Québec Urbain

L’Urbanisme de la ville de Québec en version carnet…


Le projet de piste cyclable sur René-Lévesque: Pas de ligne droite

Par Envoyer un courriel à l’auteur le 22 octobre 2009 15 commentaires

Samuel Auger
Le Soleil

(Québec) Les cyclistes devront prendre des détours dans une éventuelle piste cyclable sur le boulevard René-Lévesque. Advenant sa réélection, l’équipe du maire Labeaume abandonnera le projet d’un lien cyclable direct et sans interruption entre l’Assemblée nationale et l’Université Laval. La Ville planche désormais sur des voies de contournement pour préserver l’accès en voiture aux commerces près de l’avenue Cartier.

La suite

Un billet précédent

Voir aussi : Arrondissement La Cité - Haute-ville, Vélo.


15 commentaires

  1. julien Utilisateur de Québec Urbain

    22 octobre 2009 à 10 h 06

    bref, on s’enligne pour une piste cyclable qui ne fera pas l’affaire des maniaques (et qui de toute façon vont rouler sur la voie réservée pour ne pas faire de détour) et qui ne sera pas utilisée par ceux qui veulent une vraie piste cyclable et qui ne veulent pas rouler dans une voie d’autobus…

    c’est à peu près la pire des solutions il me semble…

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  2. Manu

    22 octobre 2009 à 10 h 33

    Dire que le maire voulait en faire son leg pour le 400e… certains « détails techniques » négligés au départ ne le permettaient pas, a-t-il dû admettre après coup. C’était pour une simple piste cyclable, imaginez pour le reste de ses « projets »…

    Et là plutôt que d’enlever des stationnements sur René-Lévesque, lesquels sont passablement encombrants pourtant, on risque de les enlever dans les rues résidentielles, ce qui touchera un peu les commerçants mais surtout les résidents. D’un autre côté, des résidents en ville, dans Motcalm, ne doivent peut-être pas s’attendre à avoir de l’espace pour garer leur voiture (et semble-t-il qu’ils n’en ont pas besoin de toute façon…)

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  3. Martin Paré

    22 octobre 2009 à 11 h 35

    Bon! C’est bien dommage! Encore une fois, le vélo est laissé au second plan. La voiture avant tout. :(

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  4. PhilT

    22 octobre 2009 à 14 h 50

    C’est fernand qui va être content!

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  5. Charles

    22 octobre 2009 à 14 h 51

    Comme tout le reste à Québec; l’auto d’abord. Piétons, cyclistes, autobus; tassez-vous. Pas arrivés au 21ème siècle.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
  6. Erick Utilisateur de Québec Urbain

    22 octobre 2009 à 15 h 53

    Youhou, si ca marche pas c’est pas à cause des autos, c’est que techniquement à certains endroits il n’y a simplement simplement pas assez de place pour 1 voie pour les autos + 1 voie pour les bus + 1 voie pour les bicycles + 2 trottoirs pour les piétons à certains endroits.

    Si quelqu’un a une solution « intelligente » et réaliste à ce problème…..

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Charles

      22 octobre 2009 à 15 h 58

      Il y aurait assez de place, c’est juste qu’on ne veut pas enlever deux voies pour le stationnement de rue. Évidemment, la piste cyclable en fait les frais, question de priorités.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
  7. Goldoche

    22 octobre 2009 à 19 h 10

    Mais moins de stationnements = plus difficile pour les commerçants

    Ce n’est pas tout le monde qui peut vivre d’eau fraîche et de rose

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Charles

      22 octobre 2009 à 22 h 10

      Un autobus=50 voitures, un tram=200 voitures

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • Goldoche

        22 octobre 2009 à 22 h 46

        En supposant que le bus soit plein…

        De toute façon, ce n’est pas en éliminant des stationnements que les gens vont moins prendre leur auto, ils iront ailleurs simplement. Mais ça, les écolos radicaux ne comprennent pas tout le temps ça.

        De toute façon, il me semble que la grande-allée est beaucoup mieux située pour une telle piste. On pourrait même utiliser partiellement les plaines d’Abraham.

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
  8. JT

    22 octobre 2009 à 22 h 58

    Les commerçants se tirent dans le pied. Ils ne se rendent pas compte que l’expérience de magasinage serait plus agréable sur Cartier et aux alentours s’il y avait moins de voitures.

    Ils doivent se rendent compte que les piétons et les cyclistes sont leurs clients les plus nombreux.

    Entre la vie d’un commerce et celle d’un cycliste, mon choix est simple. Comme la vie des commerces n’est pas menacée, de toute manière, je ne vois pas pourquoi on laisserait des miettes aux cyclistes. Les automobilistes n’accepteraient pas de faire des détours, les cyclistes ne feront pas différemment.

    Si New York est capable de tasser des voitures pour faire de la place aux cyclistes, je ne vois pas pourquoi Québec ne serait pas capable de le faire !

    Signaler ce commentaire

     ou annuler
    • Goldoche

      22 octobre 2009 à 23 h 11

      Mais les « piétons » sur Cartier, ont souvent stationné leur voiture à quelques rues de là pour y magasiner.

      Du moins c’est ce que je fais, ou bien je me tape 1h de bus ou 15 minutes d’auto, le choix est assez facile.

      Signaler ce commentaire

       ou annuler
      • JT

        23 octobre 2009 à 08 h 16

        Je ne dis pas qu’il n’y a pas de piétons qui se rendent là en voiture, mais qu’il ne faut pas surestimer l’importance de ces clients par rapport à ceux qui arrivent de leur bureau, du quartier ou à pied, en vélo et en bus.

        Cartier est à 20 minutes de chez moi en vélo et 30 en bus…

        Signaler ce commentaire

         ou annuler
  9. Sébastien

    23 octobre 2009 à 11 h 05

    Ben coudonc… Je vais continuer à rouler au travers des bus et des voitures moi, c’est tout!

    Comme le ¾ de mes collègues cyclistes d’ailleurs.

    Ce projet de piste cyclable a perdu toute sa raison d’être, autant l’abandonner et consacrer l’argent ailleurs.

    Signaler ce commentaire

     ou annuler