J’ai fréquenté cet endroit pendant plus de 18 mois. Visiter cet endroit change une vie!. Si toute la population avait la chance de faire un stage d’une journée à l’intérieur de ce bâtiment, ils changerait leur façon de conduire pour toujours!
Je ne suis pas de ces lecteurs de Québec Urbain qui souhaitent voir des gratte-ciels partout. Toutefois, à chaque fois que je passe à côté du centre François-Charron, je n’en reviens pas du gaspillage d’espace, en plein centre-ville, dû à cet immense bâtiment d’à peine 2 étages. Je comprend que l’accessibilité pour les handicapés est un critère essentiel dans ce cas, mais il me semble que des chaises roulantes ça rentre dans un ascenseur ! Je pense qu’il y a là une opportunité de densification exceptionnelle. On pourrait greffer à ce centre des résidences spécialisées, ajouter des étages à certaines ailes pour loger d’autres installations du réseau de la santé… que sais-je. En tous cas, c’est bête de si mal utiliser de si vastes terrains si bien situés…
Le handicap est un état. Mais le handicap provient aussi des contraintes qui sont créées. Or, construire en hauteur, ne serait-ce qu’ajouter 3,4, étages, donc plus de déplacements en ascenseur, ainsi augmenter le potentiel de contraintes, un bris par exemple, c’est mettre en péril la qualité de vie des usagers. Parce que le centre est un milieu de vie. L’architecture, c’est aussi ça : tenir compte des usages.
Franchement François sur quelle planète tu vis où devrais-je te demander de quelle époque viens-tu?
Pour personne en chaise roulante un ascenseur c’est formidable! Ton commentaires est une insulte à l’intelligence humaine mais surtout méprisante pour les personnes handicapé, tu les crois incapable de pesé sur un bouton d’ascenseur?
O.K., je comprends que rouler sur un même étage c’est plus pratique pour la clientèle du centre. Je comprend aussi qu’à l’époque où on a construit l’immeuble, la densification urbaine n’était pas un enjeu comme ce l’est aujourd’hui. Je ne blâme donc personne pour le gaspillage d’espace… Je dis simplement qu’il serait possible aujourd’hui de maximiser l’utilisation de ce terrain en greffant d’autres usages au centre François-Charron sans nuire à la vocation première du centre. Et je persiste à penser qu’une bonne partie de la clientèle du centre ne souffrirait aucunement d’avoir à emprunter un ascenceur de temps en temps.
Il y a vraiment des lecteurs de QU qui souhaite voir des gratte-ciels partout ?? Ahh.. oui c’est vrai, ici 5 étages c’est de la haute densité, 6 c’est une tour, et à 17 on est rendu dans les grattes-ciels.
Dans ce cas je suis abonné au fan-club des gratte-ciels !!
Pendant ce temps, dans le reste de la planète, un gratte-ciels doit mesurer plus de 150 mètres… (40 étages + )
Cet hôpital spécialisé a été construit dans la fin des années 60 par la Commissions des Accidents de Travail pour y accueillir les accidentés du travail qui avaient besoin de réhabilitation. Voilà pourquoi on a construit sur un même étage car des chaises roulantes y circulent en grand nombre…
Dans les années 70, le centre à été vendu au gouvernement du Québec pour y loger le CRSSS et permettre d’élargir la clientèle aux handicapés ou mutilés de tous les horizons autant de la route que du travail ou simplement une déformation à la naissance.
Je pense que s’ils ont fait ça juste sur un étage c’est également pour faire des économie de bouts de chandelle. Ce bâtiment est très utile serte, mais très mal construit. Si vous prenez le couloir qui part de la porte où il y a la sécurité et une drôle de fresque et que vous vous rendez jusqu’au café (qui sert de la bonne bouffe pour un café d’hôpital), vous allez voir que la verrière est pourrite. L’hiver on gèle. Sur la porte à côté du café il y a un igloo et c’est écrit de garder les portes fermer pour la climatisation. L’affaire c’est que la climatisation c’est le dehors et ça entre dedans comme si c’était ouvert! Quand on se promène dans ce centre là, on voit que tout a été fait de façon très cheap. Sauf ce qui a été rénové. Même là, des fois on se demande si certaines de leurs rénovations ne sont pas plus cheap que l’original. Mon père dit que ce centre est raboudinné de partout… Il y a vécu un bon bout de temps alors il sait de quoi il parle.
Pier Luc j’ai travaillé à la CAT qui est devenue la CSST. Mon camarade de voyage qui était entré en 1969 a participé à la vérification des coûts de construction car notre service de vérification avait eu le mandat de vérification interne de la construction. À cette époque , on pensais au comfort des handicapés pas à construire en hauteur pour économiser sur l’espace de terrain. On avait pas les mêmes préoccupations à l’époque où les espaces inoccupés étaient légion et les terrains peu dispendieux…
« …Ton commentaires est une insulte à l’intelligence humaine mais surtout méprisante pour les personnes handicapé, tu les crois incapable de pesé sur un bouton d’ascenseur? »
Ah les pseudo communications sur internet ! Souvent des malentendus, dû à un manque de désir de poser des questions pour éclaircir certains points. (J’aurais envie de dire pathétique…)
Puisqu’il est question d’intelligence Gilbert, je te prierais de relire mon commentaire. J’écrivais que des étages, donc des ascenseurs, donc le risque de bris, donc l’impossibilité de leur utilisation, c’est augmenter les contraintes. Et en terminant, oui pour certaines personnes, juste appuyer sur un bouton d’ascenseur c’est un parcours du combattant. Une contrainte de plus.
Cet immeuble ne peut pas accueillir d’étage supplémentaire à cause de la composition du terrain qui est en fait un ancien milieu humide et marécageux (une swamp) qui offre peu de support pour un édifice en hauteur. Actuellement il « s’agrandit par l’intérieur », c’est à dire que de grands locaux sont subdivisés en de nombreux petits espaces à bureaux ou pour répondre aux besoins des thérapies de toutes sortes.
De plus, vous ne pourrez plus trouver le nom du Centre François-Charon dans l’annuaire téléphonique car cet appellation n’existe plus que dans la tradition orale. Il s’appelle maintenant « Institut de Réadaptation en Déficience Physique de Québec » (IRDPQ pour les intimes)
25 novembre 2009 à 08 h 17
J’ai fréquenté cet endroit pendant plus de 18 mois. Visiter cet endroit change une vie!. Si toute la population avait la chance de faire un stage d’une journée à l’intérieur de ce bâtiment, ils changerait leur façon de conduire pour toujours!
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25 novembre 2009 à 08 h 55
C’est un bâtiment assez immense merci. Certains membres du personnel se déplacent même en voiture électrique à l’intérieur.
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25 novembre 2009 à 09 h 38
Je ne suis pas de ces lecteurs de Québec Urbain qui souhaitent voir des gratte-ciels partout. Toutefois, à chaque fois que je passe à côté du centre François-Charron, je n’en reviens pas du gaspillage d’espace, en plein centre-ville, dû à cet immense bâtiment d’à peine 2 étages. Je comprend que l’accessibilité pour les handicapés est un critère essentiel dans ce cas, mais il me semble que des chaises roulantes ça rentre dans un ascenseur ! Je pense qu’il y a là une opportunité de densification exceptionnelle. On pourrait greffer à ce centre des résidences spécialisées, ajouter des étages à certaines ailes pour loger d’autres installations du réseau de la santé… que sais-je. En tous cas, c’est bête de si mal utiliser de si vastes terrains si bien situés…
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25 novembre 2009 à 16 h 26
Le handicap est un état. Mais le handicap provient aussi des contraintes qui sont créées. Or, construire en hauteur, ne serait-ce qu’ajouter 3,4, étages, donc plus de déplacements en ascenseur, ainsi augmenter le potentiel de contraintes, un bris par exemple, c’est mettre en péril la qualité de vie des usagers. Parce que le centre est un milieu de vie. L’architecture, c’est aussi ça : tenir compte des usages.
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25 novembre 2009 à 23 h 31
Franchement François sur quelle planète tu vis où devrais-je te demander de quelle époque viens-tu?
Pour personne en chaise roulante un ascenseur c’est formidable! Ton commentaires est une insulte à l’intelligence humaine mais surtout méprisante pour les personnes handicapé, tu les crois incapable de pesé sur un bouton d’ascenseur?
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26 novembre 2009 à 08 h 25
O.K., je comprends que rouler sur un même étage c’est plus pratique pour la clientèle du centre. Je comprend aussi qu’à l’époque où on a construit l’immeuble, la densification urbaine n’était pas un enjeu comme ce l’est aujourd’hui. Je ne blâme donc personne pour le gaspillage d’espace… Je dis simplement qu’il serait possible aujourd’hui de maximiser l’utilisation de ce terrain en greffant d’autres usages au centre François-Charron sans nuire à la vocation première du centre. Et je persiste à penser qu’une bonne partie de la clientèle du centre ne souffrirait aucunement d’avoir à emprunter un ascenceur de temps en temps.
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25 novembre 2009 à 16 h 41
Il y a vraiment des lecteurs de QU qui souhaite voir des gratte-ciels partout ?? Ahh.. oui c’est vrai, ici 5 étages c’est de la haute densité, 6 c’est une tour, et à 17 on est rendu dans les grattes-ciels.
Dans ce cas je suis abonné au fan-club des gratte-ciels !!
Pendant ce temps, dans le reste de la planète, un gratte-ciels doit mesurer plus de 150 mètres… (40 étages + )
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25 novembre 2009 à 17 h 11
c’est quoi le rapport de ton commentaire avec le centre ?
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25 novembre 2009 à 17 h 34
Aucune, c’est une réaction a l’utilisation excessive et sans fondement d’un terme :P
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25 novembre 2009 à 16 h 34
Cet hôpital spécialisé a été construit dans la fin des années 60 par la Commissions des Accidents de Travail pour y accueillir les accidentés du travail qui avaient besoin de réhabilitation. Voilà pourquoi on a construit sur un même étage car des chaises roulantes y circulent en grand nombre…
Dans les années 70, le centre à été vendu au gouvernement du Québec pour y loger le CRSSS et permettre d’élargir la clientèle aux handicapés ou mutilés de tous les horizons autant de la route que du travail ou simplement une déformation à la naissance.
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25 novembre 2009 à 16 h 55
Je pense que s’ils ont fait ça juste sur un étage c’est également pour faire des économie de bouts de chandelle. Ce bâtiment est très utile serte, mais très mal construit. Si vous prenez le couloir qui part de la porte où il y a la sécurité et une drôle de fresque et que vous vous rendez jusqu’au café (qui sert de la bonne bouffe pour un café d’hôpital), vous allez voir que la verrière est pourrite. L’hiver on gèle. Sur la porte à côté du café il y a un igloo et c’est écrit de garder les portes fermer pour la climatisation. L’affaire c’est que la climatisation c’est le dehors et ça entre dedans comme si c’était ouvert! Quand on se promène dans ce centre là, on voit que tout a été fait de façon très cheap. Sauf ce qui a été rénové. Même là, des fois on se demande si certaines de leurs rénovations ne sont pas plus cheap que l’original. Mon père dit que ce centre est raboudinné de partout… Il y a vécu un bon bout de temps alors il sait de quoi il parle.
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25 novembre 2009 à 20 h 18
Pier Luc j’ai travaillé à la CAT qui est devenue la CSST. Mon camarade de voyage qui était entré en 1969 a participé à la vérification des coûts de construction car notre service de vérification avait eu le mandat de vérification interne de la construction. À cette époque , on pensais au comfort des handicapés pas à construire en hauteur pour économiser sur l’espace de terrain. On avait pas les mêmes préoccupations à l’époque où les espaces inoccupés étaient légion et les terrains peu dispendieux…
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26 novembre 2009 à 00 h 23
« …Ton commentaires est une insulte à l’intelligence humaine mais surtout méprisante pour les personnes handicapé, tu les crois incapable de pesé sur un bouton d’ascenseur? »
Ah les pseudo communications sur internet ! Souvent des malentendus, dû à un manque de désir de poser des questions pour éclaircir certains points. (J’aurais envie de dire pathétique…)
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26 novembre 2009 à 12 h 49
Puisqu’il est question d’intelligence Gilbert, je te prierais de relire mon commentaire. J’écrivais que des étages, donc des ascenseurs, donc le risque de bris, donc l’impossibilité de leur utilisation, c’est augmenter les contraintes. Et en terminant, oui pour certaines personnes, juste appuyer sur un bouton d’ascenseur c’est un parcours du combattant. Une contrainte de plus.
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26 novembre 2009 à 20 h 48
Cet immeuble ne peut pas accueillir d’étage supplémentaire à cause de la composition du terrain qui est en fait un ancien milieu humide et marécageux (une swamp) qui offre peu de support pour un édifice en hauteur. Actuellement il « s’agrandit par l’intérieur », c’est à dire que de grands locaux sont subdivisés en de nombreux petits espaces à bureaux ou pour répondre aux besoins des thérapies de toutes sortes.
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26 novembre 2009 à 20 h 55
De plus, vous ne pourrez plus trouver le nom du Centre François-Charon dans l’annuaire téléphonique car cet appellation n’existe plus que dans la tradition orale. Il s’appelle maintenant « Institut de Réadaptation en Déficience Physique de Québec » (IRDPQ pour les intimes)
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