Source : Luc Fournier, Journal L’Actuel, 8 décembre 2009
André Pelchat, président d’Immostar, est clair : il y a les édifices verts, et les nouveaux édifices «verts foncés». À en croire tous les efforts investis pour faire de Place de l’escarpement un immeuble certifié LEED Or, force est de constater qu’en matière d’infrastructure immobilière, le futur n’est pas si loin…
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9 décembre 2009 à 08 h 49
N’importe quoi…Premièrement un bâtiment « vert » ne devrait pas être placé dans un endroit accessible à peu près juste par voiture (et je ne pense pas que 1 ligne de metrobus soit suffisante). Il ne devrait pas contribuer à l’étalement urbain; il devrait essayer de le contrer. Tous les experts s’entendent pour dire que la certification LEED a des faiblesses importantes, et que ce n’est pas en accumulant des systèmes qu’on peut se dire « vert foncé ». Et malheureusement, visuellement….il ressemble à tous les autres bâtiments à bureaux.
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9 décembre 2009 à 12 h 16
C’est vrai que le fait de construire dans un secteur accessible quasi uniquement en auto n’est pas très vert. Mais en même temps on rapproche le milieu de travail des résidents de ce secteur. Je ne sais pas lequel est le mieux.
Bien entendu, si les travailleurs proviennent de d’autres secteurs, on n’a réglé aucun problème, ont là empiré.
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9 décembre 2009 à 23 h 14
Pour un édifice à bureaux, je le trouve plutôt réussi. Il est classique, mais beau avec une belle fenestration. Ça serait comme dire en parlant d’un gratte-ciel qu’il ressemble à un autre gratte-ciel.
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9 décembre 2009 à 09 h 19
N’en déplaise à certain, Lebourneuf est au centre du territoire de la ville est il se densifie à grande vistesse. Je ne pense pas qu’on puisse dire que ce soit de l’étalement urbain. Il y a plein de gens qui habite Lebourgneuf et qui y travaillent, autrement, les gens devraient faire une plus grande distance pour aller travailler au centre ville.
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9 décembre 2009 à 12 h 57
Lebourgneuf est identifié comme un centre majeur d’activités par la Ville. On construit de manière très dense sur Robert-Bourassa et l’endroit est très « central » (lire : au milieu de la ville)… Dans quelques années la densité de population autours et la diversité d’habitation feront en sorte que beaucoup de travailleurs pourront habiter près des nombreuses entreprises qui s’installent dans ce secteur. On structure un coin qui est déjà à l’intérieur du périmètre urbain, effectivement ce n’est pas de l’étalement urbain!
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9 décembre 2009 à 17 h 29
C’est au bout de l’autoroute, c’est comme la bâtisse SSQ-Hydro à l’autre extrémité. C’est pas plus de l’étalement urbain. Sauf qu’ils ont pas mal massacré le boisé pour construire ça et ce n’est pas terminé. Il faut y avoir une autre bâtisse du genre à côté et une troisième en face. Pour celle en face la ville a déjà fait l’intersection…
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9 décembre 2009 à 23 h 15
C’est vrai, mais les terrains inutilisés à Québec sont soit : boisés, agricoles ou contaminés.
On ne fait pas d’omelettes sans casser des oeufs.
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9 décembre 2009 à 22 h 31
Je n’aime pas beaucoup le modèle avec toutes les routes qui convergent vers un centre unique, créant des bouchons de circulation, même avec les autobus. Le centre ville de Québec est mal foutu, sur le bord du fleuve, aucun accès direct du sud, loin des travailleurs.
Lebourgneuf, c’est entouré de quartiers résidentiels (les saules, charlesbourg, loretteville, neufchâtel, duberger) donc bien plus près des travailleurs que le centre ville.
Le gars qui part de Lorettville pour travailler à Lebourgneuf prend moins d’essence que s’il allait travailler en ville.
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9 décembre 2009 à 23 h 16
La devise de certains ici c’est :
« hors des quartiers centraux, point de salut! »
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