières.


10 commentaires

  1. Christophe

    24 septembre 2009 à 16 h 29

    Nouvelle Ville de Québec ? Pas d’accord, ce quartier est présentement sur une vague, comme d’autres avant lui. Bientôt les terrains vont manqués et le développement sera bloqué. Même si on tente ensuite de densifier le secteur -si c’est réellement possible- on fera face à un autre problème : la circulation va saturer.

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  2. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    24 septembre 2009 à 16 h 51

    Lorsqu’il n’y aura plus de terrains disponibles, la croissance résidentelle va saturer, mais le secteur commercial n’arrêtera pas de pousser même si les terrains sont tous construits, tout comme Ste-Foy a continué de se développer et continue de le faire alors que ca fait longtemps qu’il n’y a plus de terrains libre.

    Je m’attends aussi à ce que lorsque le développement résidentiel de Lebourgneuf/Neufchatel-Est va saturer, c’est le gros carré de fotêt entouré par Chauveau, Henri-IV, Ste-Geneviève et L’Ormière qui va prendre la relève, ce qui amènera de l’eau au moulin aux commerces de Lebourgneuf.

    Pour ce qui est de la circulation, c’est évident que ca va saturer, mais les correctifs peuvent y être apportés aussi facilement qu’à Ste-Foy et beaucoup plus facilement qu’à Québec.

    N’oublions pas que ce quartier est en plein centre géographique des zones urbanisées et ne comporte aucun obstacle naturel qui gêne ses accès, seuls des obstacles humains le font.

    Boule de cristal, boule de cristal, dis-moi où sera le centre-ville dans 20 ans…. disons que nos élus seraient cons d’ignorer cette possibilité!

    Personnellement je ne suis pas attiré par ce secteur, question de gouts, mais je dois me rendre à l’évidence…

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    • Gérald Gobeil Utilisateur de Québec Urbain

      24 septembre 2009 à 17 h 07

      Je crois que vous posez bien la question: « Où sera le centre-ville dans 20 ans? ». Et comme nous sommes dans une période électorale où les enjeux sont discutés, que sait-on de la vision sur 20 ans de la Ville de Québec ? De la part des gens qui se présentent pour devenir membres du conseil municipal. Comment voient-ils la Ville dans 20 ans ?

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      • dave fortier

        24 septembre 2009 à 17 h 36

        Euh, j’veux pas péter votre balloune, mais le moyen terme n’existe pas chez les politiciens. De plus, les enjeux qui sont généralement
        discuté durant une campagne électorale sont disons très terre a terre
        genre « je vous promet des poubelles a chaque coin de rue ».

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    • Jeff M

      24 septembre 2009 à 17 h 54

      Je crois qu’on a un schéma clairement polycentrique, avec trois centres.

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    • Manu

      24 septembre 2009 à 19 h 38

      En passant Erick, ce gros terrain entre Henri IV et l’Ormière, qu’on a pu voir comme « zone potentielle différée » dans les PDAD, appartien en presque totalité (sauf une seule terre) à Cominar (plus précisément Corporation Financière Alpha (CFA) Inc.) Cominar possède aussi la majeure partie à l’ouest d’Henri IV, même des terres présentement cultivées ou utilisées à diverses fins (j’en déduis que ceux qui en font usage sont locataires).

      Alors ce qui s’y fera dépend de deux choses : les modifications au zonage et le bon vouloir de Cominar.

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    • Lucas

      25 septembre 2009 à 08 h 18

      En plein centre géographique? C’est fou comment on peut facilement oublier les gens de la rive-sud parfois (qui compte pour une grande partie des travailleurs de Québec)…

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  3. Jeff

    25 septembre 2009 à 09 h 59

    Quand il n’y auras pu de terrain pour bâtir, faudras se tourner vers la rive-sud comme l’a fait Montréal.
    Qui sais peut-être un jours Lévis deviendras aussi gros que Longueil, enfin je l’espère.Je crois que tout de même ce serais la solution au manque de terrain à Québec, que de s’exiler vers la rive sud . Montréal l’on fait, pourquoi pas le faire à notre tours.

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    • Lucas

      25 septembre 2009 à 10 h 24

      Montréal l’a fait oui. Avec succès? Pas sûr.

      J’ai un ami qui habite à Boucherville et qui doit se tapper plus de 2 heures par jour de traffic pour voyager sur l’île. On ne pourrait pas penser à autre chose comme solution que de continuer à s’étendre?

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  4. Marc-Antoine

    25 septembre 2009 à 14 h 44

    @ Lucas : J’habite sur l’île et cela ne me prends jamais deux heures pour voyager.

    Il faut choisir et arrêter de se plaindre.

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