À ce titre, j’espère qu’il sera judicieusement conseillé par des spécialistes en la matière… et qu’il saura les écouter.
J’aime bien Labeaume mais en ce qui regarde ces dossiers d’urbanisme et de conservation, il faut prendre garde aux impulsions du moment et aux jugements superficiels.
Faut voir plus loin que des opinions du genre: « Le Complexe G, c’est laid ».
dans le même sens :
« Il [le maire Labeaume] reconnaît avoir sous-estimé au départ l’importance de réfléchir à l’aménagement lorsqu’on veut parler de plan de mobilité.
Voici quand même ce que M. Labeaume disait du comité sur la mobilité lors d’une rencontre éditoriale au Soleil, il y a quelques semaines : «Les réunions du comité de mobilité, c’est de l’intelligence pure; le monde qui est là est brillant.» » (Le Soleil, le 29 octobre 2009),
Voilà ce que déclarait le maire de Québec alors en campagne électorale à l’idée de transformer certains tronçons d’autoroutes en boulevards urbains.
Faisant acte d’humilité, admettant que les choix en matière d’aménagement, donc d’urbanisme, doivent être précédés d’un cadre de réflexion générale, que des projets à la petite pièce ne sont pas une solution, sinon qu’ils sont dictés uniquement par la donne financière à court terme, j’ose espérer que le maire et le comité consulteront des gens compétents ayant une vision large de l’urbanisme.
S’il reconnait l’importance de l’aménagement lorsqu’on parle de mobilité, pourquoi séparer les deux sous deux responsables ? Encore mieux, séparer mobilité durable et transport…
François Picard (Vice-président du comité exécutif) assume la responsabilité des dossiers suivants :
– Infrastructures et équipements
– Aménagement du territoire
– Transport
– Approvisionnement
– Gestion du nouveau Plan directeur
d’aménagement et de développement
Simon Brouard assume la responsabilité des dossiers suivants :
– Environnement
– Développement durable
– Mobilité durable
– Tourisme
Je me doute bien, enfin tout au moins j’espère, que ces deux personnes seront en étroite collaboration… Bien entendu, tout mettre sous la responsabilité d’une seule personne fait un gros dossier aussi !
Autant j’ai détesté Labeaume suivant son accession à la mairie en décembre 2007, avec ses déclarations à l’emporte-pièce, son esprit de confrontation et certaines de ses décisions, autant il me surprend agréablement depuis sa réélection.
Je craignais que son couronnement le rendrait encore plus « baveux », mais je constate que c’est le contraire qui se produit. Toujours très sûr de lui, mais avec un peu plus d’humilité, sans perdre sa fougue ni sa vision de Québec.
Quand il est arrivé il était le petit nouveau, il avait des idées et des ambitions, certains remettaient en question son expérience et ses capacitées. Au fur et à mesure il s’est fait un nom et les gens ont compris son énergie et sa vision.
Et les langues sales ont mordues la poussière (RMQ).
Il est reconnaissant et veut rallier tout le monde.
Je me demande que ferons les autres conseillers élus. Labeaume n’en a cure car quand il a besoin il engage dans son cabinet : Line-Sylvie Perron, Denis Ricard, Clotaire Rapaille, etc…
Bientôt il y aura plus de spécialistes dans le cabinet du maire avec des missions qu’il y aura d’élus à la table. Baltimore est son exemple : 600,000 citoyens, 12 conseillers et 90 employés dans le bureau du maire. Vous apprendrez qu’à Baltimore les démunis doivent écrire au maire pour avoir une dinde pour l’action de grâce… Viendrons-nous dépendants des décisions du maire jusque là dans notre vie de tous les jours ???
En tout cas, Brouard a comme mission de nous imposer un troisième bac brun dans la périphérie, le centre-ville sera épargné dans la première phase, alors que le bac bleu n’est pas utilisé partout encore (industries, restos du centre-ville, blocs de plus de 12 logements) et que les centres de tri auront tantôt un manque de clientèle, les obligeant à trier une partie pour l’incinérateur. Mais ça faut pas en parler, c’est pas vendeur…
11 novembre 2009 à 17 h 32
À ce titre, j’espère qu’il sera judicieusement conseillé par des spécialistes en la matière… et qu’il saura les écouter.
J’aime bien Labeaume mais en ce qui regarde ces dossiers d’urbanisme et de conservation, il faut prendre garde aux impulsions du moment et aux jugements superficiels.
Faut voir plus loin que des opinions du genre: « Le Complexe G, c’est laid ».
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11 novembre 2009 à 18 h 07
dans le même sens :
« Il [le maire Labeaume] reconnaît avoir sous-estimé au départ l’importance de réfléchir à l’aménagement lorsqu’on veut parler de plan de mobilité.
Voici quand même ce que M. Labeaume disait du comité sur la mobilité lors d’une rencontre éditoriale au Soleil, il y a quelques semaines : «Les réunions du comité de mobilité, c’est de l’intelligence pure; le monde qui est là est brillant.» » (Le Soleil, le 29 octobre 2009),
Voilà ce que déclarait le maire de Québec alors en campagne électorale à l’idée de transformer certains tronçons d’autoroutes en boulevards urbains.
Faisant acte d’humilité, admettant que les choix en matière d’aménagement, donc d’urbanisme, doivent être précédés d’un cadre de réflexion générale, que des projets à la petite pièce ne sont pas une solution, sinon qu’ils sont dictés uniquement par la donne financière à court terme, j’ose espérer que le maire et le comité consulteront des gens compétents ayant une vision large de l’urbanisme.
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11 novembre 2009 à 22 h 09
S’il reconnait l’importance de l’aménagement lorsqu’on parle de mobilité, pourquoi séparer les deux sous deux responsables ? Encore mieux, séparer mobilité durable et transport…
François Picard (Vice-président du comité exécutif) assume la responsabilité des dossiers suivants :
– Infrastructures et équipements
– Aménagement du territoire
– Transport
– Approvisionnement
– Gestion du nouveau Plan directeur
d’aménagement et de développement
Simon Brouard assume la responsabilité des dossiers suivants :
– Environnement
– Développement durable
– Mobilité durable
– Tourisme
Je me doute bien, enfin tout au moins j’espère, que ces deux personnes seront en étroite collaboration… Bien entendu, tout mettre sous la responsabilité d’une seule personne fait un gros dossier aussi !
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11 novembre 2009 à 20 h 01
Autant j’ai détesté Labeaume suivant son accession à la mairie en décembre 2007, avec ses déclarations à l’emporte-pièce, son esprit de confrontation et certaines de ses décisions, autant il me surprend agréablement depuis sa réélection.
Je craignais que son couronnement le rendrait encore plus « baveux », mais je constate que c’est le contraire qui se produit. Toujours très sûr de lui, mais avec un peu plus d’humilité, sans perdre sa fougue ni sa vision de Québec.
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11 novembre 2009 à 21 h 02
Quand il est arrivé il était le petit nouveau, il avait des idées et des ambitions, certains remettaient en question son expérience et ses capacitées. Au fur et à mesure il s’est fait un nom et les gens ont compris son énergie et sa vision.
Et les langues sales ont mordues la poussière (RMQ).
Il est reconnaissant et veut rallier tout le monde.
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12 novembre 2009 à 09 h 25
Je me demande que ferons les autres conseillers élus. Labeaume n’en a cure car quand il a besoin il engage dans son cabinet : Line-Sylvie Perron, Denis Ricard, Clotaire Rapaille, etc…
Bientôt il y aura plus de spécialistes dans le cabinet du maire avec des missions qu’il y aura d’élus à la table. Baltimore est son exemple : 600,000 citoyens, 12 conseillers et 90 employés dans le bureau du maire. Vous apprendrez qu’à Baltimore les démunis doivent écrire au maire pour avoir une dinde pour l’action de grâce… Viendrons-nous dépendants des décisions du maire jusque là dans notre vie de tous les jours ???
En tout cas, Brouard a comme mission de nous imposer un troisième bac brun dans la périphérie, le centre-ville sera épargné dans la première phase, alors que le bac bleu n’est pas utilisé partout encore (industries, restos du centre-ville, blocs de plus de 12 logements) et que les centres de tri auront tantôt un manque de clientèle, les obligeant à trier une partie pour l’incinérateur. Mais ça faut pas en parler, c’est pas vendeur…
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